Chapitre 2 : Dans lequel je découvre les charmes de la province...et des provincia

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Proposée le 21/10/2013 par IsaCoquine

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Mike était parti depuis 3 mois. J'avais décidé de fuir la capitale pendant le mois de juillet, pour m'éloigner des souvenirs de ce mois fantastique, inoubliable que j'avais passé avec lui. Mois durant lequel, par amitié, il avait révélé la femme qui dormait en moi. La femme, disais-je, je devrais dire la femelle. J'avais l'impression d'avoir vécu la trentaine d'années précédentes comme un zombie. Avec toute la douceur qui était la sienne, il avait fait de moi, oie blanche trentenaire, petite bourgeoise coincée et triste que j'étais avant de le rencontrer ; il avait fait de moi, ce que je n'hésite pas une seconde à appeler une parfaite salope.
Il m'avait appris à être libre des apparences, des convenances, à oser assumer mes désirs. Il m'avait fait découvrir l'extase des sens. Il m'avait enseigné comment me satisfaire moi-même et surtout il m'avait donné un conseil que j'avais suivi ; prendre des amants. Je l'avais fait, consciencieusement, avec application. En 3 mois, une demi-douzaine d'hommes différents a eu le privilège de se glisser entre mes cuisses que je leur ouvrais largement. Je leur ai offert mon sexe, ma bouche et mon cul. En en retirant un plaisir inégal, être un mâle ne veut pas dire être nécessairement un amant exceptionnel.
Mais même si je ne retirai pas systématiquement de ces aventures tout le plaisir que j'attendais, je savourais cette liberté qui était la mienne, maintenant, grâce à Mike.
Donc je choisis de m'éloigner quelques semaines de Paris. Les rues du quartier latin, le jardin du Luxembourg où mes pas me ramenaient souvent me rendaient un peu mélancolique. Pour passer le mois de Juillet, je choisi un endroit où je risquais peu de rencontrer des connaissances. Je louais un gite près de Béziers. Des agriculteurs, un couple d'une trentaine d'années, avaient aménagé une vieille grange et la louais aux vacanciers.
Un peu de plage, des livres et des balades à vélo constituaient mon emploi du temps habituel. De temps en temps, je variais par des visites de musées ou de charmants petits villages.
Chaque jour ou presque, je faisais une balade en vélo le long du canal du midi. J'y allais surtout en fin d'après-midi quand le soleil se faisait moins ardent, quand la chaleur était moins torride.
Je pédalai à l'ombre des platanes quand un - pschitt » brutal me tira de ma rêverie. Je fis une embardée et arrêtai mon vélo tant bien que mal en évitant de peu la chute. Mon pneu avant était à plat, je ne fus pas longue à découvrir une grosse épine plantée dedans. Un examen rapide du vélo que m'avaient prêté mes logeurs me confirma qu'il n'y avait rien pour réparer, j'aurais de toute façon été totalement incapable de le faire.
Faisant contre mauvaise fortune, bon cœur, je pris mon courage à deux mains et je commençais à rentrer en poussant ma bicyclette. Je n'imaginais pas que c'était aussi pénible et plusieurs fois j'envisageai de jeter cette fichue mécanique au fond du canal. J'étais en nage, la sueur coulait entre mes seins et dans mon dos, trempant mon débardeur en coton.
Je m'arrêtai au bord d'un champ, à l'ombre d'un gros platane. Un agriculteur ramassait de la paille avec une machine tirée par un énorme tracteur vert. Tout en soufflant un peu, je regardais les gros cylindres de paille se former dans le ventre de la machine, et en sortir une fois formés.
Le tracteur stoppa près de moi, un homme en descendit et se dirigea dans ma direction, laissant son engin hoqueter au ralenti.
- Bonjour, il fait chaud, n'est-ce pas. Alors, on se repose ?
- Bonjour, oui, je souffle un peu. J'ai un pneu percé et je dois rentrer à pied en poussant mon vélo.
- Ahh, c'est pas de chance et vous allez loin comme ça ?
- A Poilhes, vous connaissez ?
- Bien sûr. Eh bé, ça vous fait un bout de chemin, ça.
- Oui, d'ailleurs, je vais repartir.
L'homme réfléchit quelques secondes puis ajouta :
- Écoutez, si vous voulez attendre, Je peux vous emmener. J'aurais vite fini ce champ.
- C'est vraiment très gentil. Je crois que je vais accepter car j'en ai marre de pousser ce fichu vélo.
- Très bien, alors attendez-moi ici à l'ombre. J'en ai pour une demi-heure.

Une fois toute la paille mise en rondins, l'homme arrêta son tracteur devant moi. Il en descendit et se saisit de mon vélo qu'il cala sur la machine à ramasser la paille.
Je grimpais sur le tracteur et je m'installais sur un siège au-dessus d'une roue, à deux mètres du sol. L'homme s'installa derrière le volant juste à côté de moi. Il s'exclama :
- J'ai oublié de me présenter. Moi, c'est Olivier, et vous ?
- Enchantée, moi je m'appelle Isabelle, en glissant ma menotte dans l'énorme main qu'il me tendait.

Car Olivier était assez impressionnant. Il faisait une bonne tête de plus que moi, un torse puissant, musclé, des bras gros comme mes cuisses. Une tête ronde, une barbe de trois jours, des cheveux noirs un peu longs. Il portait pour tout vêtement un short kaki qui semblait trop petit pour ses cuisses. Il était couvert de poussière et de brins de paille, qui s'accrochaient dans ses cheveux et dans les boucles de la toison noire qui recouvrait l'ensemble de son corps.
Pendant le trajet, je remarquais qu'Olivier lorgnait sur mes jambes bronzées et sur mes seins qui ballottaient sous mon débardeur au gré des chaos du chemin de terre.

Il émanait d'Olivier une force brute, une puissance animale et je ne saurais dire si, à cause de cela, ou des vibrations de sa machine, des pensées coquines vinrent dans mon esprit. Pendant les moments où nous étions silencieux, je me prenais à évaluer la taille de son membre et je m'excitais à l'imaginer en proportion du reste de son corps.
Olivier entra dans une cour de ferme et alla garer son attelage devant un hangar. Il descendit du tracteur et me tendit les bras pour m'aider à descendre. Je posais mes mains sur ses épaules et il me saisit la taille, me souleva sans efforts apparents et me posa devant lui.
Je sentis l'odeur de sa transpiration, forte mais agréable, une odeur de male. Et cela me chavira. Au lieu de m'écarter, je me collai à lui. Au lieu de retirer mes mains de ses épaules, je les nouai sur sa nuque et j'attirai sa bouche sur la mienne. Il m'embrassa, j'étais comme folle. En revivant cette scène, cher lecteur, je ne me souviens pas avoir pensé une seconde qu'Olivier pouvait être marié, que sa femme ou quelqu'un d'autre pouvait être tout prêt et nous surprendre. Non, sa musculature, sa rusticité, son odeur me rendait folle, chienne. Je n'avais qu'une envie, me faire baiser par ce beau male.

Tout en l'embrassant, j'ouvris son short d'une main fébrile. Je le tirai sur ses cuisses. Je glissai ma main dans le slip blanc et y trouvait ce que je cherchais. Je m'accroupis devant lui et je fis glisser le slip sur ses cuisses velues. Ma première pensée fut de constater avec délice que mon imagination avait été bien faible, bien timorée. Le chibre que j'avais devant les yeux dépassait tout ce que j'avais pu imaginer. J'aurais pu m'exclamer, parodiant Cyrano de Bergerac, "Une bite, c'est un peu court, c'est un pieu, c'est un mat, c'est un tronc." à la vue de ce que j'avais devant mes yeux. Je n'avais jamais vu de queue de cette taille, à coup sûr pas loin de 20 centimètres, droite comme un I, épaisse, si épaisse que mes doigts en faisant le tour avec peine. Avant de poser mes lèvres sur la pointe du gland que je venais de décalotter, j'eus une seconde d'hésitation, regrettant presque ma folie, me disant que si je continuais, je devrais accueillir ce pieu dans mon ventre, qu'Olivier finirait bien par me sauter.

Pourtant, bravache, je continuais ce que j'avais commencé et je commençai à sucer cette queue qui m'avait fait fantasmer. Olivier manifestait le plaisir qu'il avait de se faire sucer par des petits grognements, il maintenait ma tête d'une main et envoyait de temps en temps des petits coups de reins. Tout en enroulant ma langue autour de son gland, je branlais son chibre massif d'une main et de l'autre je malaxais ses testicules faisant rouler dans ma paume, les grosses olives qu'elles contenaient.
Après s'être fait sucer pendant quelques minutes, Olivier me saisit les coudes, me remettant debout. Il fit passer mon débardeur par-dessus ma tête et il m'appuya sur le pneu avant du tracteur. Les gros bourrelets du pneu martyrisèrent un peu ma poitrine mais mes seins trouvèrent bientôt leur place. Il descendit d'un seul geste mon short et ma culotte.
Quand il me prit par les hanches, je pris une grande inspiration car je sentais son pieu à l'orée de ma chatte heureusement abondamment lubrifiée. Il s'enfonça dans mon con assez doucement, bousculant mes chairs, prenant possession de mon ventre. Puis il commença à aller et venir en moi, sans se presser, avec la régularité d'un métronome. La sensation était extrême, pas du tout douloureuse, à ma grande surprise et à mon grand soulagement.Les vas-et-viens de son chibre commençaient à faire de l'effet. La chaleur du moteur, l'odeur de l'huile chaude et du gasoil, la rusticité même du lieu et la force virile de mon amant me chavirait. Je glissai ma main sous mon ventre pour me masturber. Mes doigts s'agitèrent sur mon clitoris, mes tétons dardés frottaient sur la surface rugueuse du pneu. Je criai mon plaisir.
Olivier continua de me défoncer avec régularité, ne semblant pas faire de cas de mes râles de plaisir.
Puis il me saisit les cheveux et tira ma tête en arrière, me forçant à me cambrer car son autre main me tenait fermement la hanche. Il poussa un "Putain de garce" et se vida au fond de mon con en de longs traits de semence.

Galant, il releva ma culotte et mon short en se retirant de mon ventre. Il me tendit mon débardeur couvert de poussière.

Pour toute conclusion à ce coït bestial, il me dit qu'il allait me ramener, moi et mon vélo, en utilisant sa camionnette.

Olivier resta silencieux pendant le début du trajet et moi aussi, ne sachant trop quelle attitude adopter. Il engagea sa camionnette dans un chemin de terre, parcouru une centaine de mètres avant de couper le moteur. Il en descendit sans dire un mot, fit le tour et ouvrit ma porte. Il me prit par le bras et me fit descendre. Toujours sans un mot, il enleva mon débardeur, me posa mon short et ma culotte souillée de son sperme et de ma mouille mélangés. Totalement nue, il m'entraîna dans une entrée d'un champ de trèfle et me fit allonger sur le sol, dans l'herbe fraîche. Puis après avoir quitté le peu de vêtements qu'il portait, il s'allongea à côté de moi.
Et là, Olivier me baisa à nouveau, mais contrairement aux minutes précédentes, il le fit avec beaucoup de douceur, de délicatesse. Il caressa doucement mes seins, il me téta en aspirant mes tétons. Il me caressait le ventre, les jambes, la chatte. Il finit par me sucer, indifférent à l'état de ma chatte dégoulinante. Je me sentais prête à jouir de nouveau, le contraste avec notre coït précédent était surprenant. Autant près du tracteur, notre accouplement avait été brutal et plein de sauvagerie autant celui-ci était tendre et attentionné. J'attirais Olivier vers moi, mangeai sa bouche, l'embrassai puis je le fis rouler sur le dos dans l'herbe fraîche. Je le chevauchai et m'empalai sur sa queue qui avait retrouvée toute sa vigueur. L'avait-elle perdue d'ailleurs ?
Je montais et descendais, coulissant sans effort sur l'énorme chibre qui me remplissait. La résistance d'Olivier était devenue plus importante et je m'appliquais à contracter mes muscles pour lui offrir le maximum de sensations. Nous avons baisé comme cela assez longtemps, suffisamment pour que je jouisse encore une fois, sans autre excitation que celle de son pieu dans mon ventre. Je le fis jouir aussi et il m'envoya encore une belle quantité de semence.

Après un baiser de conclusion, nous sommes retournés à la voiture. Pendant la suite du trajet, Olivier m'expliqua qu'il avait pris conscience de la brutalité de notre première étreinte et il avait souhaité que nous en ayons une deuxième, un peu plus tendre que la première. Pour me laisser sur une bonne impression, me dit-il. L'expression me fit beaucoup rire et je le rassurais en lui disant que, toute violente qu'avait été la première fois, elle m'avait comblée et j'ajoutais, coquine, la seconde aussi.

Il me déposa devant ma porte et sortit mon vélo de la camionnette. Il posa un petit bisou sur mes lèvres et s'en alla en faisant de grands signes de la main par la vitre de sa voiture.

Quelques jours plus tard, alors que je rentrais du supermarché, j'eu la surprise de revoir Olivier. Il était en grande discussion avec mes logeurs dans la cour de leur ferme. Je leur fis un signe amical de la main en ouvrant mon coffre et rentrais dans mon gite pour remplir le frigo. Je finissais de vider les sacs quand Aurélie frappa à ma porte.
- Bonjour, Isabelle.
- Bonjour Aurélie, comment aller vous ?
- Bien, merci. Que diriez-vous de dîner avec nous, ce soir ?
- C'est gentil mais je ne voudrais pas vous déranger.
- Vous ne nous dérangez pas, ce sera un plaisir, Olivier sera de la fête aussi, vous le connaissez à ce qu'il nous a dit !
- Ouiii, c'est lui qui m'a dépannée l'autre jour, quand j'avais un pneu percé avec mon vélo, lui répondis-je, un peu troublée car je m'imaginais qu'Olivier leur avait raconté les détails de notre rencontre.
- C'est ce qu'il nous a dit. Alors c'est d'accord ? Ajouta Aurélie avec sourire entendu.

Je m'entendis répondre que c'était d'accord et Aurélie s'éclipsa rapidement.
Pendant qu'elle traversait la cour, je restais quelques secondes à la regarder.
Aurélie était une petite femme brune, les cheveux courts, elle était ronde, potelée et sa petite taille accentuait encore ses rondeurs, sa croupe généreuse, ses hanches larges et sa forte poitrine. Toujours chaussée de ballerines plates, elle portait soit des bermudas, soit des jupes courtes qui dévoilaient ses jambes.

En début de soirée, je traversai la cour pour me rendre chez mes logeurs. J'avais conservé la petite robe bleue que j'avais l'après-midi, j'avais juste pris la précaution de mettre des dessous, chose que je n'avais pas faite l'après-midi pour aller faire les courses.
Je découvrais leur intérieur pour la première fois, meublé en rustique. Olivier était déjà là, assis sur le banc face à la table de la salle à manger, en train de discuter autour d'un pastis avec Laurent, le compagnon d'Aurélie.
Je redoutais ce moment car je craignais qu'Olivier ne fasse des allusions à notre rencontre, qu'il se montre familier avec moi. Mais mes craintes se dissipèrent quand il se leva et me tendit son énorme main pour me saluer. Laurent fit de même.

Le dîner se passa joyeusement, Aurélie avait préparé une salade composée, suivie d'un poulet rôti et de pommes de terre sautées. Elle s'affairait en bonne maîtresse de maison, se levait fréquemment de table pour aller vers la cuisine, refusant mon offre d'assistance.

Aurélie était assise à côté d'Olivier sur le même banc et moi je partageais l'autre banc avec Laurent. L'ambiance était joyeuse, le vin rosé déliait la conversation. Mes hôtes m'interrogeaient sur la vie parisienne, décidaient finalement que le midi était quand même plus agréable quand je leur parlais de la vie trépidante et stressante de la capitale.

Je remarquai qu'Aurélie avait une attitude un peu particulière. Elle poussait parfois sans raison des petits rires, comme des cris de souris. Elle semblait se chamailler avec son voisin de table. Au moment où elle se leva pour aller chercher le fromage, Olivier lui dit quelque chose que je ne compris pas et elle répliqua suffisamment fort pour que je l'entende :
- Non, pas maintenant, nous avons une invitée, qu'est-ce qu'elle va penser...
Après le fromage, Aurélie revint avec une tarte aux abricots et alors qu'elle se penchait en avant pour la poser au centre de la table, Laurent lui emprisonna les mains, la forçant à rester courbée. Olivier se leva et passa derrière elle, sourds l'un et l'autre aux protestations de la jeune femme. Protestations assez faibles d'ailleurs et qui se changèrent en gloussements quand Olivier releva sa jupe et tira sa culotte. Il ouvrit sa braguette, en sorti son chibre majestueux et enfila Aurélie.

Autant te dire, cher lecteur, que j'étais dans un état d'hébétude total. Je n'imaginais pas une seconde que les choses allaient se dérouler de cette façon. Non, j'avais imaginé qu'Olivier me rejoigne dans mon logis, une fois la soirée terminée. Mais, en aucune façon, je n'avais pensé, que mes logeurs et Olivier allait se livrer à une séance d'échangisme en ma présence. J'étais d'ailleurs bien loin de penser, que ce genre de pratique avait cours en dehors des grandes villes et en dehors des milieux aisés et bourgeois adeptes du faux-semblant et de l'hypocrisie.

Mais Olivier défonçait réellement Aurélie, à grands coups de reins puissants comme il m'avait défoncée quelques jours plutôt. La principale différence était que ma logeuse était accoudée sur la grosse table en chêne alors que moi j'avais eu un pneu avant de tracteur pour support.
Je n'ai pas besoin de te dire, cher lecteur, que la situation m'excitait pour le moins, d'autant plus que Laurent, ayant lâché les poignets de son épouse, profitait de la liberté de ses mains pour me peloter les cuisses. Mon inertie, l'absence de protestations de ma part, valu sans doute pour Laurent comme une acceptation. Il se leva en enjambant le banc et m'entraîna par la main.
Il me fit subir le même sort qu'Olivier faisait subir à sa compagne, à savoir qu'il me fit appuyer les coudes sur la table, releva ma robe sur mon dos, descendit ma culotte et il m'enfila sans aucune autre forme de procès.

La situation était surréaliste. Je me faisais prendre en levrette par un homme, alors que sa femme endurait le même traitement de la part de son ami. Et cette femme et moi, étions face à face, les yeux dans les yeux, mêlant nos halètements, nos gémissements de plaisir. Je ne sais pas vraiment pourquoi, solidarité ou élan de complicité féminine mais nos mains se rejoignirent, s'agrippèrent et quand Aurélie cria son plaisir, elle enfonça ses ongles dans mes paumes. Je lui rendis la pareille quelques secondes plus tard, quand Laurent se vida en moi en me défonçant brutalement ce qui eut pour effet de déclencher un orgasme ravageur.

Nous avons ensuite terminé la nuit en couple chacun de notre côté, Aurélie et Laurent dans leur maison, Olivier et moi dans le gîte.