Je veux faire plaisir à ma femme. La situation m'échappe...

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Proposée le 24/03/2014 par chevalierdufiel

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Je m'allongeais sur le dos, exténué. Comme d'habitude, Marie n'avait rien ressentie. Je faisais des efforts, pourtant. Mais, je devais me rendre à l'évidence : mon sexe était trop petit. 4 cms au repos, 9 en érection, et très fin. J'en avais toujours nourri une certaine honte. Marie était vierge lors de notre rencontre. Elle n'avait pas d'élément de comparaison. Mais au fil des mois, elle s'est rendue compte qu'il y avait un problème. Surtout qu'elle avait abordé le sujet avec ses amies Laura et Sylvie. Leurs maris étaient normalement pourvus par la nature, et elles jouissaient régulièrement sous les coups de boutoirs de leurs hommes.
« Je voudrai faire l'amour avec un vrai mec. Je voudrai essayer une grosse bite, pour voir ce que ça fait... Offre-moi un mâle, viril, si tu m'aimes vraiment. Tu vois bien que je ne sens pas ta petite nouille. »
J'étais abattu. Si je ne lui donnais pas satisfaction, elle irait de toute manière voir ailleurs...
« Tu veux qu'on fasse l'amour à trois ? Tu veux être prise par deux hommes ? »
« Mon pauvre chou, je veux être possédée par un vrai mâle ! Tu crois que tu en es un ? Tu pourras peut-être me préparer pour lui, si il est d'accord... ».
Nous fîmes des recherches sur des sites de rencontres. Nous avions l'embarras du choix. Des hommes hyper membrés désireux de se faire une femme mariée étaient légion...
Ma femme flasha littéralement sur un grand brun d'environ 50 ans, ressemblant à l'acteur Georges Cloney, et affichant une superbe érection. Son sexe devait faire trois fois le mien...
Marie ne pouvait pas détacher ses yeux de ce sexe monstrueux.
« C'est lui que je veux. »
Je lui adressai un message, lui décrivant ma femme et les raisons de notre recherche. Je lui joignais une série de clichés de ma femme posant nue. Ma femme, si belle. 1m65, 50 kg, brune, une taille fine, des seins très lourds (95 c), des fesses épanouies... Ce corps que je vénérais et que je ne pouvais pas combler.
Il se prénommait Marc. Il était chef d'entreprise et était un habitué de ce site. Il trouva ma femme à son goût et était prêt à lui donner le plaisir qu'elle méritait.
Un rendez-vous fut fixé pour le lendemain dans une brasserie du centre ville.
Il avait posé ses conditions. Ma femme devait être entièrement nue sous une robe très courte ; Elle devait porter des bas auto-fixants et des talons aiguilles. Je n'aurai pas le droit de l'embrasser ou de la toucher en sa présence. Tout le monde devrait croire qu'elle était sa femme.
L'heure du rendez-vous approchait et Marie était très excitée. Elle sentait en Marc le mâle dominant qui saurait la prendre. Elle se fit la plus sexy possible. Je ne l'avais jamais vu comme cela.
Je voulu l'embrasser, la caresser... Elle me repoussa.
« je me prépare pour Marc ».
Nous arrivâmes à la brasserie.
Marc nous attendait, il prit Marie dans ses bras et l'embrassa sur la bouche. Elle se laissa faire. Il me tendit son manteau ainsi que celui de Marie, en me demandant de les mettre sur le perroquet à l'entrée. Servile, je m'exécutais. Les rôles étaient déjà distribués.
Il s'assit sur la banquette, à côté de Marie. Il lui demanda de remonter sa robe pour mettre ses fesses directement en contact du cuir. Je me positionnais en face.
« Alors Gérard, tu es le gentil cocu qui amène sa charmante épouse au taureau ? Tu as bien raison. Une femme bien baisée t'assurera un foyer harmonieux... Commande-nous du champagne. »
Je bredouillai un vague acquiescement et je passai la commande.
Le repas fut un enfer pour moi. Ils m'ignoraient totalement. Il la caressait sous la table. Elle gloussait tout en enchaînant les coupes de champagne.
Après le dessert, il dit à Marie : « Va aux toilettes hommes, retire ta robe, penche-toi en posant tes mains sur le mur. Laisse la porte ouverte. Je vais descendre t'essayer ». Stupéfait, je vis Marie se lever, sans un mot, et se diriger vers les toilettes.
« Elle n'attend que cela, cette salope. Je vais la prendre en main ta petite femme. Je vais remplir tes devoirs conjugaux. Tu pourras me remercier. En attendant, paye l'addition, et arrange-toi pour que personne ne nous dérange. »
Il se leva et descendit.
Je me postais devant toilettes, prêt à décourager tout importun. Je coopérais à mon propre cocufiage. Des gémissements me parvinrent. Puis des cris étouffés. Il avait dû lui mettre la main sur la bouche.
Au bout de vingt minutes, je les vis remonter. Ma femme rouge, les cheveux en bataille. Elle semblait épanouie.
« Mon pauvre Gérard, tu dois t'impatienter. Et tu dois te poser plein de questions. Je peux te dire que Marie est une gourmande. Elle a découvert ce que baiser veut dire. Mais allons chez vous. Je vais te montrer des choses intéressantes. »
Je me mis au volant, Marc et Marie se mirent à l'arrière.
« Allez-y chauffeur ! », ils éclatèrent de rire.
« Et si on en faisait notre larbin ? Il a l'air bien coopératif ton petit cocu... Suce-moi chérie. »
Je ne pus m'empêcher de regarder dans le rétroviseur. Je vis ma femme se pencher et extirper une superbe verge. Gonflée de désir. J'en étais estomaqué. Admiratif. Ma femme commença par lécher le gland, puis descendit le long de ce long braquemart... Elle essaya de le mettre entièrement dans la bouche mais n'y arriva pas. Elle gémissait. Sucer Marc l'excitait.
« Ne t'en fais pas ma petite pute, tu y arriveras, je t'apprendrai... »
Nous prîmes l'ascenseur. Je les regardais s'embrasser. Marc prenait possession de ce corps sublime.
A peine entrés dans l'appartement, Marc me dit : « Sers nous à boire cocu ».
Marc et Marie s'affalèrent dans le canapé. Je posai trois coupes sur la table basse. « Deux coupes suffiront. Des choses vont changer dans cette maison, mon petit Gérard. Le maître des lieux c'est moi. Je décide de tout. Vous les tourtereaux, vous m'appellerez Maître et vous obéirez à mes ordres. Sinon, je pars et Marie se contentera de ta petite bite... »
« Non, Maître, je vous en supplie. Je ferai tout ce que vous voulez. Je veux être votre femelle, votre esclave, votre sac à foutre. Et toi Gérard, obéis sinon je te quitte ! », Marie avait presque hurlé.
« C'est bien ma petite Marie. Déshabille-toi. Montre-toi... Toi aussi Gérard, je veux vérifier si Marie ne t'a pas sous-estimé. »
Marie retira sa robe, se retrouvant en bas et en escarpins... Je retirai ma chemise et mon pantalon. J'hésitai à continuer... Je voulais éviter l'humiliation...
« Allons, Gérard, pas de pudeur entre nous. Montre-moi cet appendice devenu inutile! »
Je retirai mon slip, rouge de honte. « Ha, quand même ! », il partit dans un énorme éclat de rire. « Je ne pensai même pas que c'était possible. Approche-toi, masturbe-toi pendant que ta femme me suce. Je veux te voir en érection. Allez, Marie ! Montre à ton homme comment tu aimes la bite. La vraie. »
Marie s'exécuta, ivre de bonheur. Je commençais à me caresser. Marie s'activait de plus en plus sur le membre de son amant, moi j'avais du mal à bander...
« Marie mets toi en levrette. Je suis sûr que cela va exciter ton petit mari de te voir couiner sous mes assauts... »
Marie se mis en position. La tête dans un coussin. Marc se plaça derrière elle. Son gland était énorme. Il le pressa contre la petite fente de Marie. Et sans prévenir, il s'enfonça entièrement. Pas loin de 30cm. Marie a poussé un cri. Marc se retira lentement et recommença. Voir ce colosse posséder ma femme avec une telle brutalité m'excita. Mon sexe était dur.
Ma femme criait de plus en plus fort. Qu'allaient penser les voisins. Ils n'étaient pas habitués.
Marc se vida dans le ventre de Marie en grognant. Il resta en elle un instant, puis s'assit. Marie resta prostrée, gémissant. Je ne la reconnaissais pas. J'avais éjaculé sur le tapis. Trois gouttes.
« Et bien Gérard ! Tu es un petit cochon. Nettoie tout cela avec ta langue. C'est vrai que toi, tu n'as pas un aussi beau cul pour te vider. Et il claqua les fesses de Marie.
Je léchais ma propre semence.
« Va nous préparer à manger. Tu ne mets que deux assiettes. Je te trouve un peu enrobé. Tu mangeras quand tu auras maigri un peu. Toi Marie va te faire une petite beauté. »
Je me mis à préparer le repas, nu dans la cuisine. Je me sentais vraiment minable d'accepter cela sous mon toit. Je ne voulais pas perdre Marie. Elle finirait par me revenir.
Marie revient de la salle de bain. Elle a enfilé une nuisette noire qui ne cache rien de ses formes.
« Ma chérie, tu es superbe. Je ferai augmenter le volume de tes seins et de tes fesses par un ami chirurgien. Je veux te transformer en poupée sexuelle. Je vais faire de toi une bombe sexuelle. Et à compter d'aujourd'hui, tu prendras cette pilule. Cela va exacerber ta libido. Tu seras continuellement excitée. Je ne te suffirai plus, je te prêterai à des amis. Ta chatte, ton cul et ta bouche vont servir. En parlant de ta bouche, je vais demander à mon ami d'en faire une bouche de suceuse. Tu vas aimer.
Que pense-tu de ma queue ? Cela doit te changer du petit vermicelle de Gérard ? »
« Oui, Maître. J'adore votre queue. Elle est si grosse. Elle me remplit bien. Puis-je la caresser ? »
« Fais-toi plaisir, coquine. »
Je mis la table, apportais le plat. Pendant ce temps là, Marie caressait les couilles et le long sexe de notre maître. Elle semblait hypnotisée. Marc lui caressait les cheveux.
« A table salope, fini de jouer. Toi Gérard, va dans la cuisine. Je t'appellerai pour débarrasser. »
Je les entendais discuter, rire. Marie quasiment nue, à table avec un homme que nous ne connaissions pas quelques heures avant.
Marc était déjà le maître des lieux. De ma femme. De moi. J'ai entendu ses projets de transformation de Marie. Marie que je ne pouvais plus toucher, embrasser. Je la savait heureuse. Elle était folle de cet homme, de sa queue.
Il y avait enfin un mâle dans cette maison.
A suivre...