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Une soirée Arrosée entre amis

C’est une soirée entre amis, une soirée qui démarre comme toute autre. Entres rires et discutions animées des ouvertures se font.

Proposée le 6/04/2017 par maximilien7

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


La soirée est un peu arrosée, il souffle un vent provocateur de débauche. Les blagues et sous-entendus fusent avec une étonnante rapidité, on rigole bien, on mange bien, on boit, et tout semble rouler pour une bonne soirée.

Chacun au fur et à mesure,libère un peu plus sa parole, c’est étonnant de voir à quel point on est prêt à entendre ce qui normalement est taboue. Les femmes se laissent aller assez rapidement sur ce terrain tout de même très glissant, et nous suivons avec plaisir, histoire de voir jusqu’où cela nous mèneras.

Après quelques heures de cette ambiance survoltée les esprits sont échauffés, Romain et Mylène sont des amis de longue date, et ils se plaisent à afficher un certain libertinage, on parle fellation, sadomasochisme, fouettage, fessée etc. on va jusqu’à préciser les lieux et les occasions qui ont amenée à ce genre d’exercices.

Aucun sujet n’est laissé à l’abandon, on diserte sur l’intérêt du couple à tenter d’autres aventures, et ainsi, on apprend prudemment mais sûrement les penchants de nos chers amis.

Il faut dire que c’est excitant de s’imaginer ce qui nous est raconté avec moult détails, et les résultats obtenus sont décrits par Mylène, qui se fait une plaisir à décortiquer les sensations et les folies orgasmiques qu’elle a acceptée avec reconnaissance.

Ses coups d’essais sur l’exhibitionnisme ou elle se fait admirer dans des cabines d’essayages, des vendeuses qui se retrouvent avec une femme nue qui leur demande conseils, etc. Romain qui se fait masturber par sa femme pendant une séance de cinéma, c’est très osé et nous sommes surpris de tous ces aveux.

Je connais les penchants de Romain pour des pratiques un peu extrêmes, et Mylène se plie avec bonheur à ses revendications. Elle n’y réfléchirait pas à deux fois, s’il lui demandait de se déshabiller là, devant nous.

Elle est féline, et se comporte comme telle, elle se love dans le canapé, les mains jointes dans ses cuisses, elle pratique un jeu de séduction avec quiconque s’y prête. Elle expose ses charmes avec un naturel surprenant.

De ce côté-là, nous ne leurs arrivons pas à la cheville, Sylvie, ma femme n’est pas très expansive sur le sujet, et moi je ne n’aime pas trop étaler mes sentiments sur une table de salon, et nous voilà embarqué dans cette galère cherchant désespérément une porte de sortie. Le dilemme est corsé, et nous tergiversons à voix basse dès que l’occasion nous en est donnée.

Comment ne pas froisser nos amis, et quitter la scène avant que cela ne dégénère, la quadrature du cercle en somme, nous décidons de tempérer, d’apaiser les passions, mais rien n’y fait. Nous essayons à maintes reprises, de détourner la conversation, mais le sujet est remis sur la table à la moindre allusion de type pornographique et nous voilà repartit pour un tour de masturbation intellectuelle.

Ces exemples mis en avant de savante façon ne nous laissent pas froid c’est certain et je ne suis pas le premier à en ressentir les effets, Sylvie s’est rapprochée de moi, sa main se perd discrètement sur ma braguette.

Ce frottis fait naturellement rapidement son effet, et elle s’en amuse en forçant la dose. Je pense être passé par toutes les couleurs de l’arc en ciel. Elle semble trouver un certain plaisir à écouter ces propos, et je m’étonne beaucoup de son apparente décontraction.

Mylène est une belle femme, un corps qui ne vous laisse pas froid et pour l’avoir vu en petite tenue, je vous assure qu’elle a de quoi vous rendre dingue. Elle s’arrange naturellement pour vous laisser une vue plongeante sur le haut de ses cuisses sachant que je suis particulièrement friand de cette partie de corps, je chauffe… !

Sa lingerie intime est plutôt transparente, et à l’occasion, les séances d’essayage de robe diverses et variées se sont faites devant le plus de témoins possible, elle n’en ressent aucune gêne, bien au contraire.

Sylvie accentue ses efforts sur mes protubérances, je ne me gêne pas non plus et m’aventure a la croisée des chemins, là où commence les sentiments, le résultat est immédiat, Sylvie mordille ses lèvres, j’insiste, elle accepte l’ouverture, je lui glisse à l’oreille :

- Ma chérie, c’est bien humide par-là !

- Tu bande bien toi ! tu te la ferais bien hein ?..., stop, ne va pas plus loin !

Je ne réponds pas à l’invective, mais elle a raison ! L’idée me séduit particulièrement, je serai partant et ça ne date pas d’aujourd’hui, je ne suis pas un énuque, ma femme y est pour quelque chose et si ses mains continues leurs jeu, elles vont finir par prouver ce que j’avance.

Mylène change de place et se colle à Sylvie, qui se colle à moi, et moi je suis coincé en bout de table, elle toise, et scrute ma femme, qui rougie et qui n’a pas vraiment le choix.

Petites caresses, sur les cuisses suivies d’une incursion dans l’entrejambe, un bouton défais un peu par accident sur le corsage, une irruption spontanée de sa main sur les seins, je me surprends à souhaiter qu’elle poursuive sa prise de pouvoir, curieux aussi de voir comment Sylvie arrivera à se sortir de cette situation.

- Ouah. !, Sylvie, pas de soutient gorges, tu es partante pour un essai avec moi, aller, je te lécherai la chatte.

- Mylène arrête, quoi,… ce n’est pas drôle !

- Mais je suis sérieuse, je te ferai jouir comme jamais tu ne l’a faite, aller écarte !

Romain semble flotter sur un nuage alcoolisé, et Mylène qui est hors d’elle, laisse apparaître une tendance lesbienne insoupçonnée, elle plonge résolument sa main entre les cuisses de Sylvie qui se fige galvanisée.

Elle tente de s’opposer par un resserrement de jambes, mais Mylène insiste, s’amuse de la soudaine coloration des joues de ma femme, la prend par le bras et la couche résolument sur le canapé. Tout va vite, trop vite. Il fait très chaud dans ce salon !

La jupe est remontée, Mylène masse de ses mains avides, le ventre de Sylvie, puis tire sur l’élastique de la culotte, le mont Vénus apparaît avec sa parure bouclée, et une petite mousse déteint sur le rose de la soie.

- Tu mouille, tu es trempée on fait la prude, mais t’en as envie avoue ! et comment tu fonds, regardés comme ça coule, ça mousse, tu caches bien ton jeux à jouer la sainte ni-touche.

- Mylène…arrête…arrête !

- Mais non…, viens on va voir ça de plus prêt.

Je tente une négociation diplomatique, mais Mylène n’est plus accessible à certaines tournures de phrase, elle continue sa découverte génitale, contourne obstinément le frêle obstacle de tissus, elle masse, tâtonne, et contemple le résultat de ses investigations.

Ma femme est acculée, se débat, proteste, elle est en apnée je constate effrayé que Mylène a pénétré le sexe d’un doigt vigoureux, les joues de ma femme sont passées au rouge, son regard est fiévreux, je connais ce regard pour l’avoir découvert lors de nos relations sexuelles, je sais qu’elle va se rendre, abdiquer et s’abandonner à cette furie qui maîtrise la situation à merveille.

Je n’ai plus de doutes, les choses sont hors contrôle, il faut que Romain intervienne et arrête immédiatement les élans de sa femme, mais il n’en fait rien et au contraire encourage Mylène, à lui donner la petite culotte, celle-ci ne se fait pas prier et arrache le vêtement des jambes de Sylvie pour le brandir comme un trophée.

Du coup, on a une vue de tous les diables sur la fente de Sylvie qui reluit et brille, elle cache d’une main tremblante son intimité, je suis sur le point d’exploser.

C’est une inspection minutieuse de l’état émotionnel de Sylvie, qui est inscrit en lettre blanche dans la culotte, Romain recueille la cyprine du doigt et en offre à sa femme qui s’en délecte, on lèche, on goûte et les commentaires son acerbes, conforme à l’instant.

- Mon vieux ta femme mouille comme une folle, elle est chaude Mylène avait envie depuis longtemps de se taper une femme, elle va la massacrer, la vider, elle va lui sucer la cerise ! Aller Mylène, fait-nous voir ce que tu sais faire !
Là, mon sang ne fait qu’un tour et j’entre dans une colère folle.

- Aller mon vieux calme me toi, ça t’excite, je le vois bien, laisse les faire, Sylvie semble quand même consentante, non ?

Il n’a pas tort, je suis obligé de reconnaître que ma femme s’est envolée vers d’autres cieux, mes soupçons se justifies. La suite ne fait aucun doute, elle gît les cuisses ouvertes appréciant manifestement la contrainte, elle est victime, consentante certes, mais victime de cette bête de sexe.

Sylvie ne bouge plus, elle attend patiemment les événements, elle a fermé les yeux et Mylène s’amuse, provoque le petit bourgeon qui je le sais, anéantira fatalement les dernières volontés de résistance de sa victime, elle écarte la main qui tente une dernière fois de s’interposer.

Mylène est sarcastique tranchante, elle fouille, masturbe, puis pince pour se rassasier d’un cri, d’un gémissement.
Elle soulève une jambe qui entraîne le bassin, puis frappe fermement les fesses découvertes, Sylvie fait un bond, les coups sont acharnés, quelques tapes précises sur le sexe, je bande comme un fou, Sylvie se débat, encore une tape plus forte adressée au sexe, un jet éclabousse et se disperse sur les cuisses.

- Purée, comme elle gicle, regarder moi ça, Sylvie je t’adore !

Romain s’est emparé de son pics et se satisfait avec des râles, je ne suis pas loin de suivre le mouvement et d’en faire autant.

La scène est torride, je n’ai jamais vu ma femme caressée de la sorte par une autre femme, Romain ne cache rien de ses ardeurs, moi je suis impuissant, sous le coup d’une formidable érection.

La tête s’est fichée entre les cuisses, elle lape, mors et décortique le moindre recoin de l’anatomie de Sylvie, qui se déchaîne, c’est un ouragan, une tornade, qui secoue ses membres.

Mylène a pris le dessus, dans tous les sens du terme, elle masse pétrie et masturbe avec fougue ce vagin qui lui appartient, elle jubile, s’extasie des ses gémissements, et de ses cris.

- Écarte, Sylvie, écarte tes cuisses…, de toute façon je ne te lâcherai plus, oui…aller gémis, gueule !...j’adore t’entendre !

Romain maltraite son engin et suit les mouvements du corps de ma femme, je défaille, et me sens couler.
Les derniers vêtements sont arrachés, Sylvie est totalement nue et Mylène connait son affaire, son genoux se colle contre le sexe dégoulinant, ses mains s’affalent sur les seins tendus.

- Ne te défend pas, aller, tu vas y passer, laisse toi aller, ça fait longtemps que j’avais envie de toi !

Sa bouche lèche suce et aspire tous ce qui peut l’être, sa langue pénètre la bouche criante, puis quatre doigts forcent l’entrée de la porte du plaisir, et fourrent percutent, transpercent ce corps qui s’abandonne.

Il n’y a plus de cri, plus de gémissements, Sylvie redresse son buste, les yeux révulsés, la bouche grande ouverte elle cherche à respirer, puis enfin, elle expulse puissamment tous les sucs de son être et s’affale dans un râle, vaincue, terrassée.

Romain est surexcité, c’est une course poursuite qui s’est engagée dans l’appartement, je m’approche de ma femme, me déshabille puis un instant je contemple ce spectacle qui m’est offert, les yeux mi-clos, les bras sur son ventre elle me regarde presque avec une anxiété dans les yeux, j’éprouve une sorte de pitié à la voir ainsi exposée dans toute sa nudité.

Puis, je la pénètre fermement, profondément, elle mugit, me serre dans ses bras, je sens ses jambes m’enserrer, elle jouit et s’ouvre à mes attaques, dans une voluptueuse danse corporelle, je me coule en elle, dans cet antre surchauffé j’exulte passe d’un sentiment à l’autre.

Notre union n’a jamais été aussi puissante, aussi complète c’est un bouleversement qui demandera à être renouvelé j’en suis certain.

À l’autre bout de la pièce, Romain a basculé Mylène sur la table et la baise sans retenue, les cris qui nous parviennent, stimulent notre envie, c’est un formidable concert de gémissements, d’exaltations dans cette pièce.

Nos amis ont l’acte plutôt brutal, pour un œil non-avertit, cela ressemble plutôt à un viol, ou à une agression sexuelle, Mylène hurle se débat semble s’échapper, puis est rattrapée par une cheville, elle est traînée sur le sol, elle se tord, elle gémit, se lamente elle refuse la pénétration.

Romain se jette sur elle tente une percée, mais elle s’échappe encore, il la plaque au sol, la plante d’un membre hyper- érigé, elle est empalée disloquée, mais l’orgasme violent qui la percute n’est pas feint.

Je retrouve des ardeurs à la vue de la scène de cette femme qui joue à merveille, la soumission. Elle a le vocabulaire qui correspond et l’utilise parfaitement, c’est une vraie comédie qui vous fait douter, vous ne pouvez plus détourner les yeux.

Nous finissons par échanger nos partenaire, Mylène est une furie, un animal déchaîné, j’entends les râles de Sylvie le clapotis caractéristique d’une pénétration rapide et ce frottement sur le sol.

Romain s’est ressaisit, Sylvie est étendue entre la table basse et le canapé inerte, il agrippe d’une main ferme Mylène, et me fait un signe de la tête.

- Viens là, ma belle, tu voulais baiser, tu vas être comblée ce soir !

C’est une action convenue qui se joue là, Mylène joue son rôle, crie, hurle, elle est plaquée au sol sur le ventre, les mains attachées dans le dos, les jambes qui cisaillent l’air, ma femme s’est assise et observe la scène avec une certaine jouissance dans les yeux.

Ce n’est visiblement pas la première fois que notre copine, joue ce genre de film et elle semble être dans son élément.

- Couche-toi, Marc ! tu vas en avoir pour ton argent, ménage tes forces.

Mylène est soulevée, puis est projetée sur mon pénis, son bassin se démène, j’ai beaucoup de peine à contrôler la tension pour ne pas arriver à une éjaculation précoce. Ce corps nu qui se débat, ces cris, ces cuisses qui enserrent mon torse, c’est trop…, je divague. Elle bataille, se rebiffe, se bat, je la retient par les épaules, elle est brûlante surexcitée.

Une bouche se colle sur la mienne, c’est Sylvie qui fait jouer ses doigt dans son entre-jambe et qui halète, fulmine, et s’acharne verbalement sur Mylène, qui, les seins écrasés sur mon torse, monte en tension.

- C’est toi qui va y passer, ma chère, ils vont t’embrocher, mais tu l’auras cherchée !

Romain se fait chasseur, il s’accroupie lentement derrière sa femme, masse et pénètre du doigt le sphincter, Mylène est toujours dans son rôle de bête traquée, contorsions, tentatives de négociations, des « non, non, je t’en prie » font parties du dialogue convenu, mais il faut avouer, que le but de la chose est atteint, Sylvie frotte un sexe coulant et suintant elle est à point, ses yeux ne quittent plus le sexe de Mylène que je fourre de toutes mes forces.

Puis Romains s’emploie à exécuter la bête, il saisit le bassin écarte violemment les cuisses, les deux pousses font de même avec les fesses, pour mieux voir sa cible.
Les gémissements ponctuent l’attente, elle secoue sa tête dans une fausse négation, il est prêt, elle bloque sa respiration et Romain s’arque boute, se cramponne et passe à l’assaut.

Ce n’est pas une douce pénétration, mais une effraction, qui projette Mylène en avant, c’est le cri d’un animal blessé que j’entends, son vagin se crispe sur mon pics, se relâche et les contractions me galvanise, encore quelques va et viens enflammés et j’éjacule dans un incroyable orgasme.

Un liquide chaud me percute à la tempe, Sylvie gicle, et s’étale sur le côté avec des soubresauts, Romain s’acharne, c’est un flot de liquide gluant et chaud qui s’étale sur mon ventre Mylène est secouée par des orgasmes à répétition, puis s’affale sur moi.

Le calme revient, quelques halètements supplémentaires, des respirations qui se calment et des corps nus, couchés, rassasiés, repus.

Mylène une fois libéré de ses liens, n’est jamais rassasiée, ses mains reprennent leurs jeux de masturbation sur une vulve bien rouge et gonflée, Sylvie prends le relais et s’emploie à conduire son amie encore une fois au sommet avec un art du touché que je ne lui connaissais pas.

Elle se couche sur elle s’adapte à ses fesses, passe les mains sous son bassin et procède à une curée, une invasion en règle de son clitoris que l’on a vu proéminent.
Mylène bloquée par ce corps qui s’agrippe, jubile, s’extasie c’est elle qui maintenant subit, et Sylvie prend du plaisir elle exerce une pression démoniaque en augmentant sans cesse la cadence, la prise de pouvoir lui fait oublier ses barrières, elle se lâche jusqu’à la défaite de Mylène qui projette ses ondes.

L’aventure se termine au petit matin avec une bonne douche, un copieux petit déjeuné, et la promesse de se revoir pour tenter de nouvelles expériences.

Nous irons là ou nos sens nous emmènerons, jusqu’aux frontières délimités par notre imaginaire. Il faudra se méfier de nous-même, préciser le cadre de nos aventures et respecter les codes de sécurité définie par avance.

Cette soirée a été en quelques sortes une découverte pour Sylvie et pour moi, je ne connaissais pas vraiment ma femme, et je pense qu’il en était de même pour elle. Notre sexualité de couple en a été changée, les plaisirs communs se sont accrus, nous osons porter les choses au-delà des convenus, au-delà de nos barrières d’avant.

En cours de route nous sommes revenus sur cette expérience et nous avons échangés nos impressions.

Sylvie avoue avoir aimée la prise de pouvoir de Mylène, cette façon de se faire forcer, d’être déshabillée un peu maltraité. Je l’ai vu si belle dans cet abandon, si fragile, si enjouée, que j’en ai été émus.

Un certain degré de soumission, serai le bienvenu, je partage la même impression et nous sentons instamment une excitation pour chacun d’entre nous, difficile à refréner rendant le chemin de retour bien plus ennuyeux et long que d’habitude.

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Commentaires de l'histoire :

zorro
je reste sur ma fin...
Posté le 27/02/2020

maximilien7
Merci, pour vos commentaires, pour vous, d'autres aventures très épicée.
Posté le 9/04/2017

mariepat17
superbe histoire, tres proche de notre réalité. Dommage qu'elle soit classée en fantasme, vous devriez essayer réellement
Posté le 8/04/2017

chasseur
WOW!Étourdissant,captivant.Relu plusieurs fois et en redemande. J'espère une suite aussi chaude. Bravo!
Posté le 7/04/2017


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