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La pension 07

Que mes fidèles lecteurs me pardonnent, mais après un week-end entier à besogner deux jeunes filles, le narrateur se laisse tenter pour une fois par un éphèbe. Mais lisez, et demandez-vous si vous ne vous seriez pas laissé détourner !

Proposée le 13/02/2017 par Donatien

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


Après cet épisode, les filles ne mettent quelques minutes pour récupérer et bientôt sous les conseils avisés de Violette, elles expérimentent différents moyens de se faire mutuellement plaisir quand on est un duo de jeunes vierges peu effarouchées. Inutile de dire que le latin a été envoyé aux orties.

Mais une grande faim me prend. Violette a la clé des réserves. Nous nous rendons à la cuisine où un banquet s’improvise avec le contenu du garde-manger du personnel. Nous ouvrons une bouteille de champagne et bientôt les filles peu habituées à ce breuvage sont pompette. Je parviens à garder un peu de dignité pendant que les jeunes filles dansent nues sur la table.
Fiona vient même s’accroupir au-dessus de ma coupe et lâche un terrible jet de pipi qui non seulement fait déborder le verre mais inonde mon assiette dégouline de la table sur mes genoux. Isabelle hoquetant de rire l’imite aussitôt. J’entreprends quant à moi de nettoyer avec ma langue leur entrejambe pisseux. Violette s’est endormie comme une masse. Nous la laissons dormir et j’entraîne dans ma chambre les deux petites, nues comme des vers et riant comme des folles.

Aussitôt entrées elles veulent tout voir de l’antre de ce professeur qui leur faisait si peur. Elles se roulent sur le lit, s’embrassent à pleine bouche. Puis elles se précipitent sur moi et entreprennent de me déshabiller. Je me laisse faire, d’autant que ma queue revenue à son meilleur niveau a du mal à accepter de rester enfermée. Fiona en grande savante enseigne à Isabelle comment travailler de la langue et des lèvres pour faire plaisir à un homme. Debout et nonchalant, je me laisse sucer, appréciant la fraîcheur de leurs bouches juvéniles à défaut d’une technique parfaite.

Mais j’ai goûté à leurs petites chattes et j’en veux encore. Aussi bien installé sur le lit, je déguste alternativement la minette brune et la minette blonde, toutes les deux serrées et neuves, sentant la mouille et l’urine. Mais pendant qu’Isabelle frotte sa vulve humide sur ma bouche, je sens que Fiona a entrepris quelque chose. Je pousse doucement Isabelle pour découvrir que la petite elfe blonde à genoux au-dessus de moi essaie de faire pénétrer ma verge dans son vagin étroit. Elle peine, gigote, et parvient enfin à faire entrer mon gland qui se trouve ravi d’être logé aussi à l’étroit. La pauvre enfant ne se sent pas capable d’aller plus loin. Mais l’avant-goût qu’elle m’a donné ne me suffit pas. Je la saisis fermement par la taille et je commence à opérer de petits mouvements qui me permettent de progresser en elle. Bientôt grâce à la cyprine abondante qu’elle sécrète je peux faire aller et venir ma queue sur les quelques centimètres que me permet sa virginité. Sa petite chatte me serre comme un étau, c’est divin.
Isabelle se place derrière elle et l’enlace, autant par tendresse que pour l’empêcher de fuir. Fiona gémit quand les doigts d’Isabelle s’emparent de ses tendres tétons et les maltraitent. Mes mouvements s’accélèrent et deviennent plus profonds. J’ai atteint le point où plus rien ne peut m’arrêter. J’empoigne Fiona et renverse sous moi son corps gracile. Ma main glisse sous ses petites fesses. Mon majeur trouve son anus encore enduit de vaseline et inondé de mouille et y pénètre profondément. Ma queue ramone à toute vitesse le conduit étroit. Fiona pousse un petit cri. La fine membrane s’est rompue. Désormais je la baise comme une grande, je sens que ma queue vient heurter à chaque voyage le fond de son vagin. Elle gémit maintenant sans interruption. Mais je sais que je ne dois pas me répandre en elle. Jusqu'au dernier moment, je la lime. Jamais je n'ai senti ma bite aussi dure, aussi lourde. Quand je sens le moment proche je crie : « Isabelle, ton cul ! » Isabelle a compris. Elle se présente en levrette pour me recevoir. Ma queue sort toute sanglante du con de Fiona qui gémit de la laisser partir. En deux coups de reins je suis enfoncé jusqu’à la garde dans le trou du cul d’Isabelle où je peux enfin lâcher ma décharge. C'est une jouissance de damné qui m'arrache un cri qui doit faire résonner tout le château. Nous haletons tous les trois, vaincus, épuisés. Puis j’enlace tendrement les deux jeunes filles et pendant qu’elles s’endorment chacune ayant posé sa cuisse sur une des miennes, je sombre à mon tour en buvant avec délices l’air léger de leur souffle.


Lundi 2 novembre 1964.

Je suis seul dans mon antre. Ainsi s’achèvent les deux journées les plus épuisantes mais aussi les plus riches en sensations de toute ma vie. Isabelle et Fiona sont deux petites femelles insatiables, et j’ai eu bien du mal à satisfaire l’une et l’autre. Je dois reconnaître au grand dam de mon orgueil de mâle que sans l’aide de Violette et sans les caresses qu’elles se sont prodiguées l’une à l’autre je n’y serais pas parvenu. Elles ont maintenant regagné leur internat, je pense qu’elles vont bien dormir.
Isabelle est toujours vierge, elle le restera longtemps, ne manifestant aucun intérêt pour son vagin ni aucun plaisir à y faire entrer quoi que ce soit. Elle a repoussé toutes mes tentatives pour la déflorer mais a montré un grand enthousiasme pour la sodomie. C’est d’ailleurs – pour des raisons contraceptives – son cul qui a recueilli toutes mes décharges pendant ces deux jours. Elle a eu cette phrase naïve au moment où, ma queue enfoncée jusqu’à la garde entre ses fesses rondes, elle laissait complaisamment Fiona lui langoter le clitoris :
— Ah ! C’est merveilleux ! J’aimerais me faire enculer dix fois par jour.

Mardi 3 novembre 1964.

Le château est en émoi. Ce matin, la mère supérieure a réuni les trois classes dans la chapelle où elle a fait le discours suivant devant les pensionnaires debout et frémissantes.
— Mesdemoiselles, nous allons demain matin accueillir un nouvel élève. (Interrogation sur les visages. A-t-on bien entendu ?) Oui, j’ai bien dit un nouvel élève. Il s’agit de mon neveu Camille. Ses parents doivent faire un voyage d’affaires et ils ne veulent pas qu’il perde la moitié du trimestre. Nous l’accueillerons donc en classe de terminale pendant un mois, car Camille a beaucoup d’avance dans ses études. (Toutes les filles se mettent à calculer, les terminales frémissent de plus belle). Je ne veux pas, entendez-vous bien, que ceci soit l’occasion d’un désordre quelconque. Mon neveu sera logé dans l’aile de M. Bertrand. (Aparté pour moi : Je fais nettoyer et aménager une chambre près de la vôtre). Il prendra ses repas avec le personnel, puisque M. Bertrand a généreusement accepté cet arrangement. C’est tout. Retournez à votre travail. Je ne tolèrerai aucun bavardage.

Le soir, j’étais confortablement occupé à lire dans un fauteuil râpé que le père Maheux m’a dégoté, savourant un peu de chaste solitude, quand le factotum lui-même est venu frapper à ma porte. Il a enlevé son béret et m’a dit :
— Voilà, je voulais juste vous prévenir que le jeune homme est là.
Derrière lui se tenait en effet une silhouette mince portant une petite valise. Je le distinguais mal dans la lumière qui sortait de chez moi.
— Approchez, mon garçon.
Camille s’est approché timidement. Un adolescent de seize ans ou à peu près, une mince figure de fille sous des cheveux bouclés d’un blond sombre bien trop longs. Une bouche délicate et un peu boudeuse, des yeux d’un brun un peu vert qu’on sentait près de déborder. Tous ses vêtements paraissaient neufs mais avaient quelque chose de démodé. Sans doute déplorait-on un deuil dans sa famille, car le noir dominait.
Je lui ai tendu la main, il l’a serrée un peu étonné qu’un personnage aussi considérable qu’un professeur puisse faire preuve d’une telle familiarité ; nous l’avons conduit à sa chambre. Lugubre à souhait. Un lit d’hôpital rouillé au milieu d’une pièce nue et froide, éclairée par une unique ampoule pendant du plafond. Un des carreaux brisés avait été vaguement réparé avec du carton.
— Maheux, vous ne songez pas à loger ce garçon ici ?
— Moi, j’y peux rien. Ordre de la mère sup.
— Et la mère sup viendra-t-elle voir si nous faisons rouler ce lit jusque dans la salle de bains attenant à ma chambre, qui est largement assez grande ?
— Ma foi non.
— Alors, allons. A moins que vous ne préfériez rester ici, mon garçon ?
— Oh non, Monsieur, répond Camille en considérant avec horreur la nudité des lieux, les murs lépreux et les toiles d’araignées.

Après quelques difficultés le lit est enfin installé dans la pièce qui me sert de salle de bains. Rien de luxueux mais au moins il y fait chaud et la fenêtre est étanche.
— Bien, je vous laisse. Si vous voulez boire une tasse de thé avant de vous coucher, ne vous gênez pas.
Je laisse le garçon et retourne à ma lecture. Je l’ai presque oublié quand il attire mon attention en toussant légèrement.
— Ah, vous voilà. Eh bien, êtes-vous satisfait de votre installation ? Après tout, un mois est vite passé.
— Merci, Monsieur, ça ira très bien. Merci vraiment.
— Tenez, le thé est encore chaud. Prenez-vous du sucre ? Du lait ? Mais prenez donc cette chaise.
Le garçon s’assoit du bout des fesses. Il porte un pyjama trop grand en flanelle à grandes rayures. Sa mère doit prévoir large par économie. Par l’échancrure du col un peu de sa poitrine glabre apparaît. Je songe soudain : « Qu’est-ce qui te prend ? Tu as une sainte horreur des garçons et des adolescents en particulier ! »
Je le questionne sur ses études, ses lectures il me répond brièvement sur les premières, s’étend davantage sur les secondes. C’est déjà un grand lecteur. Je le félicite pour cela.
— Tenez, vous n’avez sans doute pas grand-chose dans votre valise. Voici quelques livres pour vous tenir compagnie avant de dormir. Je luis tends Le maître du haut château de Philip K. Dick et La pornographie de Witold Gombrowicz, qui bien entendu n’a rien de pornographique mais me donne l’idée de glisser sous la petite pile Trois filles et leur mère de Pierre Louÿs qui l’est de façon outrageuse.
Camille se retire enfin et je me couche. Mais la présence de ce garçon me trouble et m’empêche de m’endormir. Après tout pourquoi pas, me dis-je. Et des images inédites me traversent l’esprit. Mais bientôt mon aversion pour les jeunes garçons reprend le dessus.
Je suis presque endormi quand un léger bruit attire mon attention. Un grincement rythmique de sommier à ressorts qui ne laisse guère de doute sur son origine. Je me lève, enfile mes chaussons et me robe de chambre. Pas de lumière dans le cabinet voisin. J’entrouvre la porte. Le garçon s’est réfugié sous les draps et les couvertures qui forment comme une tente autour de lui. La lumière d’une lampe de poche filtre vaguement à travers le tout. Le bruit rythmique s’accélère. Le bon moment pour surprendre le garçon en pleine action. J’allume la lumière et empoigne la literie que j’arrache d’un geste. Comme je l’avais prévu, et sans doute comme Eulalie le pratique avec ses cartes postales, Camille a posé la lampe de poche contre sa poitrine. Dans sa main gauche, un livre, je devine lequel. Son pantalon est baissé jusqu’à ses genoux. Malgré ses efforts pour se couvrir, j’ai le temps de voir sa jeune tige bien raide.
— Eh bien, jeune homme, il me semble que mon hospitalité vous inspire.
Évidemment, il reste sans voix.
— Votre tante sera ravie d’apprendre quel individu elle a laissé entrer dans son internat de jeunes filles.
— Oh, non, Monsieur, Pas ma tante !
Camille s’est levé. Il essaie de s’accrocher à mon bras pour me supplier. Je remarque que malgré son émotion et ses larmes qui jaillissent, la bosse de son pyjama ne diminue pas.
— Voyons, jeune homme, je ne ferais là que mon devoir. Je me dois de protéger la vertu de nos pensionnaires ! Pensez, un onaniste parmi ces vierges ! Un satyre chez les nymphes ! Un Priape chez les vestales ! (J’avoue que j’en rajoute du côté de la vertu des pensionnaires qui sont elles-mêmes pour la plupart de ferventes adeptes de la masturbation, voire du saphisme.)
— Je vous en prie, Monsieur, punissez-moi mais ne me dénoncez pas à ma tante. Elle dirait tout à mes parents et ils me mettraient en pension en Suisse !
— Vous punir ? Savez-vous qu’ici nous pratiquons une discipline qui se perd dans les autres établissements ?
— Je sais, Monsieur, j’ai l’habitude.
Je réfléchis rapidement. Corriger cet éphèbe pourrait avoir son charme.
— Bien, dans ce cas, suivez-moi.
J’ouvre le tiroir de ma commode et fais mine de choisir longuement. À la vue du martinet il a un léger sursaut mais il ne marque aucun étonnement.
— Où dois-je me mettre, Monsieur ?
— Vos mains sur la chaise.
Sans que je le lui demande, il a ôté sa veste et baissé l’élastique de son pyjama sans toutefois découvrir son sexe. Son corps est mince, sa musculature fine mais bien dessinée. Ses fesses sont petites mais rondes, mises en valeur par une légère cambrure de ses reins. Aucun poil si ce n’est une mince couronne claire au bas de son pubis, là où l’élastique s’est arrêté. Son érection s’est un peu calmée. Il pose les mains sur le rebord de la chaise.
Le premier coup le prend par surprise. J’ai pris soin de modérer mon geste, de rester en-deçà de la vraie douleur. Il dit à haute voix :
— Un !
Je continue méthodiquement, lentement, faisant rougir ses fesses sans vraiment les marquer. Quand son compte parvient à dix, je laisse passer une seconde de trop, le temps de le laisser se détendre et lui donne perfidement un onzième coup plus appuyé.
— Relevez-vous.
Il obéit lentement. Ses yeux sont brillants mais il semble fier d’avoir réussi à retenir ses larmes.
— Je vois que la correction n’affecte guère votre moral.
En effet, le garçon bande à nouveau et ne cherche nullement à le dissimuler, comme s’il avait compris que mon indulgente flagellation avait plutôt pour but de l’exciter.
— Approchez-vous. Il n’est pas sain de garder cela.
Je m’assois sur le fauteuil, il vient vers moi à petits pas, entravé par l’élastique. Ses joues sont écarlates et ses yeux brillants.
Je tire sur l’élastique et dégage sa queue qui aussitôt pointe vers le plafond. Elle n’est pas très grosse mais assez longue et très raide, courbée comme un arc.
— Je vais vous rendre ce service pour des raisons d’hygiène. Ne me remerciez pas.
Je saisis sa verge du bout des doigts et la décalotte. Le prépuce est étroit et enserre la base du gland. Je le branle doucement, toujours du bout des doigts. Mes doigts découvrent pour la première fois la douceur d’un sexe de mâle. Je sens qu’il est proche de l’orgasme. Je le fais attendre, réduisant mon geste au minimum, tout en tirant très fort sur le frein du gland. Ma main gauche se pose sur la cambrure de ses reins, puis je caresse ses fesses brûlantes où se dessine le relief des lanières de cuir. Il halète, se crispe de tout son corps. De temps en temps, ma main droite descend, caresse doucement les bourses, les enveloppe avec douceur. Soudain il pousse un gémissement aigu, tout son corps se tend et le premier jet de son sperme jaillit très haut, suivi d’un deuxième presque aussi fort et d’un troisième qui retombe sur ma main. Je prends sa tige dans ma main et le branle plus fort jusqu’à le sentir vidé bien à fond. Il est essoufflé. Je le prends par la taille et l’assois sur mes genoux. Je bande mais n’ose pas aller plus loin. C’est la première fois que je touche à un garçon. Je ne sais pas pourquoi celui-ci m’émeut autant. Je tiens son sexe ramolli dans ma main en coque. Son odeur de jeune mâle m’envahit, cette même odeur qui devrait me mettre en fuite.
— Allez-vous dormir maintenant, Camille ?
— Oui, Monsieur.
— C’est bien, allez.
Il se lève et à ma grande surprise, après avoir remis son pyjama, il s’approche de moi pour me tendre sa joue. Sur une impulsion irrésistible, c’est sur ses lèvres tendres que je pose les miennes.

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Commentaires de l'histoire :

Balaimagic
J'ai giclé 4 ou5 jets de mon jus assis jusqu'à la garde sur mon gode de 25 enfoncé et souillé dans mon boyau
Posté le 17/05/2018

Lisbeth
J'espère que vous allez enseigner autre chose à ce garçon...
Posté le 14/02/2017


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