Histoire Erotique

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Dérapage contrôlé

Une femme prête à tout pour échapper à la police .

Proposée le 17/12/2016 par TheCrow

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FHH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman


Je la suis discrètement dans le magasin depuis trente minutes déjà. Pour me présenter rapidement, je suis agent de sécurité dans une grande boutique de cosmétique. Elle, une cliente, qui passe plus de temps à épier si personne ne la voit dérober des articles qu’à faire attention à moi. Dans la quarantaine, brune, grand, style bourgeoise vêtue d’un long manteau noir. Je la vois se diriger vers la sortie du magasin. La prenant de vitesse je me dépêche pour y arriver avant elle. Elle n’a pas le temps d’arriver aux portillons que je l’intercepte poliment
-« Excusez-moi, madame, je vous demande de bien vouloir me suivre, s’il vous plait. »
-« Pourquoi cela, jeune homme, je ne vois pas pourquoi je vous suivrai. Veuillez me laisser passer s’il vous plait. »
-« Simplement pour éviter tout scandale, à moins que vous préfériez que je vous demande de vider votre sac devant tout le monde. »
-« Je, heu, et bien d’accord je vous suis. »
-« Dirigez-vous vers cette porte, s’il vous plait. » Lui dis-je en lui montrant une porte dérobée non loin de l’entrée.

La tête basse, elle se dirige vers l’endroit que je lui ai indiqué. Je lui ouvre la porte et nous continuons à marcher le long d’un couloir jusqu’au bureau ou se trouve le système de surveillance. Poliment je lui ouvre la porte et la fait entrer dans la pièce. Tout en manipulant l’ordinateur des vidéos, afin de trouver la caméra qui l’a repérée, je lui demande de bien vouloir ouvrir et vider son sac.
-« Pourquoi devrais-je ouvrir et vider mon sac, jeune homme ? »
-« Pour vérifier ce que vous avez dérobé dans le magasin, madame ! »
-« Dérobé, moi, mais pour qui me prenez-vous, comment osez-vous ? Je ne vous permets pas jeune homme ! »

La laissant parler, je trouve enfin la vidéo qui m’intéresse et commence à la diffuser sur l’écran géant de la salle. On voit bien cette dame en train de mettre des articles de parfumeries et maquillages dans son sac.
-« Maintenant vous voyez mieux de quoi je parle madame ? »
Elle devient blanche et manque défaillir. Elle s’assoit sur une chaise, pose son sac sur la table et commence à en retirer tous les articles qu’elle avait volés.
-« Heu, oui, je suis désolée, ce n’est pas dans mes habitudes vous savez » dit-elle au bord des larmes.
Je m’approche de la table, récupère la marchandise et pose le tout sur le bureau du pc sécurité. Je m’empare alors du téléphone, quand elle réagit et fond en larme en me demandant ce que je fais.
-« J’appelle la police, madame, vous avez tenté de subtiliser pour plus de 1000€ de produits cosmétiques et parfumerie. Je ne peux pas faire autrement »
Elle se confond en excuse, me promet que cela ne se reproduira pas.
-« Que puis-je faire pour que vous n’appeliez pas la police ? Vous imaginez ma réputation, si je pars d’ici avec la police ! »
-« Il fallait y penser avant madame et que voulez-vous dire en me disant, que puis-je faire. Je ne fais que mon métier madame, et au vu de ce que vous avez fait, je suis obligé d’appeler la police. »

Elle se redresse sur sa chaise, déboutonne son manteau, laissant apparaitre, dessous, une robe noire, légère et entièrement boutonnée sur le devant. Enfin quand je dis boutonnée, il doit y avoir tout au plus 4 boutons de fermés. Elle croise les jambes, laissant découvrir le haut de ses cuisses gainées de bas.
-« Je suis prête à beaucoup de choses jeune homme, je vous trouve séduisant et si j’en juge par votre regard, je ne vous laisse pas indifférent. »
Mes yeux avaient du mal à quitter ses cuisses, elle ôta son manteau, puis caressa sa gorge en me fixant dans les yeux. Inconsciemment je pose le téléphone et comme hypnotisé par ses charmes, l’écoute me parler.
-« Vous me trouvez désirable jeune homme ? » dit-elle en se levant et s’approchant de moi. Elle se colle contre moi, je sens son parfum, la chaleur de son corps. Elle prend ma main et la pose sur sa cuisse, sous la robe. Je sens sa peau douce sous mes doigts, elle fait remonter ma main vers le pli de l’aine, je peux constater qu’elle ne porte rien sous sa robe. En me regardant dans les yeux, elle approche ses lèvres des miennes, mes derniers interdits disparaissent et je réponds fougueusement à son baiser. Elle fait tomber ma veste, ma main, restée sous sa robe se pose sur sa fesse, on recule jusque la table, toujours en s’embrassant, elle pose sa main sur ma braguette et commence à caresser, presser mon sexe qui gonfle de désir. Elle me repousse légèrement et fini de déboutonner sa robe et le faire glisser le long de ses épaules, dessous elle porte une guêpière laissant apparaitre ses seins ce que voyant, je m’empresse de saisir les deux entre mes mains pour les caresser, les masser, jouer avec ses tétons.

Elle défait ma ceinture, dézippe mon pantalon le fait tomber sur mes cheville, glisse reprends sa caresse sur ma queue à travers mon boxer. Je lui dévore les seins, mange ses tétons, pendant je retire ma veste, cravate et chemise. Une fois torse nu, elle vient coller sa poitrine contre la mienne, j’aventure une main entre ses cuisse, caresse son entre cuisse, elle prend appui sur la table et écarte ses cuisses, m’ouvrant le passage vers sa chatte. Je glisse mes doigts sur ses lèvres chaudes et humides, au même moment, elle glisse sa main dans mon boxer et sort mon sexe gonflé qu’elle commence à caresser. J’écarte ses lèvres, enfonce un doigt en elle, ce qui la fait frémir et soupirer de plaisir. Mon autre main s’est posé sur son cul, pour pétrir ses fesses douces. Elle masturbe doucement mon sexe, caressant le gland du pouce chaque fois qu’elle décalotte.

Elle descend de la table, je retire chaussures, pantalon et boxer, elle me fait m’assoir sur la table, prend la chaise à côté se pose dessus, cuisses grandes ouvertes. Tout en me regardant dans les yeux, elle commence à se caresser puis saisi mon sexe, approche son visage et se caresse avec le gland, puis laisse glisser sa langue sur mes couilles, les lèche en me masturbant. Puis remonte vers le gland en léchant, comme si elle léchait une glace, pose ses lèvres sur mon gland et doucement le fait glisser dans sa bouche. Je ne peux m’empêcher de gémir de plaisir. Elle commence à me sucer, je vois sa bouche coulisser sur mon pieu, je pose mes mains sur ses cheveux et lui impose le rythme de succion. Je lui fais accélérer la cadence et elle gobe sans rechigner mon sexe, laissant sa langue glisser dessus, jouer avec le gland.

Je prenais beaucoup de plaisir à sa pipe, mais à force de la regarder se donner du plaisir seule, je voulais moi aussi lui rendre la pareille. Je quitte sa bouche et la fait s’allonger par terre, je me positionne au-dessus d’elle, la queue à proximité de sa bouche, qu’elle s’empresse d’ouvrir pour gober mon gland et reprendre sa fellation. Je caresse son clitoris, puis enfonce deux doigts dans sa chatte humide et les fait glisser en elle d’abord doucement. Puis, après avoir posé ma bouche sur son clitoris, j’augmente la cadence. Ma langue titille son clitoris, avant de le glisser entre mes lèvres, l’aspirer le mordiller. Je sens ses fesses se contracter, le bassin se soulever à chaque fois que mes doigts la pénètrent profondément. Je sens son plaisir couler le long de mes doigts et de son sillon jusqu’à son anus. Je décide d’aller m’y attarder, je quitte sa chatte, les doigts luisant de sa cyprine, pose un doigt à l’entrée de son cul et le masse délicatement. Je l’entends me dire, oui, mets le moi, prends mon cul.

Tout en me suçant, elle caresse mes couilles et mes fesses, se raidit quand mon doigt s’enfonce dans ses fesses et lâche un long gémissement, je sens son petit trou se serrer autour de mon doigt que je commence à faire aller et venir. Pour amplifier son plaisir, je continue de jouer de ma langue sur son clitoris et lui enfonce un doigt dans la chatte en même temps. Je fais coulisser mes doigts en même temps en elle de plus en plus vite, lui défonçant ses deux orifices. Sentant son plaisir monter de plus en plus, je continue de lui enfoncer mes doigts profondément jusqu’à ce qu’elle se cambre et crie son plaisir en m’inondant la main et le visage.

Je m’allonge à ses côtés, elle se colle contre moi, jouant nonchalamment avec mon sexe, je lui caresse le dos, les fesses. Elle pose une main sur mon épaule et me fait mettre sur le dos. M’enjambe et prend ma queue en main, elle la décalotte, caresse ses lèvres et son clitoris avec le gland avant de se le mettre profondément en s’empalant dessus. Elle ferme les yeux, appréciant ce qu’elle vient de mettre en elle. Doucement elle ondule du bassin d’avant en arrière avant de s’accroupir et monter et descendre sur mon pieu tout en se caressant les seins et le clitoris. Elle se penche alors sur moi, et me murmure à l’oreille –« tu n’aurais pas un collègue ou un pote pour venir t’aider à me défoncer ? j’ai envie de deux queues en moi. »

Je la regarde dans les yeux, pensant qu’elle plaisante, mais à son regard sérieux je sais que non. Je tends la main vers ma ceinture et saisis ma radio pour appeler un collègue que je sais libertin et fréquentant les clubs échangistes. Je lui précisais dans mon message de frapper avant d’ouvrir la porte qui est fermée à clé.

A peine deux minutes plus tard, on frappe à la porte puis j’entends la clé dans la serrure. Mon pote, découvrant la scène, reste silencieux quelques secondes avant de dire –« Bah mon salaud tu t’ennuies pas, elle est canon en plus. Dans quel pétrin elle s’est mise pour en arriver là ? » Je lui explique brièvement, les vols, comment je l’avais coincée et le fait qu’elle était prête à tout pour éviter l’intervention de la police. Pendant que je racontais la petite histoire à mon collègue, la bourgeoise n’a pas arrêté pour autant de s’empaler sur moi. Intéressé, mon pote s’approche de nous. A peine était-il à portée de cette femme qu’elle s’est attaquée à la braguette de celui-ci pour lui sortir la queue et le sucer goulument. Elle l’aspirait comme si ça vie en dépendait, tout en continuant de se défoncer sur ma queue.

Au bout de quelques minutes, elle fait déshabiller mon pote et lui demande d’aller de se poser sur la table. Elle se lève, s’agenouille sur la chaise devant mon collègue et avant de reprendre son sexe dans sa bouche m’invite à venir l’enculer. Elle se masse le cul pendant que j’arrive, je m’agenouille derrière elle, commence par lécher son anus, le titille de ma langue, avant de glisser un doigt, que j’avais humidifié de sa mouille. J’appuie sur sa rondelle et enfonce mon majeur entre ses fesses, elle se cambre pour faciliter l’intromission. Une fois bien au fond, je débute des vas et viens en crachant sur son trou pour lubrifier le passage. Mon doigt glissant sans problème, j’en insère un deuxième, afin de faciliter le passage.

Une fois son cul bien ouvert, je pose mon gland sur son anus et pousse d’un coup sec jusqu’au fond, je lui claque les fesses alors que mon pote déclare « C’est une bonne salope à baiser et elle suce divinement. » Je m’accroche à ses hanches et commence par de petits coups de reins puis amplifie les mouvements et fini par lui défoncer le cul et lui donner de grandes claques sur ses fesses. Je regarde alors mon complice et lui dis « On va lui en mettre deux en même temps, je reste dans son cul et toi tu la baises. » Sitôt dit, sitôt je sors de son cul, m’allonge par terre et prends cette chienne en chaleur par la main, je la fait me chevaucher, ses fesses face à moi, et la fait s’empaler sans ménagement sur ma queue, une fois bien au fond de son trou, elle se penche en arrière afin d’accueillir cette deuxième queue dans sa chatte détrempée. Mon comparse s’agenouille entre ses cuisses bien ouvertes, il guide sa queue à l’entrée de la chatte grande ouverte et l’enfonce violemment et profondément dedans. Je prends les fesses de cette salope dans mes mains, lui soulève un peu le bassin et nos deux queues commencent à la pistonner sauvagement, heureusement que le local est insonorisé, elle hurle de plaisir sous nos coups de reins.

-« hooooooooooooo c’est bon, baisez-moi comme la chienne que je suis, bourrez-moi le cul et la chatte !! » On se regarde avec mon pote et d’un commun accord on augmente la cadence et la violence des coups de rein. Elle est secouée par la brutalité des deux queues qui la défoncent. Elle jouit pour la deuxième fois dans un râle puissant. Mon pote sort de sa chatte et me dit qu’il veut l’enculer. Elle se relève, au passage je vois son cul bien ouvert par le passage de ma queue. Nous sommes en nage, je sors de l’eau du frigo, pour nous rafraîchir et une fois les émotions passées, elle s’agenouille entre nous deux et prends nos sexes en main pour les masturber et les sucer un à un. Une fois notre vigueur retrouvée, elle me fait allonger à nouveau. Passe une jambe de chaque côté de moi, puis descend sur ma queue qu’elle tient bien droite pour s’empaler à fond dessus. Une fois bien prise devant, elle se penche vers moi, offrant son cul à mon collègue qui n’attendait que ça pour la saisir par les hanches et lui mettre violemment sa verge tendue dans le cul d’un coup sec. Elle pousse un cri sous la violence de la pénétration et esquisse une légère grimace de douleur. Je sens alors que mon camarade commence à la pistonner sans ménagement en lui claquant les fesses en même temps. Je vois des larmes couler sur les joues de cette femme. Mais n’écoutant que le plaisir elle se penche à mon oreille et me demande de la baiser au même rythme que mon collègue, qu’elle aime ça, se faire prendre sauvagement. J’accède à sa requête et bouge mon bassin pour arriver au même rythme que mon collègue qui lui prend sauvagement les fesses. Elle grimace à la fois de plaisir et de douleur tellement mon pote s’acharne dans son anus, mais les va et vient dans sa chatte lui procurent autant, si ce n’est plus de plaisir. Elle est secouée dans tous les sens, tel un pantin désarticulé, tellement nos coups de reins sont puissants. Elle est au bord de l’orgasme, le troisième depuis le début de l’orgie. Elle se mord les lèvres, mais ne tenant plus crie sa jouissance fortement alors que nous continuons à la prendre sauvagement. Ne tenant plus sous les coups de boutoirs, elle s’écroule sur moi, le souffle court. Je lui caresse les fesses et le dos, essaye de me dégager de son étreinte, elle tombe allongée à mes côtés, les joues rouges et haletante de plaisir. Je me lève et l’aide ensuite à se mettre sur ses jambes afin de la faire assoir sur le fauteuil de bureau. A peine assise, elle me saisit pas le sexe et la caresse avec toujours autant d’envie. En me regardant dans les yeux elle me dit « A moi de vous rendre le plaisir que vous m’avez donner » Et elle prend ma queue entre ses lèvres et me suce avidement. Mon collègue se rapproche, elle tend l’autre main pour lui prendre la bite et le masturber pendant qu’elle gobe la mienne. Sentant que mon ami ne tiendrait plus longtemps avant de jouir, elle se tourne vers lui et l’avale tout en le branlant rapidement. Ce qui a pour effet de le faire craquer et il gicle au fond de sa gorge dans un râle bestial. Elle n’en perd pas une goutte et avale tout ce qui sort de son sexe.

Une fois la bite nettoyée de sa langue, elle se concentre sur la mienne, toujours me fixant droit dans les yeux. Elle pompe comme une forcenée, sa main glisse rapidement sur mon pieu. Je pose mes mains sur ses cheveux et lui indique le mouvement à suivre. Elle va plus vite, je sens sa langue glisser sur mon gland et ma tige à chaque aller-retour entre ses lèvres, elle me caresse les couilles. Sentant le plaisir monter rapidement j’accompagne sa fellation par des mouvements de bassins, elle murmure, oui crache moi tout, salis moi comme une salope. Sa remarque eut pour effet d’accroitre mon plaisir et je ne put tenir plus longtemps, j’appuie alors sur sa tête et enfonce ma queue au fond de sa gorge et crache mon foutre, qu’elle s’empresse d’avaler avec gourmandise. J’ai du mal à tenir sur mes jambes tellement le plaisir a été fort. Elle lèche ma bite pour la nettoyer et récupérer les dernières gouttes avec un regard gourmand.

Pendant ce temps, mon collègue s’était rhabillé et s’apprêtait à sortir sans un mot. Il referme la porte à clé derrière lui, nous laissant seuls. On remet nos vêtement chacun dans son coin. Une fois vêtus, je la regarde son visage est encore rouge du plaisir qu’elle vient de prendre. Elle soutient mon regard en s’approchant de moi, m’embrasse sur la joue et me murmure à l’oreille « Merci pour ce moment fort agréable, je reviendrai. »
Sur ce, je déverrouille la porte et la raccompagne vers la sortie.

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Commentaires de l'histoire :

Anna
Ouf... j'ai chaud ! Votre récit est tellement détaillé que c'est impossible de rester de marbre :-P
Posté le 18/12/2016


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