Ma maîtresse au club échangiste (part4)

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Proposée le 11/09/2010 par pattedevelours59

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Vous pouvez commencer par lire le chapitre précédent.

A présent, chacun se remet de ses émotions. Juliette encore un peu groggy, me sourit et essuie son corps d'une serviette douce et moelleuse.
Florence, déjà d'attaque déclare :
- Maintenant, une bonne douche nous ferait le plus grand bien.
- Oh oui, bonne idée répond Juliette, je suis toute collante ! J'avais jamais reçu autant de jus d'un seul coup !
- Alors, ça t'a plu dirait-on ? Demande Florence à sa complice.
- Ça oui ! Sensations fortes garanties ! C'est quelque chose ce Max...
J'ai vu que vous ne vous êtes pas ennuyés non-plus, ajoute-t-elle mutine. ;)
- Mmmh, tu l'as dit, Damien est en pleine forme, répond Florence, feignant de soulager ses fesses comme si elles étaient endolories. :)
Je dis "comme si" car je parie qu'elle est déjà prête à remettre ça !
Nous nous rhabillons et quittons la salle. D'autres hommes et femmes arrivent qui se préparent à d'autres ébats; Déjà deux hôtesses sont là pour effacer toute trace de notre débauche. Elles ont fort à faire: la table et le sol sont parsemés de gouttes suspectes et de trainées opalescentes blanchâtres. Elles ne semblent pas affectées pour autant et, avec de petits rires, échangent des commentaires coquins sur les participants. Bien qu'elles chuchotent, quelques bribes me parviennent parmi lesquelles je perçois  "Max" et "Juju". Je pense que cette petite séance va faire des gorges chaudes pendant un moment et que ma Juju vient de se tailler une belle réputation... Puis, lorsque l'une d'elles commence à nettoyer la partie la plus arrosée de la table et ses alentours, je comprends qu'elle devine que c'est là l'endroit où la queue de Max a déchargé. Son regard se fait songeur, ses gestes plus lents, presque sensuels. Je suis prêt à parier que son petit minou bien moulé sous son body, est tout humide à cette pensée...


Les bains

Lorsque nous quittons la salle, l'atmosphère plus légère de l'atrium nous fait du bien. Nous suivons alors nos guides qui nous mènent jusqu'aux bains. Derrière une nouvelle tenture, un couloir aboutit à une porte derrière laquelle s'ouvre une vaste salle, toute de mosaïques et de marbres; blanc, rouge d'Alicante ou rosé. La roche semble authentique et les blocs dans lesquels sont taillées les colonnes, les jaccuzis ou les bancs donnent un aperçu de la fortune investie dans ces lieux. Le, la ou les propriétaires de cet endroit, doivent vouer un véritable culte aux dieux des libertins...
Un très léger brouillard se forme aux endroits les plus chauds, qui crée avec les éclairages toujours savamment étudiés, une sorte de flou. On y distingue des silhouettes dont les gestes paraissent ralentis. Tout ici baigne dans une ambiance de calme et de volupté. Dans l'air humide et chaud, flotte même un parfum léger d'eucalyptus et de cèdre du liban.
Plus nombreuses qu'ailleurs, des serviettes sont à disposition.
- Les douches sont par là; c'est la première étape en arrivant ici. Certaines sont collectives, d'autres privatives, que choisissez-vous ? Demande Florence.
Je me tourne vers Juliette, émerveillée par le lieu.
- Bah, je propose que nous nous rangions à l'avis de nos guides, qu'en dis-tu ma belle ?
- Ben, jusque là, je n'ai pas eu à m'en plaindre, au contraire. ;)
- Alors, ce sera collective, décide Damien.
Nous avançons entre les colonnes jusqu'à un espace carrelé, auquel nous accédons après avoir franchi une voûte. Sur les murs, des scènes érotiques au style antique, composées de mosaïques donnent le ton. Tout autour, des douches murales que déclenchent des capteurs invisibles, déverse une eau chaude sur ceux qui les utilisent. Des hommes et des femmes, seuls, en couples ou à plusieurs, se savonnent, se caressent ou font l'amour aux yeux de tous. Un mobilier composé d'artefacts de bois exotique aux formes arrondies, dont chaque pièce unique, conçue par quelque génial ingénieur, est à disposition des couples et leur permet d'adopter toutes sortes de positions possibles. Ici, une sorte de chaise longue en demi-lune, à hauteur d'homme, convexe et basculante, sur laquelle une femme est lovée. Un homme est debout entre les jambes bien écartées de la dame, dont les mollets reposent sur deux sortes de bras prévus à cet effet. L'homme tient des poignées grâce auxquelles la demi-roue parfaitement équilibrée, bascule sans effort. Il reste immobile et déplace de cette manière vers sa queue dressée, le corps de la femme qui l'avale au fond d'elle. Parfois, depuis la position basse (femme pénétrée), avec une simple impulsion des jambes, il s'allonge sur sa partenaire, replie les mollets derrière lui et tous deux basculent jusqu'au point d'arrêt du meuble, où ils finissent la tête légèrement vers bas. Au bout de la course de la bascule, l'arrêt brutal ajouté au poids de l'homme, produit l'effet d'un énorme coup de rein à la femme, sans pour autant fatiguer son amant; celui-ci n'a qu'à étendre les jambes pour rompre l'équilibre et ainsi, repartir à la position basse où un autre point d'arrêt produit le même effet, mais avec cette fois-ci comme source d'énergie cinétique, le poids du corps de la femme. Je reste au moins trois pleines minutes à observer cet ingénieux système.
Dans le même ordre d'idée, mais plus acrobatique, une balançoire suspendue par deux tiges chromées, est utilisée un peu plus loin. Dessus, qui occupe le siège lui aussi savamment taillé à cet effet, une femme plutôt jolie. Ses cheveux lisses et humides sont attachés en chignon; elle est rousse; une vraie rousse apparemment. Son visage est très doux, sa peau très pâle. Ses seins sont superbes avec les extrémités rose vif; ses tétons dardent fièrement malgré la chaleur ambiante. Sa taille est fine mais ses hanches sont larges et ses cuisses puissantes et blanches. Ses pieds reposent sur ce qui ressemble si je schématise, à de larges patins d'hélicoptère de part et d'autre de la nacelle, lui permettant sans efforts, de garder les cuisses bien écartées, elles même en appui de chaque côté, sur des sortes de grandes langues anatomiques. Ses bras passés au dessus de sortes d'accoudoirs, dans lesquels deux fentes ovales font office de poignée et où ses mains s'accrochent. Le bas du dos est en appui sur une pièce mobile capitonnée de skaï. Ainsi bien calée, ses fesses sont donc dans le vide et chacun peut ainsi contempler son joli cul et sa belle chatte complètement offerte. Ses longues lèvres sont roses, assorties  à ses tétons, elles s'ouvrent délicatement, comme deux pétales, sur un minou qui semble chaud et accueillant, luisant de sécrétions. Sa toison rousse est légère, assombrie par l'humidité ambiante, laissant transparaître la pâleur de la peau qu'elle recouvre. Je comprends par sa forme, que cette assise peut être utilisée de deux façons : la première comme je viens de la décrire, mais aussi, la femme peut si elle le désire, présenter ses fesses à son amant, s'asseoir dans l'autre sens, un peu à la façon de ces chaises de bureau ergonomiques sur lesquelles on s'installe à genoux. L'homme qui la pousse sur la balançoire est debout et, semble savoir exactement où il doit se placer pour la pénétrer au mieux. Il peut aussi s'il le souhaite, rester au fond de la belle chatte qui s'offre à lui (moi même serais tenté de le faire. ;)
Pour cela, il lui suffit juste de grimper sur les larges patins de la nacelle et de prendre sa partenaire tout en jouissant du mouvement pendulaire. Je suppose que cette balançoire doit demander un peu d'entraînement et quelques réglages propres à chaque couple. Mais il faudra un jour ou l'autre que je l'essaie. ;)
En attendant je les regarde ; l'homme s'en tire très bien, il ne doit pas être à son coup d'essai. Tantôt il empale la femme qui heureusement n'arrive pas de trop haut, tantôt, anticipant sa venue, il s'engouffre en elle et saute sur le perchoir dans le même mouvement, redonnant une impulsion à la balançoire, qu'il abandonne après quelques tours.
La femme, bien qu'elle semble y prendre du plaisir, préfère les moments où l'homme embarque avec elle; là, elle profite du peu de temps imparti, pour guider ses fesses et l'inciter à redoubler de vigueur, regrettant à chaque fois, d'une moue boudeuse, le moment où il redescend.
Je pense que cette balançoire est un caprice de Monsieur et que sa partenaire y concède, sans vraiment y trouver autant de plaisir.

Les autres pièces de cet étonnant mobilier sont plus simples dans la conception, mais toutes ergonomiques et taillées pour l'amour avec le même génie et le même souci de confort. Ces pièces de bois précieux aux formes douces ajoutent à l'ambiance érotique qui règne ici.

Nous nous douchons avec un plaisir réel. Nous débarrasser de ces traces de luxure nous fait comme une nouvelle virginité. Surtout pour ces dames, que plusieurs hommes ont déjà largement souillées. Dans un premier temps, nous savonnons nos compagnes respectives. Elles se font face et elles-même se jouent de la mousse entre leurs seins nus qui parfois entrent en contact les uns contre les autres. Elles prennent plaisir à s'effleurer de leurs jolis tétons qui peu à peu durcissent sous l'excitation. Bientôt, Damien et moi enserrons les filles comme les deux moitiés d'un sandwich. Les fesses accueillantes de Juliette glissent contre mon bas-ventre. Nos mains se promènent, ignorant la frontière entre le corps de l'une, les seins de l'autre. Ce moment très sensuel nous remet d'aplomb pour la suite.
Au bout d'un moment, mû par la curiosité, je me désolidarise de notre petit groupe pour regarder de plus près l'étonnant mobilier.
Alors que je m'attarde à nouveau sur le couple à la balançoire, le gars m'interpelle
- Voulez-vous essayer peut-être ?
L'acrobate qui a noté mon intérêt pour l'ouvrage semble trop heureux de trouver un nouvel amateur.
A ces mots, sa partenaire semble dresser l'oreille et dans ses yeux, je lis curiosité et malicie.
- Merci, mais je vous en prie, terminez.
- Mais non, mais non mon ami, prenez donc ma place, je suis sûr que votre Dame appréciera. Pupuce, veux-tu bien que nous laissions notre place un moment ?
- Oh non Minouche, j'avais envie de continuer encore un peu...
- Soit gentille Pupuce, ce monsieur n'a pas encore essayé...
- Eh bien qu'il vienne alors, je l'attends !
- Oh Stella ! puis à moi :
- Je vous prie de pardonner ma femme, elle est parfois si spontanée. :/
- Il n'y a pas de mal.
il me désigne sa femme.
- Pensez-vous que vous pourriez...
- Ecoutez, pourquoi pas. Je veux bien essayer...
Tu parles ! en fait, je suis ravi de pouvoir goûter à cette jolie rouquine. :) Et amusé aussi de tester cette balançoire pour adultes.
Ils ont l'air d'en tenir une belle couche tous les deux, mais au moins la femme elle, est parfaitement bandante.
- Alors approchez.
L'homme me cède sa place. Je monte sur ce qui peut être décrit comme une rampe incurvée. Sur celle-ci, une série de lignes colorées; elles font office de repères je suppose... La femme me sourit et semble se réjouir de ce changement de partenaire, d'autant que la vue de sa belle chatte qui s'approche puis s'éloigne de moi comme pour me titiller, excite mon membre qui se dresse déjà, bien droit devant elle, prêt à l'empaler à son tour.
- Vous avez bien regardé comment je faisais ? Le tout, c'est de trouver ses marques. N'hésitez pas au début de vous servir des traits sur la rampe (il n'y a pas de honte à ça ;) ).
J'espère qu'il ne va pas trop m'abreuver de ses commentaires éclairés...
Lorsque la balançoire est à portée, je l'accompagne de mes mains et lui redonne un peu d'élan; je fais cela plusieurs fois afin de prendre mes marques et pouvoir au prochain passage, tenter d'entrer ma queue dans la délicieuse "Pupuce"
La voilà qui approche. Attention... Hop ! Raté. Ma queue a glissé sur son con, s'est perdu dans sa toison, sans la pénétrer. Juste un peu de mouille déposée sur mon membre lors du contact, témoigne de l'accident.
- Trot tôt, souligne Minouche.
Sa femme me regarde d'un air un peu idiot, compatissant et bienveillant.
Je relance la balançoire. nouvelle tentative.... Hop ! Raté. Cette fois, mon gland a juste effleuré ses lèvres et a glissé entre ses fesses sans que j'ai eu pu rien faire d'autre. En fait, c'est beaucoup plus technique que ça en a l'air. :/
- Trop tard, analyse Minouche.
Ouh là, je sens que ça va vite me gaver ce gadget, surtout si l'autre continue à jouer les coach !
A la troisième tentative, je saute sur la balançoire et déclare à la femme apparemment ravie de ce rapprochement soudain.
- Je crois que ça ira mieux comme ça jolie Pupuce. ;)
Ce disant, et alors que je me positionne pour la pénétrer, l'autre boulet intervient encore.
- Mais non, mais non, c'est beaucoup trop tôt pour un jeté !
- Oh, tais-toi un peu, tu nous déconcentres ! le vitupère sa rouquine,
aide-nous plutôt : viens pousser et surtout, tais-toi.
L'homme dépité mais ne pouvant rien refuser à sa Pupuce chérie, s'exécute et, alors qu'avec une grande maîtrise, celui-ci, sans à-coups, nous maintient dans un balancement parfait, je commence à pénétrer sa femme.
- Enchanté Madame...
- Mmmh, enchanté Monsieur... Me répond la belle rouquine en frétillant des fesses.
Elle a dit ça avec une intonation si salope dans la voix, qu'elle m'a procuré un frisson jusque sous les couilles.
Sa chatte est accueillante, mouillée et chaude, je m'y enfonce sans mal et entame mon va-et-vient. Je goûte à ses seins bien blancs ses tétons glissent sous ma langue qui les caresse. Sa bouche m'accueille elle aussi, gourmande et langoureuse. Nos langues font connaissance alors que je continue à la pilonner. Son mari, très pro, continue à nous pousser sans piper mot.
Stella, ayant enfin un vrai stimuli pendant plus de dix minutes, commence à jouir.
- Oh oui, oui, mmmh c'est bon !
Toujours cette divine voix de salope, c'est fou comme ça m'excite !
Je veux la faire parler, d'une voix grave je lui susurre.
- Mmmh, Stella, j'adore ta petite chatte. Tu me sens bien là ? ça te fait quoi ?
- Oh oui-i, elle est bonne ta queue, je la sens bien. Vas-y, rentre là moi bien au fond. Oh ouii ! Comme ça, oui ! oui !
- Mmmmh, ta petite chatte est toute trempée pas vrai ?
- Oh oui, tu me fais mouiller toi. Je suis trempée comme une vraie cochonne, vas-y continue !
- Et toi tu m'excites comme un fou !
Et malgré les deux coups déjà tirés, la voix de salope de Stella et le petit vertige du balancement m'amènent assez vite à l'orgasme.
- Mmmmmmrrr je viens Stella !
- Oh oui, vas-y, mets tout sur ma petite chatte ! Je veux te voir cracher :)
je ressors alors et explose sur la belle chatte rose de ma rouquine.
Stella accompagne chaque giclée d'un
- Mmmmmh, mmmmh, mmmh elle a libéré une de ses mains et étale mon jus sur toute son intimité, glissant parfois un doigt dans son vagin ou son anus, écrasant son petit bouton rose et turgescent. Je la regarde s'emmener à l'orgasme et l'y aide soit en joignant ma queue aux caresses de ses doigts, soit en la pénétrant jusqu'à la garde pour ressortir aussitôt. Elle jouit, ses cuisses tressaillent et ses fesses ondulent si bien, que la nacelle prend une légère vrille dans sa trajectoire (vite rétablie par Minouche).
Lorsque Stella s'est apaisée, nous échangeons une pelle bien gourmande en signe de remerciements mutuels.
- Merci ma belle étoile filante. ;)
- Merci à vous bel inconnu :)
Lorsqu'il s'immobilise, je redescend de l'engin. Le compagnon de Pupuce a l'air un rien contrarié de l'emploi trivial que j'ai fait de son joujou fétiche.
- Merci beaucoup, c'était très instructif...
- Mais de rien, il faudra cependant vous entraîner très cher.
je le rassure, ça ne mange pas de pain
- je n'y manquerai pas et je suis sûr que vous feriez, vous et Pupuce, d'excellents professeurs. ;)
Cette dernière semble se réjouir de cette perspective et m'envoie un clin d'oeil salace lorsque je les laisse.
Je retourne me nettoyer auprès de Juju et Florence qui en mon absence, ont pris cette fois Damien en sandwich entre leurs corps. Je viens frotter mon sexe entre les fesses savonneuses des filles, l'une après l'autre (ce qui me permet au passage de comparer ces deux endroits divins) et très vite, me revoilà tout propre et aussi tout dur. :) Enfin, je désolidarise ma Juliette du couple pour me l'accaparer à moi seul.
Pendant mes humides retrouvailles, Damien s'est rapproché d'un couple qui aussi se savonnait et quelques minutes plus tard, Florence qui nous avait rejoint, s'est excusée auprès de nous pour retrouver son homme et le couple qui s'avère compter parmi leurs complices réguliers.
En effet, lorsque Florence les rejoint, Damien a déjà la queue entre les mains de la belle brune...
- OK, alors on se retrouve à côté :)
Nous laissons donc nos amis aux douches pour gagner la partie centrale des bains...
à suivre...