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Facteur X

Par une chaude journée d'été, un facteur se donne corps et âme pour satisfaire sa cliente.

Proposée le 28/01/2017 par Plume rose

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


Ça fait maintenant près de vingt ans que j'exerce le métier de facteur et je vais vous raconter une aventure bien particulière qui m'est arrivé en tournée.

Nous sommes le vendredi 15 juillet, date à laquelle bon nombre d'entreprise ferment leurs portes profitant ainsi d'un week-end prolongé. C'est notamment le cas de l'entreprise devant laquelle je me présente pour y déposer des envois recommandés comme à peu près chaque jours. Étonnement, Christelle, l'employée réceptionnant habituellement ceux ci, vint m'ouvrir la porte :

- bonjour facteur
- bonjour, je ne m'attendais à voir quelqu'un aujourd'hui
- non effectivement nous sommes fermé, mais comme j'avais un peu de retard dans mes dossiers et habitant à deux pas, j'ai décidé de venir me mettre à jour

Christelle, femme d'une quarantaine d'années, mesurant approximativement 1,65m, mince, cheveux mi-long, blond et légèrement bouclés, yeux noirs m'invita à rentrer et à la suivre jusqu'à son bureau. Ce que je fis avec délectation comme à chaque fois.

Il faut dire qu'avec sa démarche ultra féminine, se traduisant par des mouvements du bassin faisant se balancer son postérieur moulé dans une jupe de cuir, de gauche à droite tel un pendule, le tout accentuée par ses haut talons, a toujours eu le don de m' hypnotiser. Et ce n'est pas son chemisier blanc d'une transparence alléchante laissant peu de place à l'imagination quand à la nature de son soutien-gorge, blancs également, qui risquait de détourner ma contemplation.

- je vous plains facteur, vous devez souffrir avec une telle chaleur

Il est vrai qu'avec 35° bien tapé et un vent quasi nul, il faisait étouffant en cette chaude journée d'été.

- voulez vous une boisson fraîche pour vous désaltérer ?
- ce serait avec plaisirs oui

Après m'avoir indiquer une chaise posé devant son bureau, Christelle passa dans la pièce d'à côté où se trouvai le frigo. M'offrant une nouvelle fois, une vue splendide sur son petit cul se bringuebalant de gauche à droite.
À son retours, elle me tendit une petite bouteille d'eau bien fraîche qui sera bien suffisante pour me désaltérer, mais certainement pas pour refroidir les ardeurs que provoque en moi la jolie blonde.

Elle vint se poster pile devant moi, s'appuyant juste sur le bord de son bureau et nous discutons de tout et de rien, mais principalement de la météo caniculaire:

- honnêtement, comment faites-vous avec cette chaleur? Moi même ici, volet fermé et ventilateur à fond, je supporte à peine.

Elle s'installa plus confortablement, mettant sa jambe gauche en appui au sol, la cuisse droite posée sur le bureau et le pied pendant dans le vide. Cette nouvelle position eu pour effet de remonter légèrement sa jupe m'offrant succinctement la vue de la lisière de ses bas posé sur sa peau laiteuse.
Je me délectait de cette vision exquise d'une femme qui jusqu'ici, m'avait toujours parut réservée et qui là, me paraissait être une vrai femme fatale.

La conversation continua de plus belle:

- ça ne tiendrai qu'à moi facteur, je me mettrais bien plus à l'aise

Me dit-elle, affichant un léger rictus mutin aux coin des lèvres.

- d'ailleurs ce serait également plus sympa des facteurs torse nu

Disant cela, elle se lève, contourne ma chaise et vient se poster derrière moi. Ses mains venant se poser sur mes épaules. J'eus comme une décharge électrique circulant tout le long de ma colonne vertébrale, surpris que je fus par tant d'audace de sa part. Ses intentions ne faisaient plus guère de doutes.

Christelle fit glisser ses mains sous mon polo, me caressa le torse et s'amusa à décrire de petits cercles avec ses paumes sur mes tétons se durcissant inexorablement. L'excitation montait en moi, ma queue commençait à réagir à la sensualité de ma cliente.
Ses mouvements de mains se furent plus amples et descendaient maintenant jusqu'à la limite de ma ceinture. Elle entreprit de m'enlever mon polo et repris aussi tôt ses caresses. Mais cette fois ci, beaucoup plus audacieuses, s'engouffrant allègrement sous la ceinture, de part et d'autre de mon sexe. Pour ce faire, elle plaqua sa poitrine contre mon dos, me rendant compte qu'elle s'était déjà chargé de déboutonner entièrement son chemisier.
Mes mains passent derrière mon siège et agrippent ses mollets. quelle douce sensation que ce contact avec le tissu de ses bas.
Très vite, je remonte vers le creux de ses genoux et fini par me fixer sur ses cuisses, ma position ne me permettant pas d'aller plus haut. Sa respiration se faisait plus profonde et bruyante, ses gestes plus directes. Elle ouvrit mon pantalon et dégagea ma queue, déjà tendue au maximum, de mon boxer. Après quelques attouchements du bout des doigts, elle prit mon sexe à pleine main et entama une masturbation lente emplie de douceur. Elle parut subjugué, le regard figé sur ce gland luisant qui apparaît et disparaît au rythme de ses va et viens. Sa seconde main vient se poser sur son sein gauche qu'elle malaxa au même rythme que ma queue.

N'y tenant plus elle se redressa et vint s'asseoir à califourchon sur mes cuisses, nos deux sexes plaqués l'un contre l'autre. Immédiatement je sentit le tissu humide de son string qui en disait long sur son état d'excitation.
Elle dégrafa son soutien-gorge en me regardant droit dans les yeux, me donnant sa poitrine en offrande. Bien que peu volumineuse, elle était parfaitement proportionnée à sa morphologie. Deux petites poires bien fermes, tétons fièrement dressés. Je ne me fit pas prier pour me saisir d'une dans une main et l'autre dans ma bouche, les suçant, les pinçant, les mordillant, les léchant, en massant un, pendant que je gobe l'autre.

Excitée comme une pucelle, Christelle entama une danse du bassin, frottant son sexe au mien. Ses bras m'enlassant le cou et sa tête jetée en arrière tel un pantin désarticulé, elle s'abandonna complètement à sa recherche de l'orgasme. Ses mouvement s'accélèrèrent et ses râles se firent de plus en plus nombreux et bruyants, mes mains maintenant accrochés à ses fesses tentèrent de l'aider dans sa quête jouissive. Elle fini par se raidir de tout son corps en même temps qu'elle lâchait un grand «OUIIIIIII» le tout se terminant par de légers soubresauts.
Son string ayant atteint sa limite d'absorption, son jus se répandit sur mon sexe et mon pubis. Ce n'était plus qu'un mélange odorant de cyprine, de pré sperme et de sueur.
Ayant reprit ses esprits, elle colla sa bouche à la mienne et un combat de langues s'engagea.

Nullement rassasié, Christelle m'amena jusqu'à son bureau, s'y adossa, prenant appui sur ses mains, jambes légèrement écartées. Le message était on ne peut plus clair.

La voir ainsi chemisier ouvert, poitrine découverte, jupe remontée sur sa taille, bas noirs, le tout perché sur dix centimètres de talon eu le don d'accroître mon désir. Je m'agenouillais devant elle et entrepris de lui ôter son string détrempé. Son sexe humide entièrement épilée était splendide, des lèvres parfaitement jointe créant une fente rectiligne, on aurait dit une pêche qui n'attendait qu'à être dégustée, ce que je fis sans attendre.
Mon pouce visita sa fente de l'entrée de son vagin à son clitoris, suivi de ma langue. Je m'arrêtais? sur son clito qui s'apparentait presque à un troisième tétons tant il était gonflé.
Christelle me plaqua littéralement le visage contre sa vulve, reprenant ses mouvements du bassin. j'introduis deux doigts dans son vagin et la pénétra ainsi en prenant soin de bien frotter ses parois vaginal. Un nouvel orgasme ne tarda pas à m'exploser au visage, je lapa un maximum de son jus au goût légèrement amer qui m'était offert.

Mais pas question de la laisser se reposer sur ses lauriers, j'étais bien décidé à la faire grimper au plus haut de la jouissance sans attendre.
Je me plaça derrière Christelle et profita enfin de son joli petit cul bien ferme et lui écarta les fesses histoire de profiter de la vue de sa rondelle. J'y présenta mon pouce, lubrifié préalablement, et le fit pénétrer progressivement, jusqu'à absorption totale.

À ce moment précis, je vis la main de ma cliente préférée disparaître sous corps menu, prêt à aller titiller son clitoris.
Tout était en place pour débuter ma besogne, je présenta ma queue à l'entrée de son vagin et y inséra mon gland que je ressortit aussitôt à plusieurs reprises, m'amusant à la faire languir. Ses coups de cul me pressant de la pénétrer sans attendre, en disaient long sur son envie d'accueillir mon dard, mais c'était moi maintenant qui menait les débats.

Je poursuivi avec des coups de queue lents et profonds, accélérant le rythme progressivement. Mais elle en voulais plus et son cul vint à ma rencontre me poussant à aller plus loin et plus fort.
Le rythme augmenta, la prenant de ma main libre (l'autre étant toujours arrimée dans son anus) par l'épaule, je la pilonna littéralement faisant, les claquements de mon corps contre ses fesses envahirent la pièce. Elle lâcha des cris de plus en plus puissants, ses doigts s'activaient rapidement entre ses jambes.
Dans de grands cris et prise de spasmes, elle fini par se contracter, sa chatte se refermant sur moi, déversant son jus sur ma queue. Je jouis au même moment et lâcha trois ou quatre grandes giclées de foutre en elle.
Éreinté, nous restâmes ainsi en position le temps de reprendre nos esprits, elle affalée sur le bureau et moi en elle.

Nous étions trempés de fluides corporelle en tout genre, une odeur de sexe avait envahi la pièce devenue silencieuse.
Christelle se dégagea de mon étreinte, s'accroupit devant moi, fit glisser sa langue le long de ma verge, se releva, passa ses bras autour de mon cou et m'embrassa langoureusement.

Quelques instants plus tard, tout en m'adressant un clin d'oeil et parée de son fameux petit sourire en coin, elle me dit:

-alors facteur. On les signes ces recommandés ?

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