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Fichu mal de dos !

Ah ce dos ! Je souffrais le martyr en arrivant chez l’ostéopathe. Heureusement, celle-ci allait me détendre rapidement en me prodiguant des soins inattendus...

Proposée le 31/05/2017 par sorggulp

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


Fichu mal de dos !
Cela faisait maintenant trois jours que la douleur était présente au bas des reins, sournoise, vrillant mon dos.
Je marchais comme un vieillard à présent. Les anti-inflammatoires ne faisaient quasiment plus effets si ce n'est m'empêcher de dormir.
J'avais pris rendez-vous chez l'ostéopathe du quartier ne sachant plus vers quel saint me tourner. Cette douleur était insupportable et minait mon moral.
La séance était prévue à 14 heures. J'avais claudiqué tant bien que mal vers le cabinet situé habituellement à 5 minutes du domicile. Il m'avait fallu le double aujourd'hui pour faire cette distance.
Auparavant, j'avais pris une douche car j'accordais une attention particulière à l'hygiène lors des visites médicales. Pas question d'avoir le moindre doute.
Je savais d'après la voix au téléphone que mon ostéopathe était une femme, une jeune femme semble-t-il. Le son de sa voix était très agréable. Cependant, c'était le seul élément que j'avais au moment où je poussais la porte de la salle d'attente.
J'étais seul, seul un murmure me parvenait de la salle voisine où devait officier mon ostéopathe.
Quelques minutes passèrent puis la porte s'ouvrait tandis qu'un homme sans doute un patient se dirigeait vers la sortie.
Dans la seconde qui suivait, je découvrais le visage de mon ostéopathe.
Il était fin, ses cheveux bruns et lisses étaient attachés en queue de cheval.
Son regard était doux comme la voix qui prononçait mon nom. Elle se présenta sous le prénom de Léa et s'effaça pour me laisser entrer.
Elle devait avoir une trentaine d'année. Sous la blouse blanche, j'apercevais les rebords d'une jupe en tissu gris.
Elle m'invitait à m'asseoir à son bureau ce que je faisais péniblement. Je ressentais une certaine gêne à m'afficher affaibli de la sorte devant une personne inconnue.
-Ah quand même ! constata Léa tout en s'asseyant devant son ordinateur.
-Nous allons remplir rapidement la fiche de renseignements mais je vous invite d'ore et déjà à vous mettre en sous-vêtements, je vous poserais les questions habituelles pendant ce temps.
Cela nous fera gagner du temps.
Je m'exécutais tant bien que mal même si j'avais prévu une tenue facile à enlever.
Chaussures de footing, pantalon de jogging et T-shirt avaient étés préférés au jeans habituel.
Léa tapotait sur son clavier tandis que je me rasseyais doucement seulement vêtu d'un slip gris.
Je réalisais alors que ce dernier était vraiment moulant !
Les douleurs étaient trop fortes pour que je m'attarde sur ce genre de détail.
Les renseignements donnés, Léa m'invitait à m'allonger sur la table de travail placée au milieu du cabinet. Une pièce de papier absorbant était étendue tout le long de la table. Je me positionnais sur le ventre, plaçant mon visage dans l'ouverture spécialement étudiée pour.
Léa réglait la hauteur de la table pour commencer la séance. Ses doigts effleuraient le bas de mon dos. Je me détendais progressivement tandis que Léa cherchait précisément où se situait la douleur. Je sursautais lorsqu'elle pressa un endroit situé au niveau des lombaires.
-Ah ! Je pense avoir trouvé le point sensible. Je vais pouvoir commencer à travailler. Votre dos est complètement tétanisé, il va sans doute falloir une deuxième séance car je ne pourrais pas vous débloquer en une heure. Détendez-vous Monsieur.
Ses gestes étaient très précis. Peu de mouvements mais de longues pressions très localisées.
Léa était assise à ma gauche. J'observais ses chaussures. C'était des escarpins tout à fait ordinaires de couleur noires.
Mon regard remontait à présent vers ses chevilles. Celles-ci étaient très fines tandis que sa jupe cachait les genoux. La blouse blanche dissimulait tout le reste. L'ensemble dégageait une volonté de neutralité.
Malgré cela, mon imagination se mettait en route.
La pièce était d'un calme absolu. Seule la voix douce de Léa me parvenait régulièrement. Elle abordait des sujets concernant le quartier, la famille, l'école.
Tandis qu'elle me parlait, j'essayais d'imaginer ce qui pouvait se cacher sous le tissus de sa jupe. Quel type de sous-vêtement pouvait-elle porter ? Elle semblait d'apparence si sage. Une culotte de coton ? Un string ? Peut-être rien !
Pratiquait-elle l'épilation ? J'imaginais son sexe caché à quelques centimètres.
Plongé dans mes pensées, je sentais l'excitation monter.
Je remuais légèrement le bassin afin de soulager ma queue qui se sentait à présent très à l'étroit.
Les mains de Léa se retiraient de mes lombaires tandis qu'elle me demandait de me placer sur le dos. Je restais pétrifié, le regard fixant le sol.
Je bandais comme un fou et il était évident qu'elle allait s'en apercevoir immédiatement !
Quelle idée aussi de se faire des films de la sorte !
Bref, j'obtempérais tant bien que mal tout en feignant des douleurs plus importantes que celles réellement ressenties
Tout en me retournant, je constatais que la situation était encore pire que je ne l'imaginais.
Le slip étant trop petit à présent, je voyais le gland décalotté qui sortait sous l'élastique tandis que le reste du slip masquait à grand peine les formes de mon sexe en pleine érection.
A ma grande surprise, le fait de me voir ainsi m'excitait encore plus. Ma queue était parcourue de soubresauts à présent.
Tant pis, je plaçais mes bras le long du corps refermant mes doigts sur les côtés de la table
Tandis que Léa allait à son bureau écouter un message sur son téléphone portable, j'observais discrètement sa silhouette. Elle revenait pour se positionner derrière ma tête. Ayant posé celle-ci au creux de ses mains, elle commençait la manipulation de mes cervicales. De sa position, elle avait une vue imprenable sur mon bas-ventre.
Je feignais la totale indifférence et me laissait aller à toute sorte de suppositions.
Léa semblait imperturbable et me parlait de sujets anodins.
Peut-être pensait-elle qu'en abordant ce genre de sujets, mon érection diminuerait ?
Je sentais qu'il n'en était rien. L'excitation ne retombait absolument pas. Le fait de savoir qu'elle ne pouvait absolument ignorer mon état renforçait mon érection.
Le temps passait dans une ambiance très particulière.
Léa retirait ses mains de ma nuque. Elle remontait la table de travail pour la placer au niveau de sa taille. Debout sur mon flanc droit, elle posait ses mains de chaque côté de mon bassin. Appuyant sur mes hanches, elle me dit :
-Votre bassin est légèrement déplacé. Je vais vous détendre les muscles du dos afin de le remettre en place.
Je sentais ses doigts placés à quelques centimètres de mon sexe gonflé d'excitation.
Soudain, le dos de ma main droite se trouvait comprimé sur le rebord de la table. Je découvrais avec stupeur que Léa plaquait son bas-ventre sur celle-ci. ! Le faisait-elle volontairement ? Etais-ce mon imagination qui me jouait des tours ?
Elle semblait ignorer son geste et restait concentrée sur son travail.
Ma tête bouillonnait, je n'osais faire le moindre mouvement surtout avec ma main droite maintenant prisonnière.
Les secondes passaient, longues très longues. Les yeux fermés, j'imaginais le dos de ma main plaqué sur son entrejambe seulement séparé par quelques millimètres de tissus.
Il fallait que j'en ai le coeur net. Je bougeais légèrement les doigts afin de faire comprendre à Léa la présence de ma main. J'écartais mes doigts de la table afin d'exercer une pression sur son entrejambe. Léa se plaqua encore plus sur ma main sans pour autant changer quoi que ce soit dans son attitude.
Considérant que ce geste était plutôt encourageant, j'accentuais mon mouvement. Ma main s'écartait de son ventre pour se poser sur sa hanche. Elle descendait à présent sur la cuisse pour atteindre le rebord de la jupe.
Ma respiration se faisait saccadée car ma main pouvait à présent se glisser sous la jupe de Léa. Je posais délicatement ma paume la peau douce et tiède.
Léa écartait légèrement les jambes pour que ma main remonte entre ses cuisses. Je flattais l'intérieur de sa cuisse tout en caressant la chatte au travers de la culotte.
Je devinais sans peine la forme de celle-ci en l'effleurant du bouts des doigts.
Hormis nos respirations, le silence était total dans le cabinet.

Fichu mal de dos ! La scène était complètement irréelle, Léa feignant une totale indifférence tandis que ma main explorait son entrejambe. Ayant soulevé de l'index le rebord de sa culotte, je glissais mon majeur sur son sexe. Un duvet court et très doux recouvrait la vulve. Je trouvais facilement le sillon complètement détrempé. Mon majeur pressait le clitoris dressé par le désir tandis que Léa se cambrait en gémissant.
Sa main droite avait abandonné ma hanche pour se poser sur mon slip. Elle massait lentement mon sexe à travers le tissu. De sa main gauche, elle soulevait délicatement l'élastique pour libérer de son autre main ma queue. Elle commença un lent va-et-vient qui m'arracha un long soupir de plaisir.
Tandis que j'explorais son intimité, Léa glissait mon slip vers mes chevilles pour le propulser au sol puis approchait son visage de mon sexe parcouru de soubresauts. Je sentais le souffle de sa respiration sur mon gland décalotté. La chaleur de sa bouche se propagea lentement le long de mon sexe au fur et à mesure qu'elle le prenait de plus en plus loin. De sa main libre, elle déboutonnait sa blouse pour la jeter au sol. Puis elle fit tomber sa jupe à ses pieds.
Elle portait une petite culotte de coton blanche qui cachait à peine son intimité. Ses jambes étaient finement dessinées, son pubis était recouvert d'un petit duvet noir dissimulant des lèvres fines. Mes doigts gambadaient à présent partout dans sa vulve trempée.
Léa actionnait le vérin de la table pour la faire redescendre. Elle se positionna alors à califourchon sur moi pour m'offrir son sexe. Ma langue la fouillais tandis qu'elle me suçait.
Léa frottait ses lèvres dilatées de plus en plus rapidement sur ma bouche. Elle cessait de me sucer, écartant les cuisses au maximum comme si elle voulait que j'entre mon visage en elle. La tenant par les hanches, j'enfonçais alors ma langue au plus profond de son intimité. Léa poussait alors un long cri rauque de jouissance tandis que mon visage était inondé de son miel.
Elle reprenait alors ma queue en bouche pour me sucer comme une folle. Sa main droite tenait fermement ma queue afin de bien la faire coulisser dans sa bouche. Elle avait légèrement soulevé les fesses et j'avais une vue imprenable sur sa fente détrempée. Plus rien ne semblait nous retenir. Pas une parole n'était prononcée, seul le plaisir dirigeait nos gestes.
Je voulais la pénétrer. C'était divin.

Léa semblait avoir lu dans mes pensées et fit volte-face pour venir se positionner à califourchon sur mon sexe. Elle descendait lentement, fermant les yeux pour mieux sentir ma queue glisser en elle. Ayant glissé entièrement ma queue en elle, elle commença alors à imprimer un lent mouvement de va-et vient. Je profitais de ma position pour dégrafer son chemisier. Le soutien-gorge était arraché libérant des seins heureux de se balancer au rythme des coups de queue au fond de sa chatte. J'embrassais ses seins à tour de rôle en les massant lentement d'une main. j'étais surpris par la taille de ceux-ci car ils étaient parfaitement dissimulés sous sa tenue de travail.
Léa se cambrait et glissait la main dans son dos pour venir saisir mes bourses pendant qu'elle continuait à aller et venir sur ma queue.
Je perdais alors tout mes moyens.
Je cambrais alors les reins pour tenter d'aller encore plus loin en Léa. Des milliers d'étoiles apparurent dans mes yeux fermés tandis que ma semence se déversait en elle.
Je la pénétrais encore quelques instants, sentant toute mon énergie disparaître puis m'immobilisais, la queue plantée dans son fourreau soyeux.
Nos respirations redevenaient petit à petit normale. Léa s'était allongée sur moi, gardant mon sexe en elle le plus longtemps possible. Je caressais son dos, les yeux fermés.
La séance avait été très efficace, je ne ressentais plus aucune douleur...

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

noilag
Bien bandant, simpa, a quand la suite
Posté le 13/12/2017

chantal
miam
Posté le 5/09/2017

Eric
Ouah ! Ce récit m'a fait bander comme un fou ! Merci sorggulp !
Posté le 1/06/2017

Anonyme
Génial
Posté le 31/05/2017


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