Ma nuit torride avec Maryssa (partie 2)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 17/01/2011 par Blondy16

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Après m'avoir lécher la verge (lire le chapitre 1), elle l'engoutit dans sa bouche. Elle suca tellement bien, trop bien... Elle entourait mon gland de sa langue puis enfoncait ma verge plus loin, suivit ce manège, puis changea de technique... Elle me suçait sans mains, pronfondement, avec sa main, beaucoup de coups de langues, elle embrassait encore mon gland... je n'en pouvais plus elle était trop bonne.

Je la pris par les hanches et lui dit que c'était à mon tour de m'occuper de sa chatte. je la fit glisser au bout du lit ou je m'agenouillai. J'écartai ses jambes douces de chaque coté de mon visage et commençai à la lecher sur son sexe. J'appuyai ma langue plus fort, la bougeant de bas en haut et de haut en bas, puis je la tournai autour de son clitoris, elle commença alors à soupirer.
Je m'acharnai sur son clito tout dur et fit bouger ma langue très vite, de haut en bas, puis de droite à gauche... Elle se crispait parfois, gémissait, et je savourai chaque signe de plaisir.
Alors que je sentais que son plaisir grimpait de plus en plus vite, je la pénétrai d'un doigt, très profondement, elle poussa un cri étouffé.
D'une main, je tirai la peau en haut de sa chatte pour reveler son clitoris... Je ne cessai de le lécher, il était trop bon. De l'autre main, j'entrepris de la pénétrer de plus en plus vite et de plus en plus fort, elle respirait maintenant très fort et son corps valsait sous l'effet du plaisir. J'entrai alors un deuxième doigt dans son vagin très serré et je les courbai un peu vers le haut. Ma langue bougeait encore aussi vite que possible sur son clitoris et elle gémissait de plus belle. Je savais que j'étais près de réussir à lui donner un orgasme alors je continuai sans répit mes mouvements rapides et alors qu'elle poussa de longs soupirs je sentis son vagin se resserer autour de mes doigts. J'y arrivais, elle cria : OHHH Ouiiii ! OHH Ouiiiii continue surtout n'arrete pas ! Je vais venir ! et je sentis un petit jet chaud m'éclabousser la bouche et le visage. Elle tenta de me stopper mais je voulais qu'elle ne jouisse encore sur moi... Je pris ses petites mains et les empechai de bouger. Je collai ma bouche très fort sur sa chatte et lechai son clitoris encore plus fort. Mon autre main était encore en train de la pénétrer. Il ne fallut que quelques secondes pour qu'elle ne me gicle encore un visage dans un grand cris. Tout son corps s'était crispé et elle vibrait de bonheur.

Elle n'en pouvait plus, elle voulait que je la baise et moi aussi je n'en pouvais plus, un seul regard et nous nous sommes compris.

Je me suis collé sur elle et je l'ai pénétré de ma verge en érection... Elle a tout de suite commencé à gémir. Je la penetrai de plus belle, plus vite, ensuite plus lentement, plus profondement. Ses ongles me serrèrent le dos, sa bouche m'embrassait le coup, ses cris m'exitaient encore plus. J'aimais lui faire du bien, j'aimais la faire gémir, soupirer, hurler...
A chaqun de mes coups de bassin une nouvelle sensation, j'alternais les positions, enchainait mes changements de vitesse... Nous jouissions presque en tout temps, c'était tellement bon...

Puis alors que je sentais que j'allais bien exploser en elle, que je démena, lui affligeant des coups de plus en plus forts, de plus en plus rapides, elle criait, criait... Et puis elle jouit encore sur moi, un liquide chaud coula sur la base de mon pénis et sur mes cuisses, c'en fut trop et je jouit à mon tour, comme je n'avais jamais joui avant, je me sentis m'envoler, j'étais ailleurs durant un court instant.

Il ne fallut pas beaucoup de temps pour que nous nous endormissions, épuisés, mais satisfaits comme jamais auparavant.