Une petite salope-Chapitre 5 : Coralie et son voisin

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Proposée le 2/11/2010 par Marc Paul

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Lire le chapitre 4, Coralie fête son bac.

En septembre, Coralie entra en fac de lettres. Elle avait revu quelques fois Hélène mais leurs relations avaient un peu changé. Hélène s'était libérée de l'emprise de Coralie mais elle appréciait sa compagnie et les soirées qu'elles passaient ensemble. La fureur sexuelle qu'elle avait connue au mois de juillet s'était apaisée et Hélène considérait maintenant Coralie comme une amie chère avec qui elle passait des moments agréables et très sensuels. Et cela était réciproque. Hélène avait pris deux semaines de vacances. Cette séparation d'avec Coralie lui avait fait du bien. Elle avait eu deux amants au cours de ces deux semaines, des rencontres de vacances sans importance et sans suite.

Un week-end de septembre, Coralie était seule chez elle et comme à son habitude, elle profitait nue au bord de la piscine des rayons du soleil. Elle travaillait un peu ses cours et s'offrait des instants de repos en se baignant ou en se caressant.

Antoine, son voisin, avait vu la jeune fille et l'observait comme à son habitude à l'abri de sa haie. Il voyait maintenant Coralie en train de se caresser. Les doigts fins de la jeune fille couraient sur son sexe épilé, s'introduisaient entre ses lèvres intimes largement ouvertes pendant que de sa main libre, elle se caressait voluptueusement ses seins gonflés. Antoine, jusqu'à maintenant, n'avait jamais envisagé de tenter une approche vers sa jeune voisine. Mais aujourd'hui, il ne savait pas exactement pourquoi, il sortit de chez lui et se dirigea vers le portail de ses voisins.

La sonnette du portail tira Coralie de la douce torpeur qui l'envahissait. Furieuse de se voir interrompue dans la montée de son plaisir, elle faillit ne pas en tenir compte et continuer les caresses sur son sexe mais un deuxième coup de sonnette lui indiqua que le visiteur avait l'intention d'insister. Frustrée, elle se couvrit d'un peignoir en ronchonnant et se dirigea vers le portail pour ouvrir.

Antoine avait trouvé un prétexte pour aller déranger sa jeune voisine. Il fut un peu déçu en la voyant arriver couverte de son peignoir. Pendant tout le trajet depuis le fond de son jardin jusqu'au portail de la maison voisine, il avait espéré que Coralie viendrait lui ouvrir en tenue d'Eve. Ce fantasme, cet espoir improbable, avait maintenu son érection et il débanda un peu en la voyant arriver.

Coralie sourit à la vue de son voisin. Elle lui demanda :
- Bonjour, que vous arrive t'il ?
- Heuu, bonjour, j'ai un problème avec mon téléphone fixe. Je voudrais savoir si ça marche chez vous avant d'appeler la compagnie de télécom.
Coralie ne fut pas vraiment dupe de ce prétexte cousu de fil blanc. Son cochon de voisin avait du la mater comme à son habitude et cette fois il se décidait à venir. Elle pensa :
- Après tout, voila un bon moyen de passer l'après-midi. Ce mec n'est pas si mal que ça pour cinquante ans. Il doit être chaud comme une braise depuis le temps qu'il me regarde et puis moi aussi, j'allais presque me faire jouir. J'ai la chatte en feu'
Coralie ouvrit le portail en lui faisant un sourire enjôleur.
- Entrez, suivez moi, on va vérifier tout de suite.
Antoine suivit Coralie vers l'intérieur de la maison. Il n'arrivait pas à détacher son regard de la croupe qui ondulait devant lui. Son érection repartit et c'est avec un arbre dans son pantalon qu'il entra dans le salon.
Coralie lui proposa de s'asseoir. Antoine accepta avec plaisir. Plus il prolongeait son tête à tête avec sa jeune voisine, plus il augmentait ses chances de parvenir à son objectif. Coralie s'approcha du téléphone et le décrocha. Elle constata qu'il y avait bien une tonalité. Dans ses mouvements, sa ceinture s'était légèrement détendue et les deux pans du peignoir se rejoignaient à peine, laissant deviner son entrejambe. Antoine avait les yeux qui lui sortaient de la tête et il ne pouvait pas détourner son regard de ce filet de peau nue qui partait de la gorge de Coralie et descendait jusqu'à ses genoux.
- Ça à l'air de marcher ici. Il y a de la tonalité. Le problème doit venir de chez vous.
- Bien dans ce cas, je vais voir comment je peux me faire dépanner.
- Vous êtes si pressé que cela ? Vous prendrez bien quelque chose à boire ?
- Humm, Volontiers. C'est vrai que si j'ai besoin, j'ai mon portable. Vous avez du Coca ?
- Du Coca, oui il y en a au frigo. Je reviens.
Coralie partit vers la cuisine en roulant des hanches. Elle prit deux bouteilles de Coca et revint dans le salon. En se penchant devant Antoine pour lui tendre le soda, son peignoir s'ouvrit complètement car elle n'avait pas prit la peine de re-ajuster sa ceinture. Antoine avait maintenant devant ses yeux, le corps qu'il avait maintes fois admiré de loin. Dans un mouvement incontrôlé, sa main se glissa entre les cuisses de Coralie.
- Hé, là. Tu es bien entreprenant tout d'un coup. D'habitude tu te contentes de me mater à travers ta haie. Lui dit Coralie d'un ton faussement fâché mais sans pour cela faire quoi que se soit pour écarter la main de sa cuisse.
- Excuses moi. Mais tu es si belle. C'est vrai que je te regarde depuis longtemps. Bredouilla Antoine en retirant sa main prestement.
- Je plaisante. Tu sais ça m'excite de m'exhiber et de faire bander les mecs.
Coralie s'agenouilla devant lui et lui ouvrit sa braguette. Glissant sa main par l'ouverture, elle sortit sa queue gonflée et sans autre forme de procès, la suça.
Antoine n'en revenait pas. Cette petite salope, qu'il espionnait depuis des mois, qu'il filmait avec son caméscope à travers la haie, qui le faisait bander et l'excitait au point de se branler devant sa télé, était en train de lui faire une pipe divine, digne d'une professionnelle. Pendant que Coralie le suçait, Antoine quitta son tee-shirt et fit glisser son jean et son slip avec l'aide de Coralie qui gardait son dard en bouche.

Sachant qu'il ne tiendrait pas longtemps sous ce traitement, Antoine fit relever Coralie et l'attira vers lui. Il lui mordilla les seins tout en lui mettant un doigt dans sa chatte détrempée. Coralie gémit de plaisir et s'empala sur le dard dressé de son voisin. Elle s'agitait de haut en bas, se laissait retomber brutalement sur les cuisses d'Antoine, absorbant dans son antre ce chibre qui la remplissait. Antoine l'aidait dans cette man'uvre de ses deux mains sous ses fesses. Coralie se caressait le clitoris pendant qu'Antoine continuait de mordre ses mamelons dressés. Coralie jouit en gémissant et en s'enfonçant de plus en plus violemment. Antoine se laissa aller et libéra sa propre jouissance qu'il avait réussi à contenir. Les deux amants s'écroulèrent ensuite sur le canapé avec des soupirs qui marquait leur assouvissement.

Coralie fut la première à rompre le silence :
- Putain, ça fait du bien. C'est mieux qu'une branlette, tu ne trouves pas ?
- C'est sur, pourtant j'en suis réduit à ça depuis un moment.
- C'est dommage parce que tu baises pas mal. Et tu es plutôt bien conservé.
- Merci. Répliqua Antoine en rougissant un peu sous les compliments.
Coralie se lova dans les bras d'Antoine pendant que celui?ci se désaltérait en buvant quelques gorgées au goulot de sa bouteille. Tout en continuant de bavarder, Coralie jouait avec la bite d'Antoine qui commençait à reprendre de la vigueur. Elle se pencha enfin et le suça une deuxième fois. Elle aimait par-dessus tout trouver le goût de son propre sexe sur la queue qui venait de la faire jouir. Elle le pompait activement et la queue d'Antoine reprit sa belle rigidité. Il laissa faire Coralie, sa résistance augmentée après une première jouissance, il savait qu'il pouvait se contenir assez longtemps. Il en profita pour caresser doucement le corps de la jeune fille. Il pelota ses belles fesses et se risqua à glisser un doigt dans la vallée entre les deux globes ronds et dorés. Coralie ne protesta pas et encouragea Antoine a aller plus loin en accélérant les mouvements de fellation.

Antoine s'enhardit à masser doucement son oeillet de son doigt lubrifié de mouille. Coralie gémit et enfonça la queue d'Antoine au fond de sa gorge.
Celui-ci continua, enfonça une phalange, puis deux dans le cul de Coralie. Il lubrifiait fréquemment son doigt avec la mouille qui coulait de la chatte de la jeune fille.
Coralie gémissait de bonheur, d'autant plus qu'ayant une main de libre elle en profitait pour se caresser.

Antoine l'écarta pour la faire mettre à genou sur le canapé, les coudes appuyés sur le dossier. Il se mit derrière elle et la pris en levrette. Deux ou trois allers-retour pour lubrifier son pieu dans la chatte détrempée de Coralie et il la sodomisa d'un seul coup de reins. Coralie émit un râle de plaisir. Elle adorait se faire enculer, et surtout sans trop de ménagement. Elle aimait sentir son anneau se dilater sous la poussée d'un chibre, se sentir remplie par son petit trou.

Antoine lui imprimait des mouvements de va-et-vient réguliers tout en lui caressant les seins et le clitoris. Coralie gémissait de plus en plus fort, elle encourageait son amant en des termes grossiers et crus qui l'excitait elle plus que lui :
- Hooo, oui, baise moi fort comme ça, salaud. Encule moi comme une salope. Tu me fais jouir, cochon.
Antoine sentit les sphincters de Coralie masser violemment sa queue avant que n'explose son orgasme. Elle jouit en criant son plaisir et son corps fut secoué par les spasmes du plaisir.
Bien cramponné aux hanches de Coralie, Antoine n'avait pas arrêté son pilonnage régulier. Au contraire, Il accélérait la cadence sentant lui aussi son plaisir tout proche. Coralie jouit longtemps, gémit continuellement sous les coups de boutoir d'Antoine, jusqu'à ce que de puissants jets de sperme jaillissent de sa queue au plus profond d'elle-même.

Après ces deux explosions de plaisir, l'un et l'autre étaient assouvis. Ils reprenait tranquillement leurs esprits en sirotant leur soda. Coralie rompit le silence qui s'était installé depuis de longues minutes :
- Dis donc, tu m'as bien dit que tu étais seul, que tu n'avais pas de femme ?
- C'est vrai depuis que ma femme s'est barrée au début de l'année, je vis seul. Au début, je me suis payé des putes mais ça coûte cher et c'est pas vraiment bien. Tu te vides les couilles, c'est tout. Ni plus, ni moins qu'une branlette.
- Ouais, mon cochon, surtout quand tu te branlais en me regardant à travers la haie, Hein ?
- C'est sur que je me suis bien branlé en te regardant. Maintenant je peux bien t'avouer que je t'ai filmée aussi et je me branlais le soir devant ma télé.
- Ah, d'accord' Mais tu comptes rester seul ?
- Non, je vais essayer de chercher. Je sais bien qu'avec toi, c'est juste pour tirer un coup comme ça, mais entre nous ça n'ira pas plus loin. N'empêche que c'était vachement bien, tu es vraiment une belle cochonne et j'aimerais bien trouver une nana qui soit aussi cochonne que toi.
- Hummmm, je peux peut-être t'aider?.
- Comment ça, tu connais une femme de mon âge qui serait prête à?
- Peut-être ! Puisque tu as l'habitude de regarder à travers la haie, est-ce que tu te souviens de la jeune femme qui a passé le mois de juillet ici.
- Oui, bien-sur. La première fois vous vous êtes caressées au bord de la piscine. Ensuite vous baisiez pratiquement tous les soirs. J'ai une collection impressionnante de vidéos de vous deux en train de vous gouiner. Mais attends, je veux une femme qui aime les hommes'
- Rassures-toi, elle est comme moi, elle est bi. Et si tu acceptes de la partager, ça pourrait marcher.
- Pour la partager avec une fille ou même avec un mec pas de problème. Je ne demande pas l'exclusivité mais je demande que ça soit réciproque.
- OK. Tu veux qu'on essaie.
- D'accord.
Sans prendre la peine de se couvrir, Coralie se leva pour prendre son téléphone portable et revint s'asseoir à coté de Antoine. Elle composa le numéro d'Hélène et mit le haut-parleur en indiquant à Antoine de ne pas se manifester.
- Allo, Hélène, c'est Coralie. Tu vas bien
- Ahh, Coralie, ma chérie, ça va et toi ?
Une conversation s'engagea entre les deux femmes que Antoine écouta d'une oreille distraite.
Au bout de quelques minutes, Coralie demanda :
- Qu'est-ce que tu fais ce soir ? Tu es libre ?
- Je n'ai rien de prévu de particulier. Damien n'est pas là et je pensais aller au ciné.
- Et si je venais chez toi ?
- Super. J'ai très envie de te voir et de passer un bon moment avec toi.
- D'accord mais ne t'occupe de rien, je passerai chez le traiteur et on fera la dînette dans ton salon.
- Parfait, mais je vais quand même mettre une bouteille de Sancerre au frais.
- Ahhh, j'allais oublier, j'ai une petite surprise pour toi.
- Une surprise ? Qu'est-ce que tu as encore été imaginé ? Tes surprises sont toujours d'une rare perversité, qu'est-ce que tu mijotes encore ?
- Tu verras ! Si je te le dis ça n'est plus une surprise.
- Bon, d'accord je m'attends au pire mais comme d'habitude ce sera délicieux.
- Absolument, enfin j'espère que ça te plaira. Au revoir, ma chérie à ce soir vers vingt heures.
Coralie raccrocha et se tourna vers Antoine :
- Et voila. Je n'aurais jamais pensé qu'un jour je jouerais les marieuses.
- Attends, ce n'est pas gagné. Il faut encore que je plaise à ta copine.
- C'est vrai mais je ne me fais pas trop de souci. Tu es le genre de mec qui devrait lui plaire. Bon tu seras prêt vers sept heures et demi. Je vais commander chez le traiteur et on y passera en allant chez Hélène.
A l'heure convenue, Antoine sonnait à nouveau au portail. Coralie ouvrit le portail et sortit sa voiture. Antoine s'était préparé avec soin. Coralie se fit la remarque que malgré ses cinquante ans il était très séduisant.

Une demi-heure plus tard, ils sonnaient à la porte de la maison d'Hélène, les bras chargés du repas qu'ils avaient pris chez le traiteur. Hélène ouvrit la porte, tout sourire mais son sourire disparut quand elle vit Antoine en retrait derrière son amie.
Elle s'attendait à revoir Kevin avec Coralie comme pour la dernière soirée qu'elle avait passée avec elle en juillet dernier. Elle s'était réjouie de passer encore une soirée avec ces jeunes gens plein de vigueur. Au lieu de cela, c'était un homme mûr qui accompagnait Coralie. Certes il était séduisant, mais Hélène était tout simplement surprise car elle avait imaginé tout autre chose.
Elle s'effaça pour laisser entrer ses visiteurs et les conduisit au salon. Elle invita Antoine à s'asseoir après l'avoir débarrassé des sacs du traiteur. Elle se dirigea ensuite dans la cuisine pour mettre tout cela au frais. Coralie l'accompagna. Elle demanda à Hélène :
- Alors qu'est-ce que tu penses d'Antoine ?
- Il est pas mal. Mais tu sais je m'attendais à ce que tu viennes avec Kevin. Je suis un peu surprise. Comment tu l'as trouvé ? Tu as couché avec lui ?
- Oui, on a baisé ensemble cet aprem'. J'ai pensé qu'il te plairait et c'est pour ça que je l'ai invité. Je suis sure qu'il ferait un compagnon idéal pour toi.
- Mais tu veux absolument me caser. Bon c'est vrai qu'une fois la surprise passée, je le trouve pas mal du tout et en plus il est de mon age. Après tout pourquoi pas ! On verra bien. Tu lui as parlé de ton projet ?
- Ouais, et il avait l'air emballé.
- Comment il pouvait être emballé, il ne m'avait jamais vue. Au fait, tu ne m'as pas dit ou tu l'avais déniché.
- Tu vas comprendre. Antoine est mon voisin et?
- Ton voisin ! Celui qui nous regardait derrière ses arbres !
- Exact.
- Tu es complètement folle, il doit me prendre pour une salope.
- Il ne m'a pas dit ça. En tout cas, il a l'air d'apprécier tout ce qu'il a vu de toi. Et après tout qu'est ce que tu risques ? S'il ne veut pas aller plus loin, au pire nous aurons passé tous les trois un moment agréable.
- ? Tu as raison. J'adore ta façon de simplifier les choses et de prendre tout du bon coté. Conclut Hélène après quelques secondes de réflexion.
Les deux filles revinrent dans le salon, les bras chargés de boissons et de petits gâteaux. Hélène servit l'apéritif. Et la conversation s'engagea rapidement autour de banalités. Les trois convives poursuivirent par le dîner japonais fait de sushi qu'ils accompagnèrent de la bouteille de vin qu'Hélène avait mise au frais. Après le café, Coralie prit les choses en main. Hélène était assise à coté d'elle et en faisant un clin d'oeil en direction d'Antoine, elle passa un bras autour du cou de la jeune femme et posa son autre main sur sa cuisse. Hélène tourna son visage vers Coralie et leurs lèvres se rejoignirent. La main de Coralie glissa, entraînant avec elle la robe d'Hélène découvrant ses cuisses jusqu'à son pubis recouvert de fine dentelle.
Hélène écarta les cuisses, ouvrant le passage vers son intimité. Coralie introduisit ses doigts sous le boxer et commença à caresser son sexe déjà inondé.

Antoine avait été pris d'une érection violente dès que les deux filles avaient commencé à s'embrasser. Maintenant qu'elles étaient nues toutes les deux et que les caresses qu'elles se donnaient leur arrachaient des gémissements de plaisir, il ne tenait plus. Il ouvrit sa braguette et en sortit sa queue gonflée et commença à se branler doucement. Ces deux chattes en chaleur qui se pelotaient, se suçaient devant ses yeux le rendait fou de désir.

Coralie et Hélène voyant dans quel état était le pauvre Antoine se ruèrent sur lui pour sucer son dard. Elles prenaient sa queue alternativement dans leur bouche, agaçait le gland violacé de la pointe de leur langue puis passait le flambeau à l'autre. A ce petit jeu, Antoine ne pouvait tenir longtemps malgré toute la science de la fellation que les deux filles déployaient.
Sentant les prémices d'un orgasme tout proche, Hélène pompa fortement Antoine jusqu'à ce qu'il se vide en de longs traits de sperme dans sa bouche.
Les deux filles n'étaient pas rassasiées pour autant et elles se lancèrent ensuite dans un corps à corps tendre sur le tapis du salon. Elles finirent par se faire jouir mutuellement dans un joli 69 qui redonna toute sa vigueur à Antoine.

Hélène après avoir repris ses esprits, leur proposa de continuer dans sa chambre. Coralie s'allongea sur le lit pendant qu'Hélène qui avait conduit Antoine par la main, le déshabillait en l'embrassant. Coralie sourit de voir ses deux amis se comporter comme un vieux couple. Hélène s'allongea à coté de Coralie et Antoine à coté d'Hélène.

Hélène subissait les assauts tendres et érotiques de Coralie et d'Antoine en gémissant de plaisir et en se tortillant pour offrir son corps à ces deux amants qui lui dispensaient force caresses de leurs mains et de leur bouche. Hélène commença à perdre pied, les ondes de plaisir et de chaleur montait de son ventre et envahissaient par vagues successives l'ensemble de son corps. Antoine s'allongea sur la jeune femme, et Coralie, dans un geste d'une tendresse infinie, prit dans sa main son sexe gonflé et dur et le dirigea vers la chatte d'Hélène sans cesser de l'embrasser. Antoine donna un lent coup de reins et Hélène sentit sa queue conquérante pénétrer son ventre, dilater doucement ses chairs intimes pour venir buter sur le fond de sa grotte inondée. Aussitôt, elle noua ses jambes sur les reins d'Antoine qui se retirait pour mieux revenir et arracher à sa maîtresse de longs soupirs de plaisir d'être ainsi labourée.

Coralie quitta le lit doucement, adressa un petit signe à Hélène qui, malgré la semi inconscience de son plaisir approchant, lui adressa un large sourire et tendit ses lèvres en un petit bisou en l'air.
Coralie se vêtit dans le salon, récupérant ses vêtements éparpillés et rentra chez elle, satisfaite du devoir accompli. Elle ne savait pas encore ce qu'il adviendrait de l'histoire entre Hélène et Antoine mais la chose semblait bien engagée.

Le surlendemain, en fin d'après-midi, Hélène appela Coralie au téléphone. Elle lui raconta qu'elle avait gardé Antoine chez elle tout le dimanche, qu'ils avaient fait l'amour toute la journée. Elle décrivait Antoine comme un amant merveilleux, plein de douceur, fougueux et tendre à la fois. Hélène ne tarissait pas d'éloge et remercia mille fois Coralie de lui avoir présenté son voisin. Quand le flot de paroles d'Hélène se ralentit, Coralie réussit à placer :
- Hé, là ma vieille, tu serais pas en train de tomber amoureuse ?
- Peut-être, en tout ça fait bien longtemps, que je ne me suis pas sentie aussi bien avec un homme et pas seulement au lit. On a baisé comme des bêtes toute la journée mais on a aussi pas mal parlé. Et? Et il me plait beaucoup. Tu as peut-être raison' Mais bon on verra. Je te tiens au courant. A bientôt, ma chérie, je te rappelle.
Dans les semaines qui suivirent, Hélène tint Coralie au courant de l'évolution de son histoire avec Antoine. En janvier suivant, elle lui annonça qu'elle allait vivre avec Antoine et elle invita Coralie à une petite fête entre eux trois pour arroser cela.

Le samedi suivant, Coralie se présentait chez Antoine. Ses deux amis l'accueillirent avec joie.

Hélène et Antoine avaient mis les petits plats dans les grands et c'est un véritable festin que les trois amis dégustèrent ensemble dans une ambiance joyeuse. A aucun moment, ni Hélène, ni Antoine ne firent d'allusion aux relations qu'ils avaient eues avec Coralie. Celle-ci pensait qu'ils avaient décidé de ne plus baiser avec elle. Même si cela la rendait un peu triste de perdre deux amants, elle gardait les amis et cela atténuait sa tristesse. Pourtant elle trouvait ce soir Hélène très séduisante. A la fin du repas, après un café, alors que la soirée avançait et la conversation tournait un peu en rond, Hélène dit :
- Au fait, ma chérie, tu sais qu'Antoine a fait quelques transformations dans son sous-sol. Viens il faut que l'on te montre ça.
Hélène et Antoine entraînèrent alors Coralie dans le sous-sol. Au moment d'ouvrir une porte, Hélène ajouta d'un air mystérieux :
- Antoine a aménagé une chambre ici. Et devant l'air un peu étonné de Coralie qui ne comprenait pas ce qu'une simple chambre pouvait avoir de si intéressant et qui se demandait pourquoi une chambre de plus alors que la maison d'Antoine était suffisamment grande pour eux deux, elle ajouta : En fait c'est une chambre un peu spéciale et qui? Enfin' Bon tu vas voir.
Elle déverrouilla la porte et fit entrer Coralie, étonnée, suivie d'Antoine avant d'entrer à son tour.

La chambre en question était presque totalement occupée par un grand lit à baldaquins. Des rideaux en tulle blancs étaient accrochés aux montants qui soutenaient le ciel de lit. En s'approchant un peu, Coralie remarqua que le dessous du ciel de lit était fait d'un gigantesque miroir de même que la tête de lit. Le mobilier, deux fauteuils était en velours rouge sombre comme le tour de lit et les tentures qui habillaient les poteaux du baldaquin. Sur une commode ancienne, brûlait de l'encens parfumé au jasmin, les murs blancs étaient décorés de reproduction d'estampes japonaises représentant des scènes érotiques. Des lampes de chevets avec des abats jours en perles, ainsi que les appliques coordonnées diffusait une lumière orangée. Lupanar, fut le terme qui vint à l'esprit de Coralie pour qualifier ce qu'elle découvrait.

Hélène expliqua :
- Voila, Antoine a créé ce petit nid d'amour pour nous, et pour toi en particulier. C'est sympa qu'en penses-tu ? On va pouvoir passer des moments super ici tous les trois.
Antoine ajouta en saisissant Coralie par la taille :
- Alors, ma belle, que penses-tu de ce baisodrome ? C'est kitch mais on l'a fait exprès, Hélène voulait donner ce style que l'on trouvait dans les bordels d'autrefois.
- C'est vrai que c'est kitch, mais c'est très sympa. Cette ambiance de bordel me plait bien. Coralie ajouta, provocante : Mais pour faire un bordel digne de ce nom, il n'y a pas que la déco, il faut aussi des putains. Où sont les putains ?
- Mais c'est toi la putain. Tu vas faire la putain pour Antoine et je serais la maquerelle si tu veux bien. D'ailleurs, mon chéri, tu devrais aller t'asseoir sur un fauteuil et nous dire ce que tu attends de nous. Répondit Hélène.
Après s'être assis confortablement, Antoine donna ses ordres :
- Je pense qu'il faudrait dévêtir cette jeune putain, ma chérie. Et ensuite tu feras ce que nous avons décidé, j'espère que cela plaira à notre amie.
Hélène retira les vêtements de Coralie. Elle l'entraîna sur le lit et la fit se mettre à genou au milieu de la couche. Puis elle dégagea de dessous le ciel de lit, deux sangles avec lesquelles elle lia les poignets de Coralie. Coralie contempla son reflet dans le miroir en face d'elle et elle se trouva excitée de sa propre image. Elle se voyait ainsi, agenouillée sur le lit, les bras en l'air maintenus par les sangles, soumise aux désirs de ses deux amis qui se déshabillaient derrière elle. Elle regarda Antoine s'approcher d'elle par derrière, le sexe dardé vers le sien. Il la pénétra doucement, dilatant son vagin inondé, lui arrachant un soupir d'aise. Puis la tenant par les hanches, il la fit coulisser d'avant en arrière sur son dard. Hélène se glissa alors entre les cuisses écartées de son amie et entreprit de la sucer tout en se caressant. Coralie subissait les assauts de ses deux amis en gémissant. La queue d'Antoine faisait des aller retours dans sa grotte, la langue d'Hélène agaçait son clitoris gonflé de désir et elle avait devant les yeux le spectacle de sa propre soumission aux désirs de ses deux amis et elle voyait sur son propre visage l'expression du plaisir qu'ils lui donnaient. Son orgasme arriva brutalement, elle l'accueillit en poussant un râle sortit du plus profond de sa gorge et tout son corps trembla du plaisir intense qui la submergeait. Antoine accéléra ses coups de reins jusqu'à ce que Coralie reçoive les jets puissants de son sperme au fond de son ventre. Excitée par les manifestations du plaisir d'Antoine et de Coralie, Hélène se fit jouir aussi en se branlant furieusement la chatte.

Antoine détacha Coralie et les trois amants récupérèrent un peu en buvant une coupe champagne et en discutant joyeusement. Hélène et Coralie qui était assises sur le lit, recommencèrent à se caresser, doucement. Les effleurements légers du début se transformèrent rapidement en caresses plus intenses. L'excitation de leur orgasme précédent n'avait pas eu le temps de retomber et bientôt des gémissements de plaisir s'échappèrent de leurs bouches. Hélène se leva pour prendre un gode ceinture dans un tiroir de la commode. Elle allait le passer quand Coralie lui arracha des mains et la renversa sur le lit. Un simulacre de pugilat s'ensuivit, ponctués de gloussements et d'éclats de rire. Coralie en sortit vainqueur. Elle avait remarqué que des sangles, semblables à celles qui l'avaient entravé, étaient fixées au quatre coins du lit et elle s'en servit pour immobiliser son amie, bras et jambes en croix.
Hélène protesta :
- Coralie, qu'est-ce que tu fais ? Antoine, mon chéri, vient me délivrer.
- Ah non, je ne veux pas me mêler de vos histoires. Débrouillez vous toutes les deux. Répondit Antoine en riant. Je préfère te regarder te faire baiser par ta copine.
- Salaud, je vais me faire violer et tu ne trouves rien d'autre à dire.
- Entre nous, ma chérie, si toutes les femmes violées étaient aussi consentantes que toi en ce moment, il n'y aurait rien de dramatique.
Pendant ce temps, Coralie avait passé le gode ceinture et s'était allongée entre les jambes de son amie. Le gros objet s'enfonça doucement dans la chatte d'Hélène qui gémit de plaisir de recevoir ce gros chibre en plastique dans son ventre.

Antoine avait rejoint les deux filles sur le lit. Il caressait Hélène et Coralie alternativement, appuyant sur les fesses de celle-ci, lui imposant la cadence de ses coups de reins qu'elle donnait. Sa vigueur était totalement revenue. Sa main s'attarda sur les fesses rondes de Coralie, son doigt glissa entre les deux globes, se lubrifia à la chatte de celle-ci. Il commença à caresser du bout de son doigt humide la rosette de Coralie qui écarta les jambes pour lui faciliter la tache. Antoine alla prendre un flacon de gel lubrifiant dans la commode et en répandit une bonne dose sur le petit trou de Coralie avant d'en parfaire la lubrification en la pénétrant avec son doigt. Il lubrifia sa queue redevenue totalement rigide d'un peu de gel et s'allongea sur Coralie. Antoine la sodomisa doucement, provocant un gémissement de plaisir.

Hélène, qui avait fermé les yeux, pour mieux goûter au plaisir de se faire baiser, sentit un poids inhabituel et entendit le gémissement de son amie. Elle ouvrit les yeux, vit le visage d'Antoine derrière la tête de Coralie.
Elle sourit à son homme, qui accéléra la cadence de ses coups de reins, provoquant un enfoncement supplémentaire du gode dans le ventre d'Hélène.

Les gémissements, les gloussements de plaisir des trois amants allèrent crescendo jusqu'à ce qu'ils arrivent simultanément au plaisir, qui secoua leur corps et arracha des cris et des râles de leur gorge.

Ils terminèrent la soirée ainsi et s'endormirent tout les trois épuisés de plaisir.