Je suis bisexuel : 9) Pendant les vacances...

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Proposée le 20/01/2014 par CAVAL

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Résumé : Marc est bisexuel et désire trouver une situation plus stable avec des partenaires réguliers. Pourtant, il se rend compte que jusqu'ici, il a souvent été manipulé par ses partenaires

8) Pendant les vacances...

J'avais enfin mon diplôme en poche mais toujours personne pour partir en vacances avec moi. Comme j'avais pu faire quelques économies durant l'année et que j'avais passé une bonne partie des mois de juillet et d'août à poser pour des artistes, je me dis qu'un séjour dans un centre naturiste au mois de septembre pourrait faire une bonne coupure avant de rentrer dans la vie professionnelle. Cette fois-ci je voulais séjourner dans un lieu 100% naturiste où je n'aurai pas besoin de me rhabiller. Vivre nu tout le temps.

J'arrivai donc dans ce centre du sud ouest de la France où je plantai ma tente. Il y avait des caravanes, des mobile-homes et, pour les moins fortunés comme moi, des emplacements camping. Je me suis mis en tenue : nu et fis un petit tour pour découvrir le lieu. Il n'y avait pas foule, la grosse saison étant passée. Le centre disposait de terrains de sports (volley, basket, boules, tennis...) d'une piscine et surtout, d'un étang assez grand où l'on pouvait bronzer et nager nu dans un paysage absolument naturel. C'est vers lui que je me dirigeai immédiatement.
Je plaçai ma serviette en pensant être à distance respectable des autres estivants. Peu de temps après, je vis arriver vers moi un couple entre 20 et 25 ans sortant de l'eau et s'arrêter à moins de cinq mètres de moi. En fait, je m'étais installé tout près de leurs serviettes sans en avoir conscience.
- Excusez-moi, je n'avais pas vu vos serviettes... Je vais me déplacer.
- Non, non, me dit la jeune femme avec un beau sourire, vous ne nous dérangez pas du tout. Je m'appelle Stéphanie et voici mon compagnon, Gérard.
- Salut, moi c'est Marc.
Stéphanie était très belle, blonde, un fin duvet sur le sexe tout étoilé des gouttes d'eau, qui brillaient avec les rayons du soleil. Ses seins étaient de belle taille sans être très gros, mais la rondeur et l'arrogance des aréoles brunes et dressées étaient sublimes. Le reste de son corps était très agréable à regarder également : des fesses rondes et musclées, un ventre plat, des jambes longues au galbe parfait. Quant à son visage, il arborait toujours un magnifique sourire, ce qui me ravit dès le premier instant. Gérard était un beau mec, bien musclé, le corps bien fait. Je ne pus juger sur l'instant la dimension de sa queue, l'eau fraîche ayant certainement amoindrit sa taille.
C'est une étrange règle physique de voir que l'eau fraîche a une action contradictoire chez les hommes et les femmes. Un homme voit souvent sa verge perdre du volume, tandis que les seins féminins durcissent et que leurs pointes jaillissent fièrement et effrontément.

Ils commencèrent à s'enduire mutuellement de crème solaire sans se soucier de ma présence. C'était vraiment un massage érotique en règle, l'un comme l'autre parcourant le moindre espace de peau de l'autre. Quand Gérard malaxa les nichons de sa copine pour y faire pénétrer la crème, elle prit sa queue et la branla doucement plutôt qu'elle ne l'enduisit.
Etant un peu troublé par ce spectacle, dont je me délectais pourtant, et surtout ne voulant pas bander devant eux, je partis me baigner. Quand je regagnai ma place, je croisai Stéphanie se dirigeant vers l'eau, qui me gratifia d'un nouveau sourire, beaucoup plus coquin celui là, accompagné d'un clin d'œil.
Je retrouvai donc Gérard seul allongé sur sa serviette. Je pus constater que sa queue, gonflée cette fois-ci, était de très belle dimension tant en longueur qu'en épaisseur.
Je ne sais comment cela se fit, mais nous nous sommes contemplés. Nous admirions nos corps, nos regards s'attachant à toutes les zones de notre anatomie, y compris nos membres virils.
Je me couchai sur le dos sans détacher mon regard de son sexe. Il savait que je le regardais et ne faisait rien pour dissimuler sa nudité. Par un geste que je ne contrôlais pas vraiment, je pris sa queue dans ma main. Il resta immobile et ne dit pas un mot. Alors je commençais à le masturber. Il me regardait faire, d'abord sans bouger, puis il s'approcha et me toucha, ses mains commencèrent à me caresser et j'y prenais du plaisir. Je ralentis mon mouvement de va-et-vient sur sa queue, car je voulais faire durer ce moment. Les caresses de Gérard, d'abord centrées sur mon torse et mes bras, glissèrent lentement vers mes cuisses, puis vers mon pubis. C'est ma main qui a guidé la sienne sur mon membre qui commençait à gonfler. Je sentis l'agréable chaleur de ses mains sur ma verge. Tandis qu'il me branlait, je me penchais sur lui et j'embrassais sa poitrine.
Je me mis à califourchon au-dessus de son torse lui présentant mon sexe alors que j'avalai son membre goulûment, la chair était chaude et palpitante. J'entrepris une fellation. Alors je ressentis une sensation de plénitude, de joie. Je ne pensais plus que nous étions en pleine nature, qu'il y avait d'autres baigneurs (heureusement suffisamment éloignés) et que la copine de mon amant pouvait revenir à tout moment. Lorsqu'il fut sur le point d'éjaculer, je le gardais en bouche et avalais tout son sperme. Quand j'ai expulsé mon propre foutre, par contre, il ne l'avala pas.

Nous étions tous les deux un peu sonnés par cette séance de baise improvisée.
- C'était une première entre mec pour moi, me dit-il.
- Tu as aimé au moins.
- Je dois dire que... enfin, oui j'ai joui. Je n'aurais jamais pensé que je serais attiré par un mec un jour. Mais là en voyant ta queue, je ne sais pas, j'en ai eu envie. Je pense que je serais prêt à recommencer. Tu es donc homosexuel ?
- Plus exactement, je suis bisexuel. J'aime autant baiser avec des hommes qu'avec des femmes. Et serais-tu prêt à aller plus loin ?
- Euh, je ne sais pas. Je crois que oui. Cette première expérience m'a pas mal émoustillé, donc pourquoi pas. Lorsque nous regagnerons le centre, tu repéreras notre mobile-home. Viens demain matin à partir de 10 heures. Ma copine sera absente toute la matinée, nous serons tranquilles.


Le lendemain matin, je frappai à la porte du bungalow. Gérard m'ouvrit, il était nu, tout comme moi, ce qui dans un centre naturiste n'avait rien d'étonnant. Dès que la porte se fut refermée derrière nous, je déposai un baiser sur ses lèvres. Il fut un peu surpris ne considérant pas encore notre relation comme celle que pourraient avoir deux amants, mais plutôt comme une expérience sexuelle sans véritable amour ou sentiment.
Je lui montrai que le côté sexuel de la chose était bien présent. Pour les sentiments, on verrait plus tard. Je posai ma main sur son sexe qui était déjà bien gonflé. Notre nudité facilitait les choses : pas de vêtement à enlever, par d'obstacle pour arriver à l'autre, pour le voir, pour le toucher. Et surtout, aucune pudeur gênant les approches.
Je caressai ce membre et Gérard me laissait faire. Comme je lui donnai un second baiser, j'entrai avec la langue dans sa bouche et trouvai la sienne. Il ne voulait pas rester en dehors du jeu et imita mes gestes en caressant à son tour mon sexe qui lui aussi était dur. Nous nous sommes allongés sur le lit du mobile-home.
Comme je le sentais un peu hésitant, je pris les choses en main... ou plus exactement en bouche. Je me mis à sucer sa queue avec une infinie précaution. Son sexe se déployait sous mes coups de langue.
- C'est agréable, dit-il dans un souffle, tu sais sacrément y faire.
On se retrouva bientôt en position 69, allongés sur le côté. Nous sucions mutuellement nos hampes en parfaite érection. C'était si bon de sentir son sexe dans ma bouche, décuplé par le plaisir de sentir sa bouche sur le mien. Je sentais son corps frissonner de plaisir. Il ne put se retenir longtemps et je sentis son liquide atterrir dans ma bouche : je m'agrippai à lui pour ne pas perdre une goutte de son sperme.
Lorsque j'éjaculai, j'espérais qu'il goûtât à mon sperme. Mais il garda la bouche fermée. C'est donc sur son cou et son torse que je déchargeai mon foutre.

Ayant repris nos esprits et notre respiration, il m'avoua :
- Cette nuit, lorsque j'ai fait l'amour avec Stéphanie, j'y ai mis une vigueur que je n'avais pas connue depuis longtemps. Elle aussi l'a remarqué ; elle m'a demandé ce qui m'arrivait : « Je ne te connaissais pas si brillant amant mon chéri. »
- Crois-tu que ce soit en relation avec les attouchements que nous avons partagés sur la plage hier.
- Je ne sais pas... Enfin, je me doute qu'il y ait une relation. Pourtant, comment expliquer que d'avoir de l'attirance pour un autre homme peut provoquer chez moi un retour de flamme lorsque je fais l'amour à ma copine. Ca n'a pas de sens.
- Ce n'est pas inconcevable. Imagine que tu as entrevu hier, sur la plage, tout un pan de ta sexualité que tu ignorais. Cette révélation te trouble, c'est tout à fait normal. Cependant, d'un autre côté, tu découvres de nouvelles sensations sans vouloir abandonner celles que tu connais en faisant l'amour avec des filles ; là en l'occurrence avec ta copine. Ce chamboulement peut expliquer que ton potentiel à vouloir lui faire l'amour intensément augmente sensiblement.

Pour faire évoluer notre relation vers des éteintes plus torrides, je le questionnai :
- Est-ce que tu sodomises Stéphanie ?
- Oui, c'est arrivé, mais elle n'est pas très chaude. Elle accepte que je le fasse parce que je lui demande, mais sans grand plaisir. Je n'ai jamais réussi à la faire jouir en la sodomisant, même si moi je prends un pied énorme.
- Ça te dirait de sodomiser un mec ?
- Pourquoi pas. De toute façon je savais qu'on allait en arriver là. Les homos sont des sodomites, n'est-ce pas ?
- Oui. A par la bouche, on n'a pas d'autre orifice à offrir. Mais tu sais j'aime beaucoup qu'on me sodomise et j'aime pénétrer ainsi les hommes. C'est un moment tellement fort, lorsque le sexe du partenaire me force et entre en moi. Même dans les pénétrations un peu hardies (je ne dis pas bestiales) la douleur cède rapidement la place au plaisir et à la jouissance. La sodomie m'apporte une palette de sensations inouïes qui évoluent au cours du rapport, fonction des positions, du rythme adopté et de l'état de dilatation.
- Tu vas m'enculer ?
- Pourquoi un si vilain mot pour un acte d'amour si magnifique, si fusionnel. Dans un premier temps c'est moi que tu vas sodomiser. Après on verra si tu acceptes ou non. L'important c'est que tu sois prêt et que tu aies confiance en moi.
Il me surprit en me disant :
- Finalement, je... je préférerais que tu m'en... que tu me sodomises en premier. Je sais ce qu'on éprouve en enfilant quelqu'un... enfin une fille par l'anus, je ne pense pas qu'il y ait beaucoup de différences lorsqu'on rentre dans un mec. Mais quitte à tenter une expérience homo, autant essayer cette introduction. Ainsi je connaîtrai ce que Stéphanie peut ressentir. Après, je verrais si je suis prêt à te rendre la pareille.
- D'accord, je vais te sodomiser, mais il faut un peu de préparation. Tu as de la crème ? De la crème solaire pourra très bien faire l'affaire.

Je le fis mettre à quatre pattes, j'écartai ses fesses et fis couler dans la raie de son cul de la crème bronzante. De ma main gauche, j'étalais le liquide de manière à bien humecter sa rondelle, et de la droite, je repris son sexe pour le masturber doucement afin qu'il oublie que je m'occupais de son anus que je sentais très contracté. J'enfonçais délicatement un doigt, puis deux dans son cul. Sa rondelle se dilatait sous l'effet du désir et je sentis que son anus était prêt pour sa première pénétration.
Je présentai donc mon gland recouvert d'un préservatif et enduit de la crème à l'orée de son cul, puis doucement je fis coulisser mon membre en lui. Il poussa un cri de douleur. Mais je savais que je ne devais pas m'arrêter à cette première sensation. Une fois le gland entré, les chairs étaient prêtes à recevoir le restant de la tige. Effectivement, ma verge tendue coulissa plus aisément malgré l'étroitesse du conduit. Lorsque je fus au maximum, je fis une pause avant d'entamer un mouvement de va-et-vient en écartant ses fesses avec les mains. Au bout de quelques coups de piston, je sentis que mon partenaire était envahi par une grande jouissance : à présent ses râles n'étaient plus que du plaisir.
Je continuai à me mouvoir en lui avant de me retirer. Je le fis se retourner, je quittai ma capote et je me mis à genoux devant lui. Alors que je m'apprêtais à déverser mon sperme sur lui, Gérard, sans hésiter pris mon sexe en main et en bouche, puis il se mit à me lécher et sucer mes couilles. Je finis par juter et cette fois-ci, il avala ma semence.
Nous nous sommes rapprochés pour nous embrasser et échanger ma propre semence qu'il avait gardée à bouche.

- Vous êtes chier les mecs. Il y a deux PD chez moi, et l'un d'eux est mon copain. Je peux pas le croire !!!
La catastrophe : Stéphanie se tenait devant nous. Elle était habillée, étant sortie du centre, et nous deux, nos sexe encore en érection, totalement à poil. Je me dis qu'après le plaisir, la tempête allait s'abattre sur nous.
- Chérie, essaya vainement Gérard.
- Tu parles à Marc là ou à moi ? Je ne savais pas que j'étais avec un PD. Tu cachais bien ton jeu mon salop lorsque tu les traitais de fiottes, de tantouzes... Donc tu préfères la queue de ton ami que mes nichons et mon con.
-Mais non, je t'aime Steph. Je n'aime que toi, c'est la première fois avec un mec...
- Eh bien, pour une première fois, c'est déjà pas mal. Tu te fais enculer. C'est peut-être de ma faute ; c'est vrai que je suis plutôt réticente pour t'offrir mon cul. Mais de là à le donner à un autre, je ne comprends pas. Est-ce que tu as enculé Marc ?
- Nous n'en avons pas eu le temps, dis-je pour me mêler à la conversation.
- Ah ! Parce que c'était au programme ? Vous voulez mon avis. Vous êtes deux gros porcs pervers et c'est malheureux, car d'une part Gérard est un excellent amant et d'autre part, vu comment t'es gaulé Marc, c'est dommage de perdre un mec comme toi pour nous les filles.
-Attends Stéphanie, dis-je, nous ne sommes pas homos mais bisexuels. Enfin, pour ma part j'aime autant faire l'amour avec les filles qu'avec les mecs.

Elle resta interdite devant les paroles que je venais de prononcer. La situation était assez insolite : Gérard et moi étions assis sur le lit, à poil, alors que cette belle fille, habillée procédait à notre jugement. J'en profitai pour offrir une conciliation :
- Ecoute, Stéphanie, je te propose que nous allions sur la plage, que nous discutions de tout cela calmement. Ça ne sert à rien de monter sur tes grands chevaux ainsi. Je comprends que tu sois désemparée de voir ton mec avec un homme et qu'ils baisent ensemble. Mais ce n'est pas vraiment ce que tu crois.
Elle accepta ma proposition et retirant sa robe et ses sous-vêtement devant nous deux, sans aucune pudeur, presque par défit, elle prit ses affaires de plage.

Nous nous retrouvâmes au soleil en bordure de l'étang tout l'après-midi. Nous discutâmes plus calmement. Le fait d'être nus tous les trois avait fait retomber la tension qui s'était créée. Je crois avoir marqué plusieurs points lorsque je lui ai dis :
- Tu aurais préféré trouver Gérard faisant l'amour à une autre fille ? Là ça n'a rien à voir. Avec moi ce n'était qu'une expérience sexuelle que tu ne pourrais pas lui donner. Il ne faut pas que tu penses qu'il t'a trompée. Il a voulu faire l'amour avec un mec pour savoir ce que ça faisait, c'est tout. Je suis certain qu'il t'aime toujours autant.
En fin de journée, au moment de nous quitter, elle me dit :
- Ce soir tu viens manger avec nous.

En fait, Stéphanie avait une idée derrière la tête. Elle nous avait concocté un repas froid, avec un petit vin rosé qui détendit l'atmosphère. Puis elle déclara :
- J'accepte que vous baisiez ensemble les mecs. Mais je veux avoir la part du gâteau. Je veux baiser avec vous deux.
-Avec nous deux ? s'étrangla Gérard.
- Ensemble ? demandai-je espérant avoir mal saisi.
- Oui, avec vous deux, ensemble naturellement. Vous baisez bien ensemble, ça ne devrait pas vous gêner de baiser ensemble une nana.
Stéphanie se tenait à présent debout, nue, belle, avenante, aguicheuse, attirante, devant nous. Elle nous regardait dans les yeux, elle avait un regard où se lisaient le défi et la provocation. Toute son attitude indiquait une exhortation, une demande de luxure. Elle avait les jambes légèrement écartées, d'où nous étions, sa fente était bien apparente ; elle avait posé ses mains sur les hanches. Pour ma part, je voyais la chose très agréablement ; mais qu'en était-il de Gérard ? Etait-il près à partager sa copine ?
- Venez dans la chambre, nous dit-elle. Oh, mes deux hommes sont en forme il me semble. Je vais bien m'amuser.

En effet le sexe de Gérard et le mien commençaient à se redresser. Par un regard de mon amant je compris qu'il acceptait le deal. C'est ainsi que je me retrouvais dans les bras de sa copine en l'embrassant fougueusement. Mes mains ne pouvant rester inactives, je les posai sur ses deux beaux nichons que je malaxais doucement. Je sentis qu'elle prenait ma queue en main pour la branler.
Elle se plaça de telle manière à ce que nous puissions lui présenter nos sexes devant sa bouche. Elle entreprit une fellation allant de l'un à l'autre sans distinction ni préférence. Puis elle se positionna en levrette, invitant son copain à la pénétrer alors qu'elle continuait son travail de fellation sur ma hampe. La sensation était délicieuse.
Tandis qu'elle se faisait défoncer le con, elle s'évertuait à rester en contact avec ma tige.
- On échange, me dit après quelques instants Gérard, qui était maintenant très excité par la situation.
J'entrais donc dans le vagin ruisselant de notre partenaire totalement soumise et pourtant si maîtresse du jeu qu'elle nous faisait jouer. Gérard éjacula dans la bouche de Stéphanie, quant à moi je sortis avant de juter pour répandre mon foutre sur ses fesses et le bas de son dos.
- Chérie, dit Stéphanie en s'adressant à son copain, tu veux bien lécher le sperme que Marc a déversé sur mon cul.
Gérard fut surpris de la demande de sa femme, mais il s'exécuta, comprenant bien ce qu'elle pourrait lui dire, en cas de refus :
- Tu avales bien ma mouille, pourquoi ne boirais-tu pas la semence de ton copain ?

Depuis cette nuit mémorable, les vacances prirent une tout autre tournure. Je commençai par emménager dans leur mobile-home où, une fois les journées passées nus sur la plage ou dans le centre, nous nous adonnions à des activités beaucoup moins innocentes. Stéphanie avait à sa disposition « deux splendides étalons » comme elle disait, qui lui procuraient beaucoup de plaisir.
Elle disait souvent :
- C'est l'été, la liberté, profitons-en pour braver tous les interdits.
Elle nous offrait son corps librement sans vraiment savoir qui de son copain, qui de moi-même venait en elle.

Ainsi, c'est elle qui a demandé à ce que je la sodomise. Gérard avait dû lui souffler qu'il avait éprouvé beaucoup de plaisir dans cette pratique avec moi. Elle ne l'a pas regretté. J'ai tout d'abord préparé sa rosette avec beaucoup de douceur, usant du lubrifiant et jouant avec mes doigts pour préparer l'introduction. J'en mis un, puis deux, attendant patiemment que ses muscles se détendent et qu'elle soit prête à me revoir par cet orifice. Pour facilité les choses, Gérard la caressait habilement.
Lorsque je sentis qu'elle était à point, je présentai mon gland entre ses fesses ; puis j'entrai doucement dans le fourreau doux et étroit. Une fois ma queue bien enfoncée dans son cul, elle fut prise de convulsions qui lui firent atteindre un orgasme rapide et rarement égalé.

Elle voulut alors essayer une double pénétration qu'elle adora également. Dans de telles pratiques, elle était très démonstrative et bruyante. Parfois, au matin, lorsque nous croisions certains voisins, aux sourires qu'ils nous lançaient, je comprenais qu'ils n'ignoraient rien de ce qui se passait dans notre bungalow. Pourtant, personne ne nous fit de réflexions désobligeantes.
Nous n'étions pas trop de deux pour satisfaire pleinement Stéphanie qui devenait une femme avide de sexe.

Stéphanie prenait toujours garde à ne pas nous vider les bourses, car elle tenait à ce que les rapports entre hommes suivent leur cours avec éjaculation et jouissance. Elle voulait que je baise son copain, ne nous imposant aucune limite. Elle joua d'ailleurs le rôle de perverse et de voyeuse, puisqu'elle voulut assister à nos ébats. Gérard fut un peu gêné au départ, puis il finit par accéder à la demande de Stefanie. Finalement, il y prit un certain plaisir ; que sa copine le regarde baiser avec un mec l'excita. Il se découvrit un goût pour l'exhibition bien au-delà que d'être nu sur une plage ou dans un centre naturiste.
Lorsque nous jetions un regard sur Stéphanie, alors que nous nous donnions du plaisir, que ce soit par des fellations, des sodomies, des langues de rose ou des simples stimulations digitales de la prostate, nous pouvions la voir qui se masturbait, une main sur son sexe ou dans son sexe, l'autre sur ses seins qu'elle malaxait. Elle ne perdait pas une goutte du spectacle que nous lui offrions.

Le restant de la journée nous vivions au sein du centre naturiste le plus naturellement du monde. Personne, en dehors de nos proches voisins, ne pouvait se douter qu'en plus d'être l'ami du couple, j'étais également l'amant des deux et que je partageais leur sexualité. Je constatai d'ailleurs, que Stéphanie et Gérard s'épanouissaient à mon contact. Ils réalisaient des fantasmes dont ils n'avaient même pas conscience en arrivant dans ce lieu.
Jamais Gérard n'avait été attiré par un homme et pour lui, faire l'amour avec une personne de son sexe était inconcevable. Il aurait certainement repoussé la simple idée de sucer une verge avant de me rencontrer. Il n'était pas homophobe, il connaissait même des homosexuels, mais de là à partager leurs ébats, il y avait pour lui un gouffre.
Quant à Stéphanie, elle était sexuellement très classique dans ses goûts et ses pratiques. Lorsqu'elle faisait quelque chose qui sortait un peu de la norme (qu'elle s'était établie elle-même) c'était dans le seul but de répondre favorablement à l'homme dont elle partageait la vie. Avant cette aventure, jamais elle n'aurait pensé faire l'amour avec deux hommes simultanément. Quant à la sodomie qu'elle redoutait, je fis tout pour qu'elle apprécie cette introduction. Par la suite, il n'était pas nécessaire de la solliciter ni de lui demander directement d'offrir l'accès de son cul à la verge de son copain où à le mienne.

Après, les choses évoluèrent naturellement, les barrières s'abaissèrent une à une, ses interdits s'amenuisèrent, jusqu'à disparaître dès lors qu'elle comprit qu'elle pouvait trouver un intense plaisir dans tous les jeux sexuels que nous lui proposions.
Le fait d'être un trio et d'être bisexuels permettait un nombre de situation assez intéressantes : Gérard faisant l'amour à Stéphanie sous mes yeux, moi prenant Stéphanie devant le regard concupiscent de son copain, Stéphanie aux prises avec ses deux mâles et enfin, Gérard et moi dans les plaisirs homosexuels. Rien n'était écrit, tout se déroulait selon l'envie du moment, selon les préférences des uns ou des autres.

Je prenais un plaisir non dissimulé à leur permettre d'atteindre un degré de sensualité qu'ils ne connaissaient pas, leur faire oublier la vie d'un couple comme tant d'autres qui serait amené à s'ennuyer sous peu. Durant ce séjour ils vivaient pleinement et si je n'en étais pas la seule cause, j'en étais l'acteur.

Pour moi l'occasion était inespérée. Je trouvais en ce couple la possibilité de vivre ma bisexualité en totale liberté, sans dissimuler à mes partenaires mes penchants. J'avais à ma disposition un homme que j'avais initié et qui se montrait un excellent élève et une fille qui de jour en jour se montrait particulièrement hédoniste.
J'avais véritablement envie de continuer à vivre cette félicité avec ces deux êtres.

A suivre
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