Jogging en forêt de montmorency

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Proposée le 5/10/2010 par laure95

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J'ai pris l'habitude de faire un jogging, en fin de soirée, dans la forêt de Montorency. Proche de mon domicile, c'est un rendez-vous fréquent d'hommes en recherche de partenaires masculins. A 40 ans, marié, je n'ai jamais eu d'expérience gay, bien que cela me tente depuis des années. Sous prétexte de jogging vespéral, j'espérais bien avoir cette relation que je n'osais avouer désirer, mais à laquelle je pensais souvent en me caressant... Je trainais un peu dans la voiture, partais doucement en marchant, dans mon short en lycra très moulant, mais les rares personnes qui me suivaient parfois ne correspondaient en rien à mes rêves, et je me lançais dans ma course.

Un soir, au bout de quelques minutes, un autre coureur me rattrape. La quarantaine aussi, plus grand que moi, brun et longiligne. Le genre à hanter mes rêves éveillés à venir... Je m'attends à ce qu'il me dépasse, mais il ralentit à ma hauteur, diminue sa foulée et m'invite à courir avec lui. Au bout de quelques minutes pourtantt, je n'en peux plus ; je pose une main sur son épaule et l'invite à continuer seul. Il s'arrête et me propose de marcher quelques minutes pour me permettre de souffler.

- Tu ne crains pas les mauvaises rencontres, à courir seul le soir dans le coin ?

Je ne vais pas lui avouer de but en blanc que je les recherche...

- Je viens souvent, c'est plutôt calme en fait. Et toi, pas de mauvaise rencontre ?

Il sourit, un blanc, me regarde en riant et répond que non, jamais de mauvaise...

On repart doucement, mais au bout de quelques minutes, je suis à bout de souffle. Re main sur l'épaule ; cette fois, il s'arrête, se tourne vers moi et me soutiens des deux mains. C'est ambigu... Aide à la respiration, tentative de rapprochement ? La tête proche de son épaule, je souffle, et appuyé contre lui, je me mets à bander à son contact. Il le sent ; ses mains quittent me épaules pour mes fesses ; je le regarde et nos bouches se trouvent. Ma main cherche son sexe par dessus son short, le trouve en érection également. Je le caresse ainsi, tandis que nos langues se goutent.

- Je te fais bander, je lui demande en le caressant, la voix un peu chevrotante entre l'excitation et la course

- Putain, oui ; en te rattrapant, de dos, je ne voyais que ton cul qui m'invitait à te rejoindre...

Il me prend la main, m'invite à quitter le chemin pour un coin herbeux. Debout côte à côte, il fait glisser mon vêtement ; ma main s'est glissé dans son short, et je le branle doucement, puis le déshabille aussi. Nus l'un contre l'aute, nos sexes durcis se caressent, il me presse le cul, me retourne et se caresse doucement contre ma raie, en me branlant en même temps. J'adore, retourne la tête pour chercher sa bouche... Sa queue contre ma raie, sa bouche en moi et sa main qui me branle fermement, c'est trop... J'explose dans sa main, et m'arrose le ventre de sperme.

Je m'agenouille alors, et entreprends de le lécher ; mon premier mec. Je lui lèche les boules en le branlant, puis prend possession de son sexe dans ma bouche. Je m'applique, un peu maladroit ; il saisit ma tête à deux mains, me guide, m'invite à me faire plus profond, à accélérer le mouvement. Il gémit, me repousse et me gicle sur le visage, et finit de se caresser contre ma joue.

On se rhabille, je ne sais pas trop quoi dire... J'ai très envie de découvrir d'autres choses avec lui... Il me sourit enfin.

- La semaine prochaine, même jour même heure, ça te dit ?

- Oui, bien-sûr

A la semaine prochaine alors, me dit-il en reprenant sa course...