Des doigts sur une tasse de café quoi de plus fantasmatique? Episode 2/2

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Proposée le 24/02/2013 par XrêveuseX

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Effectivement, la chaleur m'a envahie. Je m'excuse pour cet égarement auprès de mon amie et bois mon Monaco d'une traite. Elle me regarde d'un air ébahi, mais ne fait pas de remarque. Nous continuons à discuter, et elle repart dans ses descriptions de disputes interminables...

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Troisième regard :

Le serveur arrive, lui sert un café. Cet homme, sorti tout droit des magazines, mais avec un charme que les mannequins ne dégagent pas, attrape lentement sa tasse de café, par l'anse, avec son pouce et son index. Ces doigts... mais quels doigts ! De sa main délicate s'allongent 5 doigts, les phalanges bien marquées par le fruit d'un travail manuel, une longueur parfaitement harmonieuse avec le reste de son corps. Des doigts d'une virilité incontestable. Mais leur contact avec l'anse fait ressortir une douceur incontestable, et une fragilité à peine perceptible.

Troisième pensée :

Ses doigts... qui pourraient lentement glisser dans mes cheveux, de la pointe à la racine. Ces doigts qui caressent ma nuque et touchent mon visage. Ça m'éveille.

Ils se faufilent le long de mes bras, de l'ongle à l'épaule. Je frisonne.

Ils entourent ma poitrine, et viennent titiller ses deux extrémités. Elles pointent vers le ciel.

Ils serpentent le long de mon ventre. Ça me stimule.

Ils commencent à se heurter tendrement à mes lèvres inférieures. Je m'embrase.

Ils se frottent langoureusement à ma vulve. Ça m'enivre. J'ai chaud et froid à la fois.

Ces doigts sont tellement parfaits. Comme s'ils savaient exactement ce que je désire. Ils continuent à glisser, sur cette peau maintenant mouillée et brûlante. A se balader du clitoris au bas de ma vulve, en accélérant. Je brûle.

Mon corps tremble. Son index, à lui seul, obtient de moi des réactions incontrôlables : mon corps se contracte, mon plaisir est trop intense.

Subitement, son index et son annuaire s'immiscent dans mon vagin. Son pouce touche mon clitoris par des gestes circulaires et continus pendant que ses deux autres doigts opèrent des allers-retours lents et profonds. Mes sens sont en détresse, je n'entends plus - je ne m'entends pas gémir - je ne sens plus - je ne sens pas son doux parfum - je ne vois plus - je ne vois pas son regard malicieux - je n'ai plus de goût - le goût de mon Monaco disparaît -. Seul le toucher est présent. Je ressens cette chaleur brûlante comme de la lave qui s'empare de moi. Ses deux extrémités qui entrent et s'agitent en moi. Il faut que j'arrête de penser à ça, j'ai chaud !

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« ... tu ne crois pas ? »
« Je suis vraiment désolée Julie, je n'ai pas écouté la fin. Je reviens je ne me sens pas très bien ».

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Je croise son regard et lui sourit, sans prendre le temps de regarder s'il répond à son tour. Je me dirige vers les toilettes. Une fois terminée dans la cabine, je me dirige vers le robinet surmonté d'un miroir. Je me lave les mains puis mets de l'eau sur mon visage. Je sors mon maquillage afin de me faire une retouche. Ma tête dans le miroir est en friche, comme après avoir couru le 500 mètres. Mais c'est un visage presque victorieux : souriant et satisfait, mais pas tout à fait rassasié : je suis sur le podium mais pas à la première place.

Après une retouche de khôl, mon bâton de rouge à lèvre tombe par terre et s'arrête sous le lavabo. Je me baisse pour le récupérer. Je sens soudain deux mains se poser sur mes hanches. Je me relève lentement, et me retourne. C'était LUI ! Il colle sa joue à la mienne en me serrant contre lui, et susurre à mon oreille tout en me caressant les fesses : « Ton sourire coquin de tout à l'heure m'a amené là, je n'ai pas pu y résister. »

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Je le plaque contre le mur. Mon excitation qui avait à peine commencé à redescendre est revenue à son paroxysme. Je l'embrasse langoureusement en touchant son sexe à travers son jean délavé. Il est dur comme de la pierre, et je dois dire que le mystérieux jeune homme est fort bien bâti. Je n'en peux plus, il faut que je rencontre la bête ! Je déboutonne les 4 boutons de son pantalon de la main droite, pendant que les ongles de mon autre main ratissent sensuellement son dos sous son sweatshirt. Je mords son cou, attrape son lobe, aspire ses lèvres. Je baisse son pantalon et son boxer jusqu'aux mollets. Je me mets à genoux. Je m'approche de sa cuisse, que j'embrasse, aspire, et mordille tout en titillant ses testicules du bout de mes ongles. Ma langue remplace alors mes ongles, qui eux se dirigent vers les fesses de mon étalon. Ma langue longe son pénis jusqu'à arriver au gland, que je chatouille du bout de ma langue, pour enfin le fourrer au fond de ma bouche. Pendant ce temps, mon index ne cesse de jouer avec l'entrée de son anus. Face à l'absence de réaction de sa part, je me permets d'introduire lentement ma première phalange. Puis la deuxième. Puis de lents vas-et-viens font leur entrée, alors que ma bouche et ma langue savourent son membre si ferme et imposant.

Il me relève, me retourne et me dirige vers une cabine. Il verrouille la porte, ferme la cuvette. Il sert mon dos contre lui et embrasse ma nuque et mon cou tout en caressant le bas de mon ventre. Il s'empare de mes mains qu'il pose près du déclencheur de chasse d'eau. Il pose les siennes sur mes genoux, et remonte lentement pour soulever ma jupe. Il entre sa main dans mon shorty, et introduit son index et son annuaire dans mon vagin, presque trempé de tant d'excitation. Ma main droite lâche les WC et accroche sa cuisse violemment. Il baisse d'un coup sec mon shorty, et son sexe s'introduit en moi et glisse jusqu'au fond. Il passe ses mains sous mon t-shirt et caresse mon dos, alors que son gland continue de s'entrechoquer avec les parois de mon sexe. Ses mains soulèvent mon soutien gorge en dentelle pour toucher mes seins et taquiner le bout de mes tétons. Soudain, ce que j'ai imaginé quelques minutes auparavant survient. Mes sens ne répondent plus sauf le toucher. Tous mes organes se mettent à trembler. Une de ses mains se pose sur ma bouche pour atténuer mes cris. Mon ventre brûle mes yeux sont flous, je ne sens plus mes jambes. Ça y est ça arrive, un tourbillon de sensations, à la fois effrayantes mais aussi tellement exaltantes, ses sensations qui entraient la peur et le plaisir. Il jouit de sa voix voilée et grave en synchronisation parfaite avec mon orgasme. Il fait ressortir le monstre. Je remonte mon shorty et me retourne. Nos regards ne se lâchent plus, un regard noir, malicieux et plein de mystère, et cette fois, en plus de cela, un regard pétillant et satisfait. Il passe sa main dans mes cheveux blonds, caresse ma joue avec son pouce et m'embrasse tendrement. Il sort de la cabine, se lave les mains et sors des toilettes après m'avoir adressé un merveilleux sourire.

Je me rafraîchis et me repoudre à nouveau. Cette fois dans le miroir, mon visage est rayonnant et victorieux. Cette fois je suis tout en haut du podium !

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Je retrouve mon amie. Elle est au téléphone (heureusement, elle n'aura pas eu le temps de s'ennuyer pendant mon absence). Cette fois je suis complètement à l'écoute et lui donne de bons conseils devant un deuxième verre que je bois aussi rapidement que le premier. Mon étalon me souris et me fait un clin d'œil lorsqu'il quitte le bar.

« Et toi qu'est ce que tu as fait aux toilettes pour aller mieux à ce point et être si resplendissante ? C'est quoi ta crème ? »

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Le soir en vidant les poches de ma jupe en la mettant dans la panière à linge, j'ai trouvé un morceau de papier : « Martin 0606060606, appelle-moi ! »

Le mystérieux jeune homme s'appelle Martin. J'ai le numéro de téléphone du mystérieux jeune homme.