Téléalarme

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Proposée le 14/01/2013 par CAVAL

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Les congés annuels arrivent à propos: trois semaines pour décrocher du travail. Ce n'est pas de trop afin de recharger les accus. Je parts donc avec ma femme et notre fille de 13 ans, dans une location près de la mer sur la côte Atlantique, non loin de Royan. De son premier mariage elle a une fille de 18 ans, Solange, que j'ai toujours considérée comme la mienne. De mon côté j'ai un fils, Alexandre, de 20 ans. Si la première, étudiante, vit chez nous, le second a son propre appartement. Cette séparation s'avère bénéfique, les rapports entre les deux adolescents n'ayant jamais été très faciles lorsqu'ils vivaient sous le même toit. A présent on peut parler d'entente cordiale lorsqu'ils se rencontrent chez nous où à l'extérieur.

Alors que les deux femmes de ma vie (mon épouse et notre fille) qui m'accompagnent en vacances sont parties faire des courses, mon téléphone portable sonne. Il s'agit la vidéo-alarme que je viens d'installer dans ma résidence principale. Si une présence inconnue s'introduit chez moi, j'ai un message qui s'affiche sur mon portable et en me connectant sur Internet, je peux voir ce qui se passe.

J'allume l'ordinateur et je suis tout de suite rassuré. C'est Solange que je vois apparaître sur l'écran. Elle doit loger durant notre absence chez une copine. Toutes deux, pour se faire de l'argent de poche, ont un job d'été dans la même entreprise. Le travail étant à deux pas de chez la copine, il est beaucoup plus facile en effet qu'elle séjourne chez celle-ci.

- Peut-être, me suis-je dit, vient-elle chercher une affaire qui lui manque.

Je n'ai pas le son, mais il me semble qu'elle parle avec quelqu'un que je ne vois pas sur l'écran ; la caméra couvre une bonne partie du salon, mais pas cet angle mort. La personne en question s'avance et je peux enfin la voir. C'est un garçon qui apparaît de dos. Je me dis que c'est de son âge même si j'aurais préféré qu'elle dise à sa mère qu'elle risquait de venir chez nous, accompagnée par son petit copain. Peut-être l'avait-elle fait d'ailleurs. Ce genre de confidence, elle pouvait la faire plus facilement à sa mère qu'à son beau-père, même si je la considère comme ma propre fille. Mais je ne m'en formalise pas outre mesure. Je suis sur le point de couper la connexion, quand je reconnais le garçon en question : c'est mon fils !

Solange et Alexandre chez nous ; il y a de quoi s'étonner, même si l'un comme l'autre ont les clés et l'autorisation de venir en toute liberté. Que peuvent-ils bien faire ensemble ? Même si leurs rapports se sont normalisés, ils sont toujours un peu comme chien et chat et ne cherchent pas à se côtoyer.

Ma curiosité est titillée. Je reste donc devant l'écran à les regarder. Solange s'assoit sur le canapé, elle porte un fin chemisier blanc et une jupe courte aux couleurs estivales. Alexandre en chemisette et grand bermuda vient se poser tout à côté d'elle. Je ne vois pas exactement ce qui se passe avant que mon fils ne relève la tête. Ma belle fille à les seins dénudés et je vois les mains de son demi-frère (par alliance puisqu'ils n'ont ni la même mère, ni le même père) caresser ses rondeurs. Volontairement, je n'avais jamais fait attention aux charmes de ma belle-fille, par respect pour elle et pour sa mère. Pour autant, dans cette circonstance particulière, je ne peux qu'apprécier la beauté de cette jeune poitrine aux formes admirables. Elle avait pratiquement autant de volume que celle de sa mère, qui a un buste généreux sans être énorme. Ce que j'aime ce sont les seins qui tiennent bien, qui ne tombent pas et pourtant qui sont naturels, qui n'ont pas été refaits. Je préfère les petites poitrines aux seins biens fermes, à des nichons énormes, flasques et tombants. Ma femme à la chance d'avoir des seins comme je les apprécie. Et sa fille, incontestablement, suit la digne voie de sa mère. Deux nichons aux rondeurs exquises et qui tiennent fermement, semblant se jouer des lois de la gravitation et dont les pointes brunes sont dressées en avant avec arrogance.

Elle regarde en souriant mon fils s'occuper de ces seins et qui tout en poursuivant ses caresses se met à les lécher, à en sucer les bouts, peut-être même à les mordiller. Je peux voir le visage de la jeune fille qui arbore un magnifique sourire. Tout en savourant ces délicatesses, elle s'emploie à défaire la chemise de son complice. Je ne peux m'empêcher de me dire :

« Mon fils est vraiment bien bâti. Je dois reconnaître ça à sa mère : m'avoir fait un bel enfant. »

Il se laisse faire et c'est maintenant deux corps au torses nus qui s'étreignent fiévreusement, peau contre peau, en échangeant des baisers fougueux. Je regarde ces images sans trouver la volonté d'arrêter la connexion. Ce n'est pas un spectacle de cul que j'ai devant moi, mais une véritable scène d'amour que je vole à mon enfant et à celui de mon épouse. Je sais que je devrais m'éclipser de cette intimité qui n'a rien de répréhensible. Ils ne sont pas frère et sœur, ils sont tous les deux majeurs, la découverte de la sexualité et de leur corps est de leur âge.

Mais voilà, l'incongruité de la situation, ces deux êtres que rien ne semblait pouvoir rapprocher, ainsi que l'attirance de percer le mystère des personnes qui vous sont proches, m'empêche d'agir. Je ne suis pas porté sur les films érotiques ou pornographiques qui sont désolants, de même que les sites du même genre sur Internet ne présentent pas, pour la plupart, un grand intérêt. Seuls les récits érotiques font divaguer mon esprit, plutôt que des images crues n'ayant rien d'artistiques.

Alexandre défait la jupe de sa partenaire. Elle l'aide dans cette opération. La petite culotte de dentelle bleue claire, qui est apparue, descend le long de ses jambes et est vite jetée au loin. Les cuisses s'ouvrent d'abord timidement, puis largement devant cet homme qui regarde cette jeune nudité et fixe une intimidé fraîche et délicate. Elle est si belle nue et offerte. Solange s'offre à Alexandre. Il avance vers le sexe, buisson aux couleurs de feu, aussi roux que les cheveux de la jeune fille. Cette chevelure est flamboyante naturellement, la touffe ayant les mêmes couleurs, les mêmes reflets. J'ai toujours aimé la toison de ma femme bien que la couleur en soit plus commune, d'un brun clair, voire même châtain. Mais je dois avouer que de découvrir cette superbe chatte poilue aux couleurs de l'automne, a le pouvoir de m'émouvoir.

« Comment de belles filles comme elle, qui ont la chance d'être rousses, peuvent commettre un tel massacre en se rasant leur adorable et magnifique pilosité tout féminine, ces poils dont la couleur les rendent encore plus belles. C'est comme si un pianiste se coupait un doigt, alors qu'il a déjà trop peu de cinq doigts pour sept notes ! »

A présent le visage de mon fils disparaît dans les poils pubiens. Je me doute de ce qu'il fait plus que je ne le vois, car Solange, la tête en arrière, les yeux à demi-fermés semble apprécier le traitement qu'il lui administre. Tout en s'occupant des lèvres vaginales que j'imagine s'ouvrir dans cet écrin mordoré et d'un clitoris excité, les mains d'Alexandre continuent à peloter les seins de sa partenaire.

Après plusieurs minutes à mignoter l'intimité de Solange, Alexandre se redresse devant elle. Il fait descendre son grand bermuda sur ses chevilles. Son caleçon noir va rejoindre le sol. D'un geste habile des pieds, il se dégage de ses deux vêtements, laissant admirer à la jeune fille son sexe dressé et triomphant. Je suis même impressionné de la virilité de mon fils. On les connait avec un petit sexe de statut antique et les voilà avec des gourdins impressionnants.

Ils sont totalement nus tous les deux. Ils forment un couple admirable. Ils ont la jeunesse pour eux.

Pour Solange, est-ce la première fois ? A-t-elle pris des conseils auprès de copines ? A-t-elle lu quelques traités sur l'art de bien branler les hommes sur internet ? A-t-elle visionné avec attention et application des films pornos ? En tout état de cause, elle ne joue pas les vierges effarouchées et se saisit à pleine main du beau et gros sexe qui se présente à elle. Elle regarde avec un sourire candide de madone mon fils dans les yeux, puis se lance. Elle sort sa petite langue rose pour parcourir le gland et y recueillir la goutte qui y suinte. Un nouveau coup d'œil vers son partenaire pour observer sa réaction, avec cette fois-ci, un regard beaucoup moins innocent que le précédent. Peut-être y a-t-il peu de perversité. Elle engloutit le gros sucre d'orge en essayant de le faire aller le plus loin possible dans sa bouche.

« Quelle gourmande ! »

Au moment où cette pensée salace jaillit en moi, je me rends compte que je parle de ma belle fille, celle pour qui je ne dois pas avoir de mauvaises pensées. Je réalise également, avec effroi que ma main est passée sous l'élastique de mon bermuda de bain et que je suis en train de me branler. J'ai honte, pourtant je ne cesse pas. Je continue à me comporter comme un voyeur, je continue à me branler en voyant ma belle fille et mon fils baiser ensemble.

Elle commence par une fellation lente, sensuelle, sexy, allant et venant sur l'objet du désir, puis elle accélère un peu le rythme avec une caresse plus dynamique. Par moment elle sort la tige de sa bouche pour la branler légèrement, tout en douceur, jamais avec brutalité. Puis elle reprend, alliant succion et masturbation. Avec la langue elle parcourt le sexe depuis la base jusqu'au gland. Elle visite les zones les plus délicates du sexe masculin : le frein fin, la base du gland en la serrant entre ses lèvres, la fente sur le dessus et les autres points sensibles du gland. Elle n'oublie pas les testicules qu'elle prend en bouche avec précision, afin que ses lèvres les recouvrent intégralement l'une après l'autre. Elle vit intensément ce moment où elle donne un plaisir complet à son partenaire, qui la laisse faire, les mains simplement posées sur sa chevelure rousse, les doigts enfouis parmi les mèches qui tombent en cascade sur ses épaules. Elle sait admirablement bien varier les caresses de ses lèvres, de sa langue ou de ses mains ; mais elle varie aussi le rythme de sa fellation.

Mon fils apprécie grandement cette pipe, en même temps tout indique que Solange, qui lui donne ce plaisir, ne le fait pas que pour contenter son partenaire. Non, elle a terriblement envie de gouter à ce sexe qui lui est offert. C'est magnifique parce qu'elle aime cela et elle le fait comme s'il s'agissait d'un besoin vital... puisque ce ne peut être par amour. Une de ses mains ne cesse de branler la verge à sa base, l'autre va caresser les fesses musclées ou s'insinue pour soupeser les bourses.

Alexandre se redresse et couche Solange sur le canapé. Il enfouit une nouvelle fois sa figure dans la touffe cramoisie. Les jambes de la belle sont largement ouvertes et remontées vers le ciel. L'espace d'un instant je vois les lèvres intimes de la jeune fille se découper clairement entre les poils. Paysage magnifique s'il en est. Puis, baisant avec la bouche, caressant avec les mains, il remonte sur le corps féminin abandonné. Il effleure les poils pubiens, remonte vers le nombril, la naissance des seins. Il les saisit à pleine main et continue son ascension jusqu'à embrasser à pleine bouche sa partenaire.

Il se détache un peu du corps honoré et prend sa verge parfaitement bandé, presque parallèle à son ventre, portée comme une oriflamme, et recherche l'entrée de la vulve si bien préparée. Il pose le gland à l'entrée, prend plaisir à caresser le clitoris, les grandes et les petites lèvres avec lui. Puis il s'introduit. Solange laisse faire, sur son visage je ne décèle aucune crispation, aucune douleur, pas même une appréhension. Alexandre se glisse en elle profondément, mais tout en douceur dans la classique position du missionnaire. Il commence des mouvements de va-et-vient en prenant appui sur ses avant-bras. Solange croise ses pieds autour des reins de son partenaire. La jouissance des deux corps est palpable et seule l'expérience d'Alexandre évite un orgasme trop rapide.

Aussi décide-t-il de changer la position. Il la retourne, la fait mettre agenouillée. Il se positionne derrière elle et introduit sa verge dans l'orifice trempé de mouille. Il reprend ses mouvements de va-et-vient. Il pose ses mains sur les seins de Solange qui ballottent sous elle. La verge d'Alexandre doit s'introduire profondément dans le vagin tout en procurant des sensations puissantes en variant les angles de pénétration pour stimuler toutes les parois du fourreau humide. L'excitation est telle que Solange a un orgasme. Je la vois jouir, la bouche grande ouverte, les yeux extatiques. Son corps est saisi de tremblement comme si elle était en transe, puis elle se déchaîne comme si elle voulait s'échapper.

Mais Alexandre la tient bien fermement et reste en elle sans bouger. Afin de lui faire reprendre son souffle. Il sort un instant du vagin dégoulinant de mouille, allonge sa partenaire sans défense sur le flanc, en chien de fusil et replace sa verge dans le conduit. Il est blotti dans son dos, les deux corps en contact étroit. Lorsqu'elle se calme, il reprendre doucement des mouvements du bassin. Il y a alors dans le couple une tendresse magnifique avec plein de douceur, plein d'harmonie. Stéphane caresse les seins généreux de sa partenaire, son ventre, son clitoris pour faire renaître en elle le plaisir et la jouissance.

Bientôt, Solange, tel le Phénix, renaît de ses cendres et redevient totalement réceptive aux assauts de son amant. Alors Alexandre l'entraîne dans la superbe posture d'Andromaque. Il s'allonge sur le dos, le sexe dressé au-dessus de lui. Il n'a même pas besoin de guider la jeune fille qui sait fort bien ce qu'elle a à faire : elle passe une jambe par-dessus lui, et fait glisser doucement en elle la verge toujours aussi turgescente jusqu'à ce qu'elle disparaisse totalement. C'est elle qui détermine le rythme, les mouvements, la profondeur de pénétration. Alexandre reste détendu, se laissant dominer. La vision du corps féminin dressé au-dessus de lui et venant s'empaler sur son sexe, l'incite à venir le caresser en toute liberté : seins, ventre, clitoris, fesses, dos... Pour Solange les impressions semblent particulièrement intenses. Les parois de son vagin doivent être adorablement labourées, son point G doit être au bord de l'explosion. Le summum est atteint lorsqu'elle commence à exercer quelques rotations de son vagin dans laquelle la verge est comprimée.

C'est dans cette posture que l'orgasme saisit les deux amants conjointement.

Moi aussi j'ai éjaculé dans mon bermuda de bain.

- Tu viens, on va à la plage.
C'est ma femme qui m'appelle.
- Oui, oui, j'arrive.
Il va falloir que je dissimule la tache de sperme humide jusqu'à la plage. Après, la mer fera disparaître ma coupable occupation de voyeur... surtout vis-à-vis de mon fils et de ma belle-fille.


Epilogue:
Au retour des vacances, Alexandre nous présenta sa copine avec laquelle il était depuis trois mois, à ce qu'il nous dit. Ils semblaient terriblement amoureux et je dois dire que la donzelle (à ce que je pus en juger) n'avait rien à envier à Solange.

Deux semaines plus tard Solange amena à la maison son copain qu'elle avait rencontré peu de temps avant que nous soyons partis en vacances. Elle paraissait très éprise du jeune homme.

Pourtant, je n'avais pas rêvé ! Mon fils et ma belle-fille avaient bien baisé ensemble sur mon canapé. J'avais même retrouvé à notre retour la petite culotte de dentelle bleue qui avait été oubliée derrière un fauteuil...


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