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Mauvaise influence suite 2

Avec l'accord du mari, la femme accepte la mauvaise influence du débauché qui entreprend de la dévergonder

Proposée le 6/08/2017 par Erty99

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Thème: Femme soumise
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Résumé des épisodes précédents :
Corinne a des fantasmes de soumission, son mari, Philippe, voudrait l'obliger à assouvir les désirs d'autres hommes, sous la mauvaise influence d'un débauché, Karl, ils passent à l'acte Corinne se soumet à lui.


Karl se rendit à la salle de bain. Corinne embrassa la bouche de son mari, lui disant qu'elle avait honte d'avoir joui si fort avec un autre homme que lui. Philippe la rassura en lui affirmant qu'il l'aimait encore plus ainsi. Puis il la fit pivoter et se cambrer, il écarta les fesses que Karl venait de profaner et constata que son œillet n' était pas encore refermé.

- « Tu est vraiment une belle enculée mon amour » dit-il, « Karl a raison, il faut en profiter »

Elle se leva pour aller se laver au moment ou Karl sortait de la salle de bain. Philippe la rejoignit. Lorsqu' ils revinrent au salon, tous deux en peignoirs, Karl était rhabillé. Il les questionna sur leurs pratiques sexuelles, sur leurs envies, leurs fantasmes.

Corinne répondait à voix basse, un peu honteuse, elle avoua son désir de soumission, de faire la putain. Ses orgasmes étaient plus puissant depuis que Philippe était au courant et la baisait (l'enculait) en conséquence. Philippe reconnu que cela lui faisait peur mais qu' il était terriblement excité à cette idée, il évoqua la forte impression qu'il avait ressentie quand le regard de Corinne, se dandinant comme une pute, avait croisé celui d'un black.

Enfin Karl déclara :
- « Corinne, tu est très belle et sexy, je ne demande qu'à m'occuper de toi. Cela fait longtemps que j'entend Florence me faire des confidences sur toi et que je t'observe. Je comprend que tu souhaite vivre une expérience de soumission sexuelle. Cela vient de commencer...et je suis convaincu que tu ne pourra désormais plus t'en passer tant tu y a pris du plaisir. »

- « Il faut que tu sache que je vais te transformer en une pute docile et disponible car tel est ton désir. Es tu vraiment prête à te soumettre ?

- « Ou...Oui, répondit Corinne, je fais de moi ce que tu veux, j’ai bien ce fantasme qui m'obsède et j'ai le sentiment de vivre beaucoup plus intensément depuis que..., pardon Philippe, je t'aime mais... 

- « C'est aussi la volonté de Philippe, qui ne peut rien te refuser. » coupa Karl, « Pour le remercier je te réserverais à des blacks biens montés ». Puis il continua.

- « Voici les règles : j’exige une tenue appropriée, sans culotte en permanence, robe ou jupe en toute circonstances, sexe et anus épilés, escarpins à hauts talons sauf pour le travail ou les talons peuvent être plus petits . Tu sera une femelle destinée à donner du plaisir. Cela implique que tu accepte les rapports sexuels que je t'imposerai. Corinne, accepte tu ta nouvelle condition ?

- « J’accepte », dit Corinne d'une voix rauque mais résolue.

Karl sortit alors de son sac un godemiché à ventouse, de bonne taille et de couleur noire. D'un diamètre normal à l'extrémité, l'engin s'élargissait régulièrement pour atteindre une section très conséquente à la base. Karl le fixa sur la table basse puis déposa à coté sa « canule lubrifiante » et son lubrifiant personnel.

- «  Tu t'entraînera régulièrement à t'empaler sur cet engin, mais tu te prépareras avant : je veux t'élargir le rectum, pas te déchirer, se seras ainsi plus facile pour la suite » recommanda Karl, tout en pensant « ainsi elle sera sous l'influence de l'aphrodisiaque contenu dans le lubrifiant, elle deviendra addict à la sodomie, si ce n'est pas encore fait ».

- « Maintenant je m'en vais, je reviendrais demain soir, quand Corinne sera rentrée du boulot, si elle m'ouvre, elle m'appartiendra jusqu'au retour de Philippe ».

Il prit congés et s'en alla, laissant les deux époux en tête à tête. Fatigués par le voyage et ce qu'ils venaient de vivre, ils se couchèrent tôt.

Un petit mouvement réveilla Philippe au milieu de la nuit. Corinne sortait du lit. Il l'entendit pénétrer dans la salle de bain et se rendormi. Mais après s'être rafraîchi le visage un instant, Corinne ne revint pas dans la chambre mais gagna le salon. Elle resta un moment figée en regardant avec envie le sexe artificiel dressé sur la table basse.Elle s'empara de la canule qu'elle rempli de lubrifiant, comme elle l'avait vu faire par Karl.

Elle s'accroupit, enduit son anus d'une noix de lubrifiant, le pénétra d'un doigt puis d'un deuxième et le jugeant suffisamment préparé, y enfila la canule avec précaution avant d'enfoncer le poussoir, tapissant ainsi son intestin de lubrifiant. Elle libéra son rectum maintenant lubrifié en profondeur pour le positionner sur la pointe du godemiché. Elle s'y empala, d'abord aisément, puis de plus en plus difficilement au fur et à mesure qu'elle s'enfonçait. La pénétration devenant douloureuse, Corinne arrêta sa progression et commença à effectuer des va et vient sur l'engin, à la recherche du plaisir intense qu'elle avait éprouvé la veille lors de sa première double pénétration. Elle s'imaginait esclave vendue sur un marché. Elle arrêtait sa chevauchée de tant en tant pour essayer de s'enfoncer plus avant.

C'est ainsi que Philippe, réveillé par ses gémissements, la surpris. Les larges fesses de sa femme perforées par cette grosse queue noire l'excitèrent au plus haut point. Il alla chercher son smartphone dans la chambre et revint discrètement filmer son épouse qui ne s'était pas aperçu de sa présence.

Corinne approchait de l'orgasme comme l'attestait ses gémissements. Philippe en pris ombrage : sa femme allait jouir sans lui. Il posa son smartphone et vint se présenter, sexe en érection, devant Corinne qui, après un moment de surprise, le pris en bouche. Philippe se saisit de la tête de sa femme la forçant à avaler toute sa queue.

- « Une pute comme toi doit pouvoir avaler son client jusqu'aux couilles » lui dit-il méchamment

Puis, lui libérant la tête, il mis ses deux mains sur les épaules de Corinne l'obligeant ainsi à progresser sur son pal noir. Le comportement dominateur de son époux et la douleur ressenti par l'élargissement forcé de son anus déclenchèrent chez elle un violent orgasme qui la fit vibrer de tout son corps. Philippe la maintint enfoncée sur le godemiché tout en baisant sa bouche au fond de laquelle il éjaculat. Se souvenant d'une vidéo porno vue avec sa copine Florence, elle ouvrit grande la bouche pour montrer à son partenaire la présence de son sperme puis le déglutit.

- «  Je t'aime ma salope. » lui dit Philippe en l'aidant à se libérer du pal encore figé dans son rectum, puis il l'embrassa avant de la ramener dans la chambre ou il n'eurent aucun mal à ce rendormir.

Philippe se réveilla le premier, partant en déplacement pour la semaine il avait de la route à faire. Il constata les dégâts dans le salon : gode gluant, jets de cyprine, lâchés par Corinne lors de son orgasme, sur la table basse. Il nettoya le tout, prit son petit déjeuner et se prépara.

Sur le point de partir, il réveilla sa compagne pour lui assurer qu'elle était totalement libre de sa sexualité durant son absence. Ils s'embrassèrent une nouvelle fois puis il s'en alla.

Tout en conduisant, Philippe songeait à l'évolution récente de son couple. Pour lui, Corinne était maintenant sous l'influence totale de Karl qui menait la danse. Comment faire autrement puisque en tant qu'époux il n'avait pas su répondre à son désir de soumission. Et ce Karl avait de l'expérience et un charisme certain.

D’un autre côté, sa femme le faisait bander comme jamais : il réalisait lui aussi son fantasme et commençait à la voir comme un objet sexuel. Comme une proie qu'il pourrait dominer lui aussi.

A son levé, Corinne trouva son petit déjeuner préparé. Le godemiché dressé dans le salon lui paru particulièrement obscène et pourtant très attirant. Passant un doigt dans sa fente elle constata qu'elle mouillait et se dit « si je suis une salope, il faut que ma chatte soit aussi élargie ». Bonne excuse pour s'enfiler sur le gode qu'elle chevaucha en essayant de s'enfoncer le plus possible, avec succès. Elle ressenti du plaisir à être ainsi dilatée, mais au bout de quelques minutes, elle constata qu'elle ne pourrait jouir. « Je ne peux plus jouir que par derrière, comme Karl l'a décidé » pensa-t-elle.

Quand vint le moment de s'habiller, elle hésita sur le choix d'un sous-vêtement : nue sous la robe ses seins ballotteraient de trop et elle risquait des taches de sécrétions si elle mouillait. Elle trouva une petite combinaison de soie, cadeau de Philippe, dont la découpe au niveau de la poitrine lui assurait un certain maintien. Elle choisit une robe sage, bien que légèrement moulante, ainsi que des sandales à talon de sept centimètres, pour se donner une apparence de femme honnête et sexy mais ne put s'empêcher d'insister sur le maquillage.

Dans les transports, elle ressenti une certaine gène à se savoir presque nue sous sa robe, mais constata que seuls quelques hommes la regardaient, mais pas plus que d'habitude. Elle constata que maintenant ces regards l'excitait.

Au bureau, la journée se passa normalement, elle déjeuna à midi avec deux collègues femmes, qui lui trouvèrent un air épanoui. Elles lui demandèrent si ses vacances avaient été une nouvelle lune de miel…
Durant l'après midi, elle eu une impérieuse envie de jouir. Elle quitta donc son travail dés qu'elle le put et rejoignit son domicile après avoir envoyer un sms à Karl qui lui répondit : 

- « Je te veux exactement comme hier soir ».

Une fois dans son appartement, elle fit comme son mari lui avait préconisé la veille : nue avec uniquement ses escarpins à talons haut, le cul préparé, sans gel lubrifiant au cas ou Karl voudrait la prendre à sec. Elle refit son maquillage « comme une pute afin de montrer sa disponibilité ».

C'est ainsi que Karl la trouva à son arrivée. Il lui demanda d'abord de tourner sur elle même, puis de déambuler de long en large dans le salon.

- « Tu parais vraiment ce que tu veux être, pas une pute de luxe, tu a trop de rondeurs pour cela, mais une pute qui racole le client sur le trottoir ou dans une maison, comme l'atteste ton choix de maquillage et ta manière de rouler du cul. Je vais t'éduquer dans ce sens. »

Brusquement Karl saisit Corinne et la positionna face au mur, penchée en avant et bras tendus, mains appuyées sur le mur, les jambes écartées et les fesses cambrées. Dans cette position, perchée sur ses talons, elle exhibait de façon obscène sa chatte et son anus, tandis que ses mamelles ballottaient sous elle.

- « Je vais exiger de toi une obéissance aveugle. Je vais donc te donner un aperçu de ce qui va t'arriver si je ne suis pas satisfait de toi. »

Il retira sa ceinture en cuir afin de s'en servir comme d'un fouet. Il lui cingla rapidement les fesses, cinq coups chacune, Corinne serra les dents. Il se déplaça sur le coté pour lui frapper les seins, elle ne put s'empêcher de crier. Puis, revenant derrière elle, il lui fouetta la vulve d'un coup violent qui la fit hurler.

Corinne était en larmes, son maquillage avait coulé. Karl jeta sa ceinture au sol et mit deux doigts dans le sexe de sa victime.

- « Ta chatte est trempée, ce serait dommage que tu n'en profite pas. » et il la mena devant le gode toujours dressé. « Enfile ta chatte sur cet engin, ça te soulagera »

Corinne obéit immédiatement et s'enfonça sur le gode. Elle entama des va et viens, s'appliquant à descendre le plus bas possible à chaque fois car elle savait que son bourreau voulait ainsi lui élargir le sexe et qu'elle ne voulait pas le décevoir par crainte de sa réaction. Bientôt le plaisir effaça les douleurs et elle se mit à gémir.

Pendant ce temps Karl s'était mis nu, avait passé un préservatif sur son sexe qu'il avait ensuite enduit de son lubrifiant. Il poussa Corinne afin de la faire se courber, déposa une grosse noix de lubrifiant sur son anus et le pénétra lentement tandis que Corinne, totalement docile, écartait ses fesses avec ses mains. La pénétration fut douloureuse du fait de la présence du gode dans son vagin, de la taille de la verge de Karl et du peu de préparation, mais Corinne n'osa pas émettre le moindre signe de protestation. Lorsque la queue de Karl fut totalement au fond du rectum de Corinne, il fit une pause, puis la prenant par les hanches, il la bourra avec force tandis qu'elle lâchait ses fesses pour mieux se tenir à la table basse.

Peu à peu, la douleur s'effaça et, maintenant habituée à la sodomie, Corinne gémissait de bonheur et partit dans un orgasme violent dont elle devenait coutumière. Elle tremblait de tout son corps et inonda la base du gode d'un liquide blanchâtre.

Mais Karl n'avait pas joui. Il fit se relever Corinne, et lui demanda de s'enculer elle même sur le gode enduit à la fois de lubrifiant et de cyprine. Elle le fit sans attendre, dans un état second s'enfonçant au plus profond. Comme le matin avec son mari, elle du avaler le sexe de Karl qui, préservatif enlevé, lui viola la bouche, tout en lui étirant douloureusement les tétons. Il jouit rapidement et, comme avec son mari, elle montra à Karl son sperme avant de le déglutir.

Corinne était totalement sous l'influence du pouvoir hypnotique de Karl, rendue addict par la puissance des jouissances que ce dernier lui procurait, avec l'aide de l'aphrodisiaque administré à son insu par voie annale. Soumise aussi de par ses propres fantasmes et maintenant par la crainte que son mentor lui inspirait.

- « Tu apprend vite et en plus tu aime cela. Encore deux où trois séances et je ferais de toi une petite pute bien docile. » Conclut Karl. « Maintenant repose toi dix minutes, démaquille toi, et prend une douche. Tu à besoin de nouveaux sous-vêtements. Je vais t'amener dans une boutique que je connais. »

Karl et Corinne passèrent plus d'une heure dans la boutique de lingerie. Corinne devait être équipée tant pour sa vie publique, en tenant compte de l'absence de culotte et de soutien gorge, que pour sa nouvelle vie érotique. Dans le premier cas elle choisit trois combinaisons soyeuses, une rose et noire, une blanche et une rouge, courtes et maintenant légèrement ses seins. Dans le deuxième cas Karl l'orienta vers deux serre-tailles qui accentuaient la cambrure et descendait bas sur le ventre, mettant en valeur le pubis glabre de la femme. L'un était transparent brodé de dentelle blanche et l'autre noir. Ils y ajoutèrent quelques paires de bas noirs avec et sans couture.

Ils finirent la journée dans un bon restaurant. Karl régla la note, tout comme il avait réglé les achats de lingerie. Il avait alors dit « Philippe me remboursera, à moins que se soit tes passes... »

Par crainte, Corinne n'avait rien dit, mais le passage du fantasme à la réalité commençait à lui faire peur.

Arrivés au domicile de Corinne, Karl ordonna :

- « Je veux que tu soit examinée par un médecin que je connais afin de savoir si tu peux supporter nos séances sans crainte pour ta santé. Demain tu te présenteras à treize heures à l'adresse que je vais te donner. Je prendrais rendez vous pour toi. Tu est aux horaires variables, tu doit pouvoir te libérer »

- « Je mettrais donc des sous-vêtements »

- « Non ! Il sera prévenu que je m'occupe de toi, donc ta nudité ne le surprendra pas. Et tu seras docile avec lui, sinon … En attendant, nous allons dormir ensemble et au matin je te baiserais comme tu aime.»

Au réveil, Karl se leva pour récupérer la canule et le lubrifiant au salon. De retour dans la chambre il se fit sucer la queue par Corinne, puis en 69, lui dessus, il la contraint à une gorge profonde tandis qu'il lui branlait le cul avec la canule après l'avoir utilisée pour appliquer son produit. Quand elle approcha de la jouissance, il la positionna sur le dos, genoux relevés aux épaules et l'encula sans précaution, mais préparée, elle reçu cette pénétration avec l'agréable sensation d'être bien remplie. Par moment Karl lui malaxait les seins, mais surtout observait son visage. Quand il détecta l'imminence de L'orgasme de sa partenaire, il lui dit avec toute la persuasion dont il était capable :

- « C'est la dernière fois que tu prend ma queue dans ton cul sans que tu l'ai vraiment méritée. Dorénavant tu ne l'aura plus que lorsque tu aura été une bonne gagneuse. »

Cette phrase, correspondant exactement à son fantasme, précipita Corinne dans une jouissance intense. Elle eu le temps de répondre :

- « Oui, je ferais le tapin pour toi, je serais une de tes putes  »

Puis elle partit dans les spasmes de l'orgasme, provocant ainsi la jouissance de l'homme, et perdit connaissance un court moment.

Le couple resta effondré sur le lit plusieurs minutes avant que chacun reprenne tout ses esprits.

Ils se préparèrent ensuite pour leurs activités de la journée. Avant de se quitter, Karl rappela à Corinne son rendez vous médical et la prévint qu'il viendrai la chercher à la sortie de son travail.

Toute la matinée Corinne fut préoccupée par ce rendez-vous et eu du mal à se concentrer sur son travail d'autant plus qu'elle ne s'habituait pas vraiment à l'absence de sous vêtements conventionnels.

Quand elle se présenta à la consultation, elle fut accueillie par un homme, la quarantaine, bedonnant et le cheveu rare, mais avec un regard dominateur.

- « J'ai été averti de votre visite par notre ami Karl, déshabillez vous entièrement ».

Baissant les yeux, Corinne s'exécuta sous le regard du médecin qui lui demanda de rester debout devant lui et la bombarda de toute une série de questions sur sa santé puis ses pratiques sexuelles. Quand il eu fini ses questions, il s’approcha d'elle pour lui saisir les deux seins à pleine mains. Il les palpa longuement puis les soupesa. Ensuite, saisissant les tétons déjà érigés entre ses doigts, il les malaxa avant de les étirer en les pinçant jusqu’à ce que Corinne pousse un petit cri de douleur.

Après quoi il invita Corinne à s'installer dans le fauteuil gynécologique. Il mis une paire de gants médicaux, saisit le capuchon du clitoris pour dégager celui-ci et le tritura puis il fit de même avec petites lèvres, les ouvrant et les étirant. Délaissant les lèvres, il enfonça deux doigts dans le vagin trempé de Corinne puis deux doigts de son autre main dans l’anus. Corinne poussa un cri, surprise par la brusquerie de cette pénétration. Par une succession de pressions et de va et vient dans les deux orifices, le médecin procéda à l’examen du vagin et du rectum de sa patiente.

Satisfait de cet examen, l'homme pris un dictaphone sur son bureau et enregistra :

- « Les seins sont volumineux et fermes, bien que légèrement tombant, ils peuvent faire l'objet d'un traitement hormonal local qui accroîtrait leur volume et leur sensibilité. Les tétons sont d’une taille parfaite pour un éventuel perçage. Les petites lèvres dépassent les grandes, des anneaux peuvent y être posés facilement. Idem pour le capuchon du clitoris. Les parois du vagin et du rectum sont saines et suffisamment souples pour supporter des pénétrations volumineuses et répétées. Cependant le rectum devra préalablement faire l'objet d'un élargissement et toujours être préparé par une lubrification. »

Corinne se sentie humiliée et voulu se rebeller, mais elle ne dit rien, se souvenant des propos de Karl sur sa docilité exigée et de la punition qu'elle risquait. Dans un second temps, la pensée d'être marquée par le port d'anneaux aux parties génitales et d'être considérée comme un animal sexuel la troubla.

Avant de quitter le cabinet, le médecin imposa à Corinne une prise de sang et vérifia son rythme cardiaque et sa tension. Elle se rhabilla et regagna son bureau.

L'après-midi fut encore plus difficile que la matinée avec, à la fois, une angoisse sur son avenir sous le joug de Karl et des pensées lubriques tournoyant dans sa tête. Elle du garder un gilet afin que ses collègues ne remarquent pas ses tétons bandés pointant sous sa robe. Par deux fois elle se rendit aux toilettes afin d'essuyer sa chatte trop humide. Comme la veille, en fin de journée elle fut prise d'une forte envie de baise. C'est donc avec impatience qu'elle attendit le sms de Karl l'informant de sa présence.

Quand elle le reçu, elle rejoignit son mentor à son véhicule. Karl lui demanda de remonter sa robe pour s'asseoir à la place du passager, dénudant ses cuisses, qu'il écarta d'un geste autoritaire afin de lui glisser un doigt dans la fente qu'il constata trempée.

- « Tu as besoin que l'on te soulage, je vais te présenter Mocktar. C'est un black très bien équipé, qui saura le faire très bien. De surcroît, quand tu racontera ta semaine à Philippe, ça le fera bander à mort, lui qui te rêve soumise à des blacks. »

Il démarra sa voiture et roula vers les quartiers chauds de la ville tandis que sa passagère restait robe relevée et cuisses écartées. Elle se remémora son exhibition lors du départ en vacances.

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Commentaires de l'histoire :

Chiary
C'est 1 vrai histoire ? Si oui sors tes couilles et fais quelque chose. 1 mec comme Karl est 1 parasite. Enfin perso je suis 1 femme et jamais 1 mec me parlerai comme ça.
Posté le 30/10/2017

VISON
Bonjour Tres belle histoire qui appelle une suite... Et peut etre plusieurs d'autres chapitres tout aussi Erotiques bonne continuation Au plaisir de vous lire J'espère
Posté le 11/10/2017

vanbruje
Excellente suite qui en appelle d'autres... peut être plus rapidement... Merci d'avance
Posté le 8/08/2017


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