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Histoire d'Elisabeth. Chap 4.2 L'entrevue: le cabinet

Deuxième partie de l'entrevue que doit passer Elisabeth. Partie pratique...

Proposée le 2/08/2016 par Pierre Degand

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: Groupes
Lieu: Inclassable
Type: Roman


Le bruit de la clenche m’a tiré de mes regrets. C’était Jean. Quand il est entré dans le cabinet, je l’ai rejoint dans le salon. J’ai alors pris que conscience que depuis son discours sur l’inceste, je redoutais sa venue. Avec son visage taillé à la serpe, son menton en galoche, ses cheveux mal peignés derrière un épi, je lui trouvais un air pervers. Sans dire un mot, il a déverrouillé la ceinture et l’a jetée dans un coin. Il a d’abord fallu que je lui ouvre tous mes orifices qu’il a inspectés de ses yeux puis, sans ménagement aucun, il y a introduit deux doigts. Il s’est assis sur le tabouret et m’a couchée brutalement sur ses genoux pour m’administrer une fessée. J’ai retenu mes larmes, mais je n’ai pas pu m’empêcher de crier, plus d’humiliation que de douleur. Sur son ordre, je lui ai retiré pantalon et slip. A charge de revanche, comme il a dit, j’ai dû, à genoux, lui prodiguer un analinctus tout en caressant ses testicules et son long sexe, sec et noueux comme un cep de vigne. Je ne parvenais pas à me concentrer sur mes caresses et la phrase d’Eulalie « Tu dois te donner et prendre plaisir à ce nous te ferons, et tu dois montrer que tu y prends plaisir… Chacun de nous aura avec toi les rapports sexuels qu’il souhaite. Tu dois t’attendre à jouir et faire jouir de multiples façons » tournait dans ma tête comme pour me reprocher de mal faire ce qu’il attendait de moi. Quand il a senti venir sa jouissance, il m’a couchée sur le tabouret puis menottée aux pieds et a pénétré alternativement mon vagin et mon anus. Son sexe allait profondément en moi et ses coups de butoirs, accompagnés d’ahanements, étaient presque douloureux. Je n’ai ressenti qu’un bref orgasme lorsqu’il a giclé dans mon cul avec un cri rauque, les mains crispées sur mes hanches. Il s’est ensuite servi de ma bouche pour se nettoyer. Je me suis exécutée avec répulsion, tant son sexe me déplaisait. Enfin il a libéré mes mains et j’ai pu me relever. Je croyais qu’il en a fini avec moi mais il m’a dit d’aller me mettre sur lit, le derrière en l’air a-t-il précisé. Là, il m’a attachée en X en se servant des anneaux aux quatre coins et a glissé sous mes hanches un gros rouleau qui rehaussait mon bassin et tendait mon corps, tirant sur les bras et les jambes. Il a caressé mes fesses et fouillé mon anus avec deux doigts. « C’est bien, il ne se referme pas vite » a-t-il dit et il y a introduit un gros plug qui le distendait encore plus. «J’aime ton cul, Eulalie a raison, il est très beau… surtout quand tes fesses sont rouges et qu’il y a une belle boule argentée entre elles » Puis il est passé dans l’autre pièce et s’est servi une boisson. Puis plus rien. Je me faisais l’effet d’un pont tendu entre les montants du lit. Peu à peu je me suis rendu compte que je mouillais beaucoup. J’aimais cette situation de contrainte et d’attente. Il allait encore abuser de moi, je ne pouvais pas fuir ni résister. La même sensation, le même trouble, la même tension qui s’emparaient de moi quand j’attendais les gages lors de nos soirées épicées. Jean s’est approché, il a retiré le plug d’un coup sec. J’ai poussé un petit cri. Il a passé ses doigts sur ma fente. « Tu mouilles… Tu nous as dit que tu aimais la sodomie, tu n’as pas menti… Moi aussi, tu sais… J’aime prendre les femmes dans ce qu’elles ont de commun avec les hommes, comme a dit la bonne Pauline ». Il a introduit son sexe entre mes fesses et commencé à aller et venir. Je me suis efforcée de me déhancher, à venir au-devant de son sexe, à l’aspirer, mais j’ai vite senti qu’il n’avait plus toute sa vigueur… ou voulait-il s’économiser pour la suite ? Quelque part, j’étais soulagée car ça allait être bientôt fini… De fait, il s’est retiré sans avoir pris à nouveau son plaisir. Jean est allé se rhabiller puis m’a détachée avant de partir comme un voleur. Je suis restée un moment assise au bord du lit, prostrée et inquiète de ne pas l’avoir satisfait comme il l’aurait voulu, d’avoir raté cet examen. J’ai laissé couler mes larmes puis pris une douche pour me laver de lui
J’avais envie de partir, de tout laisser tomber, de renoncer ; une vague de dégout montait en moi. J’ai pris une boisson énergisante dans le frigo et je me suis concentrée sur les Dali ou pseudo Dali. Qu’allaient-ils penser de ma prestation s’ils l’avaient observée ? Qui allait venir maintenant ? Camille ? Eulalie ? Heureusement, je n’ai pas dû attendre longtemps, Eulalie entrait. Eulalie… En suis-je tombée amoureuse ? Dès qu’elle est entrée dans le cabinet, elle s’est déshabillée puis elle m’a embrassée longuement, profondément, caressant mes seins et mes fesses. Elle m’a poussée sur le lit et s’est collée à moi. Son baiser a été une suite de morsures entrecoupée de profondes pénétrations de sa langue. J’ai fermé les yeux. J’ai senti ses seins balayer mon visage, ses mains couvrir mes seins, les caresser, les pétrir, mes tétons devenir durs et rouler entre ses doigts. Ses lèvres sur mes aréoles, ses dents… ses mordillements. Une main sur mon ventre, comme si elle voulait pousser une vague vers ma poitrine. Je sentais le plaisir monter, je l’appelais. Oh… Son sein sur ma bouche, enfin
? Suce… tu en as envie… Que tu es excitée… Tu as de si beaux seins… des belles aréoles bien lisses… Et tes pointes… Tu sens, ça vient…
Sa bouche maintenant qui parcourt mes lèvres, sa langue qui les ouvre, me pénètre. Et ses mains sur mes seins, partout sur mes seins, mes tétons, imprévisibles, brûlantes et douces, indescriptibles. Cela devint insupportable, je devenais comme folle. Mes mains fourrageaient dans ses cheveux ; je ne voulais pas que sa bouche quitte mes seins. Sa bouche, sa langue, encore, encore… partout… Et tout d’un coup la boule de feu qui embrase mon corps dans une déflagration… Un long baiser, profond et pénétrant qui étouffe mon feulement…
? J’étais sûre que tu pouvais avoir un orgasme rien qu’avec tes seins. Tu ne le savais pas ?
? Non
J’étais chavirée ; elle venait de me faire découvrir une façon de jouir que je ne me connaissais pas. J’aurais voulu recommencer tout de suite… Revenue sur terre, je me suis spontanément couchée entre ses jambes et je l’ai fait jouir avec ma langue, pour la remercier de la découverte que je venais de faire. Elle a émis, lèvres serrées, un long feulement de femelle comblée. Elle a bu sur mes lèvres ses sécrétions et nous nous sommes longuement étreintes, nous embrassant, nous caressant comme si chacune voulait prendre possession de l’autre. Et nous avons refait deux fois l’amour, elle me doigtant, moi lui rendant la pareille ou lui léchant l’anus, insatiables l’une et l’autre. Elle m’a quittée trop vite, trop tôt. Nos corps avaient encore tant à se dire et je l’ai vue partir à regret.
Heureuse, repue mais encore affamée, j’ai pris une douche puis une autre boisson que j’ai bue lentement, assise dans le fauteuil Voltaire, une jambe sur l’accoudoir, une main caressant mes seins, songeant aux sensations qu’Eulalie y avait fait naitre.
Le bruit de la porte m’a tirée de ma rêverie. Camille a ouvert la commode dans laquelle se trouvaient les accessoires et en a sorti un godemiché de belle taille, d'un modèle assez ancien, en bois à ce que je pouvais voir et muni d'une poire et d'un réservoir dans lequel il a versé le contenu d'une petite bouteille qu'il avait amenée et m'a conduite sur le lit. Je frémissais, non… je tremblais d’appréhension comme une vierge devant le lit nuptial. Il m’a soufflé à l’oreille « Elisabeth, tout va bien se passer; il n’y a aucun mal… nous le voulons tous… tu le sais bien… tu le souhaites, toi aussi » et il m’a reniflée, sentie, humée promenant son nez sur tout mon corps sans que jamais ses mains me touchent, s’attardant dans le sillon de mes seins, le creux de mes épaules, le pli du coude, le derrière des oreilles, sur mon nombril, mon pubis. Partout il m’a sentie, goûtée. Je me suis retournée car il a voulu sentir mon dos. J’avais oublié Eulalie et Jean qui regardaient sans doute. De nouveau son nez a parcouru tout mon corps, de la racine des cheveux à la plante des pieds, s’égarant dans mes aisselles, lentement dans la raie de mes fesses, subtilement dans le pli du genou. Je fermais les yeux ; son souffle, chaud et doux, me donnait des frissons. Je ne respirais que par son souffle sur ma peau. Et plus rien. Il se dévêtait. Il s’est allongé et m’a embrassée comme personne ne m’a jamais embrassée auparavant, sur les paumes, les jointures, la naissance du front, sur les doigts de pied, sur le nez et sur les paupières, sur les genoux et sur les cuisses, sur les aisselles et sur la nuque, là… à la naissance des cheveux, sur le nombril et sur les reins, sur les pointes hérissées de mes seins, sur le clitoris et le périnée et l’anus et enfin sur mes lèvres, d’un baiser profond et humide. Sa bouche était partout à la fois, ses lèvres infatigables me dévoraient. Il m’a recouverte de tout son corps, collant chaque pore de sa peau aux miens. Il m’a pénétrée avec aisance, avec élégance même, trouvant facilement son chemin au plus profond de moi. Son sexe m’a remplie, je débordais de mon envie, de son désir. Agrippée à ses épaules, les jambes accrochées à ses cuisses, il m’a emportée avec lui sur une vague de plaisir d’une rare intensité, tandis qu’il étouffait sur mes lèvres les râles de mon orgasme.
Il n'a pas éjaculé. Son sexe se dressait devant moi, tout humide de mes secrétions. Je crus qu'il voulait ma bouche à présent et j'avançai les lèvres vers son gland mais il me retint par les cheveux, m'embrassa longuement et profondément. Sans dire un mot, il me fit mettre à genoux sur le lit, la tête entre les bras repliés et introduisit aisément le lourd godemichet dans mon vagin dilaté. Puis il a longuement léché mon anus, une caresse inhabituelle pour moi et que je ne reçus pas sans une certaine aversion, avant de se planter en moi avec une soudaineté et une fougue qui me surprirent. Quand il a perçu à mes halètements l’imminence d’un nouvel orgasme, un violent jet de liquide a inondé ma matrice. J’ai hurlé mon plaisir sans retenue.
Puis il a voulu ma bouche… Voulait-il tester si j’allais accepter sans répugnance son sexe qui sortait de mon anus ? Il s’est enfoncé en moi, lentement, tenant ma tête entre ses mains et a minutieusement combiné l’activité de mes mains, massantes ou fermes, accordé les mouvements de mes lèvres et de ma langue exigeant une caresse tantôt arrondie, tantôt pointue, imposé les rythmes. Son souffle est devenu plus court. « Où souhaites-tu recevoir mon sperme, Elisabeth ? Dans ta bouche ? » J’ai fait non de la tête « Derrière ? » Mon regard lui a exprimé un second refus. « Allonge-toi… Mets tes mains dans le pli des genoux et ouvre-toi » Il s’est enfoncé en moi d’une longue poussée régulière que j’ai accueillie avec allégeance et soulagement. Il n’a touché aucune autre partie de mon corps. Dans ses longs et profonds va-et-vient, il n’a plus cherché à me donner du plaisir, il a usé de cette voie pour parachever la fellation et se répandre là où il avait eu l’indulgence de le demander. Et j’en ai été comblée. Il a buté au fond de mon vagin. Son sperme a fusé en moi en un jet si puissant et épais que j’ai jouis sereinement en même temps que lui « Tu es bonne, Elisabeth !» et il s’est retiré de moi sans un mot de plus puis a quitté le cabinet.
Je me suis rafraichie mais je n’ai pas eu le temps de me requinquer car Camille est vite venu me chercher pour me conduire en laisse dans un autre cabinet, une grande chambre où il n’y avait qu’un immense lit. Eulalie était au milieu du lit, assise sur ses talons et branlait Jean. J’ai dû prendre place entre les cuisses d’Eulalie et lécher tantôt son con, tantôt son cul. Elle se frottait à ma bouche, réclamant une pénétration plus profonde. Cela m’a grisée et je l’ai léchée avec fougue, caressant fermement ses fesses. Un des hommes a présenté son chibre entre mes lèvres ; je suis allée au-devant lui, je voulais être pénétrée. La queue m’a pénétrée facilement tant je mouillais. Eulalie a alors exigé des mains sur ses nichons. L’homme m’a longuement limée puis s’est retiré, a stimule mon clito avec son gland, puis m’a pénétrée à nouveau, lentement, par saccades. J’ai haleté, en hâte de me sentir à nouveau empalée, son gland au fond de moi. Arrivé vers le milieu de mon vagin, il a donné une série de petits coups brefs. J’ai senti soudain se former une boule de feu qui m’a emportée avec la vitesse de l’éclair dans un orgasme fulgurant. J’ai hurlé de plaisir. Eulalie m’a rappelée à l’ordre et j’ai repris ma caresse et le souffle court, j’ai continué de bouffer sa moule. Il a laissé la place à une autre bite qui s’est insinué entre mes fesses. Il a eu quelques difficultés à m'enculer à sec et j’ai ressenti une petite douleur quand il m’a pénétrée. A sa longueur, je reconnus la tige de Jean. La main de Camille a saisi ma main et l’a posée sur son sexe. Je l’ai doucement branlé pendant que, je crois, il embrassait Eulalie. Puis nous nous étions défaits ; j’ai pris la place d’Eulalie qui aussitôt s’est jetée sur ma chatte et mon cul, me mordillant les lèvres et l’œillet encore ouvert. J’ai repris le branlage de Camille et Jean a présenté sa bite à ma bouche, et cette fois, enflammée par l’ardeur et la voracité de la caresse ardente d’Eulalie, j’ai happé le membre. J’ai alternativement sucé l’un et branlé l’autre jusqu’à ce que Camille se libère pour aller se planter dans le sexe d’Eulalie qui a laissé échapper ce long mugissement que je lui connaissais bien. Elle a pris mes seins, me caressait, agaçait mes tétons et elle m’a donné un nouvel orgasme rayonnant. Jean m’a quittée pour enfiler Eulalie par derrière; Camille est revenu dans ma bouche et en quelques instants il y a déversé sa crème tandis que Jean jouissait au fond des reins d’Eulalie qui râlait. Nous nous étions affalés les uns sur les autres, ivres de jouissances.
Eulalie a attaché la laisse au collier et m’a conduite dans le salon. J’ai gardé les yeux rivés sur son splendide fessier qu’elle balançait dans un déhanchement naturel qui chavirait mes sens. A la pendule sur la crédence, j’ai vu qu’il était déjà 18h30. C’est la seule horloge que j’aie vue dans la demeure. La Société se situait hors du monde normal, hors du temps et je n’ai pas vu le temps passer. Mes vêtements étaient dans le même désordre, les siens soigneusement pliés sur un fauteuil.
? Viens que je t’enlève le collier ; l’entrevue est terminée. Nous allons prendre une douche, et je te remmène chez toi.
Elle a mis une charlotte pour protéger ses longs cheveux dans lesquels j’avais eu tant plaisir à fourrager. J’ai fait de même, ce que je ne fais que rarement. Nous n’étions plus que deux copines qui allaient prendre une douche ensemble. Quand elle eut réglé la température de l’eau, elle m’a enlacée et embrassée longuement.
? Je voulais te dire… j’ai aimé baiser avec toi. Tu as un corps fait pour ça et tu m’as donné beaucoup de plaisir. Toi aussi ?
? Oui, j’ai beaucoup joui et j’ai aimé te… vous faire jouir.
Elle m’a donné le gel. Sans plus échanger de paroles, je l’ai passé sur son corps, m’attardant complaisamment sur ses seins, ses fesses et son ventre si plat et ferme qu’il me faisait envie et me rendait jalouse. Elle a écarté les cuisses et ouvert les lèvres de sa chatte ; du sperme s’en écoulait. J’ai pris la douchette et fait sa toilette intime. Puis ce fut son tour. Ses mains sur mon corps me donnaient ce frisson de plaisir que j’avais chaque fois qu’elle me touchait. Elle m’a lavé sans aucune sensualité, mais quand ses mains passaient sur mes seins ou sur ma chatte, les envies renaissaient partout dans mon corps que je croyais repu. Nous nous sommes rhabillées dans un silence gêné comme si elle a regretté l’aveu qu’elle venait de me faire et qui pouvait anticiper sur la décision qu’ils devaient encore prendre. Quand elle me dit qu’elle allait me bander les yeux et me reconduire chez moi, je crus percevoir un peu de tristesse dans sa voix. Elle s’est vite reprise et m’a dit d’un ton qui se voulait jovial que si j’habitais bien dans le quartier Vauban il n’y avait aucun problème, qu’elle saurait comment y aller malgré son peu de sens de l’orientation…

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Commentaires de l'histoire :

Caval
Admirable, les descriptions sont sans équivoque, mais avec une courtoisie qui augmente le sadisme du moment. Un sadisme où la jouissance du l'esclave compte autant que celui du maître.
Posté le 30/03/2017


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