Je suis bisexuel : 11) Femmes

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Proposée le 6/04/2014 par CAVAL

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Résumé : Marc et Gérard, Bisexuels, ont emménagé dans une maison. Ils ne veulent pas se priver des bonheurs de l'hétérosexualité tout en continuant leurs jeux gays.

11) Femmes

Des rencontres féminines, Gérard et moi, nous en fîmes.
Mais dès qu'elles constataient que nous étions amants, elles partaient très rapidement. La réflexion était quasiment toujours la même :
- Je ne vais pas baiser avec un PD tout de même.
Ou encore plus violemment :
- Quoi, tu le suces et après ça tu veux m'embrasser. Mais c'est dégueulasse !
Il était très difficile, voire quasiment impossible de leur expliquer que nous étions bisexuels et que nous aimions aussi bien faire l'amour avec une femme, qu'entre nous ; que faire l'amour à une femme ou à un homme n'avait rien à voir et qu'elles ne devaient pas se sentir trahies par cette pluralité sexuelle.

D'autres craignaient de devenir le jouet sexuel de deux hommes pervers. Là encore, les tentatives pour leur expliquer que nos partenaires féminines ne seraient jamais mêlées à nos rapports homosexuels, ne les rassuraient pas.

Mireille, une de ces filles que je rencontrai, sortait du lot.
Ce qui me frappa chez elle, c'était son naturel. Lors de notre première rencontre, elle était assise et immobile ; je remarquai sa belle poitrine et ses longues jambes avec sa jupe remontant jusqu'à mi-cuisse. Puis, lorsque je la vis marcher venant vers moi, j'ai eu un flash : elle ne portait pas de soutien-gorge ! Ses seins ronds, amples et à la tenue parfaite, ballottaient discrètement sous son haut.

Très vite, j'eux des rapports agréables avec elle en sorties et invitations au restaurant. Bientôt ils devinrent beaucoup plus proches, puis très intimes. Une fois dans son appartement, elle m'a demandé de la déshabiller.

Lorsque j'ôtai ses vêtements pour la première fois, je constatai qu'effectivement elle ne portait pas de soutien-gorge, ce qui n'enlevait rien à un maintien parfait de sa poitrine bien que celle-ci soit assez forte. Elle ne présentait aucun affaissement et n'avait subi aucune intervention chirurgicale.

Nous avons fait l'amour. Elle aimait partager la jouissance que nous pouvions nous donner mutuellement. Me rendant au centuple les baisers que je déposais sur son corps, répondant à mes caresses par des effleurements sans fausse pudeur, agaçant mon sexe pendant que je visitais le sien. Les orgasmes que nous vivions étaient d'une grande plénitude nous apportant, après les tumultes, le calme de l'esprit et l'apaisement des corps repus de sexe.

Après ce coït je lui ai fait part de mon étonnement sur le fait qu'elle ne portait pas de soutien-gorge :
- Moi, je pensais que les femmes qui ne portaient pas de bustier avaient des seins qui tombaient, surtout si elles avaient de fortes poitrines.
- C'est une légende qui a la peau dure. Certains médecins, moins rétrogrades que d'autres, disent que porter un soutien-gorge atrophie le maintien des seins. Pour préserver la beauté des seins, il n'y a pas trente-six façons : le massage. Je masse mes seins tous les jours. Pas n'importe comment, de façon très précise pour réveiller le système lymphatique. D'abord, on ressent un véritable bien-être quotidien puis cela apporte aussi une nouvelle relation avec sa poitrine. Je ne cache pas que je ressens une certaine jouissance dans cette masturbation. Si mes seins sont beaux c'est parce qu'ils sont en bonne santé. En plus cela permet de renouer avec une partie de soi avec laquelle on ne se sent pas forcément en accord.

Je me dis que si elle pratiquait avec tant d'enthousiasme la nudité sous ses vêtements, elle devait sans-doute goûter à celle qu'on pratique dans la nature. Je lui demandai donc :
- Pratiques-tu le naturisme ?
- Non, je suis textile... c'est comme-ça qu'on dit ? Je suis topless lorsque je m'expose au soleil, mais je n'ai pas encore envisagé de pratiquer le naturisme. Je ne dis pas qu'un jour je n'y viendrai pas. Je crois qu'en fait, c'est que l'occasion ne s'est jamais présentée.
- Si tu veux nous pourrons...
- Tu sais Marc, je ne porte pas de sous-vêtement, mais ce n'est pour cela que je suis du genre exhibitionniste non. Alors, la plage nudiste, on va attendre un peu si tu veux bien.
- Oh ! je ne force pas. Il faut laisser le temps au temps.

Lorsque j'annonçai à Mireille mes penchants bisexuels, elle ne s'en formalisa pas.
- Tu baises avec un homme ? Qu'est-ce que ça peut me faire.
Je lui avais fait l'amour sans qu'elle soit venue chez nous.
- Tu sais, moi aussi j'ai baisé avec des personnes de mon sexe. J'avais un copine qui ne portait ni soutif, ni culotte. Comme je ne la croyais pas elle a relevé sa robe jusqu'à sa taille me donnant à voir sa chatte extrêmement poilue en me disant : « Regarde par toi-même ! » Je te jure que sa chatte brune montait haut vers le nombril et descendait sur le haut des cuisses. Je n'ai pu m'empêcher de venir caresser cette fourrure. Les poils étaient d'une grande douceur, la fille se shampooinant le pubis avec une lotion spéciale rendant le buisson doux, luisant et avec de délicieuses fragrances. Je le sais, puisque nous n'avons été longues à nous retrouver en 69, moi lui broutant la toison, elle me léchant de bourgeon, beaucoup moins fourni en poil.
- Tu as eu d'autres amantes que cette fille ?
- Oui, deux ou trois selon que j'ai été plus ou moins loin avec elles, entre de réelles relations lesbiennes sexuelles, à des baisers ou des caresses sans aller plus loin.
- Les relations lesbiennes, c'est une chose. Que deux hommes fassent l'amour, ne te pose pas de problème.
- Ecoute, Marc, tu baises bien, je devrais même dire très bien. J'ai pu en juger par moi-même. Tu m'as fait jouir plusieurs fois. Il y a bien des hétéros purs et durs qui sont moins brillants que toi. Le plus important pour moi, c'est que sexuellement notre entente soit parfaite. Après, que tu aimes également les hommes, ne doit pas me poser de problème particulier.
- Mais tu sais, je n'arrêterai pas de coucher avec Gérard, même si on se met ensemble toi et moi.
- Là-encore, que veux-tu que je dise ? Si tu baisais avec une autre nana, je pense que là je ne serais pas d'accord... encore que...
- Encore que ?
- Un de mes fantasmes, serait de faire venir dans le lit que je partage avec mon mec une de mes copines, juste pour le fun, juste une fois pour s'éclater. Oui, si je te présente une copine, pour un plan à trois. Mais ce sera moi qui choisirais le moment et la fille. Non, non ! Oublie ! Enfin, que tu baises avec un mec qui en plus est ton copain, donc un amant attitré et non pas une rencontre sans lendemain avec tous les risques que ça suppose je trouve ça acceptable. Je préfère en fin de compte.

Je lui fis donc rencontrer Gérard. La soirée que nous passâmes ensemble fut excellente. J'avais à mes côtés une femme pour qui j'éprouvais de l'amour (enfin une femme pour qui je pouvais éprouver de l'amour, car je n'étais pas certain de mes sentiments à ce moment-là) et l'homme que j'aimais.

Lorsque je me suis retrouvé seul avec Mireille, elle s'offrit à moi de façon magnifique, sans retenue. Elle aimait que je prenne possession de son corps que ce soit ses seins amples et fermes aux larges aréoles ou bien son sexe à la chatte finement duvetée de poils pubiens, mais aux contours des lèvres glabres, apparaissant ainsi encore plus impudique en laissant voir les moindres détails de sa vulve. Je visitais ses chairs de ma bouche, de ma langue, de mes doigts et de mon sexe. Lorsque mon membre fléchissait un peu après plusieurs assauts, elle venait à son secours avec ses mains et sa bouche, donnant des coups de langues bien ajustés sur le gland ou encore en le plaçant entre ses beaux nichons entre lesquels elle le branlait délicieusement.
Je la fis jouir à plusieurs reprises durant cette nuit. Je l'accompagnai dans cette libération. Elle savait que Gérard était tout proche et qu'il ne perdait sans doute rien de nos ébats, pourtant, cela ne l'empêcha pas de démontrer sa jouissance de façon très sonore.

Le lendemain, après cette nuit endiablée avec Mireille, je retrouvai Gérard dans la cuisine :
- Tu n'as pas l'air de t'ennuyer avec elle, me dit-il.
- Je t'avoue que question baise, elle s'y connait. Et c'est vrai que lorsqu'elle jouit, elle n'est pas discrète.
- C'est le moins qu'on puisse dire. Vous entendre faire l'amour m'a terriblement excité. J'ai pris une revue de cul pour me branler à l'aulne de vos joutes amoureuses.
- Homo ou hétéro la revue ?
- Hétéro. C'était un vieux Playboy avec des sportives du dimanche qui s'étaient déshabillées devant l'objectif dans leurs activités physiques : équitation, escalade, vol en ULM, vol en montgolfière, camping en pleine nature...
- A oui, je vois ce que tu veux dire. Il y avait de très belles photos et de superbes filles.
- Je me demande comment elle réagira quand elle nous entendra faire l'amour ensemble.
- Elle m'a dit que cela ne la dérangerait pas du tout. En dehors d'elle, elle préfère que je fasse l'amour avec un homme plutôt qu'avec une autre femme.
Mireille vint nous rejoindre dans la cuisine en petite nuisette presque transparente, laissant apparaître les aréoles de ses seins, et lui arrivant au ras de la foufoune. Je ne suis pas certain qu'en dessous elle portait une culotte. Gérard regardait discrètement ma copine. Comme je lui fis les gros yeux, il me dit discrètement :
- Ecoute, c'est beau, c'est offert à la vue, je regarde, c'est tout. « Pour le plaisir des yeux ! » comme on dit. Mais ne t'inquiète pas, je ne touche pas.

Nous étions à la fin du mois mai et nous avions installé dans le jardin une piscine hors de terre. Comme nous n'avions aucun vis-à-vis et que de l'extérieur personne ne pouvait voir ce qui se passait chez nous, avec Gérard nous pratiquions habituellement le naturisme.
Pourtant, Gérard et moi avions décidé de garder nos maillots de bain. J'avais expliqué à Gérard que Mireille n'était peut-être pas encore prête à faire du naturisme.
- Je ne veux pas la brusquer, me dit-il, et j'ai la volonté de la respecter Mireille.
Quant à moi je ne voulais pas montrer à mon copain l'intimité que je pouvais avoir avec Mireille. Je savais que nu, je ne pourrais refréner certaines ardeurs que nous ne souhaitions plus partager ensemble : une femme à se répartir.

Lorsque la fille arriva sur le bord de l'eau elle portait un bikini jaune canari du plus bel effet. Sans plus de manière, elle enleva le haut, libérant sa belle poitrine. Elle ne garda qu'un string minuscule qui laissait les charmes de ses fesses visibles et ne couvrait que son pubis.
« Putain, pensais-je, qu'elle est belle ainsi. Gérard doit penser la même chose que moi en la voyant ainsi quasiment à poil. Surtout qu'elle fait tout pour se faire admirer. »
Nous eûmes le plaisir d'admirer cette belle fille qui déambulait dans cette tenue minimaliste sans aucune gêne devant nous, bien au contraire.
« Lorsqu'elle déclare qu'elle n'est pas exhibitionniste, me dis-je, j'ai beaucoup de mal à la croire, car à l'exception de sa chatte, elle nous montre tout le reste. Si je veux la faire venir au naturisme, je ne pense pas avoir beaucoup de difficultés. »

Ni Gérard, ni moi n'osâmes quitter nos maillots de bain malgré l'étroitesse où se trouvaient nos sexes. C'est d'ailleurs parce que nos sexes étaient gonflés, que nous préférions garder cet habit qui dissimulait plus ou moins bien notre excitation.
Car, comment n'aurions-nous pas bandé devant cette beauté qui s'exposait devant nous ? Comment ne pas être excité lorsqu'on la voyait enduire son corps de crème solaire insistant sur l'intérieur de ses cuisses en ouvrant largement les jambes, ses mains remontant jusqu'à l'aine là où le slip de bain dissimulait sa chatte et se malaxant les seins plus que de raison ?

Après cette journée de bronzette, Mireille me dit :
- Tu sais que ton copain n'a pas arrêté de mater mes nichons et mon cul durant toute la journée.
- J'en faisais de même.
- Et, malgré son maillot, il est net qu'il bandait.
- Je le comprends. D'ailleurs, moi aussi je bandais en te voyant dans ton string étant encore plus sexy et désirable que si tu avais été totalement nue.
- Oui, mais toi tu es mon chéri, tandis que lui...
- Il me semble que ce n'était pas pour te déplaire qu'il admire ton corps ainsi.
- C'est vrai. C'était même agréable de sentir sur soit un regard d'envie. J'avoue que je suis un peu exhibitionniste. Tu n'en es pas fâché ?
- Pas du tout ma chérie. J'ai beaucoup aimé ton petit numéro quand tu te baladais en t'exhibant.
- Je crois que nous sommes vraiment faits pour nous entendre, mon Marc. Tu aimes tout ce que j'aime.

Je voulus mettre un bémol à son enthousiasme en lui disant :
- Tu sais, cette nuit je dors avec Gérard. Tu ne m'en veux pas.
- Non, il n'y a pas de problème. Je sais bien que tu es bi et que toi et Gérard vous baisez ensemble. Ce n'est pas une surprise. Ne t'inquiète pas, je ne risque pas de m'ennuyer, j'ai pris mes précautions.
Je la vis alors sortir de son sac deux numéros d'Union et un gode de belle taille.
- Avec ça je pourrai me donner du plaisir à la fois par l'esprit, certains récits de cette revue me font vraiment mouiller, et par les sens avec cet engin dans le con. Ca ne vaut pas une belle verge bien dure et bien juteuse, mais c'est toujours mieux que rien.

Je rejoignis mon amant dans la chambre qui abritait habituellement nos ébats. Nous ne faisions jamais l'amour dans nos propres chambres, même dans l'absence de femmes, mais toujours « en terrain neutre » comme nous disions. La présence de Mireille toute proche ne devait rien changer à nos pratiques et nos habitudes.
J'ai joui sous les assauts de Gérard et lui-même n'eut pas à se plaindre des divins traitements que je lui fis subir. Après l'avoir sodomisé et déversé mon foutre dans son anus bien habitué à mes introductions, nous nous sommes allongés l'un à côté de l'autre pour récupérer : un calme qui ressemblait à l'oeil du cyclone après le tumulte et précédant la tempête. Nous nous regardions, le sourire aux lèvres, nos doigts se posaient sur le corps de l'autre.
Moi j'avais les yeux rivés sur sa verge alanguie qui me donnait tant de plaisir. Il n'y avait rien de libidineux dans cet instant, seulement une infinie tendresse.

C'est dans ces moments que je ressentais le mieux l'amour que j'avais pour mon compagnon se basant sur trois éléments : l'engagement, l'intimité et la passion.
L'engagement c'était la volonté chez moi de cultiver les sentiments que j'avais envers mon partenaire ; il avait grandi progressivement et ne cessait de croître.
L'intimité c'était cette volonté d'être proche l'un de l'autre, une volonté d'être en connexion avec celui qui partageait ma vie et bien plus que mon lit.
La passion se matérialisait dans l'attrait que j'avais pour lui, attirance physique qui entraînait naturellement le désir charnel. Cette passion avait été faussée au début par la présence de Stéphanie dans notre relation, mais depuis nos retrouvailles, elle s'était stabilisée sans s'éroder sur l'écueil de l'habitude.

J'étais amoureux de Gérard, en aucun cas il ne s'agissait d'une attirance passagère. Comme Gérard éprouvait les mêmes sentiments que moi, nous pensions que la personne qui nous séparerait n'était pas encore née.

Je venais de poser ma main sur le sexe de Gérard, sans la bouger, sans le branler, lorsque la porte de la chambre s'ouvrit :
- Vous voulez bien m'en donner un peu ?
Effarés, nous vîmes Mireille entrer dans notre chambre, totalement nue, voulant apparemment profiter de deux mâles. Nous restions médusés ne cherchant pas à voiler notre nudité. Comme si nous n'avions pas bien compris le message, elle ajouta :
- Avec deux mecs bien montés comme vous, je vais enfin pouvoir réaliser un de mes grands fantasmes : une double pénétration. Je n'ai jamais eu l'occasion d'expérimenter cela et ça me tente énormément.
Gérard me regarda inquiet.

Je me levai, pris pas la main la jeune femme au corps exceptionnel et l'entraînai vers la chambre que j'occupais avec elle. Il fallut alors lui expliquer que nous voyions, Gérard de moi, les choses sous un autre angle.
- En étant avec moi, tu es ma copine, ma compagne, pas celle de Gérard. Entre homme, nous continuons à faire l'amour sans partenaire féminine et sans spectatrice.
- Mais ça ne déplairait pas à Gérard, il est bi lui aussi. Cette après-midi, j'ai bien vu qu'il bandait dans son slip de bain lorsqu'il me regardait topless.
- Mais moi, crois-tu que ça me plairait que tu baises avec mon copain ? Non Mireille, tu es ma nana, pas celle de Gérard. C'est un deal entre lui et moi, tu dois aussi t'y plier.
Mireille me fit la gueule.
- Il faut que je plie à ce que tu baises avec un mec, il faut que je me plie à ne baiser qu'avec toi, et puis quoi encore. Tu vas me demander quoi demain, de remettre le haut de mon maillot pour ne pas exciter ton copain...

Je restai avec elle toute la nuit sans même essayer de la toucher.
Le lendemain matin elle reprit ses affaires et me demanda de la déposer à la gare la plus proche.

Ce que je fis.

A suivre


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