Histoire Erotique

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Julie à la Bibliothèque 3

Julie fait une grande découverte chez sa copine Marine. La B.U. offre des possibilités sans limites.

Proposée le 10/07/2016 par go123

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Thème: Jeu érotique
Personnages: HH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


Lorsque je racontais à Marine, le lendemain, ce que j’avais découvert dans le photocopieur, elle n’en crut pas ses oreilles. Elle n’aurait jamais imaginé que quelqu’un puisse le faire à la B.U. Ses yeux légèrement en amande se plissèrent et un regard malicieux se glissa jusqu’à moi. Elle enroula une de ses belles boucles brunes autour de l’index et me dit :
- Et toi qu’est-ce que tu as fait ?
- Comment ça ?
- Tu as juste regardé ce couple s’envoyer en l’air et puis… c’est tout.
- Pff… On peut rien te cacher à toi !
- Je te connais bien.
- Bin, je me suis…
Je fis un air complice en haussant les épaules.
- Toute seule ?
- J’allais pas ameuter tout la B.U.
- Non, mais je veux dire… Tu t’es…
- Branlé ! Oui ! Marine, arrête un peu de faire ta prude !
- Je ne suis pas prude, c’est juste que moi, ça me fait rien.
- Rien, genre, comme si t’étais frigide ?
- Mais non, je prends mon pied avec les gars ! C’est juste que toute seule, ça me fait pas grand-chose.
Je la regardais en silence, l’air abasourdi. Je me disais qu’elle passait à côté de tout un tas de plaisirs cachés. Son visage aux traits fins me souriait. Ses dents blanches brillaient et je me disais qu’il était vraiment dommage qu’une si belle femme n’ait jamais connu un plaisir solitaire, une seule fois. Je souris à mon tour. Nous étions installés sur des chaises hautes devant nos tables dans le département lettres de la B.U. Je m’approchais d’elle et posais ma main sur sa cuisse. Elle ne m’arrêta pas lorsque mon autre main s’approcha de sa chemisette. Les deux derniers boutons détachés laissaient voir le début de sa gorge. Je déboutonnais lentement le troisième. Elle ouvrit de grands yeux en souriant un peu plus. Son regard se porta à droite et gauche, pour contrôler si personne ne venait. Ma main se glissa dans son soutien-gorge. Je caressais ses beaux petits seins en forme de poire.
Marine était partagée entre l’amusement et l’étonnement. Elle me chuchota à plusieurs reprises que j’avais perdu la tête. Je me rapprochais un peu plus d’elle et embrassais son cou. Son parfum emplit mes narines. C’était si agréable que je posais à plusieurs reprises mes lèvres charnues le long de sa gorge. Je pouvais voir ses seins un peu sombres et je sentis sous mes doigts que ses tétons durcissaient. Ma main caressa son bras et descendit jusqu’à sa main que je saisis.
Avec autorité, je guidais sa main vers son entrecuisse et commençais à la faire se caresser à travers son jean.
- Arrête… Julie, qu’est-ce que tu fais ? Je ne veux pas… hmmmmm !
Je venais d’appuyer un petit coup sec à travers les épaisseurs de tissus sur son clitoris.
- Tu dois apprendre, apprendre à te faire du bien.
- Mais… Je n’y arrive pas toute seule…
- Je vais t’aider un peu.
- Pas ici !
- Non, tu as raison… Suis-moi !
Je la pris par la main. Son déhanché était juste magnifique. Jamais je n’avais fait ce que je m’apprêtais à faire avec elle aujourd’hui. Toutefois, Marine et moi étions très proches et je ne pouvais pas la laisser comme ça ! Nous gravîmes les étages et arrivâmes au quatrième. Je scrutais le couloir : personne !
- T’es folle ! Pas là !
- T’inquiète, je sais comment fermer !
Je la poussais dans la salle du photocopieur et refermais la porte derrière nous. J’éteignais la lumière. J’attrapais une feuille dans mon sac et écrivais dessus “En panne”. Je collais la feuille à la vitre pour que personne ne vienne nous déranger.
- Maintenant, lui dis-je, tu vas faire tout ce que je fais.
- T’es cinglée !
- Tu vas adorer.
Je me mis devant elle et entamais un déhanché coquin. Ses yeux regardaient mes hanches rouler encore et encore. Du bout de l’index, je tirais sur la fermeture éclair de mon haut, dévoilant d’un coup mes gros seins bien moulés dans mon soutif.
- Waouh ! s’exclama-t-elle. Ils sont trop beaux tes seins.
- Sors les tiens de ta boite, allez !
Marine déboutonna toute sa chemisette. Nous retirâmes nos hauts ensemble. Je me caressais les seins en les remontant bien. Mon soutif tomba et je pus titiller mes tétons. Elle m’imita et pressa sur ses seins. Je faisais balader une de mes mains sur mon ventre lentement de plus en plus près de ma jupe. Ne lâchant pas Marine du regard, je voulais qu’elle voit mon désir dans mes yeux. En effet, ma chatte s'humidifiait toute seule.
- Caresse bien tout ton corps, Marine, laisse toi aller là où tu aimes…
- Hmmm, oui, je sens que ça monte un peu là… Tu me fais de l’effet…
- C’est bien, petite cochonne, c’est bien…
Nous plongeâmes nos mains dans nos string en même temps.
- Hmmm, c’est bon, ahhhhh ouiiii, j’aime me toucher Marine, hmmmm.
- Ah, ah, ah, hmm.
Ces petits gémissements montraient bien qu’elle commençait à prendre son pieds en fourrageant dans sa chatte à pleine main. Elle appuya son corps contre le photocopieur et déboutonna son jean, la main toujours dans le string. Je voyais son poignet remuer de plus en plus vite.
- Ah, ah, ah, Julie… Je sens du plaisir, hmmm, je me fais du bien, ohhhhh ouii, c’est bon ça…
- Vas-y bien, enfonce un doigt dans ta chatte, hmmm, moi j’aime jouer avec mon clito, caresser autour et faire monter la pression…. Hmmm que t’es bien foutue !
- Haaaa, j’aime me toucher, Julie !!!! AHHHHH
Ses gémissements grandissaient et le haut de son corps se cambra sur le photocopieur. Je voyais ses petits seins remuer en cadence. Je n’y tins plus. Je quittais ma jupe et mon string, à poil, et avançais vers Marine, la chatte en feu.
- Laisse-toi faire !
- Quoi ?
Je plongeai mon visage dans ses seins et les suçai bruyamment.
- Oh oh oh !!! Julie ! Qu’est-ce qu…. Ahhhhh ! Ouiiiii ! C’est boooon !
Je léchais ses seins avec gourmandise et mon corps se frottait contre le sien. Petit à petit, ma tête descendit sur son ventre et ma langue se glissa à chaque étape.
- Hmmmm…. Attends, Attends que fais-tu?...
Trop tard, je lui baissais le string, découvrant sa chatte toute rose, avec des grandes lèvres charnues toute épilée. J’y plongeais ma bouche avec envie. Je me régalais.
- Ohhhhhhhh, Juliiiiiiiie ! Ah, han, han, hmmmm, ouuuuuuh !
Ma langue lui donnait des petits coups sur le clito, puis l’enroulait et le suçait. Marine s'agrippa au photocopieur de toutes ses forces. Je prenais ses hanches entre mes mains et lui bouffais la chatte. Ma langue la fourrait tout en buvant sa cyprine chaude. Du bout du pouce, je faisais tourner son clitoris pendant que ma langue se baladait en elle. Je la doigtais maintenant avec mon majeur, enfonçant tout le doigt jusqu’au fond de sa grotte.
- Ah!! Je suis à tooooooi ! Bouffe-moi Ju’ !
La main de Marine attrapa ma tête et elle planta ses ongles dans mon cuir chevelu tout en lâchant un long râle.
Je décidais de la retourner et exposais son petit cul à ma vue. Je lui mettais alors une claque sur ses fesses qui rebondirent bien.
- AH AH ! ouiiiii Ju’, fesse-moi, j’adooore !
Sans attendre, je lui assenais une autre claque.
- Ahhhhrrrr !
Je continuais à la fesser et de plus en plus fort. Ses fesses rougissaient sous mes coups.
- Oh ouiiiiii ouiiiii ! AH AH ! J’suis ta chienne !!
- Tu ne sais pas à quel point ! Viens-là salope !
Je la cambrais bien contre moi. Nous nous mîmes par terre les jambes bien écartées. Elle comprit de suite et se glissa contre moi. Nos deux chattes se touchèrent alors et leurs chaleurs se rencontrèrent.
- Ah ouiii, que c’est boooon ! criais-je.
Marine frotta sa chatte contre la mienne et nous nous baisâmes comme des chiennes en chaleurs, nos souffles se mêlant un peu plus à chaque frottement.
- J’adooore Ju’, J’adore ! Putain ! On est des salopes de lesbiennes !!!!
- Te pose pas de questions… Tiens prends ça ma pute !
Je lui envoyais un coup de rein qui la fit hoqueter de plaisir.
- Ahhhhh Mariiiiiiine ! Vas-y accelère ! Vas-y, han, han, han !! Ah ouiiiiiiiii !
Je sentais en moi la chaleur monter et les vagues de plaisir se jeter dans tout mon corps. Je voyais le beau corps de brune de Marine se parcourir de frissons. Elle tremblait comme une feuille et secouait ses fesses qui claquaient au sol. Mon coeur s’accélérait.
- OHHHHHH OUIIIII !! Je jouiiiiiis !
- AHHHHHRRRG
Le cri de Marine allait alerter tout le monde aux alentours. Alors que des vagues de jouissances me submergeaient, je lui plaquais ma main sur la bouche. Cela accentua son orgasme et elle mordit à pleine dents la peau de ma main. Je divaguais de plaisir lorsque des coups retentirent à la porte. Nous sursautâmes aussitôt et bondirent sur nos jambes ruisselantes de mouilles. D’un même mouvement, nous nous jetâmes sur nos habits et les enfilèrent en vitesse. Marine reboutonnait sa chemisette lorsque de nouveaux coups frappèrent et la poignée s’agita. J'ouvris alors d’un grand coup la porte sur un gars aux mains remplis de bouquins. Nous sortîmes du local du photocopieur et descendîmes l’escalier sans nous retourner, les cheveux en bataille, et l’adrénaline au corps.
Une fois hors de la B.U., nous fîmes une halte sur le patio. Nous nous regardâmes et éclatâmes de rire.
- Tu es complètement cinglée Ju’ !
- Oui… mais qu’est-ce que c’était bon !
Nos rires s’emmêlèrent avec la même évidence et délicatesse que nos corps l’avaient fait.

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