Cousines mais coquines II

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 4/03/2013 par vince44

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Ma seconde cousine Pauline avait un mois de moins que moi (soit 16 ans et des brouettes) et paraissait beaucoup trop "jeune" pour m'intéresser.
Je ne sais si sa sœur avait osé lui raconter quelques bribes de nos siestes, mais elle me regardait bizarrement depuis.
Après huit jours de vacances, nous avions trouvé une occupation saine : la pêche à la grenouille. En effet, l'étang du grand-père était à deux kilomètres de leur maison et nous y allions en vélo, tous les quatre : Caroline, Pauline, Mathilde et moi.
Mathilde, "jumelle" de Pauline était un vrai garçon manqué et passait son temps à préparer les gaules, les petits bouts de tissus rouges, les sacs en toile, afin que la pêche soit prolixe. J'avoue que je n'y connaissais pas grand chose en grenouille et qu'en ce moment je me voyais plus chasseur que pêcheur...
"Alors ? lança Mathilde, on attaque ?".

Caroline souhaitait faire plaisir à tout le monde et prit un bambou afin d'ouvrir la séance "batraciens". Elle en attrapa deux coup sur coup et les plaça dans un sac en toile. En parlant de toile, son corsage à fleur ne cachait que très peu sa poitrine généreuse et mon regard avait du mal à se fixer sur l'étang.

Elle avait perçu mon manège et se tournait régulièrement afin de montrer un maximum de ses charmes. La "Pauline" aussi avait vu qu'il se tramait quelque chose et ses performances en capture se faisaient rares. Elle n'avait pas trouvé mieux que de tendre au maximum son tee-shirt déjà un peu juste et l'absence de sous-vêtement laissait apparaître ses tétons juvéniles.
Sa poitrine était déjà bien formée, mais pas trop quand-même. Je ne savais pas comment me tourner afin que mon "émotion" naissante ne scandalise Mathilde, ou ne donne des idées aux deux autres.
Malgré ma prudence et mon ardeur à la tache (j'avais déjà au moins cinq grenouilles à mon compteur), je constatai que Pauline passait plus de temps à mater mon entre-jambes que les roseaux. Les grenouilles pouvaient se réjouir de son inefficacité...
Nous décidâmes de faire deux équipes et de prendre des directions opposées pour se rejoindre de l'autre coté de l'étang : ainsi, les prises seraient plus nombreuses et on se marcherait moins les uns sur les autres. Caroline choisit d'accompagner Mathilde, la plus motivée, et Pauline accepta ma compagnie avec plaisir.
Nous n'avions pas fait cent mètres que la jeune effrontée jeta sa gaule; feignant une égratignure au mollet : "Si, si, je te jures. Regarde, je me suis fait "hyper" mal !". Je me baissai donc pour jouer les infirmiers amateurs.

Je ne vous ai pas encore décris Pauline, mais sachez qu'elle avait déjà de longues jambes (elle frôle actuellement le mètre soixante-dix !) et des hanches un peu élargies. En cherchant l'hypothétique "bobo" sur son mollet, j'avais la tête pile au niveau de sa jupe. Je devrais dire "jupette" car celle-ci me semblait tout à coup bien courte. Je ne sais si c'est moi qui ai frôlé volontairement l'étoffe, ou si l'intrépide me l'a collée sur le visage, toujours est-il que j'ai senti la fermeté de son pubis sur ma joue offerte. J'ai du bouger un peu pour mieux voir la "blessure" et là, les choses se sont compliquées. En effet, je ne trouvais aucune marque sur le mollet, mais le mouvement qu'amorçait la cousine me rappelait les envies pressantes, voire d'autres envies plus inavouables. Je relevai les yeux vers son petit minois et vis qu'elle se mordait la lèvre inférieure en exprimant nettement son envie d'en "découdre".
"Mais tu n'a rien à la jambe, Pauline !", me décidai-je à lâcher.
"Si, regarde un peu plus haut.", rétorqua la joueuse.
Je décidai alors qu'il était temps de jouer mon "va tout" et remontai la jambe avec ma main droite. J'étais prudent cependant et vérifiais lentement la progression : je m'arrêtai à cinq centimètre de sa culotte et entrepris de redescendre lentement. Sa main s'abattit brusquement sur la mienne et l'obligea à s'arrêter, puis à faire carrément demi-tour.

"Regarde ce que tu as fait : je suis toute rouge maintenant !", me dit-elle en regardant sa jambe "blessée", examinant soigneusement l'intérieur de celle-ci. Ma main semblait toujours attirée par son petit trésor, et je tenais à observer les conséquences de ma "maladresse".
"En effet, tu es un peu rouge, mais laisse moi voir un peu plus haut...
"Je crois que tu as raison.", me dit-elle, écartant brusquement l'élastique de sa culotte blanche.
J'étais sidéré, stupéfait et presque bloqué. En effet, le coton immaculé maintenant replié me dévoilait une fente plus qu'attirante. Son sexe était plus enivrant que celui de sa sœur aînée. Ses grandes lèvres bien développées ornaient une vulve parfaitement épilée: "Tu vois, je me suis préparée pour la sortie ! Je savais que tu craquerais au bon moment". Ma bouche rejoignit ma main tremblante et je ne pus répondre à la vilaine. Son jus s'écoulait déjà et ma langue s'accélérait au fur et à mesure que les senteurs me grisaient. Je découvrais des odeurs un peu différentes de chez Caroline et je voulais cette fois bien profiter du moment, tout aspirer, me délecter jusqu'à plus soif. Ma cousine gloussait à présent, émettant des petits cris de satisfaction. Je ne sais combien de temps dura cette dégustation, mais elle y mit fin brusquement en m'ordonnant de me relever rapidement.
Je croyais-qu'elle avait vu quelqu'un autour de l'étang, mais non, elle n'avait d'yeux que pour la bosse qui ornait mon short en jean, pourtant assez serré. Elle se jeta sur les boutons et réussi à extirper la bête.
"Tu sais, c'est la première fois que j'en vois une en vrai. Je ne savais pas que c'était si gros...".
Je la rassurais en lui disant qu'elle était tout à fait normale, ne souhaitant pas l'effaroucher. Comme sa sœur, elle entreprit des mouvements lents sur la colonne de chair, sans s'affoler, comme si elle voulait marquer sa mémoire de cette image.
"Tu veux que je te lèches ???", osa-t-elle.
Je ne répondis pas, ma main plaquait déjà sa tête contre mon ventre, sans la brusquer. Elle comprit vite mon intention et sortit sa langue pour laper les petites gouttes qui perlaient déjà du méat.
"C'est vraiment bizarre, continua-t-elle, c'est du sperme ?"
"Non, ne t'inquiète pas, c'est juste le début du plaisir : nous allons continuer la leçon en accélérant. Je te rappelle que tes sœurs nous attendent de l'autre coté."
"Tu as raison, montre-moi tout..."
Je pris tendrement sa tête à deux mains et entrepris d'accentuer la pression. Elle écarta ses lèvres et mon membre pénétra sa bouche si sensuelle.
"Tu me fais tourner la tête depuis deux jours.", avouais-je en continuant mes mouvements langoureux."
"Je crois que nous allons bien nous entendre...".

Elle parut acquiescer car c'est elle qui accéléra encore un peu. Je lui fis signe que j'allais jouir en marquant un mouvement de recul. Elle l'ignora et sa main gauche s'empara de mes bourses tendues pour les masser fermement. Je ne tardai pas à exploser dans sa bouche, en de long jets puissants. Elle hésita un peu puis avala tout ce qu'elle pouvait, en plusieurs fois. Elle s'expliqua au bout d'un moment :
"Je pense que j'aurais eu l'air maline si tu avais explosé sur mon tee-shirt rose, tu sais !"
Elle avait bien raison, mais j'en était tout ému :
"Tu sais, c'est la première fois que je jouis réellement dans une bouche. C'était... vraiment génial, vraiment génial...".

Nous nous remettions de nos émotions en tentant de défroisser nos tee-shirt quand nous entendîmes Mathilde s'écrier :
"Ben ça alors, Nous avons fait presque les trois-quarts du chemin. Vous avez pris combien de grenouilles ?".

Nous lui avons fait croire que j'avais perdu le petit tissu rouge et que Pauline avait mis dix minutes à réparer l'engin. Je crois que Caroline n'était pas dupe, vu le regard qu'elle adressait à sa jeune complice de sœur... Mais bon, je n'avais pas l'intention de jouer très longtemps les hypocrites...


à suivre ???