Les vacances d'Adeline - 3

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Proposée le 26/12/2010 par Jul75

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Lire le chapitre 2.

Adeline aurait aimé que Rémy vienne la chercher en voiture, malheureusement elle sait qu'il est, depuis hier, occupé à préparer le départ, lui et son père. Et puis tant mieux, se dit-elle, si sa mère voyait qu'elle partait au camping avec un garçon elle l'enfermerait. Pire, si elle savait que sa fille ne partait en fait pas au camping avec Sandra, mais dans le Sud, au soleil, avec son petit copain Rémy... Elle préfère ne pas y penser, ses parents y ont crû et ils y croient toujours !

Il fait vraiment très chaud. Cette fois ce n'est pas un mensonge, sa veste la fait suer comme jamais. "Marcher en débardeur avec une chaleur comme ça, le tissu collant la poitrine ? Déjà que tous le monde me lorgne les hanches" Pensa Adeline. Elle se réjouit de savoir que, bientôt, elle sera sur le sable seulement en maillot de bain. Que c'est agréable. Elle préféra, de ce fait, conserver sa veste. "La veste ?!" S'écria t-elle. Et en effet, elle avait laissé ses vêtements, les preuves, sous le lit. Que faire ? Elle prit son téléphone et appela Eric, la peur lui noua la gorge.
Mais Eric demeurait serein, ce qui d'ailleurs n'était pas vraiment dans ses habitudes.
La conversation s'acheva sans aucune péripétie.
Arrivée chez Rémy, lui et son père semblaient accorder une valise, la dernière, sur la voiture.
Ils s'embrassèrent. Elle discuta un moment avec Audrey, la mère de Rémy, en attendant que les garçons, Rémy et Jérome, le père, aient fini.
Une demi-heure après son arrivée, Adeline, et les autres, montèrent dans la voiture. Jérome tourna la clé de contact.
Quelques heures plus tard, cinq peut-être, ils étaient arrivés.

Les portes claquèrent. Ils étaient stationnés dans un parking souterrain, l'air frais, donc, leur fit le plus grand bien et les aida à oublier cette chaleur et cette odeur de la voiture.
- Ça chlingue putain, commenta Jérome.
- Au moins personne n'y touchera ! Répliqua Rémy pour plaisanter.
"Ça chlingue !" En voilà une phrase qu'Adeline ne pourrait pas prononcer avec sa mère constamment sur le dos. C'est les vacances et va falloir en profiter.
Une fois tous prêts, valises et autres en mains, ils quittèrent le parking privé pour rejoindre une demeure à quelques minutes d'ici.
Jérome criait sa haine contre ce soleil qui le carbonisait, Rémy n'arrêtait pas d'en rire.
Audrey, la mère, restait calme, son mari était plus agaçant que ce soleil insupportable. Elle connait bien Jérome, il s'est toujours dépensé à fond pour elle et pour Rémy, il ne se plaint jamais en dehors des vacances. Jérome est un homme qui sait gérer sa vie : A son emploi il fait son job, à la maison il s'occupe du bien être de la famille, en vacances il se laisse aller. Et vacances ou pas vacances, la nuit, il entre en transe et sa femme ne peut qu'en être satisfaite.

Audrey se souvient de toutes ces fois où ils firent l'amour, impossible d'oublier de tels moments..
La veille, comme tous les ans, le jour précédent le départ, il lui fait l'amour toute la nuit pour la préparer à ce qu'elle va devoir subir durant les deux semaines. Une tradition dans leur couple.
Audrey s'y était préparée, elle est restée nue sous la couette en faisant semblant de lire un roman. Elle sait qu'il aime la prendre par surprise, la pousser contre un mur, sur une table, sur les escaliers... Du moment qu'elle ne s'y attend pas. Là, étant allongée, elle s'est demandée comment allait-il la surprendre.
Il s'est avancé par derrière, sans un bruit, avec dans la main ce qui semble être un godemichet. Il s'est tenu près du lit, prêt à lui sauter dessus, son sexe était en érection et semble avoir été lubrifié. Elle, de son coté, lisait son bouquin, couchée presque sur le ventre.
Jérome bondit brusquement sur le lit. En même pas deux secondes il dégagea le livre, la couette et essaye de la dévêtir, elle est nue et il se trouve débile à chercher un vêtement. Il lui mit le godemichet dans la bouche, tout en empoignant son sexe qu'il lui enfonça après lui avoir relevé la jambe.
Audrey savait qu'il ferait quelque chose, mais elle n'a pas réussi à anticiper. Tout est parti si vite. Sa bouche est remplie d'un sexe artificiel avec lequel Jérome simule une fellation, bien brutale d'ailleurs. Sa grotte s'est fait envahir, et sa jambe est en l'air.
Jérome grogne de plaisir et l'oreille d'Audrey en est assomée. Et malgré sa bouche comble, on perçoit des gémissements. Elle arrive à recracher le faux-sexe qu'elle a dans la bouche en lâchant un râle de plaisir.
- Ooohh! Putain !! Dit-elle dans un cri rauque.
Elle attrape sa jambe par réflexe. Jérome, la voyant tenant elle même sa jambe, une sorte d'invitation à la pénétrer plus fort, se passa le godemichet dans la main droite. Il retira aussitôt son sexe qu'il a en elle pour lui plonger le gode à la place. Quant à son sexe, il ne prend pas l'air, il le plonge entre les fesses de sa femme.
Audrey était prise en double pénétration, ça n'a rien de nouveau, son mari lui a déjà fait le derrière et l'avant avec deux godemichet. Mais la puissance qu'il arrive à donner à ses mouvements, la sodomie et la pénétration du godemichet en total synchronisation et à rythme constant, font jouir sa femme.
- Continue ! Gémit t-elle sans s'arrêter.
- T'aime ça, einh ! Lui soupire son mari.
Elle aimerait répondre qu'elle en raffole, qu'elle en veut plus, mais ces deux sexes en elle ne lui permettent d'exprimer que de simples mots.
- Ui, ui ! Pousse t-elle entre chaque gémissement.
Il lui empoigne maintenant le sein et le presse dans sa main gauche. Audrey est soumise. Mais ça ne lui suffit toujours pas, elle glisse une main à la rencontre du godemichet pour se caresser, mais elle perd l'équilibre et s'effondre sur le ventre sur le lit.
Jérome ne perd pas de temps, il lui relève les hanches et lui pénètre le derrière à nouveau. Cette fois, par contre, vus la position, il a du mal à lui faire le minou. Quelle fut sa joie quand la main de sa femme s'empara du godemichet pour se le mettre elle-même.
Jérome aime quand sa femme fait des choses cochonnes sans qu'il n'ait à lui demander. Il la connait, il faut juste lui donner un peu de plaisir et elle devient une libertine. Il aime ça.
- T'aime ça, te faire baiser ! Lui lance t-il.
Bien sûr qu'elle aime ça, mais elle ne parvient pas à répondre, elle essaye mais ses mots ne sont que des cris de plaisirs. Quand elle sentit les deux mains de son mari se poser sur ses fesses avec tant de fermeté, elle comprit qu'il allait exploser. Et elle aimerait que ça ne soit jamais le cas, elle aimerait sentir ce sexe dans son derrière toute sa vie, et il suffirait qu'elle le lui dise et il pourrait se retenir; Jérome pouvait se retenir à un point hors-du-commun.
Audrey, ne pouvant manifester son désir de faire durer le plaisir, décida de profiter de ce dernier moment à fond. Elle lâcha le godemichet et s'agrippa au lit. Elle se mit à quatre pattes, profitant ainsi d'une plus belle et longue pénétration. Elle hurlait tandis que Jérome donnait les derniers coups de rein.
- Mon cul ! Réussit-elle à lâcher.
- J'te baise le cul, t'aime ça !
Ses râles parlent pour elle.
L'intérieur se remplit. Une quantité de sperme impressionnante envahit le derrière d'Audrey. Jérome poursuit encore ses va-et-vient, il sent son sexe nageait dans le liquide auquel il a donné naissance. Il a l'impression de se faire sucer par cet anus, c'est sensuel et agréable. "Après la baise, comme il dit, rien ne vaut une bonne pipe !".
Il se retire, lâchant ainsi sa femme de son emprise, elle s'écroule et se retourne pour se retrouver sur le dos. Et tandis qu'il lui saisit les cheveux pour lui mettre son sexe sur les lèvres, le message est clair, il attrape le godemichet et lui enfonce dans la vulve. Elle ouvre la bouche et avale le sexe qui commençait à se ramollir, quelques gouttes de sperme s'écoulent dans sa bouche. Étant allongée, elle a du mal à relever sa tête pour pouvoir sucer comme il faut, elle se contente d'emprisonner le membre entre ses lèvres et de jouer avec à l'aide de sa langue. Cette difficulté s'est accrue quand le membre factice a été plus énergique, ses jambes sautillaient, ses seins ballottaient dans tous les sens et son visage était trempé de sueur.
Jérome, la sentant plus excitée que jamais, monte sur son visage. Elle ne voit plus rien mais sent les testicules de son mari sur ses lèvres, elle les embrasse et fait rouler sa langue dessus. Ce n'est que lorsqu'elle sentit une langue sur son sexe qu'elle comprit qu'ils étaient en 69. Le faux sexe s'empara de son petit trou tandis que les doigts et la langue de Jérome s'occupait du mignon minou.
Audrey sentit le sexe de son homme durcir à nouveau. Elle était heureuse de savoir qu'il allait pouvoir lui faire l'amour encore une fois.
Une fois que le sexe viril ait atteint son apogée en matière d'érection, Jérome se releva.
Il se plaça entre les jambes, qu'il écarta, de sa femme. Il prit le godemichet et lui enfonça.
- Nique moi encore ! Dit-elle en se caressant les jambes et en les écartant encore plus.
- J'vais te niquer, y a pas de problème ma chérie. Répond-t-il.
- Tu me baise comme une putain, et tu me dis "Chérie" ? Dit-elle avec un sourire coquin.
Il releva le godemichet, sans le retirer du sexe de sa femme, et vint ajouter son pénis.
Deux sexes dans le même trou. Audrey n'a pas le temps de dire quoi que ce soit, les deux membres sont en elle.
Il remue le godemichet dans un premier temps, puis son sexe, puis les deux en même temps. Il ne fait que remuer.
Audrey ne peut pas s'empêcher de lâcher un cri terrible. "Ma chatte va se déchirer" Pense-t'elle. Des larmes lui coulent sur les joues. Et ce n'est qu'avec le temps qu'elle commence à ressentir un certain plaisir. Les dents serrées, la respiration difficile, les mains sur les seins.
- Vas y ! Pousse-t'elle dans un cri violent.
Jérome arrête de remuer le godemichet mais le maintient à l'intérieur du corps de sa femme, il pénètre le trou jusqu'au fond, puis c'est au tour du godemichet. Tous se fait avec douceur jusque là.
- Putin, vas y ! Hurle t-elle encore une fois.
Jérome entame enfin des va-et-vient, d'abord son sexe puis le faux. Après dix secondes de douceur, il s'active brusquement.
Audrey hurle, et les gémissements de Jérome sont gutturaux.
- Aah ! Crie Audrey, putain ma chatte ! S'efforce t-elle de crier.
Elle pleure en attendant que son mari se déverse en elle, ce qui arriva après quelques minutes.
Il retira le godemichet qu'il balança à sa femme, il lui releva les jambes et donne les derniers coups de rein.
Il s'arrête enfin et tombe devant sa femme, elle a le sexe factice dans la bouche et le vrai toujours dans son intimité.
C'est comme ça qu'ils se couchèrent...

Ils étaient apparemment arrivés, Jérome appuya sur le bouton de l'interphone mais on ne répondit pas.
- Pas encore arrivés, peut-être ! Suggéra Audrey
Elle chercha quelque chose dans son sac à main. Elle lui jeta les clés tandis qu'elle s'asseyait sur une valise.
Jérome tourna la clé dans la serrure et poussa la grande porte, l'une des plus belles demeures apparut.
Adeline qui, il y a quelques semaines, se demandait où aller pouvoir se mettre toute la famille de Rémy : Les oncles, tantes, cousins, cousines et même le frère d'Audrey. C'est ce qui l'a fait hésiter à partir au départ. Mais voyant cette "immense" maison, elle sut qu'elle n'aurai pas à se plaindre de l'espace.
Tous les quatre, ensembles avec leurs bagages, entrèrent dans la propriété...