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Cercle d\'amis 2

Le cercle d\'amis se fait plus vicieux : partage d\'un moment d\'érotisme avec 2 amies.

Proposée le 18/12/2014 par André Halphus

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Suite à l\'une de nos soirées jeux de rôle chez Laetitia (voir Cercle d\'amis 1), nous nous sommes retrouvés comme d\'habitude à dormir chez elle : Cécile et Laetitia dans son lit, Céline et Cédric sur le matelas gonflable dans le salon, et moi sur le canapé-lit toujours aussi bruyant.

Mais contrairement à d\'habitude, nous avions tous des obligations, chacun de notre côté, pour le dimanche. Du moins c\'est ce que nous pensions. Laetitia, vu son travail et ses horaires décalées, partit la première. Céline, Cécile, Cédric et moi avions chacun rendez-vous dans nos familles respectives. Cédric, dans ses habituels survêtements difformes, fut le premier de nous quatre à devoir partir pour prendre le train de banlieue.
Cécile était vêtue d\'une longue robe turquoise dont les bretelles suffisaient à peine à masquer le soutien-gorge blanc, et portait des spartiates blanches elles-aussi, donnant une impression de grâce et de légèreté à la silhouette de la jeune blonde. Céline quant à elle était élégamment parée d\'un jean noir moulant et d\'un bustier blanc et rouge sang dont le laçage au niveau du sternum était une véritable invitation à pénétrer le sanctuaire que le sillon entre ses deux seins formait. Pour renforcer encore l\'invitation, les deux globes étaient outrageusement mis en avant par le corset intégré au bustier, et qui lui permettait de se passer de soutien-gorge. Un peu moins contraintes par le temps, les deux filles décidèrent d\'aller faire quelques courses pour refaire les réserves de Laetitia, bien entamée par la soirée de la veille.

Je restai donc seul dans l\'appartement, prenant mon temps entre le salon et la cuisine pour ranger un peu, et flâner beaucoup. Une fois la table rangée, je me décidai enfin à m\'activer un peu et fis couler l\'eau pour une bonne douche revigorante. La douche à l\'italienne était dans une alcôve circulaire dans la chambre. Aussi je n\'entendis pas plus les filles rentrer qu\'elles n\'entendirent l\'eau couler en rentrant à l\'appartement : elles étaient persuadées que j\'étais déjà parti, et qu\'elles étaient seules … et tranquilles.
Peut-être étais-je en veine ce jour-là, mais pour une fois je ne chantais pas à tue-tête sous ma douche, évitant ainsi de signaler ma présence. Je sortis donc de l\'alcôve et m\'approchai du lit de Laetitia, l\'esprit perdu dans mes pensées. J\'avais couvert mes arrières en fermant le rideau de séparation de la chambre. Je me trouvais donc, sans le savoir, à à peine 2 mètres de Cécile et Céline, dont j\'ignorais totalement la présence, et encore plus l\'activité à laquelle elles avaient commencé à s\'adonner en pensant être tranquilles.
La surprise fut donc totale pour tous les trois lorsque, vêtu uniquement de ma serviette en guise de pagne, j\'ouvris le rideau pour aller me chercher mon jus d\'orange matinal. Cécile était allongée sur le dos, sur le matelas gonflable que nous n\'avions pas encore rangé. Ses cheveux bouclés formaient une couronne de blés, comme si un photographe les avait soigneusement ordonnés pour prendre son cliché, sa robe légère était remontée jusqu\'à son ventre, me laissant le champ visuel libre pour admirer ses jambes menues débarrassées des spartiates, sa petite culotte blanche, et les tétons érigés à l\'envi malgré la présence du soutien-gorge (au point que je demandai l\'espace d\'un instant s\'il n\'avait pas été enlevé). Le contraste entre le visage presque enfantin de Cécile et sa position lascive était saisissant.
Céline quant à elle était à quatre pattes à côté de Cécile, la main droite furetant doucement sur le coton blanc protégeant l\'intimité de Cécile, la main gauche caressant ses joues, et la bouche accrochée au téton droit de Cécile, tellement tendu par l\'excitation de son propriétaire qu\'elle pouvait le mordiller par-dessus le soutien-gorge.

Je restai pétrifié devant le spectacle, et je vis Cécile se figer soudainement au niveau du visage, incapable de bouger la tête, visiblement saisie d\'effroi, pendant que son bassin et ses jambes semblaient se raidir pour une toute autre raison, qui se manifesta par l\'apparition progressive d\'une tâche sombre sur le tissu blanc de sa culotte. Sentant Cécile se raidir, Céline leva alors la tête et se tourna dans la direction que suivaient les yeux paniqués de Cécile. Sans enlever sa main droite de la culotte trempée de sa partenaire, Céline se redressa un peu, m\'adressa un large sourire plein de promesses, et fit un signe de tête en direction de l\'objet de mes attentions. L\'invitation était on ne peut plus claire de sa part. Aussi clair que la crainte, et le refus, de Cécile de me voir participer à leur escapade sensuelle.
Céline la rassura en lui chuchotant tendrement à l\'oreille, qu\'elle mordilla au passage pour maintenir son état d\'excitation. Puis elle prit ma main pour m\'attirer vers Cécile. J\'attendis tout même le consentement de cette dernière. A défaut de m\'encourager à venir la toucher, elle ne fit tout du moins pas obstacle à mon approche, ce qui, dans mon état, suffisait largement pour que je m\'autorise à la toucher.

Je m\'agenouillai donc au pied du matelas, au niveau des pieds de Cécile, que je commençai lentement à masser. Me laissant le bas du corps, Céline dirigea ses deux mains vers les seins de Cécile. Elle avait une vraie peau de bébé, d\'une douceur extrême, et délicieusement parfumée à l\'abricot, sans doute le parfum de son savon. Une main sur chaque jambe, je les caressai toutes deux symétriquement en remontant lentement des pieds vers l\'intérieur des cuisses, à une distance de sécurité minimale de son entrejambe, pour revenir par l\'extérieur des cuisses vers les mollets tendre de la belle blonde, dont la respiration commençait à nouveau à s\'accélérer. Dans le même temps, je remontais lentement avec ma bouche, embrassant le mollet d\'une jambe, léchant le genou de l\'autre, me dirigeant inexorablement, à coups de langue, de baisers et de suçons vers la fourche humide de Cécile, toujours emprisonnée dans son écrin de coton.
Arrivé sur l\'objet de mon désir, je plaquai fermement mais tendrement le bassin de Cécile sur le matelas, pour l\'empêcher de lever son Mont de Plaisir à ma rencontre, et ma bouche passa directement du haut de ses cuisses à son nombril, sans toucher la culotte autrement que par un très léger effleurement le long de l\'aine. Cécile grogna son impatience, pendant que Céline continuait à lui cajoler les seins, elle aussi usant tant de sa bouche que de ses mains. Etait-ce par confiance ou par inintérêt, Céline ne s\'occupait absolument pas de ce que je faisais à sa compagne de jeu mais se contentait de recueillir le fruit de mon amusement érotique à travers les baisers fougueux et impatients de Cécile.

Quand ma propre impatience fut trop forte, je plongeai finalement mes deux mains vers son intimité et maculai sa culotte des liquides intimes qui semblaient sourdre en grande quantité de ses replis intimes. Ma bouche et mon nez vinrent rapidement rejoindre mes mains dans un massage énergique de la zone, pour profiter des effluves enivrants de Cécile, et goûter le nectar divin. Elle avait une odeur de miel très douce, à peine perceptible sur l\'odeur de lavande de la lessive de la culotte, et l\'odeur fruitée que le savon laissait sur sa peau. Je me sentais presque frustré de ce manque de volume odorant. Je me rattrapais sur le délice que me procure toujours le tissu trempé des fluides intimes, véritable indicateur du degré d\'excitation.
J\'étais pris à mon propre jeu, et les grognements de Cécile ne m\'aidaient pas à me raisonner : je voulais à tout prix goûter ses chairs, manger le fruit défendu, et jouir de l\'emmener jusqu\'au septième ciel. Je profitai alors d\'un soubresaut du bassin pour descendre brutalement mes mains vers ses pieds, en entraînant la culotte. Les genoux au sol, les mains presqu\'à leur hauteur et emmêlées entre la culotte et les pieds de Cécile, je n\'avais plus aucun appui pour le haut du corps : je plongeai la bouche la première vers les petites lèvres charnues, largement dégagées des grandes lèvres écartelées par les spasmes de désir dont le sexe de Cécile semblait s\'être animé de son propre chef. Mon nez arrivé pile à la hauteur de son clitoris, lui aussi sorti de sa gangue protectrice, et du bas des quelques poils blonds qu\'elle gardait en une coupe type \"ticket de métro\" des plus seyantes.
Je libérai rapidement mes mains pour reprendre mes appuis et masser le pubis, les cuisses et même les fesses de Cécile, pendant que j\'aspirais quasiment tout son sexe dans bouche. Je plaçai son clitoris au centre de ma bouche, et effectuai une série de succions sur tout ce que ma bouche pouvait englober autour du bouton d\'amour. Je n\'arrêtais mes succions que pour faire courir ma langue de l\'entrée de son vagin vers le clitoris, et moissonner ainsi le miel intime qui maculait la totalité de sa vulve gonflée d\'excitation, et pour reprendre mon souffle. Je ne voulais pas m\'arrêter tant qu\'elle ne crierait pas grâce elle-même, mais si elle tardait trop je risquais de mourir étouffé dans ses replis intimes, et noyé dans sa cyprine. Heureusement je n\'eus pas longtemps à attendre, car très rapidement les grognements de Cécile se transformèrent en long râle étouffé par le baiser de Céline qui semblait se nourrir de la libération sexuelle de Cécile. Le bassin de cette dernière s\'anima violemment au point que je dus faire attention à ne pas la mordre, tout en continuant mes succions le temps de son orgasme, qui n\'en finissait pas. Je ne pouvais de toute façon pas me détacher de son sexe, puisque ses mains se plaquèrent contre ma tête, comme si elle voulait que son sexe pénètre encore plus loin dans bouche.

Une fois la transe érotique de Cécile calmée, elle resta allongée, les bras allongés le long du corps, les jambes légèrement entrouvertes, et le bassin enfin inerte. Je me relevai doucement mais n\'eus pas vraiment le temps de respirer : Céline se rua sur ma bouche pour me couvrir de mille coups de langue, tant pour lancer la nouvelle passe de notre joute sexuelle que pour goûter elle aussi la liqueur qu\'elle avait elle-même contribué à produire. La langue de Céline était comme un colibri fou, allant et venant d\'un bout à l\'autre de mes lèvres, dans ma bouche. D\'ordinaire je trouve cette façon d\'embrasser très désagréable, mais dans l\'état où j\'étais, elle aurait pu me lécher la joue comme un animal de compagnie qu\'elle ne m\'en aurait pas moins aguiché. Je voulais m\'occuper d\'elle à son tour, mais elle avait une autre idée en tête, beaucoup plus facile à réaliser vu mon accoutrement : durant ma lutte sensuelle avec Cécile, ma serviette était depuis longtemps tombée, me laissant nu comme un vers, le soldat au garde-à-vous, tendu comme jamais.
Elle profita de ma position inconfortable au-dessus de Cécile pour me faire basculer sur le dos sur le lit, à côté de la belle au bois dormant. Avant de me laisser réagir, elle aspira d\'un coup la totalité de ma verge, dans un mouvement si soudain que je crus un moment éjaculer instantanément. Mais ce n\'était pas son but : elle voulait seulement montrer que c\'est elle qui dirigeait les débats. La salive laissée par la pénétration profonde de sa gorge lui permit de lubrifier mon sexe pour entamer une lente masturbation aussi lascive que son premier mouvement fut brutal. De sa main gauche elle englobait mes testicules, avec l\'index et le pouce autour de la base de mon sexe pour le maintenir complètement décalotté, et le bout de son auriculaire furetant le long de mon périnée. La main droite quant à elle montait et descendait lentement le long de ma hampe, avec de légères rotations accentuant encore l\'effet dévastateur de sa masturbation. Je fermai les yeux, les mains agrippées au drap comme un passager apeuré s\'agrippe à son siège dans une voiture qui roule trop vite.
Trop vite : c\'était la bonne expression. Je montais beaucoup trop vite aux cimes du plaisir. Je n\'allais pas tarder à atteindre le point de non retour. Mais je n\'eus pas le temps de le lui dire qu\'elle changea sa partition : sa main droite lâcha mon sexe et sa main gauche se concentra exclusivement sur mes bourses pour me masser les testicules par le bas, pendant que sa bouche les gobait pas le haut, une par une. Ce n\'est pas une caresse dont je suis très friand, mais en l\'occurrence cela me permit de redescendre un peu l\'échelle du plaisir, tout en maintenant mon excitation. Je laissai échapper un petit soupir de contentement, indiquant à ma partenaire qu\'on l\'avait échappé belle. Mais je devais visiblement retomber trop vite à son goût : sa main droite repris possession de ma hampe, par le haut, laissant le bas à la merci de sa langue experte, qu\'elle fit courir de mon périnée jusqu\'au gland, en passant entre les deux testicules. Commença alors une série de coups de langue tantôt plate, sur le corps de ma verge et la tête du gland, tantôt en pointe, sur le frein et le haut du gland. Quand elle fut convaincue que j\'avais suffisamment patienté, elle me donna un dernier coup de langue, plus long, plus sensuel, sur le frein, pour redescendre avec sa bouche dans laquelle elle aspirait mon sexe avec une gourmandise affichée. Sans dire qu\'elle en prenait autant que moi, elle semblait vraiment prendre du plaisir à sentir ma jouissance monter, et à ressentir le pouvoir que cela lui conférait sur moi.
Mais elle était encore habillée, et je voulais en profiter. Je rassemblais alors tout mon courage pour lui prendre la tête et la forcer à venir m\'embrasser, et partager ainsi l\'odeur et le goût de mon sexe sur ses lèvres. Surprise par ce soubresaut de ma part, elle ne put m\'empêcher de la retourner sur le lit, encore vêtue de son bustier et de son jeans. Je me mis à califourchon sur elle, les testicules sur la bouche. Elle profita de leur présence pour les lécher, parvint à agripper ses mains à mon sexe toujours érection maximale. Je me reculai un peu pour lui permettre de me prendre en bouche. Mais je me reculai encore, et répondis à son regard interrogateur en desserrant très légèrement son corsage : juste de quoi y glisser mon sexe, pour le faire coulisser entre les deux seins comprimés de Céline. Grâce au corset intégré, nous n\'avions même pas besoin de serrer les seins sur mon sexe, il me suffisait de bouger le bassin d\'avant en arrière. Lorsque je poussais au maximum vers l\'avant, Céline pouvait me donner de petits coups de langue furtifs sur gland. Mais elle m\'avait déjà poussé trop loin dans mes retranchements : je ne tiendrais pas longtemps. Elle le sentit et s\'assura que je ne m\'arrête pas en plaçant ses mains contre mes hanches, et en imprimant elle-même le rythme de mes allers-retours, de plus en plus rapides. Afin de pousser davantage mon sexe vers sa bouche et sa langue diaboliques, je me redressai et me cambrai. Mes mains trouvèrent naturellement leur chemin vers l\'entrejambe de Céline, que je trouvai encore plus humide, à travers le jean, que ne l\'était la culotte de Cécile, même après son orgasme. La sensation de mouillé sur ma main, et la forte odeur de miel musqué qui s\'en dégageait me servirent de détonateur : j\'explosai alors entre les deux seins, le sexe à moitié caché par les lacets du corsage. Tous les jets de sperme se perdirent entre les seins laiteux de Céline et dans sa gorge. Je tentais de prolonger mon orgasme en continuant à me frotter entre les seins, alors même que la source était tarie.
C\'est le moment que Cécile choisit pour se réveiller, ou tout du moins pour le faire savoir. Elle s\'approcha de la poitrine de Céline, m\'aida à me dépêtrer du corsage, et commença à me nettoyer la verge de sa bouche. Le nettoyage terminé, elle se dirigea vers les seins de Céline et entreprit leur nettoyage à leur tour. Elle défit complètement le laçage pour accéder plus facilement au sillon inondé de ma semence, et passa sa langue sur toute sa longueur, jusqu\'au menton de Céline, qui attendait patiemment que Cécile termine son œuvre pour se déshabiller à son tour.
Pendant ce temps j\'entamai avec Cécile une danse des langues calme et sensuelle. Sa façon d\'embrasser était très différente de Céline : beaucoup plus douce, plus suave. Cécile s\'était contentée d\'aspirer les restes de sperme sur ma verge, mais ce long baiser langoureux m\'en disait bien davantage sur l\'agilité de sa langue, qui lui conférait à coup sûr les moyens de satisfaire sa gourmandise. Cet échange plein de promesse fit d\'ailleurs son œuvre : avant même de commencer à déshabiller Cécile, mon sexe commençait à redonner des signes d\'activité.

Quand tout le monde fut déshabillé, je tentai une nouvelle approche sur Céline : c\'était la seule à ne pas avoir encore pris de plaisir. Je commençai par lui caresser le ventre, depuis le haut du pubis jusqu\'à la base des seins, puis dans le sillon entre les deux, largement écartés par la position allongée de Céline, et vers son cou. Je pus ainsi réaliser quelques mouvements circulaires sur son ventre et ses côtes sans m\'approcher des zones sensibles : je voulais tester sa patience. Je me contentai de souffler sur les parties non couvertes par mes mains : ses oreilles et son cou quand mes mains n\'y étaient pas, et bien sûr ses seins. Par mes discussions avec Cédric, je savais Céline assez sensible de la poitrine, et je pus le vérifier rapidement : le balai de mes mains faisait monter son désir, mais mon souffle sur ses tétons qui s\'érigèrent rapidement la fit se tortiller pour essayer de me faire toucher ses seins avec mes mains. Pour m\'aider dans ma tâche, sans même que je le lui demande, Cécile, que je découvrais de plus en plus joueuse, bloquait les mains de Céline, pour qu\'elle reste entièrement à la merci de mon bon vouloir. Quand j\'estimai Céline suffisamment impatiente, je plongeai ma bouche vers son téton gauche, tout en saisissant ses deux seins à pleines mains. Cécile joignit alors ses mains aux miennes pour englober les seins de Céline, et s\'occupa du téton droit resté libre. Céline poussa un feulement de soulagement et d\'envie en agrippant nos deux têtes.
Céline aurait sûrement pu jouir rien que par ce traitement sur ses seins, mais je préférai abandonner les seins à Cécile, pour aller m\'occuper de l\'entrejambe de Céline, qui manifesta une fois de plus son mécontentement de me voir approcher la tête de son intimité. Mais le \"non\" qui sortit de sa bouche était bien trop léger pour me dissuader, et les mouvements incontrôlés de son bassin achevèrent de me donner l\'autorisation que j\'attendais pour aller plus loin.
Je me retrouvai dans la même situation qu\'au début, si ce n\'est que cette fois c\'est Céline qui subissait mes assauts avec l\'aide de Cécile. L\'autre différence, de taille, était l\'odeur très forte de l\'intimité de Céline. J\'étais totalement enivré de la cyprine très abondante de Céline, au point même de s\'agglomérer en un filet blanchâtre semblable à du sperme. Je lapais aussi fort que possible la vulve dégoulinante avec ma langue, utilisant mon nez à chaque passage pour caresser le clitoris dressé de Céline. De mes mains je me cramponnais à ses fesses, en y enfonçant mes ongles, comme un ogre dévorant à pleine bouche une pastèque juteuse.
Il ne fallut pas longtemps à Céline pour crier son plaisir, laissant son bassin se déchaîner de soubresauts incontrôlés. Plus j\'augmentais la pression de mon emprise sur fesses, plus les spasmes étaient violents. L\'excitation du moment était tellement forte que je faillis éjaculer à nouveau. J\'étais tellement en transe, que je ne laissai même pas le temps à Céline de se remettre : je la pénétrai d\'un coup violent, rapidement suivi d\'une succession de va-et-vient accompagnés de râles gutturaux annonciateur d\'un orgasme bien trop prématuré au goût des deux demoiselles.
Cécile empoigna la base de mon sexe et me fit sortir de la grotte si accueillante de Céline, encore trop dans les vapes pour se défendre elle-même. De sa langue habile, Cécile nettoya entièrement mon visage des effluves intimes de Céline avant de relâcher son étreinte sur ma verge, qui perdit quelque peu de sa superbe dans l\'opération.

Tout en gardant mon soldat dans sa main, Cécile me força à m\'allonger sur le dos, et entama un langoureux va-et-vient pour redonner vie à la bête, sinon endormie, du moins assoupie. Céline vint rapidement la rejoindre pour jouer un morceau à 4 mains … et deux bouches. De ma vie je n\'avais jamais senti une fellation aussi merveilleuse. Je n\'arrivais même plus à distinguer les mains et les langues les unes des autres. Chaque centimètre carré de ma peau entre mon nombril et mes fesses était l\'objet de toutes les attentions des deux lionnes en furie. Que ce soit un coup de langue furtif sur mon anus, des lèvres enserrant un testicule, un pouce titillant mon frein, ou un ensemble de caresses sur le ventre, l\'aine et les fesses, mon cerveau était totalement saturé d\'informations sensorielles.
Elles avaient manifestement l\'intention de profiter de mon chibre encore quelques temps, et il était tout aussi évident qu\'il ne me faudrait plus très longtemps pour exploser. Après un moment d\'hésitation complice entre les deux, elles décidèrent d\'accélérer la cadence, considérant sûrement que je serais d\'autant plus endurant pour m\'occuper d\'elles après mon orgasme. J\'essayai en vain de les prévenir qu\'elles risquaient d\'obtenir l\'effet inverse : vu mon niveau d\'excitation, mon orgasme s\'annonçait dévastateur, et il me paraissait peu probable d\'être capable de bander à nouveau, au moins pour quelques heures ! Mais le seul son qui sorti de ma bouche fut un énième grognement de plaisir, qui se transforma en un véritable brame quand Cécile et Céline se roulèrent le plus sensuel des patins sur mon gland, arbitre dressé entre leurs deux lèvres.
Quelques gouttes de liquide pré-éjaculatoire commencèrent à perler de mon méat tendu à l\'extrême, ce qui déclencha une véritable transe lubrique chez Cécile, manifestement autant excitée par les fluides masculins que moi par les fluides féminins. Sa main droite s\'agita frénétiquement sur ma hampe, pendant qu\'elle me tendit l\'autre. A l\'inverse Céline, me caressait les bourses, beaucoup plus doucement, de sa main gauche, en laissant ses doigts fureter sur mon anus, et me tendit son autre main. Mes deux mains agrippées aux leurs étaient la seule chose qui me retenait à la Terre, pendant que le balai de lèvres et de langues sur mon gland, ponctué d\'ahans impatients de Cécile, m\'emmenait aux cimes du plaisir.
Bien que le temps me parût suspendu, il ne fallut pas plus d\'une minute de ce traitement pour déclencher un feu d\'artifice de plaisir, un véritable bouquet final de jets crémeux et d\'explosions de cris. Alors que Céline s\'efforçait au fur et à mesure de recracher mon sperme sur ma verge, Cécile au contraire semblait s\'affoler de plus en plus en en récupérant la moindre goutte sur mon sexe, sur les lèvres et le menton de Céline, et jusque dans sa bouche, comme si sa survie dépendait de la quantité de sperme qu\'elle arrivait à récupérer.

En harpies visiblement expérimentées, les deux tigresses ne me laissèrent pas le temps de céder à la torpeur post-éjaculatoire typiquement masculine : Cécile se mit à califourchon sur mon visage, en face de Céline qui s\'assit sur mon sexe flaccide. Je ne contrôlais plus rien, je n\'étais rien de plus qu\'un gode vivant pour les deux demoiselles qui se frottaient sur moi, déposant chacune leurs effluves, l\'une sur le bas de mon visage, l\'autre sur mon entrejambe.
Dans son état, Cécile ne mit pas longtemps à atteindre un premier orgasme. Un de ces petits orgasmes de préliminaires, tous justes bons à augmenter l\'appétit sexuel plutôt que de le rassasier. Elle n\'en agrippa pas moins les seins de Céline qui miaula de plaisir sous l\'accentuation de la caresse de Cécile. Le petit jet de fluides intimes qui inonda mon visage acheva de me réveiller.
Les sécrétions très abondantes de Céline calmaient considérablement la sensation de brûlure de mon sexe, qui recommençait péniblement à grossir. Après avoir joui deux fois, bander m\'était non seulement difficile, mais surtout douloureux. Je me laissai dans un premier temps aller sans bouger, totalement à la merci de mes deux cavalières. Le petit gabarit de Cécile me permettait d\'insérer mes mains sur ses fesses et sur son sexe sans entraver les frottements de sa vulve sur mon visage. Devant mon inaction prolongée, c\'est donc elle qui prit mes mains pour se les plaquer sur l\'entrejambe.
Je me laissai gagner par leur chevauchée lubrique et me décidai à redevenir plus actif, en particulier avec Cécile dont j\'explorais tous les recoins de son fessier avec les mains et la langue. Céline continuait à onduler sur mon sexe maintenant durcit, en me prodiguant de sensuelles caresses sur les bourses, pour accompagner mon \"réveil\".
Mes mains baladeuses permirent à Cécile d\'atteindre un nouvel orgasme, légèrement plus puissant que le précédent. Elle se retint aux seins de Céline qui, sous l\'effet du spasme de Cécile, avança un peu plus son bassin. J\'en profitai pour donner un léger coup de reins, ce qui poussa mon sexe à l\'entrée de la grotte béante de Céline qui s\'empala involontairement dessus dans son mouvement de retour. Cette intromission inattendue lui déclencha à son tour un orgasme d\'impatience.

Que je fus prêt ou non, si je ne voulais pas être écarté de la joute, il me fallait reprendre la main. D\'un nouveau coup de reins je désarçonnai Céline, puis forçai Cécile à s\'allonger sur elle, pour me mettre à genoux derrière les deux croupes offertes. Céline ayant déjà été préparée, c\'est par son vagin que j\'entamai la danse, tout en caressant la vulve et l\'anus de Cécile. Mes deux partenaires, agréablement surprises par mon initiative, se contentèrent de se serrer dans les bras l\'une de l\'autre, en s\'échangeant des baisers langoureux dans la sensualité m\'était malheureusement masquée par leurs deux chevelures emmêlées. J\'introduisis alors mon pouce dans la grotte détrempée de Cécile, qui se recula en grognant pour me montrer son impatience. J\'échangeai alors les fourreaux : je pénétrai d\'un coup le con de Cécile, en lui arrachant au passage un cri étouffé par la bouche de Céline, que je pénétrai tant bien que mal avec mes doigts.
J\'étais pour l\'instant incapable de sentir véritablement du plaisir, encore sous le choc de mon précédent orgasme, que je n\'imaginais d\'ailleurs pas atteindre à nouveau. Mon objectif était de contenter mes deux partenaires à la hauteur du plaisir immense qu\'elles m\'avaient déjà procuré. Et en un sens c\'était préférable, car si l\'alternance des pénétrations augmentait indubitablement leur excitation, il retardait d\'autant leur délivrance finale.
Pendant un bon quart d\'heure je m\'évertuai donc à rester le plus équitable possible en alternant ma bite et mes doigts sur un vagin puis l\'autre, parfois en appuyant mes caresses plus intensément sur leur anus, largement lubrifiés par leurs sécrétions naturelles. Je n\'avais nullement l\'intention de les sodomiser, mais je pouvais voir que les caresses anales, à conditions qu\'elles restent douces et fugaces, avaient malgré tout un effet positif sur leur montée en jouissance.
Pour les surprendre je finis par positionner mon sexe entre leurs deux pubis, en plaquant le bassin de Cécile sur celui de Céline avec mes mains. La sensation était très étrange, mais délicieusement agréable, comme une masturbation tripartite : moins jouissive qu\'une véritable pénétration, mais bien plus excitante qu\'une banale masturbation manuelle. Et surtout les deux filles étaient pour le coup à la même enseigne.
A ce jeu-là, c\'est Cécile qui montra la première les signes de l\'arrivée irrépressible d\'un orgasme qui s\'annonçait très intense. Pour être sûr de la faire exploser, je la pénétrai d\'un coup jusqu\'à la garde, en faisant des va-vient très rapides et violents, sans décoller mon pubis des fesses de Cécile, que je continuais d\'écraser sur le pubis de Céline. Cécile releva sa tête, qui se balança dans tous les sens en hurlant de plaisir sous l\'effet d\'un orgasme d\'une intensité qu\'elle n\'avait jamais éprouvée (comme elle nous le confia elle-même après l\'acte). Son corps entier tremblait, au point d\'en masturber le clitoris gonflé à bloc de Céline, qui n\'allait pas tarder à l\'accompagner.
Je décidai alors de sortir du con de Cécile pour donner le même traitement à Céline. Afin d\'accompagner la décrue de Cécile, je remplaçai néanmoins mon sexe par mes mains, pour faire durer son orgasme le plus longtemps possible. Les mêmes causes entraînant les mêmes effets, Céline éclata à son tour dans un orgasme foudroyant, rivalisant de spasmes et de cris avec son double saphique.
Quand le gros de la tempête fut passé, je repris ma position au milieu de leurs pubis, pour exploser à mon tour entre leurs ventres déjà détrempés de sueur et de leurs propres sécrétions déposées par ma bite, qui ne mit pas longtemps à sombrer dans un repos bien mérité.

Le temps de reprendre nos esprits, et nous nous dirigeâmes vers la douche, pour nettoyer les traces de notre débauche. Cette douche à trois fut très sensuelle, sans geste véritablement sexuel, uniquement des regards complices, des caresses savonneuses, câlines et tendres. Je pris ensuite l\'initiative de sécher Cécile, lentement, en la massant de mes deux mains à travers la serviette de bain. Céline entra dans le jeu et entreprit de me sécher à mon tour, puis eut droit à son tour à un séchage à quatre mains. Entre rires et grognements de plaisir, la tension redescendit peu à peu.
Cécile et Céline terminèrent cette matinée sexuelle par un anti-strip-tease : elles dansaient lentement et se déhanchaient sensuellement, tout en mettant un à un leurs vêtements, en échangeant des regards complices. N\'ayant pas leur capacité, ni à danser ni à me déhancher, je me contentai de m\'habiller rapidement : l\'heure avançait et nous allions commencer à être en retard ! Après un dernier échange de baisers, des étoiles plein les yeux, nous finîmes par déserter l\'appartement, après avoir bien évidemment effacé les traces de nos libations.


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Commentaires de l'histoire :

vulpin
Le second récit est tout aussi puissant que le premier...
Posté le 26/01/2020

Anonyme
Un monument d'erotisme.
Posté le 19/05/2016

Anonyme
récit intense, très bien écrit. J\'aime bien ton style.
Posté le 8/02/2015


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