Histoire Erotique

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Le prêt

Où l'on découvre que Florence n'est pas la seule à me désirer et que je suis loin d'être insensible aux charmes de cette prétendante

Proposée le 16/10/2015 par Korn

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Chez de nombreuses personnes, une certaine attitude a toujours la même signification. Par exemple, Florence ne me soufflait sa fumée de cigarette à la figure que pour me signifier qu'elle voulait que je la prenne, là, tout de suite, et avec le minimum de délicatesse possible.

Dans le cas de ma copine, l'exercice spontané de l'art de la fellation revenait à dire « j'ai un service à te demander. » Je ne fus donc guère surpris lorsqu'elle leva des yeux mutins vers moi pour lancer :

« Ça fait une semaine que Laura me harcèle avec une idée qu'elle a eu pour son cadeau d'anniversaire, mais faudrait que tu sois d'accord. »

La Laura en question n'était autre que la meilleure amie de ma copine, une fille franchement libérée, plus jeune que moi du haut de ses dix-sept printemps (dix-huit dans quelques jours) et ouvertement bi. Je dois reconnaître que la perspective d'un plan à trois, à cet instant, m'effleura l'esprit (ou plutôt me fracassa le crâne avec la subtilité d'un marteau-piqueur), mais elles avaient hélas autre chose en tête. Plein d'espérance, je tendis la main vers les mèches blondes de celle qui s'activait sur mon membre et lui caressait doucement les cheveux.

« Et c'est quoi ? » demandai-je en tachant de masquer mes espoirs.

« Elle voudrait coucher avec toi, juste une fois, pour tester. T'es pas obligé d'accepter hein, c'est juste que ça a l'air de lui tenir à cœur. »

Ça sentait l'entourloupe. Je m'entendais très bien avec Laura, mais de là à ce qu'elle veuille tromper son copain, comme ça, sans contrepartie ? Difficile d'y croire.

« Et toi ? » fis-je en espérant m'ôter le doute.

Elle tenta de masquer sa moue en faisant passer sa langue tout le long de mon sexe.

« Ça va, dit-elle une fois ce succulent mouvement terminé. C'est juste une fois avec ma meilleure amie, pour ses dix-huit ans. Je peux te prêter. »

Le terme n'était pas anodin : elle ne me partageait pas, elle me prêtait à Laura. Autrement dit, il n'y aurait pas de partie à trois, ni de copain demandant une compensation. Soulagement d'une certaine manière, déception d'une autre.

« Alors, t'es d'accord ? »

J'avais deux raisons d'accepter : premièrement, il est toujours très difficile de refuser une faveur sexuelle à la personne qui a votre organe dans la bouche. Deuxièmement, Laura est un véritable fantasme sur pattes. Plutôt petite, le teint mat et le visage fin, un peu allongé, encadré par de longues boucles de la même couleur que ses yeux d'un marron assez sombre et les lèvres charnues, elle était de surcroît parfaitement proportionnée, mince mais pas trop, avec les fesses les plus rondes que j'aie jamais vu, des hanches plutôt larges, la taille fine et une belle poitrine (85C), ronde et ferme, pas tombante pour un sou.

« Si ça vous fait plaisir, je veux bien » lâchai-je en essayant de cacher un enthousiasme qui fut de courte durée.

Après avoir fini notre affaire, ma copine m'expliqua qu'elle avait déjà tout prévu avec son amie : date, lieu, diversion pour le copain de Laura qu'elle emmenait en après-midi shopping pour trouver un cadeau d'anniversaire. Puis vint le moment de ses propres exigences qui me firent regretter d'avoir accepté.

Pas de sexe oral, préliminaires pas trop longues, préservatif obligatoire, uniquement missionnaire et amazone comme positions, pas trop de baisers et pas trop fougueux. Et pour couronner le tout : filmer l'acte pour qu'elle puisse vérifier que je ne cherchais pas à gruger. Le rêve d'une magnifique partie de jambes en l'air avec la fille la plus canon de mon entourage s'étiolait petit à petit. Mais je m'étais déjà engagé et la perspective de passer mes mains sur le corps divin de Laura suffisait à maintenir une certaine motivation.

Trois jours plus tard, je me rendis donc chez la belle, qui habitait avec ses parents un appartement en centre-ville. Il était un peu plus de midi, nous avions plusieurs heures avant que ses géniteurs ne rentrent du travail, bien plus qu'il n'en fallait pour notre affaire.

Elle m'accueillit en mini-short et débardeur et, vu la finesse du tissu qui permettait de deviner le contour de ses tétons, je compris qu'elle ne portait pas soutien-gorge. Cette information me mit en définitive plus mal à l'aise qu'autre chose, malaise contagieux car elle semblait aussi gênée que moi lorsqu'elle me fit la bise et me demanda comment j'allais.

Nous passâmes rapidement à sa chambre aux murs rouges couverts de posters. Assis en tailleur sur le lit, nous nous regardions, mes yeux passaient des siens à ses seins, remontaient, redescendaient. Quelques instants qui semblèrent des heures s'écoulèrent.

« J'arrive pas à croire que je vais coucher avec le mec de ma meilleure amie, finit-elle par lancer.

- J'arrive pas à croire que je vais coucher avec la meilleure amie de ma copine » répondit-je en me forçant à rire.

Elle me sourit, se pencha en avant pour me tendre ses lèvres. Sa soudaine timidité, en contradiction complète avec son attitude habituelle, avait quelque chose de touchant et je la trouvai encore plus belle qu'à l'accoutumée. Je parcouru la distance qui nous séparait et posait ma bouche sur la sienne. Nous échangeâmes quelques petits bisous tendres, loin des baisers fougueux de Florence. Tout son corps se détendit et elle vint se blottir contre mon torse ; elle était affreusement légère et j’eus peur de la serrer trop fort contre moi durant ce court câlin si intime que j'aurais pu la prendre pour ma véritable conjointe.

Elle approcha son visage de mon oreille, susurra quelques mots qui m'électrisèrent.

« J'ai envie de toi. »

Elle me regarda droit dans les yeux, sourit. Et me roula une pelle monumentale, sa langue venant s'enrouler autour de la mienne, s'extirpant pour mieux revenir à l'assaut, m'attirant dans sa bouche pour mieux me refouler.

« Désolée, fit-elle après ce long baiser, c'est contre les règles alors je voulais le faire avant qu'on mette la caméra. »

Ah oui, c'est vrai, la vidéo. Mon ardeur fut soudain terriblement douchée et la gêne vint la remplacer, tandis que j'extirpais mon appareil photo numérique de mon sac et l'installais sur le bureau de Laura. Je lançai l'enregistrement et vint la rejoindre sur son lit avec une érection soudain très ramollie.

Elle m'attira contre elle, sur elle, tout en se laissant aller contre les coussins, pour un échange de petits bisous sur la bouche, les joues, dans le cou. Son corps était frêle sous le mien, m'obligeant à me maintenir en équilibre sur les coudes pour ne pas l'écraser, limitant mes caresses tandis que ses mains à elles s'infiltraient sous mon t-shirt, effleuraient mon dos. Elle se cambrait, ondulait des hanches pour plaquer son sexe contre le mien et, même à travers mon jean et son short, je pouvais sentir (ou l'imaginai-je ? ) sa chaleur.

Mes lèvres abandonnèrent son cou, descendirent, effleurèrent son sein à travers le fin tissu du débardeur, ses doigts vinrent jouer dans mes cheveux, comme une invitation à poursuivre. D'une main, je fis remonter son haut, découvrant cette sublime poitrine qui m'avait hanté trois jours durant. Je collais ma bouche contre cette peau chaude et douce, faisait jouer ma langue autour d'un téton toujours plus dur et pointé. Dans le même temps, je caressais le sein délaissé par mes lèvres, tantôt l'effleurant de mes doigts, tantôt le prenant à pleine main. Jamais je n'avais touché poitrine si ferme et pourtant grosse et je savourais chaque caresse, chaque succion, tandis que ma belle émettait de faibles gémissements pour marquer son contentement.

L'instant fut hélas trop court et elle finit par me repousser gentiment. C'est à regret que j'abandonnai mon œuvre et la regardai se déshabiller rapidement. Je l'imitai tout en la détaillant, elle avait véritablement un corps parfait. Je l'avais déjà vue en maillot de bain, la surprise n'était pas bien grande, mais la confirmation n'en demeurait pas moins magnifique. Seule nouveauté pour moi, son intimité aux lèvres fines, encore fermées, surmontées d'une brésilienne toute fraîche, dans laquelle j'avais une irrésistible envie de plonger la langue.

Assis sur le lit, nus comme des vers et après un échange de regards complices, nous tendîmes chacun la main vers le sexe de l'autre. Tandis qu'elle caressait doucement et avec une dextérité certaine mon membre, je fis glisser un doigt le long de sa fente, l'entrouvrit légèrement, plongeai dans cet intérieur chaud et poisseux, empli d'une cyprine épaisse et abondante, promesse d'une pénétration aisée.

Cette masturbation réciproque, ô combien agréable, fut encore une fois de courte durée, Laura se renversa sur ses coussins et attrapa un préservatif sur la table de chevet. Je m'en saisis, déchirai l'emballage et enfilai le morceau de caoutchouc. Après un bref regard vers l'objectif froid de la caméra, je m'allongeai sur ma partenaire, guidai mon membre vers son intimité et, tout en l'embrassant doucement, la pénétrai délicatement.

Sans la douceur de ses lèvres et de ses mouvements, j'aurai trouvé cet instant particulièrement désagréable. Engoncé dans une capote qui me serrait et étouffait mes sensations, prisonniers des exigences d'une copine qui nous empêchait de nous lâcher et de véritablement profiter de ce qui aurait dû être un moment intime, magique, nous faisions l'amour sans vraiment y croire, presque mécaniquement. Chaque débordement, comme quand je me courbais pour poser ma bouche sur ses tétons ou quand elle me mordillait le cou, était vite réprimé, comme si nous avions subitement honte, comme s'il fallait se contenter de remuer les hanches et voilà.

Après de courtes minutes qui me semblèrent une éternité et auxquelles je ne pris qu'un plaisir très mitigé, Laura me chuchota quelque chose à l'oreille.

« Ça te dit une faciale ? »

Surpris, je la pénétrai un peu plus fort, lui arrachant un petit gémissement, me plaquant contre elle pour lui retourner une question sur le même ton.

« Quoi, maintenant ? »

Elle me mordilla le lobe, me susurra sa réponse.

« Ouais, histoire qu'on finisse en beauté. »

Je dois reconnaître que j’accueillis sa proposition d'en rester là avec un certain soulagement et me retirai prestement tandis qu'elle se mettait à genoux. Debout sur le lit, je me débarrassai du préservatif poisseux et m'entrepris au-dessus de son visage. Trente longues secondes plus tard, tant l'excitation n'était pas au rendez-vous, je laissai tomber quelques maigres jets (grosses gouttes serait plus approprié à dire vrai) de sperme sur sa joue.

Elle se leva aussitôt pour venir se placer à quelques centimètres de la caméra.

« Tu vois sœurette, c'est comme ça qu'il faut faire avec les mecs, pas en étoile de mer » lança-t-elle avant de couper l'appareil et de revenir s’asseoir à côté de moi.

« Ça va ? » demandai-je.

Elle secoua la tête tout en essuyant le sperme avec un mouchoir récupéré sur sa table de chevet et me fit un sourire peu convaincant.

« C'est pas ta faute, t'as fait ce que tu pouvais. »

J'acquiesçai, plus triste pour elle dont cela aurait du être le cadeau d'anniversaire que pour moi. Puis soudain, je réalisai que je pouvais encore faire quelque chose pour elle.

Avant qu'elle ne puisse réagir, je l'avais faite basculer à la renverse et me trouvait sur elle pour l'embrasser tendrement. Elle me repoussa un peu.

« Tu fous quoi ? » demanda-t-elle, visiblement perturbée.

Je lui fis un clin d’œil que j'espérai coquin et entamai une descente vers son intimité, couvrant au passage son corps, et tout particulièrement ses seins, de baisers. Elle ne réitéra pas sa question, se contenta d'écarter légèrement les jambes afin que je sois plus à mon aise et de m'encourager en caressant délicatement mes cheveux.

Je passai lentement ma langue dans sa fente, le goût du latex était abominable, mais je savais qu'il serait rapidement remplacé par celui de ma salive et de sa cyprine, aussi entrepris-je de plonger plus avant dans sa grotte, tandis que sa main se serrait autour de la mienne, que j'avais laissé traîner sur son ventre. Puis, avec précaution, je remontai vers son bouton, le titillait du bout de langue avant de me lancer franchement.

Je pris tout mon temps pour elle, me guidant au moyen de la force avec laquelle elle serrait ma main et du tremblement de ses jambes. Dès qu'elle s'approchait trop de l'orgasme, je ralentissais le rythme, abandonnais son clitoris pour retourner jouer avec ses lèvres et sa fente. Et quand la pression retombait, je remontais m'enrouler autour de son bourgeon, appuyais davantage, accélérais, ralentissais de nouveau, entreprenait une valse erratique ou suçotais.

J'ignore combien de temps cela dura, probablement un bon quart d'heure, puis elle donna le signal qu'il était temps d'arrêter de jouer : ses hanches se cambrèrent pour offrir davantage son sexe à mes attentions, tandis que sa main venait appuyer sur ma tête. Je me lançai alors dans un véritable sprint final autour de son bouton, léchant, suçant, accompagnant la danse frénétique de deux doigts qui vinrent pénétrer son intimité.

Son orgasme fut brutal, ses jambes se serrèrent si fort autour de mes tempes que j'en fus étourdi. Un instant plus tard, elle m'avait relâché et et je revins sur elle pour échanger de petits baisers mignons.

Elle était toute rouge, sa peau douce s'était ourlée d'une fine pellicule de transpiration, mais elle m'attira néanmoins à elle pour m'embrasser tendrement. Ce ne fut que lorsque ses jambes se furent refermées autour de ma taille et qu'une sensation chaude et humide se fit sentir tout autour de mon membre que je réalisai que je bandais de nouveau et que je l'avais pénétrée de tout mon long, sans même m'en rendre compte tant sa fente était trempée et ouverte.

Je me redressai aussitôt et elle m'accompagna d'un mouvement de hanches pour être certaine que je ne me retire pas. Tout en jouant avec son téton, je lâchai un :

« C'est pas une super idée, Laura. »

Elle se redressa un peu, juste assez pour hausser ostensiblement les épaules.

« Ça va, elle m'a promis de te prêter pour mon anniversaire, pas de nous imposer trois cents règles à la con pour qu'on soit sûr de pas prendre notre pied. »

Je lui souris tendrement et pinçait son téton.

« Je parlais de le faire sans capote.

- Ça va, vous en mettez pas, nous non plus, je prends la pilule, c'est tranquille. Et de toute façon, c'est déjà trop tard. »

Comment résister à ses arguments, surtout lorsqu'elle tendit les bras pour m'attirer à elle ? Cette fois-ci fut tout le contraire de la précédente, ce fut un moment d'une grande tendresse, d'une grande complicité, uniquement entrecoupé de « ça va comme ça ? » ou de « tu préfères comment ? »

Nous alternions les moments tendres et câlins avec d'autres plus rapides où nos corps se cognaient avec fougue et émettaient des sons qui n'auraient trompé personne. Chaque fois que l'un d'entre nous s'emballait trop, l'autre prenait le relais, diminuait la cadence ou changeait de position afin de faire retomber la pression. Nous pûmes ainsi expérimenter le missionnaire, l'amazone, la cuiller, le lotus, la levrette... Bref, tous les grands classiques et indémodables, ainsi que bon nombres de leurs variantes, au gré de nos envies et mouvements, ne tenant certaines que quelques secondes avant la transition vers une autre.

A plusieurs reprises, quand je m'approchais trop d'un orgasme qui promettait d'être dévastateur, elle me prit en bouche, n'utilisant que ses lèvres ou sa langue pour apaiser ma tension. Quant à moi, je lui prodiguais mes soins buccaux lorsque sa lubrification naturelle montrait des signes de faiblesse et nécessitait que l'on prenne le relais.

Enfin, sans un mot, mais pourtant d'un commun accord, nous nous dirigeâmes vers le bouquet final. J'avais repris place sur elle, ceinturé par ses cuisses, la pénétrai de tout mon long. Nos lèvres soudées, nos langues tournoyaient au rythme de coups de reins de plus en plus rapprochés et puissants, nos gémissements se mêlaient dans la bouche de l'autre. Et en un seul cri simultané, en une ultime poussée, une ultime étreinte, ce fut l'explosion de plaisir, une apothéose que je n'ai plus jamais retrouvée par la suite, un orgasme conjoint, long et puissant qui nous cloua sur place.

Une fois la déferlante passée, je basculai sur le côté, épuisé, lessivé. Laura, luisante de transpiration, vint se blottir contre moi, la tête au creux de mon épaule, et je passai le bras autour des siennes puis déposai un baiser sur son front.

« C'est allé ? » m'enquis-je.

Elle se serra davantage contre moi, émit un petit son qui signifiait probablement que oui. Je jetai un coup d’œil au réveil.

Cinquante minutes. Nous avions fait l'amour presque une heure, ce qui signifiait que je venais de quadrupler mon record. Je fermai un instant les yeux.

Et les rouvrit dans une lumière déclinante. Laura n'avait pas bougé et dormait paisiblement, je m'étais moi-même assoupi pendant un peu plus d'une heure, le Soleil était passé derrière l'immeuble voisin, d'où la baisse de luminosité. J'hésitai un instant à la réveiller, tant elle était mignonne ainsi endormie, mais le temps passait et mieux valait ne pas prendre de risques.

Une fois rhabillés, nous retournâmes sur le lit pour un dernier câlin et je finis par prendre congé. Elle se blottit une ultime fois contre moi, je déposai un court baiser sur ses lèvres et m'en fut.

Le soir, Laura m'envoya plusieurs sms pour me remercier de cette après-midi magique. Je n'osai pas le lui avouer, mais à cet instant j'aurais probablement tout donné pour larguer ma copine et me mettre avec elle à la place. Malheureusement (et heureusement pour moi aujourd'hui), je n'en fis rien.

Le surlendemain, ma copine put visionner la vidéo de nos fades ébats et, après s'être fait copieusement reprocher ses exigences par une Laura qui avait su parfaitement cacher son jeu, inaugura une nouvelle habitude : après la fellation-demande de service, je découvris la sodomie-demande de pardon.

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Commentaires de l'histoire :

Pierre
La suite ! La suite !
Posté le 15/12/2015

Korn
Je suis ravi que cette histoire vous ait plu. A défaut de suite, vous avez déjà les textes précédents ;)
Posté le 18/10/2015

Deanna
Excellent. je me demande pourquoi "et heureusement pour moi aujourd'hui" mais vivement la suite^^
Posté le 16/10/2015


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