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Lettre au Père-Noël

Après un bilan de mon année en matière de plaisirs charnels, tu découvriras mon voeu très spécial formulé auprès du Père Noël...

Proposée le 12/12/2016 par Anna

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Cher Père-Noël,

Les fêtes approchent à grands pas, ainsi que l’heure de ta célèbre tournée. C’est pourquoi je t’envoie aujourd’hui ma lettre.

Pour faire un petit bilan de cette année, je dirais qu’elle a été marquée par deux hommes, deux amants, tous deux très différents. Le premier m’a littéralement révélée et rendue à moi-même, a su me faire voyager et rêver. Il détenait à mes yeux la pierre philosophale : tout ce que je vivais avec lui, même les plus petites choses, se transformaient en bonheur parfait. Alors imagine les grands moments… Le mérite du second est bien différent dans la mesure où notre ballade épistolaire fut aussi intense que fugace. Cet écrivain du soir, lui, a su me faire vibrer à l’extrême au seul pouvoir de ses mots et nos échanges troublants ont fait chavirer ma plume...

Donc, pour répondre à ta sempiternelle question : non, je n’ai pas été sage, pas du tout même. Mais j’aime à croire que je n’ai fait que du bien. Cependant, ces deux passions n’existent plus aujourd’hui et je reste avec beaucoup de chaleur à partager, et une place à prendre. Mon vœu est donc simple : je souhaiterais que tu mettes un homme sur mon chemin. Histoire de t’aider dans ton choix, je t’apporte quelques indices. À toi de trouver la perle qui pourra me combler.

Je voudrais un homme contre lequel me blottir près d’un feu de cheminée, en hiver, dans un chalet. Nous aurions passé la journée dehors à profiter des heures de soleil, à nous promener dans la montagne, à nous chamailler à coups de boules de neige histoire de mieux nous réconcilier. Juste pour le plaisir d’échanger des baisers, comme des adolescents, que nous ne serions plus. Mais qu’importe. La passion n’a pas d’âge. Notre sortie aurait mérité une douche à deux, histoire de nous réchauffer.

Je m’y vois déjà, me déshabillant dans la salle de bain, en face de lui, le regard un brin provocant, sourire malicieux aux lèvres. Mon pull, mon jean, mon débardeur… Je m’approche de son visage que j’embrasse. Il m’attrape alors par la taille pour me plaquer contre lui. J’intensifie mon baiser. Ma langue joue avec la sienne et je sens ses mains sur mes fesses qui me caressent. Je passe les miennes sous ses vêtements que je lui retire. J’aime le contact protecteur de son torse. Je sens alors que quelque chose résiste dans mon dos. Sa main contre mon soutien gorge qui, heureusement, rend les armes assez rapidement. Histoire de faire bonne mesure, je m’attaque au bouton de son pantalon. Les baisers sont tellement langoureux que j’y sens une vive réaction. Ça ne me déplaît pas, bien au contraire. Vengeance légitime, mon string ne fait pas long feu sous ses doigts fouineurs. Je me sens fondre littéralement. Je finis donc de le déshabiller et l’attire dans la douche.

L’eau nous coule dessus, brûlante. Elle nous réunit. Le baiser se poursuit mais plus pour longtemps. Je suis embrasée et j’en veux plus. Ma main approche son sexe tendu, doucement mais sûrement. Je l’effleure et le regarde fermer les yeux. Je le caresse plus fort et je l’entends soupirer. C’est le moment que j’adore. Je m’agenouille devant lui et embrasse sa queue dure. Mes mains continuent de le caresser mais c’est ma langue qui se régale à monter, descendre, tournoyer légèrement sur le gland. J’ouvre alors la bouche, je le veux en moi. Complètement. Mes lèvres lui laissent volontairement juste assez d’espace pour glisser dans son écrin préféré. Ma langue l’enveloppe chaudement et je commence à le sucer de plus en plus fort. Je sens une main qui joue dans mes cheveux. Son souffle est de plus en plus court. Comble d’une excitation partagée. Je combine alors douceur et fermeté. Douceur brûlante de ma langue et fermeté de mes lèvres. Je le prends alors tout entier et le dévore savoureusement. Je plante mon regard dans le sien, en signe de défi. La main qui me caressait seulement m’agrippe vigoureusement les cheveux et force délicieusement ma bouche avant de m’attirer en arrière pour me relever. J’entends alors une sorte de formule magique : « Qu’est-ce que tu en dis si on poursuit près de la cheminée ?».
Il ne m’en fallait pas davantage pour être archi excitée. Il m’enveloppe dans une grande serviette, embrasse mes tétons tout durs au passage. Le contact de sa langue me fait chavirer. Il ne semble pas vouloir s’arrêter mais, une promesse étant une promesse… Je me recule et lui rappelle : « Vers la cheminée... » avec une voix de tigresse en chaleur. Nous descendons. En marchant je sens à quel point mon sexe est gonflé et humide. Je pense que je ne tiendrai pas longtemps. Arrivés près du canapé, il me pousse dedans. Sous l’effet de la surprise, je ne retiens pas mon drap de bain qui s’ouvre pour me montrer nue, impudique, face à l’homme que je viens de sucer avec un plaisir non dissimulé. Il se penche vers moi et m’embrasse. Sa main vient attraper un téton durci par un désir intense. La pression qu’il y exerce finit de m’exciter totalement. Il lâche alors mon sein et c’est sa bouche qui vient le remplacer. Il me mordille, me lèche, me suçote dangereusement. Ma main agrippe son cou. Mon souffle est court. Je le veux en moi. Je ne tiens plus. Mais il continue de me croquer ainsi. J’ai compris. Il me fait languir. Le salaud veut que je le supplie.

Je résiste quelques minutes de plus mais je suis à bout et je lâche, entre deux soupirs : « Prends-moi... ». Il s’arrête, amusé, me regarde et me questionne d’un air presque innocent : « Tu veux que je te prenne comment ? » Avec un reste de pudeur, je bafouille : « Pénètre-moi... ». Mais lui, totalement provocateur : « Où ça ? » Mon cœur explose de désir ardent qui frôle la colère : « Je veux ta queue dans ma chatte trempée !! » Il sourit, vainqueur, et s’approche donc. Je le saisis, son membre est très impressionnant mais à la hauteur de mon appétit. Je l’attire contre mon sexe tout mouillé. Il ne me pénètre pas tout de suite. Il joue avec moi. Je sens son gland qui écarte mes lèvres, qui s’approche doucement de mon clitoris pour redescendre ensuite. Mon regard redevient furieux et il pénètre enfin, d’un coup, ma chatte étroite, et m’arrache un cri. Sa queue me remplit bien. Il commence des va et vient qui me soulèvent et me transportent. Je ne me contrôle plus. Les yeux mi-clos, la tête rejetée en arrière, la bouche ouverte, je suis en pleine fusion avec celui qui fait monter mon plaisir de façon certaine. Je suis trempée. Il se déchaîne avant de se coucher sur moi. Je l’agrippe par les fesses et le serre contre moi. Il nous fait rouler du canapé sur la peau de bête posée à ses pieds.

Je suis au-dessus. Je me redresse et le regarde, superbe éclairé ainsi. Je sens la chaleur du feu sur mon visage et mes seins. Je me déhanche sur son sexe durci d’envie. Je lis dans son regard une intention nouvelle. Il me laisse mener la danse quelques minutes quand je sens un doigt s’approcher de mon anus. Il me connaît bien et sait que je ne résiste pas à ce plaisir-là. Je me penche un peu et ne bouge plus, le temps d’apprécier, au-dessus de son visage, l’intromission. Je l’embrasse en remerciement. Mon désir monte encore d’un cran. Ivre de désir, j’en attends davantage. « C’est toi que je veux... ». Il me défie encore : « Comment ça ? ». Son doigt qui me visite ainsi me fait perdre pied. Je n’y tiens plus : « Encule-moi... ». Il me croque le lobe de l’oreille gauche avant de me relever. Le frisson me secoue jusqu’à la pointe du pied. Il passe dans mon dos. Je sens ses baisers sur mes fesses, ses doigts dans ma minette qui grogne encore. Sa langue me caresse entre les lèvres et remontent sur mon petit trou. Le seul contact de son souffle me fait soupirer de délice. Sa langue me lèche de plus en plus fort. Mon anus s’ouvre petit à petit. Son doigt joue avec quelques minutes pour me lubrifier et je l’entends se reculer. Son gland glisse sur mes lèvres et arrive enfin à la porte de mon plaisir. Il s’introduit doucement, je ne bouge plus du tout, le temps de lui faire de la place. Mon désir est tellement fort que la dilatation est généreuse et il s’enfile en moi jusqu’à bout. Je me sens à lui. Possédée.

Ses hanches commencent à bouger, accompagnées de ma respiration de plus en plus saccadée. La pénétration est intense. Le regard perdu dans les flammes, je me sens chienne de me laisser prendre ainsi. Mais j’adore vraiment cette sensation-là. Ses mouvements se font plus profonds et plus rapides. Sa respiration s’accélère. Il n’est pas loin de jouir. Mes soupirs se sont peu à peu transformés en cris. Il se couche alors sur moi, passe ses bras sous les miens. Je penche mon visage vers l’arrière pour m’approcher du sien et j’entends, au creux de mon oreille : « T’aime ça ma petite salope ? ». Ma réponse est immédiate : « Ouiii… J’adore ça ! Fais-moi jouir comme ça... ». La cadence s’accélère encore. Mes cris deviennent hurlements. Je ne maîtrise plus rien. Mon orgasme monte et j’explose, ma jouissance est très intense. Au même moment, je le sens éjaculer au plus profond de moi. Ses spasmes sont longs et ne font qu’en rajouter à ma satisfaction. Je me retourne doucement et le dévisage. On est en sueur, haletants, souriants. La lumière du feu le rend extrêmement beau. Je me retourne et l’attire contre moi. On se serre. Je sens son sperme couler en moi. Je l’embrasse langoureusement, avant de somnoler ainsi blottie contre lui...

Voilà ! Tu sais tout cher Père-Noël. Je te mets au défi de me trouver cet homme-là. En attendant, j’espère que ma lettre t’arrivera. Je te souhaite une bonne tournée et un joyeux Noël.

Anna.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Smile2me
Très belle plume Anna, tu arrives à transmettre les émotions dans ton texte. Je te souhaite ce beau cadeau! xx
Posté le 17/12/2016

flav
j'aimerais le fait sa avec toi et réalise tous tes fantasmes ^^
Posté le 16/12/2016

wuttelcup
Fantastique. Moi aussi, je veux un Noël comme ça. C' est possible que tu peux me donner une nuit comme ça?
Posté le 13/12/2016


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