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Proposée le 1/01/2013 par Nibelung

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Ceci est la suite de mes aventures avec Mathilde, une fille dont je suis amoureux depuis 2 ans. Lisez l'introduction pour mieux connaître et comprendre l'histoire.



Suivi donc un marathon à travers le centre-ville afin de rattraper son père pour qu'il nous emmène, puisqu'aucun bus ne permettait de se rendre chez elle.

Son père n'est pas encore parti, la soirée est sauvée ! Après lui avoir expliqué, et qu'il ait dit que ça ne lui posait aucun soucis, tout le monde s'installa dans la voiture. Son père et sa soeur devant, et à ma grande surprise et à mon plus grand plaisir, Mathilde, qui rentre dans la voiture de l'autre côté, et un peu après moi, s'installe alors sur le siège central, juste à côté de moi qui me suis placé à droite. Et ceci toujours avec son sourire à rendre jalouse une déesse. Et un bisou de volé, mais qu'elle reprit aussitôt, en prenant son temps, avec insistance. Je commence à ressentir ce que je redoutais, un début d'érection. Avec de la chance, cela ne se verra pas, l'ayant préalablement et sagement placée sur le côté afin d'éviter la bosse révélatrice. Oui, j'ai bien un début d'érection, et ses magnifiques collants noirs, aux motifs intéressants, n'arrangent rien à la situation. Sa jupe est courte, à volant, noire, s'arrêtant à mi-cuisse, elle dévoile donc ses jolies jambes...

Arrivé à destination, je bande vraiment. Mais comme prévu et heureusement cela ne se voit pas, ou je l'espère en tout cas. On rentre, mais elle m'interdit de monter à l'étage pour aller dans sa chambre, apparemment, le risque qu'il y traîne une ou deux culottes est trop important, mais je l'ignore presque, et c'est avec empressement que je la suis afin de voir les fameuses petites culottes qui, malheureusement, sont bien rangées. À la place, je trouve un bazar digne d'une médaille, Mathilde étant une grande peintre et dessinatrice, des dizaines et des dizaines de dessins et peintures sont éparpillés partout. Tient, un soutien-gorge ? Après un rapide rangement selon la méthode "tas" des dessins et de la planque du haut de sous-vêtement, installation de la console, on peut jouer. La veille, elle m'avait dit que jamais je ne l'entendrais supplier quoi que ce soit, ainsi j'avais relever le défi et profitai du temps entre deux attaques de zombies pour lui sauter dessus et lui mordre la joue. Elle refuse de supplier d'arrêter et se venge en me léchant largement la joue sournoisement. Suite à cette provocation, je lui jure de réussir le défi de la faire supplier. Après deux ou trois morts, je repars à l'attaque, mais cette fois-ci en la renversant et en lui mordant le dessous de la cuisse, avec une vue splendide sous sa jupe qui ne cache absolument plus rien. Je ne me démonte pas et elle se débat dans un cri. Je lui attrape alors les jambes et la tire vers moi. Elle en profite pour me sauter au cou et me mordre sans vouloir relâcher son étreinte. Dans la bousculade, mon bras heurte l'interrupteur, nous nous retrouvons alors plongé dans le noir, sans comprendre pourquoi. J'en profite pour me libérer, mais soudain, plus rien. Paralyser dans une position assez étrange, les jambes en l'aire, la jupe retroussée pour elle, moi tenant ses jambes à hauteur de mes épaules, ses fesses posées sur mes cuisses, plus personne ne bouge. Elle accrochée à mon cou. Nos lèvres se touchent. Un simple baiser, involontaire, qui aurait du être arrêté tout de suite, mais aucun de fit le mouvement de recul pour. Toujours dans le noir, je lâche.doucement ses jambes, elle reste paralysée. Je réfléchis à mille à l'heure et tente le tout pour le tout, je l'embrasse. Vraiment. Mes mains libérées, je les places dans son dos, je la sens resserrer son étreinte, et lentement, nous basculons. C'est un long baiser, simple, mais qui fut une révélation pour nous deux : l'autre m'aimait. Lorsque nous arrêtâmes le baiser, je me trouvais sur elle. Je sentis soudain son souffle chaud contre mes joues, son coeur et sa respiration étaient extrêmement rapides, comme les miens. Je dirige ma main vers l'interrupteur et allume la lumière. Tout s'éclaire, et mes yeux plongent dans les siens... Elle commence à m'attirer doucement à elle, Et me rend mon baiser. Soudain, la voix de son père retentit, le dîner était près.

Le repas se deroula normalement, enfin, plutôt normalement pour ceux qui n'avaient pas été interrompus dans un doux baiser. Ce fut un très bon repas, les discussions intéressantes, mais ce fut le plus long de ma vie. Mathilde, placée à mes côté, faisait comme si de rien était. À vrai dire, moi aussi. Dès le dessert avalé, nous nous précipitâmes dans sa chambre. Je l'embrassai dès la porte fermée, mais ce faisant, nos corps se collèrent et elle sentit mon excitation. Se rapprochant du lit, j'éteignis volontairement la lumière.

Après une dizaine de minutes de baiser langoureux, elle me demande depuis combien de temps je bandais comme ça, je lui dis la vérité et soudain elle se plaça les jambes bien écartées, la jupe retroussée. Je tentai de lui retirer son haut, avec succès. Elle se retrouva si rapidement nue que je me trouvais encore complètement habillé. Elle retira précipitamment mon t-shirt mais bloqua sur ma ceinture que je dus défaire pour retirer le pantalon. C'est en caleçon que je commençais les va-et-vient de mon sexe à travers le tissu contre son sexe déjà si humide et trempé que je le sentais à travers le tissu. Ses seins frottaient contre mon torse, ses mamelons parfois torturés par ma bouche et ma langue. Au moment de me retirer mon caleçon, elle en profita pour me passer dessus.


Mon sexe buta contre mon ventre lorsqu'elle passa l'élastique par dessus, et le bruit la fit sourire. Elle se plaça à califourchon, de part et d'autres de mes hanches, et de ses petites mains, me saisit si délicatement le sexe qu'une goutte de liquide translucide coula depuis mon gland jusqu'à ses doigts, tant l'excitation était grande. Dès le contact de ses petites doigts fins et frais sur mon sexe brûlant, je fus parcouru de frissons de plaisir intenses. Elle le vit, et me branla légèrement pour faire durer le plaisir. Puis elle descendit doucement l'entrée de son sexe vers le miens, qu'elle dirigea droit dedans, doucement, le faisant d'abord glisser le long de ses lèvres, buter contre son clitoris, puis revenir, pendant que je jouais à pincer le bout de ses seins, à mordre et tordre tendrement ses mamelons. Mon gland pressait ses lèvres, et les écartèrent sans difficulté. Mathilde se cambra, se pencha en arrière, pendant qu'elle s'empalait de plus en plus profondément sur mon sexe. Son vagin était serré sans pour autant être dur à pénétrer, puisque sa cyprine était tellement abondante qu'elle coulait le long de sa cuisse, ce qui rendais la pénétration encore plus agréable. Sa respiration s'accélèra à mesure que je m'introduisais en elle. Quand elle laissa échapper un long soupir, elle se laissa tomber, s'enfonçant sur mon sexe pour combler les quelques derniers centimètres de vagin qu'il restait. Je sentis soudain mon gland buter contre le fond de son sexe, quand en même temps mon amour se plia en deux et étouffa un gémissement de plaisir dans mon épaule.

Elle resta assise sur moi, la tête au creux de mon cou, pendant de longue secondes, pendant que je lui caressais le dos et lui massais un sein. Soudain, elle s'allongea totalement sur moi, les genoux le long de mes côtes, et se cambra afin de relever les fesses tout en gardant mon sexe en elle, et se mit à faire des va-et-vient horizontaux. Ses cheveux sur mon torse et son souffle chaud contre ma peau décuplairnt mon plaisir et mes mains continuaient à se balader le long de son dos, de ses hanches, de sa taille de guêpe, pendant que ses baisers sur ma bouche se faisaient de plus en plus nombreux, je m'efforçais de répondre à tous. Je commençais à imprimer de légers mouvements verticaux, et je lui chuchotais à l'oreille un « Je t'aime » entre deux halètements. Je n'entendis pas la réponse, je la sentis, dans tout mon corps : son vagin s'était subitement resserré sur mon sexe...