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Dentelles et chiffons 7 : Martin fait connaissance avec les vendeuses

Martin a accepté de partager Katia et d’entrer « dans sa petite famille » comme il le dit lui-même. Il ne lui restait plus qu’à faire connaissance des deux vendeuses. Lire les épisodes précédents.

Proposée le 24/04/2016 par Marc Paul

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Thème: Jeu érotique
Personnages: Groupes
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Clémence et Dolorès arrivèrent ensemble devant la porte de l’appartement de Katia. Celle-ci était montée leur faire une courte visite en fin de matinée pour leur demander si elles étaient libres en fin d’après-midi. Elles avaient passé l’après-midi ensemble. Il était impossible de mettre le nez dehors tant le temps était exécrable. Clémence avait un peu potassé ses cours avant de frapper à la porte de Dolorès.
Tu sais pourquoi, Katia veut nous voir tout à l’heure. Demanda Clémence.
Non, elle ne m’a rien dit. Répondit Dolorès. Pourquoi ? ça t’inquiète ?
Pas du tout. Mais tu sais bien que je suis d’une curiosité insatiable.
C’est vrai. S’esclaffa Dolorès en se remémorant comment Clémence avait découvert ce qui se passait dans le studio entre leurs appartements quelques mois plus tôt. Mais j’ai quand même une petite idée…
Tu penses à Martin ?
Ouais. Je ne sais pas quoi en penser.
Moi, pareil. J’espère que Katia ne va pas nous dire que Martin refuse qu’elle continue de participer à nos petits jeux coquins. Ce serait triste…
Oui, ce serait dommage. Mais, au pire, il nous restera Angélique et Stéphane…
Je ne veux pas penser au pire. Martin est quand même un super beau mec. T’as déjà baisé avec un black ?
Non…et toi ?
Moi non plus. Ils ont la réputation d’en avoir une grosse. Et j’aimerais bien avoir l’occasion de vérifier si c’est vrai ou si ce n’est qu’une légende…Conclut Clémence avec un éclair de gourmandise dans les yeux.
Katia vint leur ouvrir et les accueillit avec un large sourire du meilleur augure. Les deux vendeuses ne regrettaient pas de s’être apprêtées en vue d’une bonne nouvelle. Dolorès avait ressortit son ensemble en cuir gris, jupe courte et blouson. Elle avait mis une guêpière rouge sombre dont les balconnets avaient du mal à contenir ses gros seins qui pigeonnaient dans l’ouverture de son blouson, des bas foncés à couture et une paire d’escarpins rouges.
Clémence avait préféré une tenue moins voyante, mais tout aussi sexy. Un jean slim qui moulait parfaitement ses jambes fines et son petit cul tout rond, un pull en mohair rose et des ballerines noires.
En entrant, elles découvrirent Angélique, Stéphane et Martin. Après un échange de bises, Katia ne perdit pas de temps :
Mes chéries, Ange et Steph’ sont déjà au courant mais il faut que vous sachiez que Martin est très excité de faire connaissance avec vous de façon…plus approfondie.
Alors c’est bon ! Il est d’accord ! S’exclamèrent en cœur les arrivantes, ravies.
Oh que oui, je suis d’accord pour me régaler de vos charmes, mes belles. Stéph’ m’a dit le plus grand bien de vous. Angélique et Catherine aussi d’ailleurs…Confirma Martin.
Les deux vendeuses encadrèrent Martin en s’asseyant sur le canapé. Stéphane, Angélique et Katia étaient assis sur l’autre en face. On commença par bavarder un peu autour d’un verre. Dolorès et Clémence se présentèrent, firent la connaissance du nouveau venu. Elles n’hésitèrent pas à lui raconter avec force détails comment l’une et l’autre, avaient fait la connaissance intime de Katia, Angélique et Stéphane. Dolorès montra même une photo d’elle avant sa transformation, ce qui plongea tout le monde dans une hilarité peu charitable. Clémence lui exposa comment elle s’était rendue compte de ce qui se passait dans le studio voisin du sien et comment elle s’y était prise pour séduire Dolorès d’abord puis enfin comment s’était déroulée sa première prise de contact charnelle avec ses deux patronnes et Stéphane.
Dolorès et Clémence se comportait comme deux chattes en chaleur. Elles ronronnaient, déployaient leur charmes en direction du beau caribéen assis entre elles deux. Ceci sous le regard amusé des trois autres. Katia les provoqua d’un ton taquin :
Eh bien, les filles, à force de bavardages, je me demande si mon homme ne va pas finir par croire que vous ne lui plaisez pas.
Dolorès fut la plus prompte à réagir à cette provocation malicieuse. Elle attira le visage de Martin vers le sien en jeta sa langue dans sa bouche. A peine avait-elle relâché les lèvres de l’avocat que Clémence s’en empara pendant que Dolorès mit ce temps à profit pour ouvrir son pantalon. Clémence plongea sa main dans l’ouverture et la ressortit en tenant le chibre gonflé de Martin. Les deux vendeuses se regardèrent et furent prises d’un fou rire. Martin s’étonna de cette réaction mais Dolorès lui relata la conversation qu’elles avaient eue avant de venir chez Katia. Martin joignit son rire aux leurs en précisant :
C’est vrai que Dame Nature m’a bien pourvue de ce point de vue, mais n’en faites pas une généralité.
Les deux vendeuses se penchèrent vers l’objet de leur convoitise commune. Elles sucèrent Martin ensemble, se passant sa queue à tour de rôle. Martin se retrouva bientôt sans ses vêtements et les deux filles étaient maintenant toutes aussi déshabillées. Clémence n’avait plus rien sur le dos et Dolorès ne conservait que sa guêpière et ses bas. L’avocat les repoussa en disant :
Vous faites deux belles coquines et vous sucez parfaitement. Mais ça m’ennuierai de vous asperger de mon jus pour notre première rencontre.
Et il se libera de l’emprise des deux filles et les fit se mettre à genou côte à côte sur le canapé. Elles tendaient leur cul vers Martin, conscientes qu’elles allaient gouter au charme de sa grosse bite. L’une et l’autre étaient désireuses de jouir de son chibre. Elles s’enlacèrent par la taille et s’embrassèrent. Elles se cambraient outrageusement en faisant onduler leur popotin, comme les deux femelles en chaleur qu’elles étaient.
Martin commença par les caresser un peu. Les hanches rondes de Dolores, et celles plus anguleuses de Clémence, les deux paires de fesses frémissantes, les cuisses humides de mouille, les chattes gonflées, les cons inondés, les clitoris dardés, les seins avec leur tétons durcis, petits et fermes pour Clémence, lourds et voluptueux pour Dolores, rien n’échappa à ses doigts caressants. Martin semblait hésiter, il hésitait d’ailleurs : laquelle j’enfile en premier ? Il se décida enfin pour Clémence. Il désirait cette jeune fille, si frêle, à la beauté juvénile. Il posa ses deux larges paluches sur les hanches de Clémence et l’enfila d’un seul mouvement tendre mais puissant. Clémence gémit de sentir son con rempli par ce chibre majestueux :
Ho, putain qu’il est gros. T’es gros mais c’est génial.
Mais Martin ne lui laissa pas le loisir d’en profiter plus longtemps car ses mains se posèrent ensuite sur les hanches de Dolorès qui confirma les sensations de son amie quand Martin l’enfila à son tour.
Elle est énorme cette bite, c’est super bon.
Le chibre de Martin changea fréquemment de réceptacle. Il sentait le plaisir des deux vendeuses monter inexorablement sous les assauts de son membre. Clémence et Dolores s’embrassaient à pleine bouche, enlacées par la taille, elles se caressaient mutuellement en gémissant tant leur plaisir était fort.
Pour l’une, comme pour l’autre, se faire baiser par Martin était un fantasme qu’elles nourrissaient depuis qu’elle avait fait sa connaissance. Durant les quelques semaines qui avaient séparées l’annonce que leur avait faite Katia de sa mise en couple avec son avocat, elles avaient évoquées fréquemment la possibilité de pouvoir baiser avec lui. Elles en parlaient quand elles se retrouvaient parfois pour baiser tranquillement entre filles, ou pour simplement bavarder comme elles le faisaient avant que Clémence découvre ce qui se passait dans le studio voisin du sien, elles partageaient leurs fantasmes, leurs désirs mais aussi leurs craintes qu’il refuse de partager Katia avec eux. Il leur était même arrivé une fois de se masturber en évoquant le physique du bel avocat. Ce soir-là, elles s’étaient fait jouir en se caressant allongées sur le lit de Dolores.
Clémence se sentit partir quand Martin revint en elle. Elle avait été frustrée juste quelques secondes avant quand il s’était retiré pour aller enfiler Dolores. Clémence n’avait pu s’empêcher de lâcher la taille de Dolores et de se masturber en attendant que Martin ne revienne. Elle cria quand il la pénétra de nouveau et jouit alors que son chibre buttait au fond de son con. Martin, en parfait gentleman, la défonça un peu plus longtemps jusqu’à ce que son orgasme retombe. Il se consacra ensuite entièrement à Dolores qui explosa de plaisir en quelques secondes.
Les deux filles quittèrent leur position pour s’assoir sur le canapé et se saisirent de ce chibre qui leur avait donné du plaisir. Elles le sucèrent à tour de rôle, ou bien ensemble. Elles faisaient glisser leur langue sur toute la longueur de la hampe et s’embrassaient goulument quand leurs bouches se rencontraient. Dolores malaxaient les couilles durcies de Martin, les faisait rouler dans sa main tandis que Clémence avait introduit un doigt fureteur entre les fesses de leur amant et lui caressait la rosette.
Martin en résista pas très longtemps à ces deux furies, il saisit sa queue et se branla devant les bouches ouvertes des deux coquines joue contre joue. Elles reçurent sa crème dans la bouche, sur le visage et sur la poitrine. Quand le flot de semence se tarit, elles le pompèrent un peu et se nettoyèrent mutuellement avec leur langue pour finir dans un long baiser.
Angélique, Katia et Stéphane n’était pas en reste sur le canapé d’en face. Voyant comment les choses se passaient entre Martin et les deux vendeuses, excitées par le spectacle qu’ils donnaient, Angélique et Katia unirent leur bouche pour faire une belle pipe à Stéphane. L’une et l’autre appliquèrent la technique de fellation qu’Angélique avait apprise à son amie. Elles s’entendaient comme larron en foire pour faire glisser leur langue sur le chibre dressé de Stéphane, elles ne le touchaient jamais de leur main, ne le prenaient jamais dans la bouche, mais appliquaient de furtives caresses du bout de leurs lèvres et de la pointe de leur langue, l’une s’occupant de la hampe pendant que l’autre agaçait le gland.
La boule de plaisir qui s’était formée à la base de la queue de Stéphane explosa soudainement et sa semence jaillit de son dard avant de retomber sur son ventre. Les deux filles le nettoyèrent goulument et partagèrent son jus en s’embrassant à pleine bouche. Elles continuèrent de s’embrasser et Angélique s’allongea sur le canapé et offrit son abricot à la langue et aux doigts de son amie. Cela leur rappela leurs jeux d’adolescentes. Et quand Stéphane enfila Katia, le souvenir de la première rencontre charnelle de Katia et Stéphane revint dans les mémoires. Stéphane défonça Katia en faisant courir ses mains sur tout le corps fin et ferme de la jeune femme. Il lui malaxait les seins, tordait ses tétons, caressait ses hanches et parfois sa main s’égarait sous le ventre plat et atteignait sa chatte gonflée et inondée de mouille. Angélique se tordait les tétons de plaisir pendant que la langue agile de Katia parcourait sa fente tout aussi détrempée.
Dans la course au plaisir, ils ne rejoignirent pas Martin, Clémence et Dolores qui avaient une certaine avance mais arrivèrent en ordre dispersé. Angélique d’abord, que les cris de plaisir de Dolores et Clémence avaient excité, poussa un long soupir et l’orgasme la saisit quand elle vit ses deux vendeuses joue contre joue, la bouche ouverte, la langue tirée recevoir le jus de Martin. Katia ensuite, le con labouré par les coups de reins puissants de Stéphane, branlé par ses doigts experts, cria à son tour et Stéphane enfin qui fit subir à ses deux amantes de l’instant le même sort que Martin avait fait subir aux deux vendeuses.
Tout ce petit monde récupéra un peu, se doucha par couple dans la grande douche à l’italienne, avant de se retrouver dans le salon pour la poursuite de leurs jeux érotiques. On parla beaucoup, fit honneur à une bouteille de champagne avant de poursuivre.
Martin et Stéphane décidèrent de dévoiler à Clémence et Dolores leur bisexualité.
C’est le plus naturellement du monde que les deux amis s’embrassèrent à pleine bouche sous les regards ébahis de Dolores et Clémence. Quand leurs lèvres se séparèrent, ils rirent de la surprise des deux vendeuses. Dolores leur fit part la première de son étonnement :
Alors comme ça, vous baisez ensemble ?
Et oui, répondit Stéphane, pourquoi pas, tu baises bien avec les filles.
Ben oui, mais je ne pensais pas que deux mecs comme vous si virils puissent baiser ensemble.
En tout cas, moi ça m’excite vachement. Ajouta Clémence.
C’est un peu le but de vous exciter, mes belles coquines, mais je ne crois pas que vous en ayez vraiment besoin. Répondit Martin. Mais Stéphane et moi, on a découvert ça il y a une semaine et on a constaté qu’on prenait beaucoup de plaisir ensemble. Ceci dit, je reste quand même très majoritairement hétéro et je crois que Stéphane aussi.
Et moi aussi, ça m’exciterait beaucoup de voir deux mecs baiser ensemble. J’aimerais bien voir ça.
Martin et Stéphane ne se firent pas plus prier pour s’embrasser de nouveau mais cette fois-ci, ils se branlèrent mutuellement avant que Stéphane ne commence à sucer le dard de Martin qui reprit immédiatement une belle vigueur. Angélique et Katia débarrassèrent la table basse des verres et des bouteilles qui l’encombrait et Martin alla s’allonger dessus. La table grinça sous le poids du bel avocat. Angélique et Katia prirent chacune une jambe de Martin et les levèrent à la verticale pendant que Stéphane enduisait sa rosette de gel lubrifiant. Il s’agenouilla ensuite et entreprit de sodomiser Martin. Clémence et Dolores s’approchèrent et saisissant la queue rigide et gonflée de Martin, le branlèrent, le sucèrent à tour de rôle pendant que Stéphane lui défonçait la rosette.
Quand le chibre de Stéphane ressortait du cul de Martin, il y avait toujours une des filles pour s’en saisir et le diriger vers le cul dilaté de Martin.
Stéphane, les deux vendeuses, Catherine et Katia offrirent alors à Martin un orgasme d’une belle puissance. Il poussa un cri rauque, quand son ventre se libéra d’une belle quantité de semence que Clémence engloutit rapidement dans sa bouche avant que Dolores ne prenne le relai pour les dernières manifestations de son plaisir.
Stéphane n’avait pas joui dans le cul de Martin et Angélique profita de son érection pour se faire prendre elle aussi par la petite porte en suçant la queue gonflée mais ramollie de Martin. Stéphane dont la résistance semblait sans limite lui permit de jouir ainsi et se permit même d’honorer le cul de Katia et de se vider dans les entrailles de celle-ci qui jouit de sentir Stéphane se vider en elle.
Tout le monde s’offrit un peu de repos, Clémence et Dolores en se câlinant car manifestement elles n’étaient l’une comme l’autre pas encore totalement assouvies.
Après un long moment, Martin se tourna vers les deux vendeuses et leur dit :
Pour parfaire mon entrée dans ce charmant groupe, j’aimerais satisfaire avec vous deux, mais l’une après l’autre, un de vos fantasmes. Si vous avez envie de quelque chose dites-le moi, mes belles.
Clémence et Dolores réfléchirent un peu et Dolores fut la plus rapide à répondre :
Moi, j’adorerais de me faire prendre en double, si Stéphane est d’accord. Ce ne sera pas la première fois mais ce sera la première fois avec deux vraies bites. Et pour que ce soit complet, je voudrais que ce soit toi, Martin, qui me sodomise.
D’accord répondirent Stéphane et Martin en cœur. Et il ajouta :
Et toi, Clémence, qu’elle serait ton désir inavouable ?
Ben, moi aussi j’avais pensé à une double pénétration comme Dolores mais je veux varier les plaisirs. Il y a un truc que j’aimerais bien, c’est un 69 à la verticale.
Devant le regard étonné de Martin qui manifestait la plus totale incompréhension de son désir, Clémence précisa :
C’est un truc que j’ai vu dans une vidéo porno. Le mec est debout, il tient la fille la tête en bas et il la suce pendant que la fille le suce aussi. Je ne suis pas lourde et tu es très costaud, je pense que ça devrait le faire.
Eh bien, on va essayer. Répondit Martin. Et je vais même commencer par te satisfaire car j’ai peur que Dolores me fasse aller au bout de mes forces.
Martin prit Clémence dans ses bras. Il la souleva sans effort, ses 55 kilos n’était pas un poids suffisant pour le faire défaillir. Ils se mirent en position, sans plus d’efforts, comme des acrobates de cirque. Les autres retenaient leur souffle, craignaient même un accident. Clémence se retrouva la tête en bas, les bras noués autour de la taille de Martin, ses jambes prenant appui sur les épaules de son amant. Elle avait le dard de Martin à quelques centimètres de sa bouche. Martin la laissa descendre, permettant aux lèvres de Clémence d’atteindre son chibre et lui de poser de poser les siennes sur le bel abricot de la vendeuse. Ils commencèrent de se sucer mutuellement dans cette position, Martin soulevant Clémence afin qu’elle avale plus encore de son membre. Dans cette position, malgré l’inconfort et la contraction de ses muscles, Martin pouvait sucer profondément le fruit juteux de Clémence. Sa langue s’introduisait profondément dans le con ouvert quand elle ne passait pas sur sa rosette. Heureusement pour Martin cela ne dura pas, car Clémence partit dans une belle jouissance, excitée de voir son fantasme assouvi. Ses cris étouffés, les convulsions de son corps, indiquèrent à Martin que l’exercice qu’elle lui avait demandé touchait à sa fin.
Il la reposa délicatement sur le canapé sous les applaudissements nourris de l’assemblée. Tous étaient soulagés que ce 69 acrobatique se termine au mieux.
Martin fit quelques mouvements pour détendre ses muscles endoloris et annonça à Dolores qu’il était prêt à la satisfaire si Stéphane l’était aussi. Comme Dolores l’avait branlé pendant toute la séance avec Clémence, il avait une belle érection et se déclara en pleine forme.
Pendant que Clémence reprenait ses esprits sur le canapé, Martin s’allongea sur le sol et Dolores le chevaucha en lui tournant le dos. En prenant appui sur ses bras, elle s’empale elle-même sur le dard de Martin que Katia dirigeait vers sa rosette qu’Angélique avait abondamment lubrifiée de gel. Elle grimaça un peu quand le chibre la distendit mais son visage s’éclaira dans grand sourire quand ses fesses reposèrent sur le ventre de Martin après une lente descente. Stéphane s’approcha du couple, et se pencha sur Dolores en prenant lui aussi appui sur ses bras. Il l’enfila doucement, Angélique guidant sa queue vers le con ruisselant de Dolores.
Les deux hommes synchronisèrent leur vas-et-viens de façon à défoncer la vendeuse en rythme. Stéphane embrassait Dolores, pendant que Martin malaxait ses grosses mamelles. Rapidement Dolores montra les ravages du plaisir, elle se mit à trembler, à dire des paroles incompréhensibles dans sa langue natale, elle criait quand Stéphane lui en laissait le loisir. Elle renversa la tête en arrière en criant pendant que les deux garçons la défonçaient en cadence. Ils n’arrêtèrent que quand ils se furent vidé les couilles l’un et l’autre et tous retombèrent dans une masse informe de corps, de bras et de jambes.
Ils passèrent le reste du week-end tous ensemble, Martin se partagea entre les deux vendeuses pour des relations plus intimes et surtout moins spectaculaires.

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