Chemins de Jacques : 17- Evi disparue

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Proposée le 30/11/2012 par CAVAL

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Résumé : Jacques travaille pour une entreprise française qui l'envoie à l'étranger pour des séjours plus ou moins longs. Il est en Allemagne depuis plusieurs mois, où il a rencontré Evi, bisexuelle, naturiste et libertine. Ils ont passé des vacances naturistes et libertines avec un couple, Eveline et Boris, en Grèce.


16 Evi disparue

Cela faisait plus d'un an et demi que je filais le parfait amour avec Evi, partageant son goût pour le naturisme où la nudité était simple et sans pudeur. Je l'accompagnais aussi dans son libertinage qui paraissait sans limite, grâce à son appétit sexuel insatiable. J'avais pour elle, des sentiments qui n'étaient pas purement et uniquement sexuels ; non, je l'aimais véritablement et profondément pour ce qu'elle était autant extérieurement (une sublime jeune femme) qu'intérieurement (une manière de prendre la vie sans tabou et sans se poser de questions inutiles).

Pour aucune de mes amantes précédentes je n'avais éprouvé un tel attachement.
Sylvie avait été mon initiatrice, c'est elle qui avait fait mon éducation sexuelle, mais entre nous il n'y avait pas d'amour, seulement le respect que peut avoir l'élève pour son maître. Pour le maître (là la maîtresse) cela avait été la satisfaction que l'élève se montre doué.
Pour la jeune Audrey, j'avais été celui qui l'avait déflorée, rien de plus et là encore aucun amour, ni même de remerciement ou de reconnaissance, puisqu'elle m'avait jeté comme un kleenex, une fois ma tâche réalisée.
Avec Annette, ma maîtresse noire américaine, il y avait seulement un attachement sexuel ; ni l'un ni l'autre n'étions assez attachés pour devenir des amants dans la durée et encore moins pour former un couple.
Je ne parlerais même pas des Anglaises qui ne m'avaient pas laissé un souvenir impérissable, n'étant pas très enclines à se vautrer avec moi dans la découverte des jeux de l'amour.

Evi était la femme que j'aimais passionnément, un peu plus tous les jours, appréciant en elle son caractère aventureux, voulant découvrir de nouvelles choses à chaque instant. Même si parfois, ses envies, ses expériences n'étaient pas sans m'effrayer et m'inquiéter. Aussi, lorsque mon entreprise me demanda de revenir en France pour y occuper un nouveau poste très avantageux, promotion promise après mon parcours à l'étranger, je lui demandais de me suivre et de venir s'installer avec moi dans mon pays natal.

- C'est avec beaucoup de joie que je te suivrai, me répondit-elle. Mais avant cela je souhaite aller visiter ma famille au nord de Brunswick.
- Tu m'avais dit que tu n'étais pas très proche d'eux et même que tu avais coupé les ponts.
- Oui, mais je n'ai qu'une mère et qu'un père. Avant de quitte l'Allemagne, je voudrais les voir une dernière fois. On ne sait jamais, si je pouvais partir en me disant que j'ai des parents qui m'aiment.
- Tu veux que je vienne avec toi.
- Non, non. Je souhaite y aller seule. Si les choses se passent mal, je ne veux pas que tu assistes au désastre. Par contre, si j'arrive à recoller les morceaux, il sera toujours temps que tu viennes me retrouver là-bas.

La veille de son départ, nous faisons l'amour comme si c'est la dernière fois. Elle veut qu'on remette le couvert à plusieurs reprises, acceptant que je la sodomise. J'avais réussi à lui faire aimer l'introduction anale. Cependant, cette fois-ci, elle veut que je la prenne sans préparation et surtout sans lubrification.
- En lubrifiant ma rosette, me dit-elle, la sensation est moins forte.
- C'est pour que tu ne souffre pas ma chérie.
- Oui, mais aujourd'hui, je préférais ressentir une douleur dans cette étreinte, pour qu'elle sorte de l'ordinaire.
Je ne peux refuser de lui accorder un rapport sexuel qui peut s'avérer douloureux.
J'entre dans son anus en levrette en m'enfonçant délicatement en elle. Pour seule lubrification j'utilise tout de même sa cyprine liée à mon sperme que j'ai éjaculé dans une première salve. Le gland baveux entre et disparait dans le minuscule anneau, puis c'est au tour de la hampe. Je suis en elle, la queue nue, en contact direct avec les parois chaudes de son anus étroit.
L'étreinte devient plus puissante, plus démesurée dans son caractère émotionnel.
Evi ne parle pas. Je l'entends gémir bruyamment. Comme cette sodomie vient après une ou deux étreintes puissantes, j'arrive à tenir assez longtemps et je pilonne l'admirable cul de ma chérie avec beaucoup de contentement. Le plaisir est d'autant plus grand que je ressens qu'il est partagé.
Lorsque je me lâche enfin dans un râle de plaisir, elle a atteint l'orgasme.C'est dans son divin anus que je dépose quelques giclées de sperme. J'aurais préféré la sodomiser avec un préservatif, mais elle s'y est refusée ce soir :
- Je veux que les sensations soient différentes tant pour toi que pour moi. Tu m'encules à sec et tu ne mets pas de capote. Je veux sentir ta semence en moi, se déverser dans mon anus, puis la sentir couler hors de mon cul et sur mes jambes.
Après cette jouissance, nous restons immobiles plusieurs longues minutes, goûtant le calme après la tempête. Moi toujours planté dans son anus, sans bouger. Je ressens les moindres contractions de son ventre et de son sexe. Je lui caresse le ventre contracté, le dos à la peau douce, les fesses charnues et musclées et les seins ronds et fermes.
Elle aime ces instants de calme de repos, d'apaisement.
Puis, je me retire et chavire sur le lit, sans la perdre de vue. Elle est toujours les jambes écartées, me cul dilaté, le sexe ouvert, mon foutre sortant de son petit trou, dégoulinant sur sa vulve et le long de ses jambes. Le spectacle d'une grande beauté est aussi d'une terrible indécence.

Alors que je n'ai plus aucune force, elle prend ma queue flasque et me dirige vers la salle de bain pour la nettoyer ma verge ; elle est maculée de sperme et de quelques matières récoltées dans son anus. Elle en profite pour procéder elle aussi à une toilette intime. De retour dans la chambre elle se positionne entre mes jambes et s'occupe de mon sexe avec sa langue experte.
Je récupère quelques vigueurs et c'est reparti pour une succession de pénétrations vaginales dans diverses positions que nous affectionnions particulièrement.

Ce soir-là, avant son départ, ce n'est pas moins lors de cinq assauts successifs que j'ai déversé mon foutre successivement dans son vagin, son anus, sa bouche et sur sa poitrine, sa chatte et son visage. Je suis incapable de bander suffisamment pour la satisfaire une nouvelle fois. Constatant mon sexe flasque, incapable de reprendre une rigidité correcte malgré ses efforts, Evi sort de sa table de nuit un gode au diamètre impressionnant. La partie supérieure de l'objet est en verre transparent et la partie inférieure gainée de cuir.
- Faute de ta queue, mon chéri, met moi ça dans le vagin.

Je me place entre ses jambes, je couvre le gourdin de cyprine et de sperme mêlés et je l'introduis entre ses lèvres. L'ustensile a un diamètre bien supérieur à celui de mon sexe bandé, pourtant l'intromission se fait très facilement. Une fois qu'il est bien planté en elle, j'entame un mouvement de va et vient tout en massant le clitoris de mon amante. Elle éprouve de douces sensations avec cette perforation qui doit lui masser toutes les parois du vagin, d'autant plus que je varie les angles de pénétration, ce qui la fait pousser des gémissements et des petits cris de plaisir.
Elle est secouée par un orgasme au bout de plusieurs longues minutes. C'est le sixième de la soirée et c'est aussi le clap de fin, tant pour elle que pour moi.


Elle partit donc pour village de Sophiental, au nord de la ville de Brunswick le vendredi soir et projetait de revenir lundi ou mardi. Elle m'appela samedi matin pour me dire qu'elle était bien arrivée et qu'elle me rappellerait dès qu'elle repartirait. Lundi il n'y eut aucun appel, ni mardi matin. Par contre, au courrier je reçus une lettre avec l'écriture d'Evi. J'ouvris l'enveloppe et du lire deux fois le texte avant de comprendre ce qui m'arrivait :

« Jacques,
En arrivant chez mes parents, j'ai compris l'amour qu'ils avaient pour moi et qu'ils ne voulaient que mon bonheur. J'ai pris conscience que si je poursuivais ma vie de luxure, je courais à ma perte et ne récolterais que la colère divine. Le sexe est dans la croyance assimilé au pire parce qu'on l'a longtemps associé au péché originel. La violence, la responsabilité qu'on a dans les conflits, qu'elle qu'en soit l'échelle est souvent plus grave qu'une sexualité anarchique ou plutôt compulsive. Mes comportements ont des conséquences tout aussi dévastatrices par l'instrumentalisation qu'on fait de l'autre, par le fait de le réduire à son sexe ou à sa jouissance. Pornographie et sexualité compulsive ou violence de tous ordres... il s'agit de plusieurs facettes d'un même dérèglement : la domination et l'instrumentalisation de l'autre.
Mais je sais aussi que Dieu me donne une grâce qui me permet de ne plus m'apitoyer sur moi-même, en me culpabilisant et en laissant la honte m'envahir et me pourrir la vie. Sa grâce me permet de me tourner vers lui et vers les autres. Elle est capable de me libérer de la honte et de la culpabilité. Dieu, dans sa grande miséricorde, me pardonnera mes égarements, si je ne continue pas sur cette voie et si je rachète mes fautes par la rédemption.
J'ai donc accepté de me marier prochainement avec le pasteur de la paroisse, un homme pieux et veuf d'une quarantaine d'année. Je rachèterai ma conduite en élevant ses cinq enfants. Ainsi, je fonderai un foyer et mènerai une vie pieuse et respectueuse des valeurs protestantes en lui donnant, je le souhaite de tout cœur, d'autres enfants.
Je suis désolée de t'apprendre par cette simple lettre la rupture de notre relation qui fut depuis l'origine une erreur. Je ne sais même pas comment j'ai pu mener cette vie de débauche et que tu n'as rien fait pour m'en détourner.
Si tu as quelques sentiments pour moi, je te demande de ne pas tenter de reprendre contact avec moi.
Evi »



Non seulement elle me plaquait sans crier gare et en plus elle m'accusait de n'avoir pas mis un frein à cette vie de « débauche » comme elle disait, alors que sur cette voie, je la suivais plus que je ne l'incitais.

Je ne tins pas compte de sa demande de ne pas tenter de la retrouver et je me rendis à Sophiental. La localité n'était pas immense et j'allais pouvoir trouver la maison familiale sans difficulté. Tout le monde devait se connaître. Mais c'est avec stupeur que je constatais que la famille d'Evi n'habitait pas dans cette petite ville et qu'elle n'y avait sans doute jamais vécue.

Je me dis qu'Evelyne et Boris en savaient peut-être plus que moi sur la famille d'Evi.
- Elle nous a simplement dit qu'elle ne voyait plus ses parents, me dit Evelyne.
- Vous ne savez pas où ils habitent ?
- Nous n'en avons aucune idée. Elle ne l'a jamais dit.
Voyant mon désarroi, ils me proposèrent de passer la nuit chez eux avant de repartir. J'acceptais leur offre.


Je n'arrive pas à dormir, repassant dans ma tête les moments brulants que j'ai passé avec cette femme que j'aime encore. Je ne comprends pas comment elle peut accepter de se marier avec un pasteur beaucoup plus âgé qu'elle et avec des enfants qui allaient s'accrocher à sa jupe dès le premier moment.
« Elle met une croix sur sa vie passée, elle la nie même. Elle va perdre toute liberté, sa liberté sexuelle qui lui était si chère, mais aussi sa liberté de penser. L'embrigadement religieux dans lequel elle sombre me fait craindre le pire pour elle. Comment pourra-t-elle vivre ce virage à 180° ? N'aurait-il pas mieux value qu'elle revienne vers moi assagie. C'est sans difficulté que j'aurais accepté une vie sexuelle plus régulière et moins extravertie. »
Elle avait choisi résolument une autre voie.
Il est possible que son choix fût déjà arrêté lorsqu'elle m'avait quitté après cette mémorable ultime nuit d'amour, comme un adieu. Autrement, pourquoi m'aurait-elle caché sa véritable destination ? Pourquoi avait-elle brouillé les pistes pour que je ne puisse pas la retrouver ?

La porte de ma chambre s'ouvre. Je vois rentrer dans la chambre Evelyne. Elle porte une fine chemise de nuit, ornée de dentelles, presque transparente. Elle reste un instant immobile avec derrière elle la lumière du couloir. Son corps apparait en ombre chinoise. Elle allume une lumière d'appoint dans la chambre, ferme la porte du couloir et me faisant face, fait glisser son vêtement le long de son corps.
Elle est totalement nue. Même si je connais bien son corps, cette nudité exposée me surprend.
Elle est vraiment très belle. Je reste à la regarder sans voix, sans faire le moindre geste. Elle s'approche du lit, retire la couverture et le drap qui me recouvre. Depuis ma rencontre avec Evi, je ne porte plus jamais aucun vêtement pour dormir. Je suis donc nu devant Evelyne ? Elle regarde sans vergogne ma verge qui s'est gonflée malgré moi.
Elle vient tout contre moi ; nos deux corps entrent en contact.
- Tu as l'air si malheureux, me dit Evelyne, qu'avec Boris, on s'est dit qu'il fallait que j'essaie de te consoler.
- Evelyne, je ne crois pas que...
- Laisse toi faire, tu en as besoin. Ta belle queue ne demande que ça. Tu n'en as pas envie ?
- Ce n'est pas ça. Mais dans les circonstances, mon besoin d'amour est tellement déplacé.
Et puis je lâche prise, j'oublie Evi ou du moins je fais comme si cette femme qui s'offre à moi pouvait être une maîtresse de substitution. Dans mon imaginaire, je me dis qu'Evelyne est la maîtresse d'Evi, qu'il y a en elle un peu de la femme que j'aime et que cette dernière est peut-être en train de s'offrir à Boris.
Mais ce ne sont que chimères.

Alors, je la prends dans mes bras et je l'embrasse fiévreusement. Nous faisons l'amour pendant plusieurs heures sans discontinuer en nous donnant totalement l'un à l'autre. A un moment elle me dit :
- Tu la sodomisais ?
Elle n'ose pas prononcer le nom de la disparue.
- Oui, je lui ai fait connaitre cette pratique qu'elle va rapidement oublier avec son pasteur.
- Tu veux bien me sodomiser. Cela fait longtemps qu'on ne m'a prise par le cul, pourtant j'aimais bien. Avec Boris je n'ose pas, il est toujours assez brutale lorsqu'il baise. C'est très agréable, mais pour la sodomie, ne faut-il pas y aller avec douceur ?
- C'est indispensable.

Finalement c'est Evelyne qui prend les choses en main et qui dirige les opérations. Elle me met sur le dos et prend fermement ma queue bandée et dure comme du bois en main. Elle se place au-dessus et présente le gland à l'entrée de son anus. Elle entame sa descente. C'est étroit, l'orifice étant peu dilaté. Je sens son joli petit cul s'écarter pour laisser s'insinuer mon sexe. Elle descend très lentement, presque millimètre par millimètre. Je vois son visage. Elle est aux anges. Elle me fixe droit dans les yeux. Il y a quelque chose d'indécent, de vicieux dans ce regard. Mais cela m'excite.
- Ca te fait quoi de sentir mon cul serré autour de ton zob ?
Volontairement elle emploie des mots crus pour augmenter l'indécence de la situation.

Elle continue sa descente. Avalant mon sexe inexorablement, je me dis que ça n'en finira jamais. La sensation est délicieuse, ma queue est comme prise dans un étau.
- La visite te plait mon cochon. Tu me trouves comment : je suis une belle salope n'est-ce pas.
Plus elle descend, plus ma pinne entre en elle, et plus elle se lâche. Elle trouve une délectation particulière à me parler crument. Elle a envie de je la traite de salope et de tous les adjectifs s'y rattachant. J'entre dans son jeu :
- Oui t'est une sacrée salope et t'es vraiment bonne. Ton cul serré est extra.
- Je suis la meilleure ?
- Oh, j'en connais qui sont aussi chiennes que toi et encore bien plus.
Ma remarque la vexe, l'effet escompté a fait mouche.
- Qui donc, dis-moi ?
- Certaines putes pros qui sont bien plus salopes que toi.
Je lance cela à l'aveugle, car tout compte fait j'ai assez peu eu recours aux services des femmes qui vivent du commerce de leur corps.
- Ah bon. Tu vas voir que je peux jouer à la pute experte.
Du coup elle se trémousse sur ma queue profondément entrée en elle.
- Tu vas voir, mon cul il va te faire jouir comme aucun autre. J'adore m'y planter toutes sortes d'objets.

Je veux bien la croire, car durant toute l'introduction, elle n'a pas émis le moindre couinement de douleur. Pourtant, le fourreau est étroit et m'enserre divinement la queue. Soudain elle s'immobilise, me fixe dans les yeux. Je regarde son corps, ses beaux seins mouvant, sa main qui vient caresser son clitoris et entre le bouton érectile et ma verge, la vulve ouverte comme un fruit trop mure.
- Tu aimes le spectacle : de voir mon con bien ouvert, ta queue qui entre dans mon cul, mes nichons qui ballottent...
Moi qui adore voir les femmes en pleine action, je dois dire que je suis aux anges.
- Elle est bien ta queue dans mon cul ?
Elle a remarqué que ses paroles crues m'excitent au plus haut point, aussi elle en rajoute et m'allume par ses propos :
- J'adore l'anal. J'ai une jolie collection de sex-toys. Parfois je vais bosser avec un joujou dans le cul. Ca m'amuse d'aller dans des bureaux avec pleins de mâle et de sentir dans mon cul ou dans mon con un objet alors qu'ils n'en savent rien. Ou en réunion avec mon gros pervers de patron, j'ai l'impression qu'une queue s'agite en moi. La sensation est sublime.

A présent elle ondule légèrement du bassin, ce qui nous fait gémir tous les deux. Elle vient m'embrasser fougueusement, par son mouvement, mon sexe sort légèrement de son fourreau. Lorsqu'elle se redresse, elle le ravale d'un coup. Elle opère des va-et-vient en montant puis redescendant sur ma queue tout en me racontant des choses obscènes sur son sexe, sur son cul, sur ses nichons.
Je l'accompagne dans les propos salaces :
- C'est bon. Oh oui, ma salope.
- Défonce moi le cul, vas-y, encule moi à fond.
Je ne me le fais pas dire deux fois et j'entame des mouvements amples et profonds dans son anus. Je lui lance des insultes qui l'excite comme
- Chienne, pute, t'es bonne...
Elle continue à se caresser et fait tout pour que je profite du spectacle : elle se masturbe tout en s'activant sur mon sexe qui entre et ressort d'elle. Je ne fais plus aucun mouvement : je subis un divin supplice. Je tente de ne pas jouir trop rapidement, mais l'excitation monte. Elle le voit bien et accentue son jeu pervers. Elle s'introduit un doigt dans la chatte, le sort couvert de mouille et le porte à ses lèvres. Elle renouvelle l'opération et le doigt à nouveau couvert de cyprine, elle le présente devant mes lèvres. Je goûte à cette liqueur comme s'il s'agissant de l'ambroisie des dieux.
Ma respiration devient de plus en plus courte, elle sait que je vais jouir, que je vais lâcher mon foutre dans son anus.
Soudain, c'est elle qui a un orgasme la première, une fulgurance à laquelle je ne m'attendais pas tant elle semblait dominer la situation. Je ne veux pas me déverser en elle, je la renverse, je me retire du fourreau étroit.
Je me branle vigoureusement et c'est sur sa chatte glabre, son ventre et ses seins que je déverse ma semence. Je parcours son corps du bout de mon sexe pour étaler la semence en m'attachant particulièrement à sa poitrine.


Le lendemain, lorsque je quittais Evelyne et Boris, je savais que jamais plus je ne reverrais Evi et je décidais de quitter l'Allemagne au plus vite pour revenir en France. Mettre une croix définitive sur cet épisode de ma vie.

J'avais perdu la femme que j'aimais, avec qui je me voyais déjà faire un bout de chemin. Le seul point positif, c'est qu'en l'espace de quelques mois j'avais connu de nouvelles pratiques sexuelles et que j'avais progressé dans la langue allemande d'une façon inespérée.

Pourtant, avant mon retour en France, je suis passé par la Belgique...