Le Foin

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Proposée le 26/02/2013 par Jimmy_34

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Cet été pour les vacances je décide de passer une semaine chez mes grands-parents. Ils ont une maison à la campagne où j'ai passé une partie de mes vacances scolaires. J'y ai donc énormément de souvenirs. D'ailleurs une fois arrivée les odeurs, les bruits tout me rappelle des moments passés ici, rien ne semble avoir changé comme figé dans le temps. Ma première nuit fut un réel bonheur, moi la citadine habituellement bercée par les résonances de la ville.
Le lendemain je décide d'aller à la petite épicerie du village pour faire quelques courses. En pleine hésitation devant le rayon des gels douches une main se pose sur mon épaule. C'est lui le compagnon de jeu de mon enfance, celui qui fut d'abord mon meilleur copain. Puis avec l'arrivée de l'adolescence mes premiers émois même si à l'époque ce fut resté très platonique. Nous nous sommes écrit pendant quelques temps, plus tard que je suis revenue ici et j'ai appris qu'il avait quitté la maison familiale. Et depuis je n'avais plus aucune nouvelle.
En le voyant là devant moi je ne peux m'empêcher de lui sauter dans les bras telle une petite fille, retrouvant son premier amour. Quelques secondes après je reviens sur terre, il me regarde avec un sourire contemplatif.
Il me propose un café chez lui, j'accepte immédiatement, nous parlons tous deux de nos souvenirs, et surtout je l'écoute. Voit-il les choses comme moi, suis-je pour lui aussi importante qu'il l'a toujours été à mes yeux ?
Cet homme face à moi bien plus beau que le jeune garçon dans ma mémoire. Son sourire, ses yeux tout me ramène bien des années en arrière. Il m'explique que ses parents on décidé de passer leur retraite dans le sud près de la mer et que du coup il a récupéré la maison de ses parents pour y vivre. Son métier de designer lui permet en plus de travailler la majeure partie du temps à la maison. La déco chez lui est d'ailleurs tendance et plutôt très chaleureuse.
Il me fait visiter chacune des pièces assez fier de la transformation qu'il à opéré sur cette vieille demeure. Nos corps se frôlent et je me surprends à en être timidement excitée. Moi qui habituellement suis bien loin de me laisser emporter par le désir. Nous finissons par le salon pourvu d'une cuisine américaine dans lequel je rentre pour voir l'évier en pierre dont il me parle.
Il s'approche de moi s'excusant de devoir passer derrière moi pour prendre les tasses, il me saisit la taille et tel un éclair une image s'affiche dans mon esprit, lui ainsi derrière moi soulevant le léger tissu de ma jupe faisant lentement glisser les bretelles de mon débardeur et me prenant ainsi fermement sans autres formes de procès. Envahie par cette scène mes mains se crispent sur l'évier.
« Pardon je t'ai fait mal me dit-il ? », je ne peux que balbutier un « non » empreint d'une envie que mon attitude dissimule à peine. Il a compris, me retourne contre lui et pose un doux tendre bisou sur ma joue puis plusieurs qui s'approchent à chaque fois un peu plus de mes lèvres je le laisse faire.
Il passe une de ses mains sur ma nuque puis derrière mes cheveux comme pour guider mon visage vers le sien. Pendant que l'autre main se fait plus pressante sur ma taille. Il m'embrasse avec une fougue qui déclenche en moi un frisson terrible. Il se serre contre moi je sens une bosse entre ses jambes déjà franchement durcie.
Soudain la cloche de l'église retentit, il est midi, zut mes grand-parents m'attendent pour le repas. Je lui explique que je dois partir, il semble fort déçu. Je lui précise que ce n'est que partie remise avec un sourire coquin. Nous échangeons nos téléphones et je pars. Je suis toute retournée. La folie et l'inattendu de cet instant me perturbent.
A peine arrivée chez mes grands-parents un bip me signale l'arrivée d'un sms. C'est lui qui me dit qu'il est très heureux de m'avoir revu et espère très vite une nouvelle entrevue. Je fais fi de mes principes habituels et lui propose de se voir après le repas. Ce qu'il accepte me donnant rendez-vous devant chez moi.
Ce repas m'a semblé être le long de ma vie, plus les minutes s'égrainaient plus mon cœur battait. Il arriva enfin et me proposa la balade que nous faisions régulièrement étant enfant.
Nous voilà donc partis le long d'un petit chemin longeant la forêt. Nous savions tous les deux ce qui risquait de se passer, mais faisions mine de ne pas y penser. De nouveau partis dans nos souvenirs du passé notamment les multiples fois où nous avons pris ce chemin à vélo, nous arrivâmes devant la grange, celle-la même où nous jouions à cache-cache. Là aussi rien n'avait changé si ce n'est le poids du temps sur le bois vieilli. La lumière du soleil traversait toujours la petite fenêtre ronde pour finir sa course sur l'énorme tas de foin posé au fond de la grange. Ce même tas dans lequel nous nous reposions souvent afin de reprendre quelques forces pour rentrer.
J'ai soudain une envie folle de sauter dans de tas de foin comme avant, tu me regardes amusé et m'imites. Un fou rire s'empare de nous, je contemple ton visage éclairé par le soleil m'approche de toi et t'embrasse. Tes bras s'enroulent autour de moi. Je réalise que notre premier baiser était au même endroit il y a de cela quelques années.
Tu t'allonges sur moi et délicatement fais glisser sur mon corps une pluie de caresses douce et sensuelle. Tu remontes mon débardeur et poses tes lèvres sur mon ventre j'en frémis pendant qu'une main dégrafe mon soutien-gorge l'autre caresse mes jambes qui s'entrouvrent. Tu descends puis remonte doucement pour t'arrêter juste avant mon intimité déjà humide de désirs. Tu es joueur j'adore ça. Je déboutonne ta chemise laissant apparaître ton torse imberbe et doux. Je descends à mon tour vers ton pubis et commence à défaire ta ceinture puis le reste laissant apparaître une bosse déformant ton boxer noir. Tu m'enlèves complément le soutien-gorge libérant ainsi ma poitrine durcie par le plaisir. Tu poses ta bouche sur mes tétons je frissonne de nouveau, je suis envahie par un sentiment de bien-être.
Ta main en bas continue à naviguer puis saisis mon string que je t'aide à faire glisser le long de mes jambes. J'accompagne tes doigts vers ma vulve. Une de mes mains caresse tes cheveux, l'autre passe sous ton caleçon et saisit ta verge ferme et douce. Ton pouce commence à jouer avec mon clitoris en même temps tes autres doigts jouent avec mes lèvres. Ta bouche continue de jouer avec mes seins et remonte vers mon cou. Tu m'embrasses avec la même fougue que ce matin et tes doigts me pénètrent d'un seul coup, je gémis de plaisir. Tu fouilles en moi et rejoins par l'intérieur ton pouce toujours sur mon petit bouton.
Ce moment semble irréel, chaque mouvement de tes doigts me fait monter de plus en plus. Tu t'approches et te place entre mes jambes je pose mes deux sur tes fesses rondes et fermes. Je n'en peux plus je veux que tu me prennes maintenant, te sentir au plus profond de mon être. Tu fais d'abord glisser ton phallus sur mon clitoris plusieurs fois. Je ne tiens plus, tu me rends folle. Puis brusquement tu t'enfonces en moi, je ne peux m'empêcher de crier. Premièrement espacé tes coup de reins s'accélèrent et me transperce chaque fois un peu plus. Le rythme augmente encore et encore. Je ne maîtrise plus rien, je sens que je viens chaque fois plus ta verge gonfle en moi, Nos corps brûlant se mélange ne faisons plus qu'un. Mes doigts agrippent tes fesses. J'y suis presque, je viens oui ouiiiiiiiiiii et au même instant je sens la libération de ton plaisir dans un râle de bon heur....
Nos corps retombèrent vidé, je n'avais jamais joui comme ça.
Mes vacances furent les meilleurs de ma vie, je pensais avoir le meilleur orgasme ben je me trompais mais ça c'est une autre histoire. Ah oui aussi le foin ça pique après.. !