Ma maîtresse au club échangiste (part2)

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Proposée le 21/07/2010 par pattedevelours59

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Lire le chapitre I. Celui-ci comporte deux passages hard.

Une salle très spéciale

Enfin nous retrouvons Juliette et Damien. Ils sont sagement assis et finissent de boire leurs verres en devisant tranquillement. Seuls le rouge à leur joues et la présence d'une serviette souillée, jetée négligemment à leurs pieds nous informent sur ce qui a pu se passer ici.
Damien nous accueille.
- Eh bien, vous en avez mis du temps. J'espère que vous avez gardé des forces pour la suite. ;)
- Oui ne t'en fais pas, répond Florence, on a juste traîné un peu sur le retour. On a vu Max. ;)
- Ah ! le fameux Max... Y a des fois comme ça dans la vie, où on se sent tout petit. Pas vrai Vince ? ;)
- Tu l'as dit, je ne suis qu'un misérable verre de terre !
Nous rions. Juliette, bien qu'elle s'amuse de notre bonne humeur, n'en saisit pas immédiatement la cause et demande :
- Mais, c'est qui ce Max ?
- Max, la renseigne Florence, ça doit être celui qui a creusé le tunnel sous la Manche...
nouveaux rires. Juju n'a toujours pas saisi et reste interloquée.
Je rajoute,
- Ou alors, celui qu'on appellerait pour le colmater, s'il était percé !
Rires - cette fois l'image s'est imprimée en elle et aussitôt, pique sa curiosité.
- Aaah ok. Et, il est ici ? :))
- Oui répond Florence, nous te le présenterons plus tard si tu veux. Pour l'instant, je crois qu'il récupère un peu, ajoute-t-elle avec une oeillade coquine en ma direction.
- Alors chère Juju, c'était bien avec mon homme ?
Un peu génée, Juliette répond :
- Oui, très bien, il est très doux. :)
- Ça c'est vrai; enfin, au début du moins... ;)
- Et vous, c'était comment ? lui demande à son tour Juliette.
- Mmmh, vraiment très bon ! En revanche, ça faisait un moment qu'on en avait envie alors ce fut plutôt... bestial !
Damien intervient. Il semble aimer prendre les choses en main (Florence aussi mais d'un autre point de vue) ;)
- Bon et si nous faisions découvrir à nos amis les salles spéciales ?
- Oh ouiii ! s'écrie Florence, battant des mains comme une enfant.
- D'accord, nous vous suivons.
Alors qu'ils passent devant, je m'approche de Juliette et lui tends la main pour l'aider à se lever du sofa. Nous nous embrassons avec fougue. Je la caresse à travers sa nuisette; j'adore sentir l'effet du tissu qui glisse sur sa peau, ses tendres formes bien pleines...
- Rrrh, ton cul ma Juju... c'est sympa non, ma belle ?
- Oui, j'ai l'impression d'être dans un autre monde !
Juliette glisse une jambe entre mes cuisses compressant doucement mes couilles, elle accueille au creux de son aine mon membre redevenu dur.
- Eh les amoureux ! Vous venez ? Gardez-en un peu pour les copains ! nous apostrophe Damien.
Nous lui répondons en coeur.
- On arrive !
- Non, je plaisante. Si vous voulez rester un peu seul, il n'y a pas de problème. :)
La curiosité l'emporte et nous rejoignons nos nouveaux complices.
Nous avions bien-sûr remarqué que la salle principale comptait un certain nombre de tentures sur sa périphérie. Damien nous explique que derrière chacune d'elles, s'ouvre outre "les bains", une salle à thème. Nous arrivons devant la première et Florence qui nous précède (m'offrant ainsi l'occasion de mater ses bonnes grosses fesses qui se balancent nues sous la nuisette) se retourne et s'adresse à Juliette sur un ton de conspiratrice.
- Ici, c'est la salle Gang-Bang. Il n'y a que des habitués.
- Ah bon ? Pourquoi ? demande Juliette.
- Ben, tu comprends, il faut vraiment être sûr de tes partenaires pour qu'ils puissent te prendre tous sans capote et décharger partout sur toi et surtout dedans; sinon, il manquerait quelque chose... Je suppose que tu n'as jamais essayé. J'espère que tu le feras, c'est quelque chose d'être prise par plusieurs hommes tu sais... ça te dirait ?
- Euh, pas tout de suite, réponds Juliette qui n'en mène pas large.
Nous entrons. La salle est circulaire. Tout autour, dans une pénombre voulue, sont disposées des banquettes confortables. Au centre, une lumière tamisée projette trois cercles, et dans ces cercles, ce qui ressemble à trois tables de massage bien que plus courtes et plus larges. Elles sont blanches, en skaï et reposent chacune sur un pied central chromé. Pour l'heure, seules deux tables sont occupées; sur chacune d'elles une femme et autour de chaque femme, des hommes. Les clients sur les banquettes, des hommes mais aussi quelques femmes, se délassent et profitent du spectacle, ou se caressent, excités par celui-ci.
La première femme, une blonde, agréable que petits bourrelets rendent encore plus appétissante, la quarantaine plantureuse, un long nez fin sur un joli visage, les cheveux lisses, coiffés en carré assez court et portant bague, pendentifs et chaîne en or, le tout lui conférant une allure de jolie bourgeoise, très salope comme j'en raffole. Elle est allongée sur le ventre. Ses gros seins blancs s'écrasent sur le skaï et débordent sous elle. Elle occupe la table dans le sens de la largeur, sa tête et ses jambes, fesses comprises, dépassent donc des deux côtés, ce qui permet aux hommes qui l'entourent de lui enfoncer leur attribut où ils le désirent. Deux d'entre-eux sont d'ailleurs occupés à lui remplir la bouche, étouffant ses gémissements, tandis qu'un troisième derrière elle, lui envoie de grands coups de reins. La femme est remplie, jusqu'à ses mains qui astiquent les queues de deux autres gars. Les autres attendent leur tour ou la caressent. L'un d'eux écarte très fort les larges fesses rougies et souillées par le passage d'amants successifs, ce qui nous permet de constater que l'homme qui la prend, alterne entre les deux entrées si bien exposées à sa disposition. Bientôt, il se contracte et dans un rugissement, déverse sa semence sur les parties ouvertes de la dame déjà poisseuses de son propre jus et des fluides de ses précédents amants. Son bassin entame alors une sorte de danse lascive faisant rouler son vaste derrière, comme pour remercier l'homme pour ce précieux don. Dès qu'il en a fini avec elle, un autre participant prend sa place et la pénètre à son tour. Elle semble ravie et le feu à ses joues témoigne du plaisir qu'elle prend à se faire l'objet de tous ces mâles qui la défoncent. L'état de son visage et même de ses cheveux laisse deviner les assauts qu'elle a déjà subi. D'ailleurs, un des hommes qu'elle suce atteint l'orgasme à son tour et, sortant de sa bouche, l'asperge sans retenue, bientôt imité par le second, stimulé par la scène sous ses yeux et par sa main qui avait pris la relève. A peine remise de cette douche, la gourmande ouvre la bouche pour accueillir deux autres hommes, sortis de l'obscurité pour entrer dans le cercle de lumière; parmi eux, Damien que je n'avais même pas vu s'éloigner.
Nous avançons un peu plus dans la salle, contournant la frontière symbolique matérialisée par la zone d'ombre, afin de nous rapprocher de l'autre femme.
Je m'étonne.
- tiens, c'est Sabine !
- Ah bon, tu la connais ? me demande Florence.
- Disons que nous avons fait connaissance tout à l'heure au bar...
Juliette ajoute.
- Oui, elle a surtout paru très intéressée par le contenu de son caleçon. ;)
- ça ne m'étonne pas, me flatte Florence avec un regard brûlant vers mon bas-ventre. ;)
Sabine elle, se tient allongée sur le flanc gauche. Elle est encore vierge de toute souillure, son gang bang vient sûrement de commencer, mais déjà, cinq hommes s'activent autour d'elle, lui prodiguant mille caresses. L'un d'entre eux est penché sur elle et mêle sa langue à la sienne ou l'embrasse dans le cou.
Deux autres s'occupent de son corps, l'un d'eux, de ses seins; ils sont magnifiques, fermes et satinés. L'homme les suce goulûment. Parfois Sabine se tourne vers lui pour lui offrir sa langue agile. Enfin, deux autres gars s'occupent de la partie inférieure de ce corps sculptural. L'un des deux le nez collé à sont mont de vénus tout lisse, lui lèche le minou et lui suce le clitoris comme un affamé, pendant que le deuxième lui pelote les fesses, rondes et parfaites et y glisse une langue bien dure, dont il enfonce l'extrémité dans le petit trou avec de petits va-et-vient très rapides.
Voyant cela, Juliette confie à Florence.
- Ça par contre, un préliminaire à dix mains, je crois que j'aimerais !
- Oh oui, tu as raison Juju, c'est génial, répond Florence en connaisseuse. Tiens, viens avec moi, lui intime-t-elle, puis à moi, elle ajoute mutine, avec un clin d'oeil : Excuse-nous "Vince" mais nous avons à faire toutes les deux.
- Allez-y mes belles, je ne suis pas loin. :)
Elle entraîne Juliette qui docile et confiante, la suit. Intrigué, je les regarde s'éloigner vers les banquettes; mmmmh les voir ainsi bras dessus, bras dessous m'excite terriblement. Deux charmantes maîtresses, toutes ouvertes à moi et déjà complices. J'observe un moment leur manège. Juliette désigne un homme à Florence, celle-ci se dirige alors vers lui et lui chuchote quelque chose à l'oreille. L'homme regarde Juliette et acquiesce d'un air ravi. Puis, après un bref échange, Florence revient à Juliette qui lui désigne un autre homme... Mmmmh, cette coquine de "Juju" est bien vite entrée dans le jeu, la voilà déjà qui fait son marché dirait-on.
- Psst ! S'il vous plait !
je me retourne, un des hommes autour de Sabine m'apostrophe et me la désigne, celle-ci me regarde un petit sourire aux lèvres.

Sabine

Sabine est toujours allongée, elle repose sur son coude. Son corps est sublime, ses courbes sont parfaites, ses jambes longues et fines. Malgré sa position, ses seins pourtant naturels, demeurent dressés, insolents, pleins et fermes. Ses cheveux aux reflets dorés, mi-longs, ondulent chatoyants. Une blonde Cléopatre dans une orgie organisée en son honneur. Les hommes autour d'elle ont cessé toute activité et attendent son bon vouloir. M'est avis qu'elle doit aimer jouer les princesses. Elle me fait signe d'approcher.
- Re-bonjour Toi. Enfin je te retrouve me dit-elle. :)
- Coucou Sabine. :) Ça a l'air d'aller pour toi ;)
- Oui je n'ai pas à me plaindre... dit-elle avec comme une pointe d'ennui.
- Alors, tu es nouveau ici ? Disant cela, elle promène le dos de sa main sur mon pantalon caressant la bosse qu'elle a tout de suit repérée et qui ne me quitte plus depuis un moment.
- Oui.
- Mmmmh dommage, je ne te connais pas encore assez pour te prendre en moi... Mais ne t'en fais pas, je vais quand même m'occuper de ta jolie queue. Je crois que ça soulagera cette grosseur là. Elle dit cela comme ça presque innocemment et, juste après, de sa petite langue bien rose, elle humecte ses lèvres, me faisant comprendre le moyen qu'elle pense employer. Mmmmh, oh oui, il est grand temps qu'elle s'occupe de cette grosseur ! Néanmoins, elle poursuit :
- Et ta copine de tout à l'heure ?
- Elle est là-bas. Je lui montre Juliette qui à présent discute avec les hommes qu'elle a désignée, en compagnie de Florence.
- Mmmh, pas mal... Tiens, tu connais Flo ?
- Oui
- Je l'adore, c'est une petite garce, mais une délicieuse coquine.
- Ça j'ai pu m'en rendre compte tout à l'heure... ;)
- Ah oui ?... Veux-tu bien me l'amener s'il te plaît ?
- Ben... Oui, ok.
- Attends ! Elle tire sur le col de ma chemise et m'attire à elle. Suivant le mouvement, je me penche jusqu'à ses lèvres. Sa langue cette fois investit ma bouche avec autorité alors que sa main se referme sur ma queue à travers le fin tissus. Je lui rends son baiser avec plus d'intensité encore. Elle s'arrête et émet comme un petit ronronnement avant de me libérer. Mmmmh quelle femme ! Je suis sous le charme.
- Je rejoins le petit groupe. A présent, Juliette fait plus ample connaissance. Des mains d'homme se promènent sur elle, sans insistance toutefois. Les siennes aussi effleurent les corps qui l'entourent. Sa langue en rencontre d'autres aussi, dont celle de Florence qui participe, caressant tantôt un homme, tantôt Juliette, de plus en plus offerte. J'appelle discrètement notre délicieuse guide pour ne pas trop troubler leur jeu. Florence vient à moi et note immédiatement la déformation de mon pantalon.
- Ouh là Vincent ! Que se passe-t-il ? Joignant le geste à la parole, elle se saisit de mon membre à travers le tissus et le branle doucement, main vers le bas, le bout des doigts effleurant la naissance de mes testicules.
- Mmmmh, c'est pour moi tout ça ?
Je lui souris comme pour m'excuser et, du pouce, j'indique par dessus mon épaule l'origine de mon trouble.
- Ah je comprends mieux ! Sabine...
- Elle aimerait te parler.
- Oh toi, je sens que tu vas passer à la casserole. Lorsqu'un petit nouveau lui plaît, il ne tarde pas à le savoir !
Nous rejoignons Sabine; les hommes qui l'entourent avaient repris leurs caresses, mais d'un geste de la main, Sabine les interrompt à nouveau. Non mais, elle se la raconte quand-même un peu celle-là ! Attends un peu que je m'occupe de toi ma belle salope, tu vas voir si tu me mèneras à la baguette comme ça, crie en moi le macho un peu froissé par tant de soumission de la part de mes semblables. C'est pas un simple baiser, même expert, qui fera de moi ton petit toutou.
- Oui Sabine ? s'enquiert Florence, amusée par le cinéma de cette blonde fatale, qui pose sur la table telle une diva. Sabine saisit la main de Florence.
- Ma Fleur chérie, tu m'avais caché ce beau gosse. Tu voulais le garder pour toi seule ou quoi ?
- Sabine-Sabine-Sabine... Crois-tu que si je voulais le garder pour moi, je l'aurais laissé approcher une telle croqueuse de bites ?
- Mmmh petite garce, toujours autant de répartie. N'empêche, tu aurais pu m'en laisser la primeur. J'espère que tu ne me l'as pas vidé, petite gourmande que tu es.
- Non rassure-toi, il n'a servi qu'une fois et comme tu vois, il est déjà d'attaque. D'ailleurs, quand bien même, tu disposes de toute une cour pour satisfaire ta soif de nectar. Rétorque Florence avec un geste pour désigner les hommes de Sabine.
"Servi", "vidé",  j'ai vraiment l'impression d'être un jouet pour ces dames moi ! Un sex-toy d'un mètre quatre-vingt ! Leur petite joute verbale commence à me courir.
- Ma soif n'est jamais étanchée, tu le sais ma Fleur et j'ai vraiment envie de faire cracher ce beau mâle (aaah, ça je préfère ;) ). Dis-moi ma chérie, tu peux me garantir qu'il est clean ?
- Oui ma belle, je le connais, nous travaillons ensemble et j'ai confiance en lui. Je l'ai goûté au naturel tout à l'heure et je me suis régalée. Répond Florence rassurante.
Je comprends alors que tout ce qui précédait n'était qu'un jeu; ces deux là sont en fait très complices et se vouent une confiance aveugle.
- Merci ma Fleur. Elle dépose un bisou dans le creux de la main de Florence et se détourne d'elle, affectant l'air condescendant d'une reine prenant congé d'un de ses sujets;  Florence se tourne alors vers moi et m'embrasse à pleine bouche, presque amoureusement, juste par bravade, conjurant l'emprise de cette souveraine auto-proclamée.
- Amusez-vous bien lâche-t-elle. Puis elle s'en retourne, assister Juliette dans ses ébats tentaculaires.
- Enfin seuls, soupire Sa Majesté Sabine, ignorant les autres hommes comme s'ils faisaient partie des meubles. Alors, vas-tu enfin me montrer ce que tu caches sous ce pantalon ?
Décidé à ne pas me laisser faire, je m'approche au plus près de la table, place les mains dans le dos et pousse le bassin en avant afin de lui mettre sous le nez cette bosse qui l'intrigue.
- Et bien ? Qu'attends-tu ? N'as-tu donc rien à m'offrir ?
Je ne réponds rien et reste immobile. L'étonnement se lit sur son visage et celui des autres hommes autour de nous, qui jusque là impassibles, semblent à présent incrédules devant cet affront à l'Autorité Suprême. Bien vite, Sabine se reprend. Elle émet ce qui ressemble à un petit fi de dédain et néanmoins, dirige ses mains vers l'élastique afin de libérer ma queue de sa prison de lin. Un zéro pour moi ! Intérieurement, je jubile ;)
- Moui, pas mal, commente-t-elle d'un ton blasé, détaillant mon membre dressé devant ses yeux, le poussant du bout des doigts afin de l'observer sous toutes les facettes. J'ai vu mieux ajoute-t-elle avec une moue capricieuse, lorsque quelques doigts soulèvent légèrement mes testicules, comme pour en évaluer le poids.
Si elle tente de me déstabiliser, c'est plutôt raté. Ma précédente petite victoire m'a donné confiance en moi et surtout, je vois bien à la lueur qui brille dans ses yeux, son envie de goûter au chibre qu'elle manipule. Aussi, je lance mon attaque. Je la saisis par les cheveux
- Maintenant princesse, va falloir se mettre au travail et tout de suite.
Disant cela, je dirige sa tête et écrase son visage contre mon membre. Sabine se rebiffe, mais ses lèvres collées à ma queue gonflée l'empêche d'articuler.
- Mmmh, mmais commont oves-tfu ?
Loin de m'arrêter, de ma main libre j'empoigne mon membre et le maintiens vers son objectif. Je tiens ma main resserrée autour de mon chibre que je plaque contre la bouche toujours close de Sabine. Je me sers alors de mon gland comme d'un bélier et commence à coups de hanches, à donner du boutoir sur la bouche scellée de Sabine qui résiste encore.
- Tais toi maintenant et ouvre ta jolie bouche !
Je suis tellement excité que mes coups de reins se font plus violents, les chocs de mon gland sur sa bouche se font presque douloureux pour moi et sans doute aussi pour elle. A ce moment, Sabine commet l'erreur de vouloir parler, peut-être pour me raisonner ou me supplier, ouvrant une brèche dans sa forteresse. Ma queue l'investit brutalement. Victoire ! Sabine, dans un réflexe qui me révèle sa vraie nature, couvre ses dents de ses jolies lèvres meurtries, pour éviter de me blesser avec. Ses plaintes sont étouffées par ma queue qui continue à s'enfoncer en elle. Je la tiens toujours par les cheveux, ce qui me permet de la maintenir alors que je prends sa bouche furieusement, comme je défonçais plus tôt, le cul brûlant de Florence. A présent, ses plaintes sont rauques et caverneuses, émises par vagues au rythme de mes assauts. Ma queue s'enfonce jusqu'à sa gorge lui arrachant par deux fois des relents qui lui emplissent les yeux de larmes. Puis, au bout d'une minute de ce traitement, constatant qu'elle ne peut plus respirer, je ressors de sa bouche afin de lui laisser reprendre son souffle.
Alors, aussitôt que ma queue est sortie, deux des hommes qui nous entourent et qui étaient restés immobiles, comme tenus en respect par le danger que pouvait représenter ce sabre enfoncé si profond dans la gorge de leur souveraine. Comme s'ils sentaient une opportunité d'agir, deux d'entre eux esquissent un mouvement dans notre direction et au moment où l'un d'eux s'apprête à m'attraper le bras, Sabine lève le sien et bien qu'à bout de souffle leur jette.
- Non ! Laissez-le.
Immédiatement les deux hommes, bien que surpris, arrêtent leur geste et regagnent leur place sans un mot. L'incompréhension se lit au sein de cette garde rapprochée, les regards s'interrogent.
Sabine se saisit alors de ma queue et l'enfourne d'elle même le plus loin possible. Les yeux exorbités, les muscles du cou tendus sous l'effort, les cheveux collés par la sueur, sa bouche s'ouvre et se ferme autour de moi, comme celle d'un poisson hors de l'eau, cherchant l'oxygène, progressant millimètre par millimètre, jusqu'à la garde. Le fond de sa gorge émet de drôles de gargouillis lorsque mon gland gonflé qui frotte au fond, la force à déglutir. Trop excité pour me contenir, je sens que je vais jouir, ma main relâche la pression autour de ses cheveux, sentant cela, Sabine se retire
- Oh non, je t'en prie, pas tout de suite ! Prends-moi d'abord, Prends-moi !
elle se retourne et replie les jambes sous son ventre, relevant ses jolies fesses
- Prends-moi, Prends-moi ! Son cul s'agite et son minou trempé semble à l'aveugle chercher ma queue. Ma frustration est de courte durée, un seul regard sur sa superbe croupe qui ondule suffit à me convaincre.
Je me place derrière elle, mmmh, quelle créature de rêve. Ses fesses sont deux pommes bien rondes et fermes; sa vulve, un abricot mûr et juteux; son anus est tout petit, d'un rose délicat sans aucun poil lui non plus. Je commence à frotter ma queue contre ses lèvres qui s'entrouvrent. Bien vite, mon gland est recouvert de cyprine. L'envie est trop forte de m'enfoncer, mais je vais devoir me hisser sur la pointe des pieds où moi-même monter sur la table pour la pénétrer entièrement. A ce moment là, un autre de ses "soldats" s'approche de la table et, alors que je le dévisage d'un air méfiant, il lève les bras, mains ouvertes, dans un geste d'apaisement qui semble dire "Du calme, je ne suis pas armé" Puis une de ses mains glisse sous la table et actionne un bouton invisible; alors, dans un ronronnement léger, la table commence à s'abaisser lentement sur son pied unique. Lorsqu'il juge la hauteur convenable, l'homme cesse d'appuyer et regagne sa place avec l'air de celui qui a accompli sa mission. A présent, le cul de Sabine est à la hauteur idéale, à mon entière disposition; celle-ci, une main de chaque côté de ses fesses les maintient écartées très fort, découvrant les chairs roses et humides de son minou.
- Vas-y, prends ce que tu veux...
Trop gonflé de désir pour m'attaquer à son tout petit trou, je préfère d'abord explorer son vagin. Ma queue la pénètre doucement. Sa petite chatte est bien serrée et je peux même sentir les irrégularités spongieuses de ses parois caresser mon gland dans sa lente progression.
Très excitée, elle gémit déjà.
- Mmmmh, oh ouihh...
Lorsque je repars en arrière, mon gourdin est tout luisant de sa mouille.
Trop excité moi aussi pour garder ce rythme, j'accélère. Je la saisis par les hanches et commence à la pilonner sérieusement. Ses gémissements vont crescendo et peu à peu, se transforment en véritables cris
- Ah! Ah ! Ah! Aaah.
- Mmmh, tu aimes ça petite chienne hein ?
- Oh oui !
- Tu es une sacrée salope, pas vrai princesse ?
- Oui, oui !
- Mh, oh ouih, tu es ma pute maintenant
- Ouihh ! Ouihh !
je lui donne quelques claques bien sonnantes sur les fesses, ce qui a pour effet de l'exciter davantage encore. Lorsqu'elle est proche de l'orgasme, je l'attrape alors par la nuque, elle est si fine qu'une seule main me suffit. Elle se redresse, ses seins ballottent au rythme de nos corps je les attrape à pleines mains, ils sont parfaits, ses tétons sont durcis par le plaisir.
Son dos musclé se frotte contre mon torse, nos corps baignés de sueur glissent l'un contre l'autre. J'enfouis mon visage dans ses boucles blondes, ses cheveux sentent le miel.
Sa chatte se contracte plusieurs fois autour de moi, je remonte encore un peu plus mon bassin lui arrachant des cris de bête, son corps est parcouru de spasmes. Lorsque le plus fort de son orgasme est passé, je ressors d'elle et me présente devant son petit trou. La tâche ne va pas être aisée. Je pousse fort sur mon gland, Sabine me supplie sans se dérober pour autant.
- Oh non je t'en prie, je ne suis pas prête !
- Tais-toi petite putain, je vais prendre ce joli petit cul que tu le veuilles où non.
Alors, un de ses sujets s'approche et me tend un des petits sachets de lubrifiant que l'on trouve partout ici dans les corbeilles.
Je lui arrache des mains sans même le remercier, le déchire et fais couler son contenu sur le petit trou serré de Sabine qui accueille cette sensation avec délice. Le fluide faisant son effet, en force mon gland trouve enfin son chemin en elle. Je m'enfonce très lentement mais sans m'arrêter, ajoutant du gel sur ma queue avant qu'elle ne disparaisse dans le cul de Sabine. Ma verge progresse en elle un millimètre à la fois. Du bout de l'index, je continue de lubrifier cette petite porte et d'en assouplir l'anneau. Sabine est tétanisée, ses ongles s'enfoncent dans le skaï, elle pousse de longs gémissements. Ce n'est que lorsque mon membre a complètement disparu dans son petit trou écartelé, que je fais machine arrière. Au bout de quelques aller-retours, son anneau se détend enfin et son petit cul serré commence à danser, accompagnant mon mouvement régulier. Ses gémissements de douleur se muent en râles de plaisir. J'accélère alors la cadence et m'enfonce encore un peu plus à chaque fois.
A présent, cette chienne en redemande.
- Oh oui ! vas-y, continue.
- Mmmh, tu vois ma salope que tu peux l'avaler toute entière ma queue ?
- Oh oui ! vas-y !
La rage dominatrice ne me quitte plus, je veux faire taire cette petite chienne et lui faire ravaler ses grands airs; en même temps, je la désire tellement que je veux la posséder complètement, fusionner avec elle. Je lui donne alors de grands coups de reins sur toute la longueur de ma queue que je sors et replonge en elle,  jusqu'à m'écraser sur son petit cul bien ferme.
Parfois, dans ma fougue mon dard s'échappe, j'en profite alors pour l'enfoncer avec la même vigueur dans sa chatte toute baveuse, puis je reviens me planter dans son cul qui maintenant, m'avale sans problème. Lorsque je jouis, nos cris recouvrent tous les autres dans la salle. Je décharge tout au fond d'elle, appuyant de tout mon poids contre son corps.

Nous restons ainsi un moment immobiles, l'un dans l'autre. Nos corps baignés de sueur se caressant. Par moment, Sabine se contorsionne pour chercher ma bouche. Je l'embrasse profondément, mes mains grandes ouvertes enserrent ses seins, cette femme me rend dingue...  Lorsque je sors de son corps nos fluides mêlés restent au fond d'elle, juste une larme de sperme s'échappe de cet oeil de bronze qui se referme doucement après moi. Sabine se laisse tomber sur la table enfouissant son visage dans ses bras croisés. On dirait à un animal blessé, gisant là. Je passe une main dans ses cheveux défaits et je m'éloigne d'elle titubant.

Lorsque je reviens enfin sur Terre, je remarque à travers la pénombre, les nombreux regards posés sur moi. Je réalise alors la frénésie sauvage qui s'est emparée de mon être et de mon âme. Tous n'ont pas été alertés par cette furie, après tout, là où nous sommes, les cris bestiaux et les suppliques sont monnaie courante, mais dans les yeux de ceux qui ont suivi la scène, à travers les différents sentiments que j'y perçois, je peux y lire une sorte de respect. Certains portent sur moi un regard désapprobateur mêlé de crainte, d'autres au contraire m'envoient des regards complices et dans ceux de certaines femmes, c'est le désir que j'y vois; c'est le cas des yeux de Florence, sur lesquels je m'arrête et où brille une lueur ardente. Tout comme moi, elle ne me pensait pas capable d'une pareille bestialité. Mais comme moi, cela l'a excitée. Elle vient à moi,
- Attends, je vais te nettoyer.
A grand renfort de lingettes, elle entreprend de m'éponger et de me purifier, comme le ferait une infirmière dévouée, lavant les plaies de son guerrier après la bataille.
Alors que je reprends peu à peu mes esprit, je réalise seulement que Florence est seule; en effet, Juliette a rejoint la table où quelques instants auparavant, une autre blonde, se faisait si bien honorer. Juliette est entourée d'au moins huit hommes qui lui prodiguent mille caresses. Parmi eux, certains qui étaient déjà là, autour de (et dans) la précédente occupante, dont Damien, qui semble vraiment apprécier le corps de ma maîtresse. Celle-ci, le rouge aux joues, se laisse caresser, téter et lécher toutes les parties de son corps avec plaisir. Surmontant même ses appréhensions et aussi, sûrement gagnée par l'excitation, elle a dans la bouche la verge de l'un des hommes, qu'elle tête amoureusement.
Encore une fois, je me retourne vers Sabine, un peu gêné à l'idée de croiser son regard après l'avoir si sévèrement rudoyée. A ma grande surprise, au lieu de la retrouver étendue, récupérant ses forces, c'est une Sabine à nouveau assaillie que je découvre. En effet, les "soldats" qui pourtant composaient sa garde rapprochée quelques minutes plus tôt, voyant leur souveraine déchue, se sont rapprochés et, sans même attendre sa permission, se sont jetés sur elle. L'un d'eux, reproduisant mon geste, la tient par les cheveux et dirige sa tête vers les lances de deux autres gars qui enfournent celles-ci joyeusement à tour de rôle et la giflent parfois de leurs phallus peu fermes. Un des homme est sous elle et la maintient fermement allongée sur le dos collée à lui; il pénètre avec une frénésie un peu ridicule, son cul bien dilaté par mes soins en répétant "salope ! salope ! salope !...", alors que le dernier, debout entre ses si jolies jambes, investit son vagin et, un air benoît au visage, semble ravi de cette double pénétration comme du tableau général. Sabine elle, reste inerte, comme étrangère aux outrages et humiliations qu'elle subit.
Je me sens soudain coupable d'être la cause de cette déchéance. Florence le remarque.
- Il me semble que le règne de Sabine Première bat de l'aile,
me lance-t-elle insouciante, mais ne t'en fais pas trop pour elle, elle aura tôt fait de les remettre à sa botte ceux-là. En revanche, je crois qu'elle aura plus de mal avec toi. Elle cherchera sûrement  à t'éviter... Du moins devant témoins. ;)
La suite me prouve que Florence connaît bien cette princesse que j'ai rendue putain. En effet, lorsque l'homme qui la tient par la crinière, abandonne sa prise pour se jeter avidement sur ses seins, son visage m'est alors visible et je constate que son regard est fixe et dur, mais surtout, qu'il ne quitte plus le mien. Les deux autres larrons continuent à pénétrer sa bouche et fouetter lâchement ce joli minois tourné vers moi, sans à peine la faire ciller; et même lorsque l'un d'eux décharge d'autorité son foutre sur son visage et dans sa bouche, elle ne réagit pas; elle va même jusqu'à sucer mollement cette queue pleine de crème qui poisse entre ses lèvres. Même au moment où celui qui, suivant mon exemple décharge à son tour dans ce joli petit cul serré, elle se force à l'impassibilité, son bassin accueillant ce nouveau flux avec néanmoins, un très léger tressaillement. Sa soumission semble complète. Cependant, lorsque l'un des gars tente de la forcer à tourner la tête, ce qui l'empêcherait de conserver son oeil dans le mien, elle jette alors à ces trublions, un regard noir, lourd de menaces. Dès lors, les deux compères bien refroidis, se contentent juste d'étaler le sperme sur ses joues, de les barbouiller et de passer doucement leur gland sur les lèvres de la belle, attendant qu'elles s'ouvrent, se gardant bien de faire écran entre elle et moi. Ils agissent avec la prudence de ceux qui, un bâton à la main, approchent un animal sauvage qu'ils pensent agonisant, mais dont ils se méfient du dernier sursaut. Concédant parfois à sucer un peu une de leur queue baveuse lorsque celle-ci insiste sur ses lèvres, elle ne lève cependant les yeux qu'un bref instant, pour jeter un regard accusateur et plein de mépris à son propriétaire et revient aussitôt à moi.
Sacrée petit bout de femme quand même ! La voilà déjà qui reprend les rennes. Je songe qu'il serait dommage qu'elle m'évite désormais, car j'aurais plaisir à la retrouver, d'égal à égal cette fois... Et c'est avec une lueur amical que mon regard se détache du sien et se pose sur Florence. Cette dernière achève ses soins, à croupi devant moi, à petits coups de langue réparateurs sur ma queue congestionnée.

Juju

J'en profite alors pour revenir à ma Juju. L'activité autour d'elle s'est encore intensifiée, ainsi que la sienne propre. Une autre queue est venue remplacer la première dans sa bouche, autour de laquelle un peu du sperme de son précédent amant, est encore visible qui lui dessine comme une moustache de lait au dessus des lèvres. Elle suce cette nouvelle queue goulûment et, au rythme qu'elle imprime à sa bouche, à son air concentré et volontaire, on la devine avide de la faire cracher à son tour. Il faut dire qu'elle a vraiment pris goût au sperme, depuis cette fois dans sa salle de bain, où pour la première fois, elle avait goûté au mien. Enfin l'homme libère son jet de foutre. Juliette arrête alors son mouvement et ferme les yeux. Je la regarde déglutir et se délecter de la semence qui coule au fond de sa gorge. Elle masse doucement les testicules de son amant, dont les jambes flageolent ou se tétanisent sous l'effet du plaisir; Les joues de ma maîtresse se creusent dans le but de lui pomper un maximum de jus. Cette vision et les petits coups de langues de Florence ont suffit à me rendre tout raide à nouveau. L'autre changement du côté de Juliette, se passe entre ses jambes grandes ouvertes. Un des hommes est en elle, et la tringle consciencieusement, sans précipitation mais avec une sorte de force tranquille. Le bassin de Juliette roule, accompagnant le mouvement. Damien est encore là lui aussi; il pétrit les seins de Juliette auxquels il voue une vraie passion et dont les extrémités sont rougies à force d'être sucées et pelotées. Il offre sa queue à la main de Juliette qui le branle maladroitement, trop accaparée par sa dégustation. Néanmoins très excité et stimulé, Damien éjacule sur les superbes seins de ma complice. De sa main libre, celle-ci étale la semence sur sa poitrine comme elle le ferait avec une crème solaire, rendant ses gros seins luisants et soyeux.
Les va-et-vient répétés de l'homme qui la prend, commencent à faire leur effet. Juliette qui a fini de vider complètement la queue qu'elle suçait, se concentre à présent sur son propre plaisir. Elle redresse la tête et le haut de son corps afin de pouvoir observer le membre qui entre et sort de son vagin. Sa jouissance monte progressivement. L'homme sourit, ravi de l'effet qu'il produit sur elle et sur sa belle chatte si sensible qui bien sûr, dégouline de mouille. Bientôt  leur mouvements s'accélèrent, les hanches de Juliette remontent offrant à l'homme quelques centimètres supplémentaires à explorer au fond de son vagin. Il va jouir. Alors, pour mieux apprécier sa montée de sève, il s'arrête presque complètement de pistonner cette chatte bien ouverte et mouillée de plaisir; seule Juliette continue à onduler et à rouler autour de lui, emportée par son orgasme, lui prodiguant ainsi une caresse de tout son vagin qui se resserre tout autour du membre et qui suffit pour le mener à la jouissance. Il sort alors sa queue trempée et, relâchant toute pression, la laisse décharger sur la cramouille encore béante de Juliette. Le contact du jus brûlant projeté avec force contre les chairs tendres des ses lèvres ouvertes et contre son clitoris, lui arrache des convulsions de plaisir. L'homme les prolonge par le frottement circulaires de son gland qu'il passe sur toute l'intimité de Juliette, et dont il glisse parfois, juste le bout dans l'anus maintenant bien lubrifié de ma belle maîtresse.
Lorsque Juliette est au paroxysme du plaisir et qu'elle ne peut en supporter davantage, elle place ses mains jointes sur toute la zone rendue si sensible, à la façon d'une coque protectrice, en interdisant provisoirement l'accès. Des vagues de frissons continue à arriver qui la submergent, elle se contorsionne ainsi, les joues en feu, les bras resserrant ses gros seins l'un contre l'autre, encore luisants du sperme de Damien, faisant ressortir leurs veines, élargissant encore un peu plus leurs aréoles déjà dilatée par la fièvre.
Puis, ses amants l'apaisent par de tendres caresses et de rassurantes pressions. Un des homme lui maintient délicatement la tête entre ses mains et lui dépose de petits bisous sur son visage brûlant. L'homme qui était en elle, lui caresse et lui pétrit ses tendres cuisses, qui s'ouvrent et se referment autour de ses hanches.
Florence me rapporte mes affaires. Je m'en étais débarrassé lors de ma furieuse chevauchée avec Sabine. A cette occasion, je remarque que celle-ci a disparu, ainsi que ses fidèles suivants. Autour de la couche, seules deux hôtesses sont là qui nettoient les dernières traces de fluides, leurs belles fesses secouées au rythme de leurs bras qui astiquent le skaï, pour lui rendre sa virginité. Sabine a dû profiter de la diversion involontaire de Juliette pour dans l'ombre, se retirer discrètement.
A suivre...

PS: merci pour vos commentaires :) N'hésitez-pas, ça fait toujours plaisir et si vous avez des suggestions, des critiques, etc, je les prends en compte pour la suite. ;)