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Dentelles et Chiffons 2 : Retrouvailles

Angélique tient une boutique de lingerie. Elle partage sa vie avec Stéphane. Elle va retrouver une amie d’enfance disparue depuis quinze ans. Lire l'épisode précédent

Proposée le 15/02/2016 par Marc Paul

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FFH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman


Angélique était assise derrière son bureau, le menton appuyé sur ses paumes. Après avoir fait un état de ses stocks, elle venait de parcourir le bilan comptable que Stéphane lui avait préparé la veille. Angélique était soucieuse des résultats de sa boutique, pas vraiment inquiète car son chiffre d’affaire semblait correct, en cohérence avec ce que lui avait présenté Monique au moment de la vente. Mais avec les mensualités de l’emprunt, le loyer des murs et de l’appartement, le salaire et les charges de Dolores, il ne lui restait qu’un tout petit revenu. Heureusement que j’ai Stéphane et qu’il a un bon salaire, pensa-t-elle en soupirant. En faisant l’acquisition de la boutique, elle avait espéré pouvoir la rénover rapidement, lui donner un petit coup de jeune pour attirer une nouvelle clientèle. Elle en avait parlé avec Monique plusieurs fois.

À chaque fois que Monique et Michel revenait faire un tour à Paris, ils ne manquaient pas de venir leur rendre visite. Et, chaque fois, Monique l’encourageait en lui disant qu’elle aussi avait eu envie de ce petit coup de neuf pour son ancienne boutique mais que la proximité de la retraite l’avait fait y renoncer.
Ce qui l’inquiétait beaucoup plus, c’était la lettre recommandée du propriétaire de l’immeuble qui lui annonçait son intention de vendre. Cet immeuble comportait outre la boutique et ses dépendances, un autre magasin fermé depuis six mois et des appartements inoccupés. L’idéal aurait été d’acquérir le tout pour s’agrandir. Mais cela lui était impossible. Angélique craignait que l’immeuble soit acheté par un promoteur qui abatte tout pour faire des bureaux ou une résidence. Son beau rêve risquait alors de s’effondrer.

La sonnerie du téléphone tira Angélique de ces pensées moroses. Dolores l’appelait depuis le poste de la caisse.
Angélique. Il y a une jeune femme qui désire vous voir.
Vous connaissez cette personne ? Vous a-t-elle donné son nom ?
Non. Je ne la connais pas. Ce n’est pas une cliente, ni un fournisseur. Vous voulez que je lui pose la question ?
Non, ce n’est pas la peine. Merci. Faites-la monter dans le bureau.
Angélique raccrocha et se retourna sur sa chaise pour ranger quelques papiers dans le classeur derrière elle. Elle entendit que l’on frappait à la porte du bureau qui était ouverte et, sans ce retourner, terminant son rangement, elle répondit « Entrez ».
En se retournant, Angélique découvrit sa visiteuse. Une grande jeune femme blonde, très blonde, les cheveux courts, vêtue de façon très élégante d’un tailleur-pantalon gris qui semblait sortir d’une boutique de luxe, des bijoux couteux et des chaussures d’une marque très connue pour ses escarpins à semelles rouges.
Angélique resta bouche bée devant la visiteuse qui lui souriait d’un large sourire. Non pas à cause du luxe de ses atours mais parce que elle venait de la reconnaître. Elle balbutia :
Ka…Katia, c’est bien toi…ce n’est pas possible. Je ne le crois pas…Après tout ce temps.
Mais oui, mon Ange, c’est bien moi. Répondit la jeune femme en lui tendant les bras.
Angélique se leva et se précipita dans les bras tendus. Les deux jeunes femmes s’enlacèrent et éclatèrent en sanglots en se serrant l’une contre l’autre.
Angélique venait de retrouver celle qui avait été son amie d’enfance, sa presque sœur. Catherine et elle avaient été des enfants abandonnés et de famille d’accueil en foyer, la vie les avait ballotées jusqu’à ce que leurs chemins se rencontrent alors qu’elles avaient dix ans. Elles venaient d’être placées dans la même famille d’accueil. Un couple formidable, Albert et Margot, sans enfants, qui les avaient accueillis et choyées comme leurs propres filles. Après leur majorité, ce couple avait continué à s’occuper d’elles et leur avait permis de faire des études, à leur frais, sans aucune compensation. Angélique et Katia, ainsi que l’appelait Angélique parce que ça faisait « suédois » en référence à la blondeur de ses cheveux, avaient vécu ensemble pendant dix ans, inséparables, fréquentant les mêmes écoles, faisant les mêmes études, partageant ou se disputant les mêmes petits copains, faisant aussi les mêmes bêtises. Elles avaient vécu comme deux sœurs, deux jumelles, jusqu’à ce que Katia disparaisse du jour au lendemain, sans prendre aucune de ses affaires autres que son sac à main et les vêtements qu’elle avait sur elle. Elles avaient alors vingt ans l’une et l’autre et cela faisait maintenant quinze ans.
Angélique et leurs parents nourriciers, fous d’angoisse, avait essayé de la retrouver, ils avaient évidemment prévenus la police mais comme Katia était majeure, la police ne pouvait pas lancer des recherches très poussées. Ils avaient fait le tour des hôpitaux, écumés les journaux à la recherche d’un fait divers, mais rien, désespérément rien, le vide total. Katia s’était littéralement volatilisée.
Les deux jeunes femmes se décolèrent l’une de l’autre, les joues couvertes de larmes. Angélique prit un kleenex et tendit la boite à Katia. Angélique demanda :
Tu as vu Albert et Margot ?
Oui, je suis passé les voir la semaine dernière. Ce sont eux qui m’ont donné ton adresse. Mais je leur ai fait promettre de ne pas te prévenir. Je voulais te faire la surprise.
Mais, qu’est-ce qui s’est passé ? Pourquoi as-tu disparu comme ça, sans un mot, ni avant, ni après, nous avons été fous d’inquiétude. J’ai eu peur que Margot ne s’en remette jamais.
Katia baissa la tête, honteuse. Elle répondit à ce reproche d’une voix grave, un peu cassée.
Je vais te raconter. Je leur ai tout raconté aussi et ils ont compris. Quand tu sauras tout, alors tu décideras.
Oui, racontes moi. Viens t’asseoir à côté de moi.
Les deux jeunes femmes s’assirent sur les chaises en face du bureau et Katia dévoila toute l’histoire à Angélique.
A vingt ans, Angélique et Katia terminait leur DUT de commerce par un stage de trois mois. Angélique dans une entreprise de transport et Katia dans une grande banque. Elle avait eu l’occasion de croiser au cours de son stage un riche homme d’affaires, d’une fortune considérable qui lui avait tout de suite fait une cour assidue pendant un mois. Malgré sa soixantaine avancée, Katia avait cédé à ses avances et elle avait couché avec lui. Une semaine avant la fin de son stage, l’homme lui avait posé le marché suivant : Katia l’épousait et il lui léguait une partie de sa fortune, le reste allant à ses neveux car il n’avait pas d’enfant à condition qu’elle rompe totalement avec son ancienne vie et qu’elle lui soit d’une fidélité absolue. Elle avait réfléchit pendant une semaine avant d’accepter, pensant ainsi prendre une revanche sur le sort. Un mois après, ils se marièrent discrètement dans un petit village du Luberon. Pendant quinze ans, sa vie ne fut que voyages aux quatre coins du monde en jet privé, réceptions mondaines, séjours dans des hôtels de grand luxe ou sur le yacht de son mari. Cet homme avait succombé à un accident cardiaque, il y avait deux semaines et Katia était sortie de sa prison dorée. Elle termina son récit par cette question, d’un ton angoissé :
Voilà l’histoire, mon Ange, j’espère simplement que tu comprends et que tu pourras me pardonner.
Katia, je suis trop heureuse de te retrouver pour ne pas te pardonner. Et si j’avais été à ta place, j’aurai peut-être fait le même choix. Mais tu ne pouvais vraiment pas me donner signe de vie ?
Non, Impossible. Il y avait deux gardes du corps, soit disant pour ma sécurité mais ils étaient là aussi pour me surveiller. Je ne pouvais pas faire un pas sans qu’ils soient l’un ou l’autre sur mes talons. Ils gardaient mon téléphone portable et c’est l’un d’eux qui composait le numéro de mon mari si j’avais besoin de l’appeler. C’est tout juste s’ils ne rentraient pas avec moi quand j’allais aux toilettes. Et j’avais également deux employées avec moi, en permanence.
Ce qui veut dire que tu as été obligée d’être fidèle à ce type. Tu n’étais pas amoureuse de lui, tout de même !
Non, j’ai honte de le dire mais je lui ai cédé pour le fric. La première fois que j’ai couché avec lui, je me disais qu’il me ferait un beau cadeau et fin de l’histoire. Ensuite quand il m’a proposé de l’épouser, je me suis dit que ce n’était qu’un moment à passer.
Et ça ne t’a pas dégoutée de baiser avec un vieux. Il avait plus de quatre-vingt balais quand il est mort !
Katia éclata de rire.
En tout, il m’a sautée quatre ou cinq fois, pas plus et vite fait, bien fait. Deux ou trois allers retours et hop, terminé, au revoir madame. Après deux ans de mariage, il ne m’a plus touchée du tout. En fait ce qu’il voulait, c’était avoir une jolie fille à son bras.
Quinze ans d’abstinence. Moi, j’aurai trouvé ça long !
Abstinence, pas tout à fait. Je me caressais comme quand nous étions ado et puis, il y avait les employées, mes femmes de chambres. Certaines aimaient bien se glisser dans mon lit, la nuit.
Ah d’accord, je vois.
Et toi, mon Ange, Margot et Albert m’ont dit que tu étais en couple avec un mec sympa.
Ouiiii. D’ailleurs je vais l’appeler, tu dines avec nous, n’est-ce pas ? Maintenant que je t’ai retrouvée je ne vais plus te lâcher…
D’accord pour le diner mais dans un restaurant et c’est moi qui paye. Tu en connais un sympa et tranquille dans le coin ?
Oui, d’accord pour le restau. Bon j’appelle Stéph’
Stéphane était en réunion avec un client quand son portable vibra dans sa poche, il le laissa vibrer. Une heure plus tard, son entretien terminé, il écouta le message
Stéph’, ce soir on dine au restau ! À « L’entrecôte gourmande », tu sais ou c’est ! Je réserve une table pour dix-neuf heures ! Viens directement en sortant du boulot ! On se retrouve là-bas. Bisous, mon amour.
Stéphane regarda son téléphone, comme si l’appareil pouvait répondre aux interrogations que lui suscitait le message de sa chérie. Angélique avait débité tout cela d’une traite, rapidement, sans respirer. Elle semblait surexcitée mais joyeuse, heureuse même.
Stéphane arriva au restaurant avec quinze minutes de retard. Il demanda au maitre d’hôtel qui le conduisit dans un salon privé. Surpris, Stéphane le suivit en se demandant pourquoi Angélique avait besoin de réserver un salon privé. En entrant, Il trouva Angélique en compagnie d’une jeune femme blonde, très jolie et très élégante. Elle était habillée avec gout et surtout avec des vêtements de luxe. Les bijoux qu’elles portaient témoignaient de son aisance financière.
Angélique se leva et l’enlaça, radieuse. Elle l’embrassa voluptueusement sur la bouche, comme si ils avaient été seul, sous le regard surpris du maitre d’hôtel et celui amusé de l’inconnue.
Mon amour. Viens que je te présente Katia, ma meilleure amie d’enfance qui avait disparu depuis quinze ans. Katia, je te présente Stéphane, mon homme.
Katia se leva à son tour et déposa deux bises sur les joues d’un Stéphane toujours aussi étonné.
Katia glissa deux mots au maitre d’hôtel qui revint avec une bouteille de Dom Perignon millésimé et trois flutes. Il les servit et s’éclipsa.
Pendant le début du repas, Katia fut obligé de raconter son histoire à Stéphane qui n’en connaissait rien. Il ignorait même l’existence de Katia, car ni Angélique, ni Albert et Margot n’en avaient jamais parlé. Ensuite ce fut au tour de Katia de questionner Angélique sur ce qu’elle avait fait les quinze dernières années. Angélique ne s’étendit pas trop sur ses difficultés du moment mais elle chercha dans son sac et tendit à Stéphane  la lettre qu’elle avait reçue le matin:
Stéph’, j’ai reçu ça ce matin. Qu’en penses-tu ? Désolé, Katia de parler de mes problèmes mais je ne voudrais pas oublier de demander l’avis de mon homme.
Stéphane déplia la lettre, la lut et la replia en faisant une grimace. Angélique comprit que Stéphane avait les mêmes craintes qu’elle. Katia demanda :
Ça ne me regarde peut-être pas mais j’ai l’impression, en voyant ta tête et celle de Stéphane, que tu as de gros soucis, mon Ange.
Stéphane répondit avant sa compagne :
Ben pour être franc, ce n’est pas une bonne nouvelle. Si le proprio de l’immeuble vend à un promoteur, Angélique risque de se retrouver sans rien, ou presque.
Un moment de silence passa. Katia partageait l’angoisse de son amie et de son compagnon quand soudain son visage s’éclaira :
J’ai peut-être la solution ! Il suffit que ce soit moi qui achète l’immeuble.
Angélique n’en revenait pas.
Tu ferais ça !!??
Oui, je ferais ça. Je te dois bien cela pour t’avoir abandonnée pendant quinze ans et je vais même faire plus, si tu es d’accord.
Mais, que veux-tu faire de plus, ce que tu fais c’est déjà énorme.
Tu vois, depuis que je suis libre, j’ai envie de faire quelque chose de ma vie, de faire quelque chose du paquet de fric que mon mari m’a laissé. Jusqu’à tout à l’heure, je ne savais encore pas trop quoi faire mais maintenant, je me verrais bien associée avec mon amie d’enfance dans une affaire de magasin de lingerie. Qu’en penses-tu, mon Ange ?
Angélique ne répondit pas et se jeta pour la deuxième fois de l’après-midi dans les bras de Katia en sanglotant. Les deux filles décidèrent de se revoir le lendemain pour entamer toutes les démarches.
Angélique était vraiment heureuse d’avoir retrouvé Katia. Pendant le retour, à leur appartement, elle saoula littéralement Stéphane par son bavardage incessant. Au lieu de prendre l’escalier qui montait à leur appartement, Angélique entraina Stéphane dans le magasin. Et là, au beau milieu de la boutique, entre le présentoir des soutiens-gorge et le portant des peignoirs, elle l’embrassa fougueusement en s’affairant sur son pantalon. Elle se baissa, entrainant dans son mouvement le pantalon et le boxer de Stéphane.
Elle prit le membre flasque de son homme dans sa bouche. Stéphane, surpris par le désir soudain de sa compagne, ne bandait pas encore. Il n’aurait jamais pensé qu’Angélique voudrait baiser dans le magasin, surtout que la devanture était simplement fermée par un rideau en gros treillis métallique. Heureusement ils avaient laissé la lumière éteinte mais un passant curieux et attentif pouvait les voir à la lueur de l’éclairage public.
Cette situation inattendue et le fait qu’Angélique malaxe sa queue dans sa bouche provoqua une belle érection. Angélique put alors sucer son manche bien raide en lui malaxant les couilles et en faisant coulisser sa main sur son chibre.
Stéphane se laissa faire même si deux jeunes femmes passèrent devant le magasin sans rien remarquer. Stéphane que la situation excitait, releva Angélique et commença à la déshabiller. Il voulait profiter de la situation pour exhiber Angélique. Il fit tomber son pantalon sur ses chevilles et lui posa sa culotte dans un premier temps. Il caressa sa chatte inondée, lui arrachant quelques gémissements. Puis Stéphane s’attaqua au pull d’Angélique, il le passa par-dessus sa tête et dégrafa le soutien-gorge. Puis il conduisit sa compagne vers un présentoir en face de l’entrée, un grand bac qui contenait des boites de collants. Il fit s’appuyer Angélique sur le rebord et s’accroupit derrière elle. Il écarta ses fesses et lui lécha la rosette. Angélique gémit de nouveau. Stéphane faisait courir sa langue entre sa rosette et son abricot gonflé. Il buvait avec délice sa mouille abondante, introduisant sa langue entre ses petites lèvres ou bien forçant son petit trou.
Il se releva et dirigea son chibre tendu vers son con. Stéphane enfila Angélique qui ronronna de plaisir. Pourtant à un moment, il la sentit se raidir et murmurer ;
Attends, il y a quelqu’un…
Stéphane ouvrit les yeux et découvrit un homme plutôt âgé, qui promenait son berger allemand. L’homme s’était arrêté devant la boutique et allumait une cigarette. Il ne bougea pas et semblait admirer la vitrine de lingerie en tirant sur sa clope. Stéphane se retira doucement, et prenant Angélique par les hanches, il l’encula délicatement. L’homme ne semblait pas avoir remarqué leur présence et continuait de fumer tranquillement sans bouger. Son chien s’était assis et attendait sagement à ses pieds. Angélique gémit presque sans bruit. La situation l’excitait beaucoup. Elle craignait à la fois d’être vue mais en même temps, s’exhiber ainsi, baiser en risquant d’être vue lui procurait une stimulation aussi intense que le manche de Stéphane qui lui dilatait le cul, qui coulissait lentement dans son ventre accueillant. Stéphane s’appliquait à faire des mouvements très lents, et Angélique se mordait les joues pour ne pas crier de plaisir. Elle eut un premier orgasme silencieux, bref, que son compagnon ne perçut que par les tremblements de son corps et le frémissement de son cul. Enfin, l’homme laissa tomber sa cigarette et reprit son chemin. Ce fut comme un signal pour Stéphane qui se mit à défoncer le cul d’Angélique à grands coups de reins lui provoquant un deuxième orgasme beaucoup plus bruyant que le premier avant de se soulager dans son cul.
Après avoir repris son souffle, Angélique se retourna vers Stéphane :
Tu es un salaud…
Ben, quoi, c’est bien ce que tu voulais !
Oui, mais m’enculer alors qu’il y avait un papy de l’autre côté de la vitrine. Tu aurais pu attendre. Tu crois qu’il nous a vu ?
Non, je ne crois pas et puis même si il a vu quelque chose, ça a dû l’exciter. Il fera juste la fête à mamy en rentrant.
T’es con…mais j’en avais tellement envie après cette journée merveilleuse. C’était quand même super-excitant.
Les semaines passèrent. Katia avait pu acquérir l’immeuble. L’horizon s’était éclairci pour Angélique et elle était rayonnante.
Quand Stéphane rentrait le soir, il avait l’habitude de trouver Angélique et Katia dans le bureau, en train de mettre au point leur projet, de discuter des transformations et des aménagements à faire dans leur boutique. Souvent elles lui demandaient son avis ou bien quand elles ne parvenaient pas à se mettre d’accord, c’est lui qui, parfois, les départageaient.
Elles avaient décidé de doubler la surface de la boutique en associant l’ancienne boutique avec celle inoccupée d’à côté. Le reste du rez-de-chaussée serait occupé par la réserve. Le premier étage serait partagé entre trois salons d’essayage privatifs et le bureau. Cette idée de salon d’essayage privatif était une idée de Katia qu’Angélique avait adoptée en applaudissant des deux mains. Le but était de donner un confort et une intimité maximum aux clientes pour faire leur choix de lingerie. Elles espéraient ainsi attirer des clients exigeants et fortunés en leur proposant des produits et services haut de gamme. Le deuxième étage restait consacré aux appartements privés d’Angélique et Stéphane et Katia avait fait rénover l’autre appartement. Les combles seraient aménagés plus tard.
Autre grande décision, changer le nom du magasin. Elles trouvaient que « Au Bonheur des Dames », avec sa référence à Zola, ne renvoyait pas l’image qu’elles souhaitaient donner à leur boutique. Après de longues discussions, elles avaient finies par trouver un nom qui leur convenait. La future boutique s’appellerait « Dentelles et Chiffons ».
Les travaux avançaient et Katia pouvait disposer de son appartement et le bureau ancien avait été agrandi et rénové. Les salons privatifs étaient en cours et les travaux de la boutique avançaient dans la nouvelle partie. Elles avaient prévues une fermeture pendant un mois après les soldes d’été pour réunir les deux parties de la boutique et les finitions de l’ensemble.
En rentrant du travail, Stéphane remarqua la porte du bureau entrebâillée et la lumière allumée. Alors qu’il s’apprêtait à pousser la porte du bureau, un bruit arrêta son geste. Ce bruit ne laissait aucune équivoque quant à sa nature. C’était un gémissement de plaisir. Il s’approcha doucement, silencieusement et regarda à l’intérieur par l’ouverture de la porte.
La première chose qu’il vit fut Angélique, assise sur le siège de bureau, ses jambes nues reposaient l’une sur l’accoudoir du fauteuil et l’autre sur le bureau. Il remarqua son pantalon posé en petit tas sur le sol, sa culotte blanche par-dessus. Angélique ne pouvait pas le voir car l’éclairage du palier venait de s’éteindre. De plus, sa tête était renversée en arrière et les gémissements sortaient de sa bouche entrouverte.
Entre les cuisses fuselées de sa compagne, il reconnut Katia à la blondeur de ses cheveux. Elle était à genou, sa jupe relevée à la taille et elle, non plus, n’avait pas de culotte.
Passé le premier instant de surprise, car il ignorait que sa compagne appréciait les relations saphiques, Stéphane trouva le spectacle que lui donnait les deux filles plutôt excitant. Sa position de voyeur faisait se gonfler son dard.
Katia, tout en suçant Angélique, se caressait la chatte d’une main. Entre ses jambes écartées, Stéphane voyait parfaitement son doigt aller et venir sur son abricot gonflé, disparaître dans son con pour en ressortir luisant de mouille. Parfois même, elle le faisait aller jusqu’à sa rosette et son ongle vernis de rouge disparaissait dans son petit trou.
Angélique, dont le chemisier était largement ouvert se malaxait les tétons avec application.
Stéphane sentait sa queue douloureusement gonflée dans son boxer. Il ouvrit son pantalon et sortit son dard tendu, rigide et commença à s’astiquer en regardant ces deux belles femelles qui se donnaient du plaisir et en écoutant leurs gémissements.
Cela durait depuis quelques minutes et aurait pu durer plus longtemps si Angélique n’avait relevé la tête et n’avait aperçu Stéphane dans l’ouverture de la porte. Elle ouvrit la bouche pour un cri de surprise mais elle resta muette car elle avait remarqué le pantalon ouvert, le dard pointé et la main de son compagnon qui s’astiquait. Elle lui sourit en mettant un doigt sur sa bouche pour lui signifier de ne pas faire de bruit, pendant que son autre main maintenait la tête de Katia entre ses cuisses. De son index courbé, elle lui fit signe d’approcher.
Stéphane entra dans le bureau et dès qu’il fut à proximité de Katia, Angélique lui dit « Baise-la » sans laisser sortir un son de sa bouche mais en exagérant le mouvement de ses lèvres.
Stéphane comprit son désir et alla s’agenouiller silencieusement derrière Katia. Quand il posa ses mains sur ses hanches, Katia poussa un petit cri de surprise et tenta de relever la tête mais Angélique la maintint fermement appuyée sur son pubis en lui disant :
Continue, ma chérie. C’est Stéph’ qui va te baiser.
Stéphane ne se fit pas prier pour enfoncer son dard dans le con accueillant de Katia. Elle accueillit le long cylindre de chair dans son ventre d’un long gémissement. Et continua de plus belle à sucer son amie. Stéphane besognait Katia de lents et amples mouvements de bassin. Il bousculait ainsi la jeune femme et accentuait ainsi la pression de sa bouche sur la chatte d’Angélique. Angélique et Stéphane se regardaient droit dans les yeux, elle, sucée par son amie d’enfance et lui, dont le chibre coulissait sans effort dans le fourreau bien lubrifié qui enserrait sa queue et la massait légèrement par ses contractions. La sensualité de la situation enflamma rapidement le ventre d’Angélique. Elle avait repris ses caresses sur ses seins qu’elle avait très sensibles et sa tête partit en arrière quand une première vague de plaisir la submergea. Un cri grave, bref, rauque s’échappa de ses lèvres entrouvertes. Quelques secondes plus tard, une deuxième onde de plaisir l’envahit puis encore une autre avant que l’orgasme ne déferle sur elle et l’a fasse crier. Stéphane n’avait pas accéléré ses mouvements pour autant. Il avait continué de labourer Katia avec la régularité d’un métronome.
Angélique avait refermé ses cuisses et maintenant Katia, appuyée sur les bras du fauteuil, suçotait les tétons d’Angélique. Elle gémissait de plus en plus souvent, de plus en plus fort. Stéphane sentait sa queue comprimée dans le con qui se contractait par spasmes. Il la fourrait doucement, laissant sa queue sortir de son fourreau pour mieux l’enfoncer d’une lente et forte poussée. De façon imperceptible, il accéléra la cadence de ses coups de reins, conduisant Katia au plaisir. Son orgasme se manifesta par un long tremblement de tout son corps, ses reins se creusèrent, sa tête se releva et elle jouit en poussant une longue plainte qui était l’expression de son plaisir. Des spasmes violents la secouèrent et elle tomba sur les genoux d’Angélique.
Sans perdre de temps, Stéphane se releva et alla offrir sa queue à la bouche d’Angélique. Elle le pompa rapidement, pressant son gland contre son palais. Le niveau d’excitation de Stéphane ne lui laissa pas de répit. Des salves de semence jaillirent de sa bite et éclaboussèrent le fond de la gorge d’Angélique.
Katia fut la première à rompre le silence un peu lourd qui s’était installé :
Oufff, qu’est-ce que c’est bon, un homme. Depuis quinze ans, j’avais oublié ce que ça faisait de se faire sauter.
Angélique regarda Stéphane et lui demanda timidement :
Tu ne m’en veux pas, mon chéri ?
Comment pourrais-je t’en vouloir ! De toute façon, ça a toujours été clair entre nous, pas d’exclusivité sexuelle. Pour moi, que tu baises avec un autre mec ou une fille, ça ne change rien. Mais pourquoi ne m’as-tu pas dit que tu aimais aussi les filles ? Je ne comprends pas bien.
Parce que j’avais oublié. Je n’ai pas baisé avec une fille autre que Katia. Ces quinze années sans elle m’avaient fait oublier comme c’était bon. Mais depuis qu’elle est revenue, je m’en suis rappelée.
Angélique et Katia racontèrent à Stéphane comment vers l’âge de 12 ou 13 ans, elles avaient découvert ensemble le sexe et ses plaisirs. D’abord en se masturbant en même temps, puis en se caressant mutuellement. Tout cela était venu doucement, naturellement. Elles s’étaient d’abord caressées avec leurs mains, découvrant leurs corps, la sensibilité de leurs poitrines qui se formaient, de leurs chattes qui se transformaient et se couvraient de toison, éparse pour Katia et plus abondante pour Angélique. Elles avaient ensuite découvert les caresses buccales et avaient décidé à ce moment-là de raser leurs pubis. Puis enfin, elles s’étaient dépucelées mutuellement en s’aidant d’une bombe de laque à cheveux recouverte d’un préservatif. Même après avoir rencontré des garçons, elles avaient continué de baiser ensemble jusqu’à ce que Katia disparaisse.
Angélique précisa qu’après le départ de son amie, elle n’avait plus eu envie d’avoir des relations avec une fille. Et quand Katia était réapparue, cette envie de faire l’amour avec elle, était réapparue elle aussi. Katia ajouta que pendant ses années de « mariage », hormis les rares fois où son mari l’avait baisée, elle n’avait eu que des relations avec des filles, ses femmes de chambre. Angélique s’étonna :
Tu veux dire que Stéphane est le premier mec qui te saute depuis quinze ans.
Ben, oui. Quand mon mari est décédé, avec toutes les formalités, les rendez-vous chez le notaire et les avocats, je n’ai pas eu le temps de m’occuper de ça. Dès que tout a été réglé, j’ai foncé chez Albert et Margot, et je suis venue te retrouver. Ensuite, notre affaire nous a bien occupé et ne m’a pas laissé le temps de me trouver un mec…et puis je t’avais retrouvée, mon Ange, et ça me suffisait.
J’espère que maintenant tu prendras le temps de t’occuper de te trouver un mec.
Tu as raison, c’est tellement bon de se faire sauter que je vais m’y employer.
Et puis, je veux bien te prêter mon homme de temps en temps.
Tu es un amour, mon Ange.
Eh, les filles. Et on ne me demande pas mon avis à moi. Protesta Stéphane.
Je pense le connaître. Sourit Angélique.
Mon avis, c’est que je veux bien baiser Katia mais avec toi, ma chérie, je vous veux toutes les deux, ensembles.
Gourmand ! S’écrièrent ensemble les deux filles.

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Commentaires de l'histoire :

DERECK
très long et trop de detail pr les retrouvailles, on n'en perd l'excitation. évité les surnom cm <fourreau, con etc...> ce n'est pas excitant. Utilisez des mots simple et connu de tous cm (chatte, cul queue, defoncé.... Veillez insité impeux sur les préléminaires en donnant plus de detail
Posté le 21/04/2016

Anonyme
Très bon. De l'émotion, de la sensualité. Si la suite est dans la même veine ce sera une très bonne histoire.
Posté le 19/02/2016


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