Les chemins de Caprice - La pizza de Caprice (Suite et fin)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 12/04/2011 par Delagrangedelest

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Mon jeune livreur était maintenant allongé sur mon lit. A ma merci. J'étais très excitée par ce jeune corps, légèrement bronzé, frêle et imberbe, même au niveau du pubis. Son sexe se tenait à la verticale, pointant son extrémité vers le plafond. Cette situation me rappela une scène d'un film porno vu sur internet où une femme avait immobilisé son partenaire, pour en profiter pleinement. Faute de menottes, je prie des mouchoirs. Inquiet, le garçon n'esquissa aucun geste lorsqu'il me vit lui attacher ses poignets aux barreaux du lit. J'en fis de même avec ses chevilles. Ecartelé, il était tout à moi. Je me mis à genoux entre ses jambes et je lui caressais l'intérieur des cuisses. Sa verge était tendue, quasiment prête à expulser son sperme. L'une de mes mains massa ses bourses. Je fis rouler ses testicules entre mes doigts, tandis que de l'autre, j'astiquais son pénis, très lentement, sans le serrer. Il se mit à gémir et à se tortiller, mais il était ravi de participer à ce jeu érotique.
- Tu aimes ça, hein ? Et me voir à poil, sans pouvoir me toucher, t'excite. Désolée, mais c'est moi qui va mener la danse.
Ne voulant pas prononcer le moindre mot, de peur que j'arrête, mon étalon de 17 ans n'allait pas tarder à jouir. Quelques aller et retour supplémentaires, et il m'arrosa les doigts. J'essuyais mes mains sur son ventre. Mon sexe était trempé, mais le sien avait débandé. Je me levais et j'allumais une cigarette. Il fallait qu'il reprenne des forces. Debout, jambes écartées, je le laissais me regarder, sans bouger. Je vis sa verge se redresser progressivement. Ses yeux dévoraient mes seins, mes cuisses et surtout mon sexe, que j'ouvrais de mes doigts, pour qu'il puisse y voir l'intérieur.
- Eh bien ! Tu en veux encore? Ma parole, quel tempérament'
- Détachez-moi s'il vous plait. Je voudrais vous toucher?
- Ah non ! C'est moi qui mène les débats. D'accord ?
- Oh oui? Continuez?
Je reprenais sa verge, mais cette fois avec ma bouche et sans l'aide de mes mains. Je m'appliquais à lui faire une douce fellation, insistant sur son gland et titillant, avec la pointe de ma langue, son méat. Il recommença à gémir et ne put se contrôler. Sa seconde éjaculation envahit ma gorge. Mon manque de pratique me fut fatal et j'en avalais une partie.
- Petit cochon' Faire ça dans ma bouche. Je vais te punir?
- Pardon' Pardon'
Malgré qu'il ait éjaculé, sa verge, cette fois, restait au garde-à-vous. Il était temps que j'en profite. Ce jeu m'avait très excité. Vite, je la couvrais d'un préservatif, puis je la guidais vers ma fente, parfaitement lubrifiée. Elle y entra facilement. Je trouvais sans mal les bons mouvements pour bien la faire coulisser en moi. J'imprimais mon propre rythme, tantôt lent, tantôt rapide. Voulant probablement m'aider, mon jeune amant se mit à donner maladroitement, de grands coups de reins, ce qui accentua mon plaisir. Tout en bougeant, je frottais mon clitoris turgescent avec deux doigts. C'était fabuleusement bon et pour lui aussi, car il lâcha, encore une fois, sa semence. Il me fallut que quelques minutes, pour également connaître, un somptueux orgasme, qui me fit m'écrouler sur son torse. Satisfaite, je le détachais. Il s'appelait Paul et tel un preux chevalier, il me fit cadeau de ma pizza, qui maintenant, devait être froide.

FIN