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Florence - La surprise

Suite directe de la Punition, où Florence me comble au-delà de mes rêves les plus fous.

Proposée le 17/12/2016 par Korn

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Thème: Première fois
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Cela faisait un an et demi que je trompais ma copine avec Florence, l'été approchait et ma maîtresse me proposa une « nuit jdr » chez elle, tout en me précisant de prévoir « pas mal de prétirés. »

Dans notre langage codé, au cas où ma moitié tomberait sur nos messages, cela signifiait une nuit torride pour laquelle elle me recommandait une certaine abstinence parce qu'elle comptait bien s'envoyer en l'air plusieurs fois.

Chaud comme un lapin, je sonnais à sa porte 19h30, avec un pack de bières à la main. Ma maîtresse m'ouvrit dans une tenue qui me fit aussitôt monter une violente érection : soutien-gorge en dentelles rouge, string et bas assortis. Je me penchai pour lui rouler une pelle et peloter ce qui m'excitait le plus chez elle : ses fesses à l'affolante rondeur. Elle m'arrêta lorsque ma main se dirigea vers le devant et commença, à travers l'étoffe humide, à palper son intimité.

« Pas tout de suite » fit-elle « on va dans la chambre. »

« Pourquoi ? » demandai-je, surpris. « D'habitude ça te dérange pas de le faire dans l'entrée. »

Pour toute réponse, elle attrapa une longue bande de tissu sur la petite commode à côté de nous.

« Parce que ce coup-ci, on va faire les choses à ma façon » répondit-elle avec un sourire coquin.

Je ne pouvais pas refuser pareille invitation, aussi laissai-je Florence me bander les yeux et me guider vers sa chambre. Dès que nous y fûmes, elle défit mon jean et je me retrouvai cul nu, sexe dressé, face à elle.

Je ne voyais absolument rien, mes sensations s'en trouvaient décuplées. Je pouvais parfaitement sentir les doigts de Flo autour de mon membre, ma chair turgescente coulisser entre ses lèvres, sa langue titiller le bout du gland. Cette fellation était douce, un peu... hésitante ?

Je tâtonnai dans le noir, trouvai des cheveux épais et ondulés. Or, Florence a les cheveux fins et raides. Quelque chose n'allait pas, je devais en avoir le cœur net. Je retirai d'un coup le bandeau et me trouvait face au visage d'ange de Lucie.

La jolie brune portait exactement les mêmes vêtements que ma maîtresse qui, assise à côté, m'adressa un clin d’œil. La surprise m'avait ôté toute excitation, et Lucie s'en rendit probablement compte car elle arrêta ce qu'elle faisait, les joues rouges.

« Vous m'expliquez ? » demandai-je.

« C'est super simple » expliqua Flo. « Lucie s'est rendue compte que chaque fois qu'elle venait et que t'étais là, je sentais le sexe. Et une fois, elle a vu ce qui ne pouvait être que du sperme dans mes cheveux. »

« J'ai compris que tu trompais ta copine avec Flo, et je suis venue lui en parler » poursuivit Lucie.

« A Florence, rassure-moi ? » paniquai-je.

Elles rirent et je me sentis bien con. Si elles en avaient parlé à Cécile, il était évident que Lucie ne serait pas en train de caresser distraitement mes bourses en ce moment-même.

« Bien sûr » reprit ma maîtresse. « Et du coup, comme tu m'avais dit qu'à l'occasion tu testerais bien la faciale sur Lucie, je lui ai proposé un plan à trois. »

La brune au visage d'ange rougit et baissa la tête. Flo arriva par derrière et lui attrapa les seins à pleine main, la faisant sursauter et provoquant un phénoménal regain d'érection chez moi. Ma maîtresse éclata de rire.

« Tu vois Luce, suffit de pas grand chose pour le faire bander ! Allez, retournes-y. »

Lucie, les joues toujours rouges, approcha de nouveau les lèvres de ma virilité, mais je l'interrompis.

« Euh, c'est pas pour dire les filles, mais autant sauter sur Flo et la baiser sans préambule, je sais faire, autant avec une fille que je connais pas sous ce jour, j'suis assez mal à l'aise à l'idée de me faire sucer directement. »

Malaise que Lucie partageait plus que visiblement. Elle me décocha d'ailleurs un sourire reconnaissant.

« Donc, ce que je vous propose, c'est qu'on reprenne du début, tranquillement, sur le lit, et qu'on se laisse porter par les envies du moment, vous en dîtes quoi ? »

Florence haussa les épaules.

« Moi, je m'en fous, par contre je me rhabille pas, j'ai la flemme. »

« Moi ça me va » conclut Lucie.

Elle prit ma main pour se relever, aida également Florence, et nous nous dirigeâmes tous trois vers le lit de notre hôte où nous prîmes place, moi au milieu, chaque fille avec sa tête au creux d'une de mes épaules. Je ne savais pas vraiment que faire, comment faire, où me mettre. J'avais beau bander comme un âne en caressant le dos de mes amantes du soir, en sentant leurs énormes poitrines comprimer mon torse, leurs jambes s'enrouler autour de mes cuisses, je n'en demeurais pas moins mal à l'aise et incapable de prendre l'initiative. Fort heureusement, Flo décida qu'elle en avait marre d'attendre.

« Bon » fit-elle en se dégageant de mon étreinte « je vous laisse vous faire des petits bisous, moi je vais le sucer histoire que ça avance un peu. »

Je regardai Lucie, qui me rendit un regard gêné. Puis j'avançai les lèvres à la rencontre des siennes, les rencontrai au moment précis où celles de ma maîtresse se refermèrent sur ma virilité. Il y avait là quelque chose de paradoxal : en haut, j'échangeais de petits baisers chastes avec Lucie, en bas je donnais des coups de reins pour accentuer la fellation de Flo. L'excitation et le plaisir finirent pas avoir raison de mon côté prude, j'ouvris la bouche, dardai la langue dans celle de la brune qui me répondit timidement. Ma main libre s'infiltra dans son soutien-gorge, libéra un sein énorme pour le caresser doucement, titiller délicatement le téton. Petit à petit, le baiser se fit moins tendre, plus fougueux, Lucie me caressait le torse. En bas, Flo avait délaissé ma hampe pour lécher doucement les bourses. J'étais dans un état de bien-être absolument incroyable.

« Luce, viens le sucer un peu, si je continue il va me gicler dans la bouche dans 5 secondes. »

La brune s'exécuta tandis que Florence retirait son string. Une seconde plus tard, les lèvres charnues de Lucie allaient et venaient doucement sur mon sexe et ma maîtresse s'asseyait sur mon visage pour subir mes assauts buccaux, trempée comme elle ne l'avait que rarement été. Pour le coup, ça ne différait pas vraiment des 69 dont j'avais l'habitude avec Flo, sinon que je savais que la chatte que je léchais et la bouche qui me suçait n'appartenaient pas à la même personne.

Si Lucie continuait de se montrer un peu hésitante, moi je me donnais à fond pour offrir à ma belle le premier orgasme de cette soirée, qui vint après seulement une ou deux minutes d'efforts tant elle était excitée.

« Déjà ? » entendis-je provenir d'en-bas après que Flo eut lâché un cri bestial.

« Ouais, il sait y faire avec sa langue. Tu veux essayer ? »

« Allez. »

Les filles se dégagèrent et je pus voir Lucie retirer également son string avant de prendre la place de Flo. Elle aussi avait le sexe intégralement rasé, mais son jus avait un goût moins doux que celui de ma maîtresse, un peu acide, pas franchement désagréable. Tandis que je m'acharnais sur son bouton et sa fente, je sentis Florence m'enjamber, attraper mon sexe et s'empaler doucement dessus.

« Aaaah » soupira-t-elle « après la lèche, la baise, y a rien de tel. »

« T'es toujours aussi crue pendant le sexe ? » demanda Lucie.

« Toujours, ça m'excite. C'est pour ça que j'adore me faire gicler dessus, c'est trash, j'adore. »

« Huuum » fit Lucie en donnant de légers coups de hanches pour accompagner ma langue sur son bouton.

En bas, Flo faisait du rodéo, tout en s'assurant de ne pas me faire venir tout de suite. J'avais de la chance que ce soit elle qui soit aux commandes, car excité comme je l'étais une fille moins au fait de mes préférences m'aurait fait jouir en moins de deux. Mais pas elle, même excitée à mort elle restait parfaitement maîtresse de la situation et voulait faire durer le plaisir autant que possible.

« Luce, tourne-toi. Ça sert à rien de faire un truc à trois si y a que monsieur qui en profite. »

« Euh, d'accord, mais j'ai jamais fait avec une fille. »

« Moi non plus, mais faut bien commencer... Oh putain, je crois que ça l'excite d'apprendre ça. »

En effet, j'avais beau bander comme un âne, apprendre ce qui se tramait venait de me donner un surcroît d'érection, presque douloureux. Lucie se retourna et aux gémissements de plaisir des filles se mêlèrent bientôt les bruits de langoureux baisers.

« Doucement » fit Lucie au bout de quelques instants « j'ai les seins fragiles. »

« Oups, désolée, je me suis laissée emportée. »

Oh mon dieu, voilà que les deux se tripotaient allègrement en plus de se rouler des pelles. Je n'en pouvais plus, si Flo ne faisait pas rapidement quelque chose, elle allait se retrouver avec la chatte pleine de foutre. Je sentais les premières contractions, annonciatrices d'un orgasme proche et violent, quand ma maîtresse se retira brusquement.

« Tu t'es cru où ? » fit-elle. « On a dit jamais dedans. »

Juste à temps. Deux allers-retours de plus, et le point de non-retour était franchi. J'étais toujours au bord de l'explosion, mais le pire était évité... pour l'instant.

« Luce, allonge-toi, on va devoir finir monsieur rapidement, il ne tient plus. »

« Déjà ? »

Je me sentis vexé par ce « déjà », comme si j'étais juste un objet à consommer sans modération.

« Déjà » répéta Flo. « Tu le finis entre tes seins ? Il adore ça.»

« Euh ok » fit la brune aux yeux bleus en se levant de mon visage.

Elle s'allongea à mes côtés et je m'assis sur elle. La bite bien calée entre les énormes seins qu'elle pressait l'un contre l'autre, je me fis un bien fou en allant et venant dans ce fourreau de chair. Elle poussa un gémissement de plaisir, deux mains vinrent caresser mon dos et je compris que Flo en profitait pour lui faire un cunni.

C'en était trop pour moi, un sublime orgasme me prit, je me levai pour présenter mon sexe au-dessus du visage d'ange de Lucie, qui eut l'excellente idée de fermer les yeux au moment où j'expédiais un véritable torrent de sperme sur son joli minois. Ce fut une des plus intenses et abondantes éjaculations de ma vie, il y en avait absolument partout : sur les lèvres, les joues, les paupières, le nez et le front de la brune, dans ses cheveux, sur les oreillers et même le mur derrière, un sperme très liquide, presque transparent, qui ruisselait ensuite sur sa peau diaphane.

Une seconde plus tard, Lucie jouit bruyamment grâce à Florence. Un orgasme partout, la soirée commençait décidément très bien.

« Quelqu'un peut me passer des mouchoirs ? » demanda la brune. « Je peux pas ouvrir les yeux. »

Flo éclata de rire en constatant l'étendue des dégâts, je me dirigeai vers la cuisine et en revint avec un rouleau de sopalin bien inutile, car je trouvai ma maîtresse allongée sur son amie, leur imposante poitrine comprimée l'une contre l'autre, en train de lécher consciencieusement tout le sperme qui maculait le visage de la brune, ne s'interrompant que pour de longs baisers où, je le devinais, elles s'échangeaient ma semence.

« On peut dire que tu t'es vidé mon cochon » commenta Flo quand elle s'aperçut de ma présence. « Même avec moi t'en sors rarement autant. »

« C'est pas ma faute » répliquai-je « vous êtes juste trop bonnes toutes les deux. »

Lucie rougit, Flo sourit.

« T'as encore de l'énergie tout de suite ou on s'amuse toutes les deux en attendant que tu récupères ? »

Si l'envie ne manquait pas de rejoindre ces deux beautés dans le lit, force m'était de constater que mon sexe pendait toujours mollement.

« Je vais me chercher une bière et vous regarder, si ça vous gêne pas. »

Pour toute réponse, Flo pivota sur son amie et enfouit sa tête entre les cuisses de la brune qui en poussa un petit cri de surprise autant que de plaisir. Lorsque je revins avec ma bouteille, elles étaient toujours en plein 69 et je m'assis pour profiter tranquillement du spectacle. De là où j'étais, j'avais une vue imprenable sur le cul bombé de Florence, sur son petit trou et sur Lucie qui s'en donnait à cœur joie. Les filles s'éclataient et moi je recommençais à bander.

J'allais m'approcher, mais Lucie jouit une fois de plus, imitée par Flo quelques secondes plus tard. Ma maîtresse se dégagea, roula sur le côté et vint se blottir contre la brune. Elles échangèrent de petits bisous et je compris qu'il me faudrait attendre pour le round suivant.

Tout le monde se rhabilla et nous décidâmes de passer à un autre programme au moins aussi chouette : pizza-bière-film. Assis sur le canapé, entre les deux filles, je profitais du film, lorsque je sentis une main se poser sur mon entrejambe et le palper doucement. C'était Flo qui, l'air de rien, me caressait et me mit rapidement au garde-à-vous. Un instant plus tard, elle sortit mon sexe et se pencha dessus pour l'engloutir, me prodiguant une fellation douce, langoureuse, extrêmement agréable.

« Eh, mais vous faites quoi ? » lâcha soudain Lucie.

« Je lui taille une pipe et je compte bien me faire baiser ensuite » répondit Flo sur le ton de la conversation. « Et ce coup-ci, c'est moi qui prend la faciale. »

« Tu veux participer ? » proposai-je.

La brune hocha la tête.

« Je suis pas venue pour regarder. »

« Ouais, tous à poil ! » cria Florence en joignant le geste à la parole.

Nous nous déshabillâmes et je me retrouvai à nouveau assis sur le canapé, avec les filles qui me suçaient à tour de rôle et échangeaient de fougueux baisers entre chaque rotation. Pendant que la bouche de l'une était occupée avec mon sexe, celle de l'autre venait titiller mes bourses, pour de divines sensations. Sentant que ce traitement me vaudrait bientôt de jouir et souhaitant honorer mes amantes, je me décidai à poser la question :

« On baise ? »

« Amen » répondit Florence en grimpant sur le canapé.

Elle s'installa à quatre pattes et me présenta sa croupe, ainsi que sa fente luisante dans laquelle je m'enfonçais sans difficulté. Je vous l'ai déjà écrit, je connaissais Florence par cœur et elle était tellement excitée qu'il ne me fallut pas longtemps pour la faire jouir bruyamment. Je me retirai et me tournai alors vers Lucie, occupée à caresser les seins de ma maîtresse tout en l'embrassant à pleine bouche.

« A toi ? » proposai-je.

Elle rougit.

« Euh non, pas pour ça, désolée. »

« Bah pourquoi ? » demanda Florence.

La brune au visage d'ange rougit de plus belle.

« Je suis vierge et j'ai pas envie de la perdre maintenant. »

« Oh. »

En soi, sa virginité ne me surprenait pas vraiment. Mais avec ce qu'elle me montrait depuis le début de la soirée, je ne m'attendais pas vraiment à cette révélation. Et comme toujours, ce fut Florence qui trouva la solution.

« Bon, bah sodomie alors ! » fit-elle avec entrain.

« Hein ? » nous répondîmes à l'unisson.

Ma maîtresse hocha vigoureusement la tête.

« Bah si Luce veut rester vierge, ce que je comprends, et qu'on est tous là pour baiser, elle y compris, tu la prends par derrière et tout va bien, non ? »

L'intéressée baissa la tête.

« Euh, bon ben d'accord alors. Mais tu y vas doucement hein ? »

« Bien sûr, Flo me défonce si je te fais mal » dis-je en souriant.

Florence s'absenta une seconde et revint avec capote et lubrifiant, pendant que Lucie et moi en profitions pour nous faire un gros câlin entrecoupé de baisers langoureux.

« On se répartit les tâches » fit-elle. « Je la prépare, tu lui roules des pelles pour la distraire. »

Lucie s'allongea sur moi du mieux qu'elle pouvait. Elle était sacrément lourde, mais nous finîmes par trouver une position confortable dans laquelle nous caresser et nous embrasser, pendant que Florence la lubrifiait.

« C'est prêt ! » annonça soudain cette dernière. « Luce, mets-toi à quatre pattes. Et toi, enfile ça » ajouta-t-elle en me tendant un préservatif.

Nous nous exécutâmes et je présentais mon sexe enrobé de latex devant le petit trou franchement écarté et débordant de lubrifiant de Lucie. Flo avait tellement bien œuvré que je m'enfonçais aux trois-quarts avant de rencontrer la moindre résistance.

« Ça va ? » demandai-je.

« Vas-y doucement, ça tire un peu. »

« Pas de soucis. »

J'entamai de lents allers-retours, poussant un peu plus loin à chaque fois, jusqu'à finalement la pénétrer de tout mon long. Flo s'était installée sur le canapé d'en face, les jambes royalement écartées, et se caressait les seins et le clitoris en nous regardant.

Il y avait quelque chose de bizarre dans le fait de regarder ma maîtresse se toucher en me regardant prendre la virginité anale d'une de ses meilleures amies, une sorte de mise en abîme sexuelle qui me plaisait beaucoup.

Un petit gémissement de plaisir me fit reprendre mes esprits et me concentrer sur la brune ainsi que sur mon sexe qui allait et venait doucement dans son petit cul serré.

« Ça va toujours ? » demandai-je.

« Hum, hum » répondit-elle. « C'est pas aussi bon que tes cunnis, mais je pourrai jouir si tu y vas plus fort. »

Aussitôt dit, aussitôt fait, j'accélérai la cadence et ses gémissements montèrent en gamme. Elle semblait prendre un pied d'enfer lorsque...

« Attends, ralentis s'il te plaît. »

Je stoppai net mes mouvements.

« Tu as mal ? »

Elle acquiesça.

« Tu préfères qu'on arrête là ? »

« S'il te plaît. »

« Pas de soucis. »

Je me retirai et enlevai la capote, elle se retourna et nous nous embrassâmes avec une furieuse passion.

« C'est allé quand même ? » m'enquis-je.

Non que j'eus besoin d'être rassuré sur mes performances sexuelles (j'ai Florence pour ça), mais je ne voulais pas qu'elle garda un mauvais souvenir de sa première pénétration.

« C'était super bien, c'est juste qu'au bout d'un moment ça fait mal » expliqua-t-elle.

Elle me regarda droit dans les yeux, eut l'air d'hésiter un instant puis, les joues rouges, posa la question que j'attendais.

« Et euh... Finalement, tu veux toujours me dépuceler ? Je crois que j'ai changé d'avis. »

« Tu es sûre de ton coup ? Tu pourras pas reprendre ta virginité si tu regrettes après. »

« Oui, c'est bon. En fait j'en ai envie et c'est débile d'attendre le prince charmant. »

« Ça c'est bien parlé ! » fit Florence de l'autre côté de la pièce. « Allez dans ma chambre » ajouta-t-elle « vous aurez besoin d'un peu d'intimité je pense. »

« Non, c'est bon » trancha Lucie en m'enjambant.

Le temps que je comprenne ce qu'elle faisait, mon sabre encore lubrifié par le gel de la capote écartait ses chairs les plus intimes en se frayant un chemin dans ses entrailles. Il y eut une petite résistance, Lucie lâcha un gémissement de douleur en le passant, et s'affala totalement sur moi.

« T'es sûre que tu voulais pas plus romantique comme première fois ? » demandai-je.

« Je. Veux. Baiser. » répondit-elle. « Et je veux que tu jouisses en moi. »

« Et ma faciale ? » s'insurgea Florence.

« Ah oui... Bon ben oublie la partie sur jouir en moi et baise-moi comme tu baises Flo. »

Ah, ça je savais faire. J'enfonçai mon pouce dans le petit trou de la brune, soudai ma bouche à la sienne et la pilonnai sans ménagement. J'aurais sans doute dû être plus doux, mais elle m'excitait tellement que j'en perdis le contrôle. Sa première fois dura un long moment : en amazone, en levrette, en missionnaire sur le tapis. Flo finit par nous rejoindre pour lécher les énormes seins de sa copine puis se faire faire un cunni. Elle ne jouit malheureusement pas, mais ses cris de plaisir furent suffisants pour me provoquer : je me retirai de Lucie et me levai pour me branler sur le visage de ma maîtresse qui se faisait allègrement bouffer la chatte et qui reçut une colossale décharge de sperme dans les cheveux. Le reste s'abattit sur les énormes poitrines de deux filles.

Me sentant un peu coupable d'avoir été le seul à jouir, je plongeai entre les cuisses de Lucie pour la terminer à la bouche, ce qui prit encore de longues minutes et permit à Flo d'avoir son orgasme.

Tout le monde ayant ses ardeurs calmées et ses besoins primaires satisfaits, nous allâmes prendre une douche chacun notre tour. J'étais complètement épuisé, mais heureux des événements lorsque, minuit passée, nous allâmes tous trois nous coucher dans le lit de notre hôte, les filles en nuisette/string et moi en t-shirt/boxer.

Je fus réveillé dans la nuit par une chaude présence contre moi. C'était Florence qui se collait à moi et m'embrassait doucement dans le cou. Je jetai un coup d’œil à Lucie qui dormait profondément et me blottit contre ma maîtresse, l'embrassait à pleine bouche. Il y avait quelque chose de différent dans sa façon de procéder, plus tendre qu'à l'accoutumée. Elle m'attira sur elle, écarta son string tandis que je baissais mon boxer.

Pour la première et dernière fois de cette relation adultère, Florence et moi fîmes l'amour, dans son lit, à quelques centimètres de son amie assoupie qui avait partagé nos ébats. Ce fut un moment long, intime, d'une infinie tendresse, une parfaite symbiose, une jouissance partagée après laquelle nous nous endormîmes dans les bras l'un de l'autre.

Je ne revis que deux fois Lucie par la suite. Une de ces fois fut sexuelle, et je vous en parlerai beaucoup plus longuement plus tard. Flo et moi n'avons plus jamais invité personne à partager notre couche, nous préférions garder de bons souvenirs de cette fois-là.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Jean Pierre
So good !!!
Posté le 22/09/2018


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