Chemin de Jacques : 5- Allemagne

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Proposée le 6/08/2012 par CAVAL

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Résumé : Après son passage aux Etats-Unis et en Angleterre, Jacques poursuit son périple professionnel à travers les pays.


5. Allemagne

Je fis ensuite escale de deux années en Allemagne où là je n'eus qu'une seule copine, Evi, mais pas qu'une seule partenaire de jeux sexuels. Je connus cette fille lors d'une soirée d'entreprise. Elle ne travaillait pas dans la même entreprise que moi, mais chez un de nos clients qui vint avec lui comme secrétaire. A mon avis, le patron en question n'aurait pas été contre le fait que sa secrétaire lui propose des services non inclus dans son contrat de travail, mais elle ne s'y plia jamais.

Je fus tout de suite attiré par cette belle fille, blonde aux yeux bleus et aux formes généreuses. Sous son chemisier se dessinait une poitrine tout en rondeur et, à en juger par la forme de sa jupe, un fessier du même tenant. D'ailleurs je n'étais pas le seul à la regarder ; lorsqu'elle passait, les regards des hommes la suivaient et se polarisaient sur sa croupe et sa chute de rein.

J'arrivais à entrer en contact avec elle. Ma connaissance de la langue de Goethe était très limitée, ce qui ne me gênait pas pour le travail étant donné qu'entre collègues nous parlions le plus souvent en anglais. Heureusement, Evi parlait le français, ce qui permit de converser librement au cours de cette soirée. Je m'aperçus que, malgré un accent allemand, elle maniait la langue de Molière de façon admirable comprenant jusqu'aux mots d'argots, ceux qui ne figurent pas dans les dictionnaires et même, c'est beaucoup plus délicat, les jeux de mots.

A l'issue de cette soirée où ne nous pouvions pas nous isoler, elle me laissa ses coordonnées et je l'invitai deux soirs plus tard dans un restaurant afin de la découvrir plus librement. Le contact fut réellement positif. Je sentais bien qu'Evi n'avait rien à voir avec mes amantes britanniques, qu'elle faisait fi des complexes, qu'elle était ouverte d'esprit et qu'avec elle j'allais pouvoir nouer une relation franche et sans malaise. Mais je ne voulais pas précipiter les choses. Donc je la déposai en bas de chez elle. J'aurais aimé qu'elle m'invite à finir la soirée chez elle, mais ce ne fut pas le cas. D'un autre côté c'était un bon point pour elle. Une femme qui cède sans aucune retenue à un homme, manque selon moi de saveur. Lorsque je courtise, j'aime qu'il y ait un minimum de résistance, ce qui permet de faire des efforts pour arriver à mes fins. Lorsque la proie tombe sans défense, la conquête est moins plaisante, moins satisfaisante.

Heureusement, mon attente ne fut pas très longue. Lors de notre second rendez-vous, après le restaurant, nous avons poussé un peu plus loin la découverte l'un de l'autre dans son lit. Grâce à sa spontanéité, sa joie de vivre, la volonté de saisir l'instant présent, j'ai fait l'amour avec elle dans une insouciance totale, sans penser à ce que j'accomplissais, laissant aller mon corps contre elle et mon membre en elle. Elle était dans le même état d'esprit ; alors qu'on ne se connaissait que depuis peu, elle se donna à moi sans aucune gêne ni pudeur, avec un naturel qu'elle ne forçait pas.

Oui, cela me changeait de mes trois amies britanniques qui étaient plus réservées, parfois même pudibondes ou prudes lorsqu'il s'agissait de simple nudité ou de sexualité. Non Evi, lorsqu'elle se mit nue devant moi, elle le fit avec naturel, sans la moindre crainte, comme si cela était normal, comme si nous nous connaissions depuis plusieurs mois. Pour elle, si j'étais monté chez elle, c'est pour que nous fassions l'amour, il n'y avait pas le moindre doute, la moindre hésitation. Il n'y avait aucun quiproquo. Elle le voulait et j'étais sur la même longueur d'onde.

Et puis Evi, aimait le sexe, elle adorait faire l'amour. Et comme la meilleure tenue pour faire l'amour, c'est d'être nu, elle n'avait aucune crainte de montrer son corps sans vêtement, comme à sa naissance. Pour elle, les habits étaient une norme sociale obligatoire et une manière de se protéger du froid ou de la pluie ; mais en aucun cas une parure. Elle se trouvait bien, nue, lorsque la porte de son appartement était close. Notre première nuit fut à la fois magnifique et éprouvante pour moi, puisqu'elle voulait sans cesse qu'on remette le couvert. Je n'avais pas le droit à une quelconque faiblesse. Elle s'agenouilla devant moi et baissa en un seul mouvement mon pantalon et mon slip. Elle regarda ma queue encore un peu ramollie et la prit en bouche sans autre forme de procès. Cela me manquait tellement que j'ai éjaculé dans sa bouche. Elle avala tout mon foutre sans rechigner alors que je m'attendais à une réaction négative.

Lorsque je partis à la découverte de son sexe, elle ouvrit les jambes au maximum et me laissa aller et venir le long de sa fente. Sa petite chatte blonde se limitait à une fine toison au-dessus de ses lèvres, qui étaient dénuées de tout poil. C'était une vraie blonde. L'absence de pilosité me permis de découvrir le clitoris sans peine. Lorsque je me mis à sucer son bouton d'amour, elle commença à pousser des petits cris suivis d'une plainte. Je ne me lassais pas de sucer ces muqueuses humides, mais je sentais que mon excitation était trop grande, que si je voulais faire coulisser ma hampe en elle suffisamment longtemps pour lui procurer un orgasme, il ne fallait pas que je tarde.

Je mis donc un préservatif et présentai mon gland devant les lèvres ouvertes. J'allais la pénétrer lorsque je vis mon sexe englouti. Eva avait fait un mouvement du bassin, faisant entrer ma verge en elle. Je n'eus plus aucune hésitation et je poursuivis l'introduction, allant au plus profond de ce vagin accueillant et parfaitement lubrifié. Mes va-et-vient à l'intérieur de ce sexe étaient d'autant plus intenses qu'Evi m'accompagnait dans la chevauchée endiablée qui nous emporta tous deux vers l'orgasme.

Elle me fit visiter plusieurs positions du kamasoutra en me gratifiant de magnifiques fellations pour me redonner une vigueur parfois défaillante et une rigidité parfaite. Que mon sexe soit maculé de sperme ne lui posait aucun problème. Elle enlevait le préservatif de telle manière à ce qu'il reste un maximum de ma semence sur ma verge, puis l'appliquait à la nettoyer avec la langue avant de me sucer à nouveau.


Pour notre troisième rencontre, c'est directement vers le lit que nous nous sommes dirigés, pour partir à la découverte de nos corps. Je la caressais avec délectation tandis qu'elle en faisait autant. Je m'attardais longuement sur ses seins généreux jusqu'à ce qu'ils durcissent. Leurs pointes étaient outrageusement étirées et j'avais envie de les sucer comme un nouveau né. Alors que j'approchais la bouche de sa chatte aux poils très fins, elle s'empara de ma queue déjà bien dressée. Elle la branla doucement, avant de parcourir les moindres détails du gland avec sa langue. Quant à moi, je commençais à lui lécher ses lèvres vaginales tout en cherchant le clitoris. Il ne tarda pas à sortir de son étui et je pus tout à loisir le léchouiller, le mordiller, m'amuser avec lui pour donner un maximum de plaisir à ma partenaire qui à présent avait enfourné mon sexe au plus profond de sa gorge et faisait des aller et retour stimulants.

J'ai glissé deux doigts dans son vagin tandis que je léchais alternativement ses lèvres humectées de cyprine et son clitoris bandé comme une petite verge. Je sentais que je n'allais pas pouvoir tenir bien longtemps, aussi je me suis dégagé de son étreinte pour venir investir son ventre de mon membre. Il entra en elle sans difficulté et elle émit un soupir de contentement alors qu'il coulissait entre ses lèvres et dans son fourreau humide. J'entamai alors des va-et-vient délicieux en elle. Mais la position du missionnaire étant trop conventionnel, nous avons opté rapidement pour une autre posture. Je la pris en levrette ce qui lui procura des sensations puissantes qu'elle accentuait en modifiant l'angle de son bassin allant d'avant en arrière. Mon instinct de mâle dominateur était comblé dans cette position où je voyais ma verge pénétrer dans les chaires serrées et chaudes. Afin de ne pas exploser trop vite, je me ménageais quelques poses dans mes mouvements tout en restant dans les tréfonds de ma belle Evi. Malgré la profondeur de ma pénétration, elle était toute à sa jouissance et ne semblait ressentir aucune douleur, ni aucune gêne.

Elle se retira et approcha sa bouche de ma verge, qu'elle « décapota », pour la prendre en bouche. En quelques secondes, je sentis que j'allais partir et voulu la prévenir, mais elle s'agrippa à ma verge. Je jetai ma semence qu'elle recueillit jusqu'à la dernière goutte. Ce qui avait été un accident la première nuit, était devenu un jeu délectable pour elle. Elle ne rouvrit les lèvres que lorsque mon dernier jet fut lancé. Elle avala avec difficulté tout ce sperme en essayant d'en perdre le moins possible, comme s'il eut s'agit d'ambroisie. Puis elle vint me nettoyer la verge avec sa langue, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus ni cyprine, ni sperme.

Ce n'est qu'après quelle me gratifia d'un admirable sourire de contentement.

Ce qui me plaisait aussi chez Evi, c'est son rapport avec la nudité. Elle restait nue et sans pudeur au saut du lit ou en sortant de la salle de bain. Il y avait même une sorte d'exhibition dans son attitude. Elle était si belle apparaissant dans un rayon de lumière avec sa poitrine à la fois ferme et ample, les tétons bougeant au rythme de sa démarche féline, son ventre plat et musclé, sans graisse, mais sans non plus montrer des côtes disgracieuses de mannequin souffrant d'anorexie, avec une peau d'une douceur divine. Elle exhibait sa délicieuse petite chatte blonde, peu fournie dont elle prenait grand soin en le shampouinant avec des produits à base de fruits, donnant à ses poils l'odeur tantôt de banane, tantôt de fruits rouges ou exotiques, provoquant à chaque fois une nouvelle découverte pleine de surprise. En dessous de cette parcelle de blé mur, on trouvait une vallée encaissée qui parfois s'ouvrait naturellement sans qu'elle s'en aperçoive, mais dont je ne manquais jamais d'apprécier le spectacle, par exemple lorsqu'elle se déshabillait, qu'elle enjambait le lit, se déplaçait en écartant les jambes. Ses jambes, justement, elles étaient fuselées, d'un galbe parfait, longues et effilées. Lorsqu'elle se retournait je ne pouvais qu'admirer les globes charmants de ses fesses qu'elle avait fermes et bien dessinées. Lorsqu'elle se baissait, c'est une nouvelle fois sa vulve dénuée de tout poil qui s'offrait à mon regard, juste sous son postérieur. Elle n'ignorait pas que je me complaisais à l'observer, que je me repaissais de son anatomie. Pourtant, elle ne faisait rien pour se dissimuler, pour éviter de m'en faire trop voir. Je suis même persuadé que la belle, la peu farouche Evi, jouait avec moi en faisant monter mon désir et ponctuant son parcours de pauses inconvenantes qu'elle aurait pu éviter.

Tout ceci m'excitait au plus haut point. Je partageais donc avec elle cette joie d'être nu à tout moment de la journée dans son appartement. Je me déshabillais dès que nous y arrivions et ne remettais mes vêtements que pour sortir. Parfois elle se moquait de mes érections qui auraient pu être fâcheuses devant quelques jeunes filles trop prudes, mais que finalement elle trouvait très opportunes. C'est ainsi que je fis l'amour à Evi dans toutes les pièces de son appartement. Dans la cuisine en la couchant sur la table, moi assis sur une chaise où j'étais à parfaite hauteur pour lui lécher la chatte et pour ensuite, me relevant, la prendre à la hussarde. Dans la salle de bain, couchés sur le carrelage entre la douche et les toilettes ou sous l'eau de la douche lorsque je la plaquais sur le calage du mur. Dans la salle de séjour sur le canapé, sur un fauteuil ou sur un tapis qui ne craignaient pas les taches. Et naturellement dans sa chambre où nous nous sommes livrés à une relecture du kamasoutra. Elle alla même acheter cet ouvrage dans une librairie du centre-ville :

- Tu aurais vu les figures à la librairie. Il y a déjà eu le jeune vendeur à qui j'ai demandé où je pouvais trouver cet ouvrage. Il n'en menait pas large, je crois que je l'impressionnais. Il m'a conduit jusqu'au rayon en question sans être capable de prononcer un mot.
- C'est parce que tu lui demandais cet ouvrage. Si tu avais demandé les ?uvres complètes de Goethe, il n'aurait pas eu la même réaction.
- Sans aucun doute. Quant au vieux monsieur à la caisse, il est devenu plus blanc qu'il n'était, si cela était possible, et a bafouillé le prix.
- Je suppose que tu le gratifias d'un large sourire.
- Naturellement. Dans son regard il y avait comme une réprobation, du genre : « Je n'accepterais pas que ma fille lise un tel ouvrage. »
- Oui, mais tu n'es pas sa fille.
- Si ça se trouve, sa fille fait bien pire.

Nous n'avons pas fait toutes les positions prônées par le célèbre ouvrage et nous avons vite abandonnées celles qui sont acrobatiques, difficiles à tenir et qui n'apportent pas une jouissance extrême genre java, l'union en suspension ou la ruade. Non ce que nous aimions le plus c'était les sensations délicieuses que je procurais à Evi, lorsque je m'enfonçais en elle en alternant des coups profonds, lents, rapides et superficiels en changeant l'angle de pénétration pour que ma partenaire se sente totalement investie par mon sexe, sans pour autant l'irriter. Dans certaines positions celle-ci était véritablement clouée sur le matelas sans pouvoir exercer aucun mouvement ni des hanches ni des cuisses, pas même une rotation du ventre. Dans d'autres positions, c'est elle qui prenait le contrôle des opérations venant s'empaler sur mon sexe tendu à l'extrême. Nos rapports charnelles furent, dès nos premiers ébats forts et d'une sensualité hors du commun.

- Avec toi, me dit-elle, je crois avoir trouvé l'homme qui sait me satisfaire parfaitement sexuellement.
- Toi aussi, tu es une femme exceptionnelle. Tu sais tant donner et tu acceptes de recevoir tant que s'en est difficilement croyable.
- On de dit pas dans ton pays que les filles comme moi sont bonnes.
- On peu le dire, mais cela ne fait pas partie de mes expressions favorites. On dit aussi BAB.
- Ce qui veut dire ?
- Bonne à baiser. Ce que tu es ma chérie.

Ce que certaines femmes auraient pris pour une insulte, elle le prit pour une qualité.

Elle aimait par-dessus tout les jeux sexuels et nous formions un duo parfait en la matière. Elle acceptait toutes mes caresses, toutes mes initiatives sans broncher. Ainsi je n'eus pas besoin de beaucoup la convaincre pour qu'elle accepte que je la sodomise. Elle y trouva du plaisir et ensuite c'est elle qui me demandait de la prendre par derrière. La seule obligation pour moi était de l'avoir fait jouir par une pénétration classique avant d'avoir accès à son anus serré et malgré tout accueillant.



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