Vive les boules de geisha

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Proposée le 30/10/2010 par Paul P

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De toujours, j'aime les peaux, les peaux lisses, les peaux fines, imberbes de préférence. Un joli grain de peau me fait chavirer, si les yeux sont clairs, je ne réponds plus de rien. Le genre latin, poilu, ce n'est pas ma tasse de thé. Les machos qui tirent leur coup en dix minutes, les bons jours, et vous disent « Alors heureuse chérie ? » avant de s'endormir et se vantent auprès des copains de leurs exploits, sans moi.
J'aime les hommes, les hommes sensuels, les discrets aux yeux gourmands, ce sont ceux-là les bons coups.

J'ai eu cette révélation vers les vingt et un ans, à l'époque pas de câble et les pornos n'étaient accessibles que dans les salles spécialisées, pas fréquentable pour une fille un peu coincée, mais à l'imagination fertile, de la petite bourgeoisie parisienne du boulevard de Courcelles. Les quelques photos regardées en douce dans Union, magasine planqué par mon beau-père, avaient éveillé ma sexualité d'adolescente mal dans sa peau. malheureusement je n'avais que mes doigts pour calmer mes ardeurs, je n'étais pas mal habile, mais avec le recul que de temps gagné si j'avais eu à ma disposition les si pratiques et astucieux sextoys que l'on peut trouver si facilement de nos jours.

Un après-midi sur une ligne de métro que je fréquentais exceptionnellement, s'assied en face de moi un garçon sublimissime, vingt-cinq - trente ans. Cheveux auburn ni court ni long, une peau soignée, un maquillage peut-être, des vêtements chics et décontractés, pieds nus dans des mocassins de qualité, bref beau comme un dieu. Un coup de c'ur esthétique comme devant une ?uvre d'art. Je ne baissais les yeux que quand il cessa de regarder l'extérieur. Je sentis une jambe venir s'appuyer contre la mienne, nous étions contre la fenêtre difficile d'échapper à ce délicieux contact sans passer pour une coincée frigide. Pour une fois j'étais contente d'avoir d'aussi grandes jambes, la surface de contact était en proportion. J'étais divinement bien, nous n'avions pas échangé un regard. La pression de sa jambe changeait en fonction des mouvements de la rame. J'ai laissé passer mon changement. Trois arrêts plus tard, il bougea et se leva, je vis une main se tendre devant moi, j'ai levé les yeux. Le sourire était irrésistible, je l'ai suivi avec une facilité qui m'étonne encore. Le sida ne faisait son apparition que dans des cercles très restreints, mai 68 et la pilule nous permettait une grande insouciance.
Son appartement était à l'image de son propriétaire élégant et propre avec juste ce qu'il faut de désordre à l'antre d'un célibataire.

Passé l'entrée, il me fit face. Je me suis retrouvée dos à un mur, une main prisonnière entre ses doigts plaquée en l'air. Il a suivi le tour de mon visage du dos des doigts, je fermais les yeux pour mieux en profiter, la tête suivant le mouvement de sa main. Tous ses gestes étaient emprunts de sensualité, il était souriant et silencieux.
Dès mes premiers flirts, j'ai adoré les mots du corps et détesté les bavardages, je ne suis pas une grande amoureuse. Il me plaisait de plus en plus.
J'ai déboutonné sa chemise avec un peu trop d'impatience de ma main libre, il a ralenti mes gestes avec autorité, son torse était plus musclé que l'apparence citadine ne le laissait supposer.
Sa peau soyeuse attirait mes doigts et mes lèvres, aussi sûrement que le nord magnétique attire l'aiguille de la boussole. Il sentait bon, Habit Rouge, je me souviens encore du goût de sa peau. Son corps réagissait merveilleusement, ses tétons durcissaient et pointaient sous ma bouche comme ceux d'une fille, je découvrais son corps avec délice. Son sexe, déjà bien bandé quand je le déballais de ces linges, était d'honnête taille, le gland charnu, bien dessiné et la hampe présentait une belle cannelure.
Je posais le bout de l'index sur le méat en m'agenouillant, puis posais mes lèvres avec légèreté tout le long de la tige, j'inclinai la tige pour atteindre toutes les zones. Il gémissait doucement, une main fourrageant dans l'épaisseur de mes cheveux. La tige vibrait sous ma langue et les afflux de sang, j'ai joué ainsi un bon moment, de temps en temps mes lèvres allaient faire une petite visite aux deux orphelines. Son corps était tendu comme un arc, à aucun moment il ne chercha à se faire prendre en bouche. Il attendit que je me lasse, ensuite il se débarrassa de ses vêtements très vite et vint dans mon dos, il m'enleva mon pull et mon caraco puis mon soutien-gorge libérant un à un mes seins.
Je sentais sa verge battre contre mes reins, il m'avait appuyée contre son torse, la paume de sa main effleurant la pointe de mes seins, il me rendit folle, j'essayais bien d'avoir un contact plus important en avançant, mais il me tenait contre lui fermement. En attendant que mon c'ur décélère, il m'embrassait la nuque, les épaules, mordillait mes oreilles, mes lèvres gouttèrent les siennes pour la première fois. J'étais dans un tel état qu'une fine pellicule de sueur couvrit tout mon corps, ce fut pour lui le signal pour passer au plat suivant.
Ses mains prirent possession de mes seins, gros et lourds, il apprécia, en bas sa queue s'agitait comme si elle avait une vie propre. J'essayais de glisser une main dans mon dos pour aller lui tenir compagnie, mais il refusa. Une main descendit le long de mon ventre jusqu'à mon entrejambe et le caressa au travers de mon jean. Il le déboutonna et glissa ses doigts à l'intérieur, le tissu était trop tendu pour qu'il puisse descendre en dessous du bouton magique. Il a baissé mon pantalon, mes chaussures et mon jean ont volés sur le sol. Il a souri en caressant mes pieds nus, j'ai horreur des chaussettes et entre plus des collants une abomination, en jupe les bas sont de rigueur.
Sa bouche est venue téter et lécher mes seins, les pointes étaient hypersensibles, je gémissais sans retenue. Une main s'est faufilée entre mes cuisses, son pouce s'est occupé du petit bouton tandis que l'index et le majeur mesurait le degré d'humidité de ma mouillure. J'étais au bord de la jouissance, il a arrêté et m'a repoussé pour me tourner vers lui. Il a baissé ma tête vers sa virilité. Une goutte y perlait au sommet, je m'en délectais avant de le prendre en bouche. Ma langue suivait toutes les courbes de son gland sans précipitation, mes doigts sur sa hampe. Quand je sentais la verge commencer à vibrer, ma bouche s'ouvrait et je le repoussais par les hanches à quelques centimètres me contentant de souffler sur le membre congestionné en attendant que son excitation redescende. Je le reprenais en bouche, mes mains partaient caresser ses fesses rebondies et ses cuisses, ses muscles étaient durs, d'un ongle je remontais l'arrière de la cuisse jusqu'aux fossettes de ses reins. Voyant que je n'allais pas plus loin, il passa une main sur une des miennes et guida mon majeur entre les lobes serrés, au contact du bout de mon doigt sur sa rosette, ils s'ouvrirent. Prudent, il remonta ma main à ses lèvres et mouilla mes doigts de sa salive. Mon doigt se fit inquisiteur, ma langue s'immobilisa, je le gardais juste au chaud dans ma bouche, me délectant des réactions que mon doigt provoquait. Quelle découverte ! Il lui fallut de la volonté pour s'arracher de moi et échapper à ma frustration. Il s'est agenouillé devant moi, il s'est glissé entre mes jambes, j'étais toujours accroupie. Il a joué avec son gland sur mon petit bouton, j'en manquais d'air. J'ai cru que jamais il ne me pénètrerait. Une fois en moi, il ne m'a pas donné une seconde de répit, quand il cessait son labourage, son pouce s'acharnait sur mon petit bouton jusqu'à ce qu'il me sente m'ouvrir et dégouliner. Il me maintenait au bord de la jouissance avec une parfaite maitrise. Avec ce traitement je me suis vite épuisé, les deux garçons que j'avais vraiment connus étaient très loin de tenir aussi longtemps. Un doigt mouillé s'est insinué dans ma raie et la première phalange a forcé mon sphincter, elle s'est agitée quand la verge s'est mise à vibrer dans mon ventre. Je n'avais jamais joui aussi longtemps, je ne pensais pas que cela soit possible, c'était une première, mon corps est devenu tout mou. Je ne me suis même pas souvenu comment je me suis retrouvée allongée sur la moquette. Je crois que j'ai mis du temps à redescendre ou peut-être ai-je somnolé directement.

Quand j'ai fini par émerger, il m'a tiré vers sa chambre, sur son lit, il a sorti d'un tiroir des objets dont je ne soupçonnais pas l'existence. Il y avait des godes et des chapelets de boules de différentes tailles. Je n'osais pas les prendre en main, je promenais juste un doigts dessus pour découvrir les textures. Il a pris un gode moyen et a posé une noix de lubrifiant dessus avant de me le donner et de me présenter son appétissant postérieur à genou sur le lit. Il s'écartait lui-même les fesses pour me faciliter la tâche. D'une main hésitante j'ai présenté l'objet, la rosette s'est d'abord serrée avant de s'ouvrir et d'aspirer les premiers centimètres. Divin spectacle. Emoustillée, je me suis enhardie, il gémissait de plaisir, j'ai poussé plus fort. Je lui ai fait mal, sa main a recouvert la mienne et l'a guidée. Je voyais sa queue rebandée qui se soulevait en direction de son ventre, j'ai glissé ma main entre ses cuisses, pas pratique. En me déplaçant sur le côté, je ne perdais rien du spectacle et le pouvait le prendre en main par l'avant. Il s'est offert totalement ses mains agrippant le dessus de lit. Mes dames qui n'avez jamais enculé un homme, vous ne savez pas ce que vous perdez. Quel plaisir ! Il n'y a pas besoin d'être une dominatrice, ni d'être SM, il y a autant de plaisir à en donner qu'à en recevoir, faites en l'expérience vous verrez.
Il m'a arrêté avant de jouir, il m'a tendu un mouchoir pour le gode et s'est lui-même essuyé, rien n'était sale juste un peu huileux. Il s'est assis face à moi et a glissé une main entre mes jambes, j'étais trempée. Quand il a dit « A toi. », j'ai serré les fesses, mais il m'a placé dans la position qu'il venait de quitter avec autorité. Il a choisi le plus petit des godes, m'a préparé patiemment avec son doigt, sans sa dextérité sur mon petit bouton, je ne crois pas que j'aurai supporté la brûlure. Il était habile, petit à petit le plaisir a pris le dessus, je m'ouvrais d'un seul coup, le gode s'enfonça entièrement dans mes entrailles m'arrachant un cri de plaisir. Il le retira et le remplaça par un chapelet, dès qu'une boule était à moitié introduite, mon sphincter l'avalait telle une bouche affamée. Il m'a fait déplacer sur le lit, toujours les fesses en l'air, la mouillure béante, il y a introduit deux doigts et a caressé les boules de l'intérieur juste un aller-retour, divin. Il a préparé un autre chapelet auquel il noué une longue cordelette qu'il a passé derrière un montant du lit avant de s'introduire les boules. L'extrémité de la cordelette était sur le lit à portée de main, il est venu entre mes jambes, je dégoulinais autant de peur que de désir. Il est rentré lentement son gland poussant chaque boule avant de rouler dessus, le plus délicieux des supplices. Il a recommencé jusqu'à ce que je frissonne, mes muscles tétanisés, à chaque fois qu'il ressortait, il tirait le chapelet en arrière pour que la première boule entrebâille ma rosette, m'arrachant des gémissements de plus en plus forts. Il m'a remonté les hanches et s'en crier gare, il m'a pilonné en me tenant fermement par la taille. La jouissance est montée, après la première contraction il a tiré sur mon chapelet en continuant de me déchirer, j'ai hurlé. Son sexe gonflait encore en moi, de la cyprine gicla sur nos cuisses, je sentis le premier jet au fond de mon ventre, il tira sur la cordelette et grogna fort en finissant de se vider, effondré sur moi qui me suis aplatie sous son poids. Des spasmes nous ont encore agité, il était encore dur et refusait d'être mis à la porte. Je n'avais plus de force et dû accepter sa grosseur en moi. Il a mis du temps avant de débander, de glisser hors de mon pauvre ventre et de se laisser retomber sur le dos.

Il dormait quand j'ai refait surface, je me suis levée tremblant sur mes jambes, j'ai pris une douche le plus discrètement possible avant de me rhabiller et de fuir ce merveilleux amant. Mon corps n'aurait pas supporté un troisième round.
J'ai attendu quatre jours avant que les courbatures ne disparaissent complètement et j'ai eu du mal à marcher normalement le lendemain.

Grace à lui, j'ai découvert mes goûts et me suis fait, au fil des ans, une jolie collection de boules de geisha.
Alors mesdames, jetez vos amants bavards et vantards ; testez les hommes complets, ceux qui savent se s'offrir et se faire prendre ou au moins qui en ont fait l'expérience, ils n'en sont que plus virils. Quand on y a goûté, on ne peut plus s'en passer.

Bon test, les curieuses.