Pris la main dans le sac

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Proposée le 6/07/2010 par want2beaslave

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C'est la deuxième fois qu'elle passe devant nous depuis que nous sommes en pause, toujours accompagnée de sa copine. Je ne connais pas son prénom ni dans quelle promo elle est, mais peu importe après tout.
Cela fait longtemps qu'on l'a remarqué et qu'on en parle. Elle n'est pas très grande, porte ses longs cheveux bruns dénoués. Elle est habillée, comme à son habitude, tout en noir, un pantalon fin et moulant à souhait.

Le fait qu'elle soit super jolie additionné au fait qu'il y a peu de fille dans cet IUP fait qu'il est difficile de la rater.

Et hop, la voilà qui repasse devant nous nous narguer, seule cette fois ci. Je n'ai plus de doute, j'ai appris à les reconnaître, et là sous son pantalon noir c'est un string j'en suis sûr.

Le couloir s'est un peu dégagé, je peux la suivre des yeux jusqu'à la fin de son périple, la porte des toilettes, à une vingtaine de mètres de moi.

Après avoir eux aussi suivi des yeux son déplacement, mes camarades rentrent pour reprendre le cours. Tous sauf moi, je m'éclipse en direction des toilettes. Personne ne devrait le remarquer, le cours à venir étant assez soporifique et propice aux longues siestes.

La première porte s'ouvre sur deux autres, à droite les hommes, à gauche les femmes. Je laisse se refermer la première porte et j'écoute. Rien à droite, à gauche le bruit de l'eau qui s'écoule d'un robinet.

J'hésite. La pause est terminée depuis plusieurs minutes, les étudiantes se comptent sur les doigts de la main dans le coin, la porte de gauche ne devrait pas être ouverte souvent au cours des prochaines minutes.

La porte de gauche, visiblement beaucoup moins sollicitée que celle de droite, s'ouvre et se referme discrètement. Je m'avance sans me faire remarquer, jusqu'à me placer quelques centimètres derrière la fille que j'ai pisté jusqu'ici. Elle est penchée en avant, les mains sous l'eau en train de se rincer le visage, et n'a visiblement pas senti ma présence.

Je me vois dans la glace au dessus du lavabo, et je n'ose plus bouger, me demandant même ce que je fais ici et si je ne ferais pas mieux de sortir d'ici au plus vite avant que les choses ne commencent à mal tourner.
Trop tard, elle se relève, me jette un regard interrogateur dans la glace mais n'a pas l'air trop surprise, savait-elle que j'étais là à la contempler depuis une dizaine de secondes ?
Elle ne dit cependant rien, et entreprend de recoiffer ses longs cheveux bruns avec ses mains, pour leur redonner un peu de volume.

J'avais machinalement fait un pas en arrière quand elle s'est relevée, je me rapproche donc de nouveau d'elle, encore plus près que la première fois, ses cheveux venant fouettés mon menton par moment.
Je n'ai jamais été très fort pour reconnaître les parfums, mais le sien, que je sens pour la première en me rapprochant d'elle est vraiment délicieux, et donne envie de se rapprocher encore et encore jusqu'à le sentir directement au creux de son cou.

Je suis déjà très excité par la situation, mon sexe déforme bien mon jean, d'autant plus que je ne porte rien en dessous. Elle ne laisse rien paraître et continue à se recoiffer, même s'il me semble qu'elle ralentit un peu, sûrement troublée elle aussi.
Je me décide finalement à parler, tout en continuant à me serrer petit à petit contre elle.
- « Ça fait plusieurs semaines qu'on t'a remarqué, que tout le monde te remarque d'ailleurs. » Puis j'enchaîne, en parlant toujours à voix basse près de son oreille « On pense que si tu mets autant en avant tes formes chaque jour devant tout le monde c'est que tu as envie de te faire peloter non ? »
Elle écoute attentivement, esquisse un sourire, mais ne répond rien. J'en conclus qu'il dit y avoir une part de vérité là dedans.

Je suis maintenant complètement collé contre elle, sa tête sur mon épaule droite, mon sexe au creux de ses fesses. En baissant les yeux par dessus son épaule j'ai une vison plongeante merveilleuse sur son décolleté, un soutien-gorge en dentelle blanc et des seins qui confirment tout le bien qu'on pensait d'eux en les voyant de profil. Je respire à plein nez son parfum enivrant, l'idée de rebrousser chemin est loin, comment diable avais-je pu y penser d'ailleurs ?

Elle a baissé ses 2 bras, l'un est posé devant elle avec la main dans le lavabo, l'autre est pendant le long de son flanc. Elle me regarde fixement dans la glace, comme si elle venait à peine de réaliser ce qui est en train de lui arriver.

Je ne lui laisse pas le temps de réagir et de se défaire de mon étreinte, je caresse d'une main ses côtes puis son ventre, et de l'autre je commence à lui caresser un sein.

Elle ne bouge toujours pas, peut être ne me pensait-elle pas capable de passer à l'acte, ou se sentait-elle assez forte pour se retourner et me mettre une claque si j'osais la toucher, toujours est-il que je suis là avec maintenant ma deuxième main qui remonte et qui s'empare de son autre sein.

Elle regarde encore dans la glace, mais cette fois ci c'est elle qu'elle observe, en train de se faire peloter par un étudiant auquel elle n'avait jamais prêter attention auparavant, ou tout au plus elle l'avait rangé une fois dans la catégorie « étudiant mateur en manque » suite à des coups d'oeil répétés en sa direction.

Je prends maintenant à pleines mains ses seins, et il faut bien ça vu leur taille. Plus je les caresse et plus j'apprécie leur forme et leur fermeté. Je commence même à sentir raidir ses tétons, elle a l'air d'apprécier le traitement que je lui réserve.
Je bande de plus en plus fort, et à force de me frotter contre ses fesses elle a forcement dû le remarquer.

Elle a l'air d'être en pleine réflexion intérieure, elle ne pensait pas se retrouver à la merci d'un étudiant inconnu, mais d'un autre côté son corps semble apprécier et souhaite sûrement continuer l'aventure. Le visage calme d'il y a quelques minutes à laisser place à un visage beaucoup plus troublé.

Pour finir de la décider je me baisse légèrement, j'écarte ses cheveux et je viens l'embrasser dans le creux du cou, d'abord des petits baisers puis des suçons. Elle réagit enfin, place une main dans mes cheveux et une autre sur mes fesses, c'est bon signe.
J'en profite pour accélérer les mouvements sur ses seins, pour baisser une épaule de son pull et descendre la bretelle de son soutif. J'embrasse ensuite son épaule nue.

Elle place ses bras derrière moi et me sert fort contre elle. Mon sexe, qui a réussi a se redresser dans mon jean, se retrouve plaqué entre ses fesses.
Il faut que je me calme, il ne faudrait pas que je me laisse aller maintenant, j'essaye donc de faire le moins de mouvement possible avec mon bassin, le contact du jean est très excitant, mais celui de ses mains le serait encore plus. Mais nous n'en sommes pas encore là.

Je reprends ses seins en main, et je continue à baisser son soutien gorge d'un côté jusqu'à sortir son sein du doux nid qui l'accueillait jusqu'alors. Je le prends tout de suite en main, et je constate avec plaisir que mes impressions étaient justes, sein très ferme et tétons bien durs !

De mon autre main je me décide à explorer un peu plus bas, je descends sur son ventre, passe en revue les différents boutons de son pantalon, ça sera utile pour plus tard je l'espère, puis caresse sa cuisse. Je descends le plus bas possible puis je reviens sur l'intérieur de la cuisse et? je rêve ou' non c'est bien humide, elle est même toute mouillée ! Elle apprécie ce que je lui fais depuis le début mais n'a rien laissé paraître la petite garce !

Je continue donc l'exploration de cette zone que je croyais aride mais qui se retrouve finalement être une vraie jungle tropicale. Je passe sur l'autre cuisse, puis je termine avec son entre cuisse directement. Je commence quelques mouvements circulaires avec mon index, et je lui arrache son premier gémissement.

Je prends un instant pour regarder la scène dans la glace, la situation est terriblement excitante. Je suis derrière une fille sublime, avec une main sur son sein dénudé et une autre en train de jouer avec son entrejambe complètement trempée. La fille est cambrée, une main sur mes reins et une autre dans mes cheveux, elle a la tête posée en arrière sur mon épaule et les yeux fermés. Je n'aurais pu imaginer pareille situation ce matin au réveil.

Dans mon repérage précédent j'avais remarqué son pantalon pas trop serré, je tente donc de rentrer sans tout défaire. J'atteins rapidement son string, et je continue à descendre, constatant encore une fois l'ampleur de l'inondation de la zone. Son string colle à sa peau et épouse la forme de ses lèvres, il ne m'est donc pas difficile de savoir où mettre mes doigts pour lui arracher un deuxième gémissement, bien plus fort et long que le précédent.
Je viens avec mon autre main caresser sa cuisse également, elle se cambre encore plus, ne laissant que sa tête et ses fesses au contact de mon corps.

Je continue à accentuer les caresses, mais elle est aussi décidée à ne pas se laisser aller, ou tout simplement décidée à reprendre un peu le contrôle de la situation, elle retire mes mains et se retourne.

Elle m'embrasse tout de suite à pleine bouche sans me laisser le temps de comprendre ce qui est en train d'arriver. Elle passe ses mains derrière ma taille, je fais de même en caressant les courbes délicieuses de ses fesses, j'en avais tellement envie après les avoir vu passer plusieurs dizaines de fois devant mon nez.

Je commence calmement puis je la plaque de plus en plus fort contre mon bassin. Je sens sa poitrine à demi nue contre la mienne, ses mains sont passées sous mon tee-shirt et caresse à présent mon dos.
Toujours enlacée, elle m'entraîne dans un demi-tour, et je me retrouve appuyer contre le lavabo. Nos langues se séparent dans un glapissement de salive. Elle entame ensuite une descente avec sa langue, d'abord mon cou, puis ma poitrine où ses mains viennent en renfort pour titiller les tétons à travers le tissu de mon tee-shirt qu'elle ne semble pas décider à enlever.

Elle finit par se mettre à genoux devant moi, caresse la bosse de mon pantalon avec ses mains, puis elle y va avec sa bouche, simulant quelques vas-et-vient à travers le jean. Il faut que je la sorte, je ne peux plus tenir comme ça, et je crois qu'elle l'a bien compris. Elle commence à défaire un à un les boutons empêchant encore le diable de sortir de sa boîte, tout en prenant soin de laisser la ceinture pour ne pas baisser le jean.
Après avoir tout déboutonné, elle essaye, non sans difficulté, de faire sortir mon sexe vers la lumière.
Je l'aide un peu et puis enfin le voilà à l'air libre, que ça fait du bien. Elle commence quelques lentes caresses, dans le but de vérifier mon état d'excitation, même si elle a déjà dû le sentir tout à l'heure quand j'étais serré contre elle.

S'apercevant qu'il manque quelque chose, elle remet une main dans l'ouverture de mon jean et part à la pêche aux couilles. Elle en trouve une puis deux qu'elle repose délicatement en dehors. Cela a pour effet de rendre son sexe encore plus droit et impossible à mettre à l'horizontal, l'obligeant ainsi à remonter légèrement.

Elle commence par me branler doucement d'une main, elle passe l'autre main entre mes jambes pour venir se promener dans ma raie, et s'arrêter de temps en temps sur mon petit trou à travers le jean.
Sa langue rentre en jeu ensuite, elle me lèche d'abord les couilles, puis remonte délicatement le long de ma queue, pour finalement jouer avec le bout de mon gland.

Puis sans demander son reste elle gobe tout ça, et je ne peux retenir un gémissement de surprise et de plaisir. Elle me garde en bouche un long moment sans bouger, seules ses mains caresses doucement mes bourses.
Elle commence ensuite des allers-retour avec ses lèvres, en s'aidant de sa main, et je viens buter régulièrement au fond de sa bouche.

Mon sexe est tellement tendu et mes bourses pleines que l'ouverture de la braguette devient trop petite, et ça commence à devenir douloureux. Mais le traitement qu'elle réserve à ma queue me fait rapidement oublier ce détail.
Elle accélère le mouvement, et laisse ruisseler de plus en plus de salive le long de ma queue, chaque mouvement de sa bouche se termine maintenant par un petit clapotis.

Par deux fois je suis au bord de la jouissance, mais elle sait y faire visiblement, en se retirant juste à temps. Elle semble ne pas vouloir lâcher de si tôt ma queue, ce qui je dois l'avouer n'est pas pour me déplaire.
Après l'avoir laissé se reposer quelques instants tout en le dévorant du regard, elle enfourne une énième fois mon sexe. J'appuie ma main sur sa tête comme pour l'inciter à aller encore plus loin.

Je redescends sur terre quand j'entends le bruit de la chasse d'eau du wc voisin. Les toilettes comportent un première pièce avec un lavabo là où nous sommes actuellement, et une porte au fond qui donne sur le wc. Je n'y avais pas fait attention en entrant, mais je le vois maintenant, le loquet de la porte du wc est au rouge, il y a quelqu'un là dedans !

La fille, dont je ne connais toujours pas le nom, et qui s'affaire à genou devant moi depuis tout à l'heure n'a visiblement rien entendu, ou en tout cas elle fait comme si. Elle est de dos de toute façon, et ne verra rien de ce qui se passera derrière elle.

Je suis tétanisé, incapable de faire le moindre mouvement et de me défaire de cette étreinte ou au moins d'alerter mon amante. De toute façon il est trop tard, le loquet vient de s'ouvrir, dans quelques instants je serai fixé.

C'est? non !
?
C'est Corinne !

C'est une de mes profs, c'est peut être même la prof du cours dans lequel je suis censé être en ce moment, je sais plus.
?
Ah si c'est bien ça, ça me revient maintenant.
Depuis combien de temps était elle là dedans à écouter nos ébats ?
Avait-elle bien compris la situation depuis l'intérieur de sa cellule ? N'osait elle pas sortir avant ?
Depuis combien de temps étais-je ici ?

Aucune idée, et impossible de se concentrer pour réfléchir à ça. La surprise et la honte m'ont fait oublier l'essentiel, mais l'étudiante devant moi continue à me pomper goulûment, et le plaisir reprend rapidement le dessus.

Corinne ne semble pas surprise de nous voir ici, elle avait sûrement tout entendu. Elle a plutôt l'air choquée en voyant la scène torride qui se passe sous ses yeux, un étudiant à qui elle enseigne assez souvent en train de se faire sucer par une étudiante dans les toilettes de l'IUP.

Elle me regarde droit dans les yeux quelques secondes avec son air ébahi, puis son regard se pose sur l'étudiante, elle essaye sûrement de deviner qui peut se cacher derrière cette touffe de cheveux en mouvement.

Comme encouragée par la présence derrière elle, l'étudiante accélère ses gestes, cette fois-ci c'est sûr elle ne s'arrêtera pas. Troublé par le regard et par la présence de Corinne je ne peux résister plus longtemps. Je ferme les yeux, pousse un long râle et je jouis dans la bouche mon amante qui n'a pas cessé de me sucer.

Il me faut quelques instant pour reprendre mes esprits, et quand je suis revenu à moi j'ouvre les yeux, Corinne a disparu. En baissant les yeux je vois l'étudiante qui vient de me faire jouir, elle me sourit, des traces de sperme au coin des lèvres. Elle en a aussi laissé tomber sur son sein dénudé et sur son pull noir. Je ne pensais pas pouvoir faire sortir tout ça de ma queue !

Elle se redresse et vient me faire goûter ma semence dans un baiser passionné. Je lui nettoie les lèvres et le menton, puis mon sperme passe d'une bouche à l'autre. Elle finit par tout avaler et sort sa langue de ma bouche.

Elle se retourne, me présente sa croupe et vient se frotter contre moi. Elle n'est visiblement pas rassasiée et veux que je lui rende la monnaie de sa pièce !
Je pose mes mains sur son ventre, elle les prend avec les siennes et vient me guider plus bas. Elle me fait caresser ses cuisses puis nous remontons vers les boutons de son pantalon. Je comprends rapidement qu'elle veut que je les défasse, et je m'exécute aussitôt.
Ma bonne connaissance du terrain me permet de tous les défaire rapidement, je l'aide ensuite à baisser son pantalon tout en caressant ses cuisses.
Je vois enfin le string blanc que j'avais deviné au toucher tout à l'heure.

Elle reprend mes mains et continue à me faire explorer son jardin pas si secret. Son string est toujours autant trempé, et ça commence maintenant à couler le long de ses cuisses.
Mais avant que je puisse recommencer à la masturber comme tout à l'heure, elle se libère, me repousse du lavabo et s'y assied, le pantalon toujours sur les genoux.

Elle passe la main dans son string et commence à se caresser tout en continuant à me regarder dans les yeux.
Eh mais c'est à moi de faire ça ! Est ce que je me suis branlé moi tout à l'heure ?
Je me baisse donc, passe sous ses jambes et je remonte, je suis maintenant prisonnier entre son pantalon et son entrejambe.

Elle n'attendait visiblement que ça, elle cesse ses caresses, m'attrape par les épaules et m'entraîne avec elle dans son recul. Elle est pratiquement à l'horizontal maintenant, assise sur le rebord du lavabo elle se tient sur les coudes, et sa tête touche la glace derrière elle.

Je l'embrasse une nouvelle fois rapidement, puis redescends avec ma bouche sur son corps comme elle a fait pour moi tout à l'heure. Je m'arrête d'abord sur son sein assaisonné avec ma sauce, je le masse délicatement et mordille le téton en même temps.

Je continue ma descente doucement, mes mains partent en éclaireur se promener sur ses cuisses. J'arrive enfin en terre promise, et je respire à plein nez l'odeur qui y règne.

J'approche ma bouche et commence à brouter le tissu de son string. Il recolle rapidement à sa peau et je peux distinguer facilement ses lèvres gonflées. Je continue à aspirer tout ce que je peux, pour ne pas me noyer si je dois rester prisonnier ici longtemps et si le niveau des eaux monte encore.

Sentir ma langue sur sa chatte à travers son string semble lui procurer beaucoup de plaisir à en juger par sa respiration bruyante. Elle pose d'ailleurs ses 2 mains sur ma tête pour m'appuyer encore plus contre elle.

Mes mains en revanche s'éloignent, je viens d'un côté malaxer une nouvelle fois son sein, et de l'autre après avoir écarté la ficelle remontant derrière son string j'accède à son petit trou et je commence à lui titiller.
Ma langue s'active, je continue de lécher tout ce qui passe à porter. Je trouve finalement son clitoris avec lequel je joue quelques instants.


A mon tour de la faire patienter, je me recule légèrement et l'observe. Elle ne peut visiblement pas attendre, elle passe une main dans son string pour se caresser, mais je lui prends le bras pour l'en empêcher.

Elle se relève pour voir ce qui se passe, je réponds à son regard d'imploration par un sourire complice.

Après cette pause de quelques secondes je repars à l'assaut. Je lâche ses poignets et elle replace ses mains sur ma tête pour me garder serré contre son intimité.
Je continue à lécher et à aspirer avidement sa chatte, je la pénètre de temps en temps avec ma langue, me retrouvant ainsi avec le nez au contact de sa peau, quelle odeur et quelle douceur !

Alors qu'elle a de plus en plus de mal à étouffer ses gémissements, la porte des toilettes s'ouvre soudain.
Deuxième fois que je me fais prendre la main dans le sac, ou en l'occurrence la langue dans le sac. Qui cela peut-il bien être encore ?
Avec ses jambes autour de mon cou et ses mains qui me tiennent la tête enfoncée je ne peux pas me relever et voir ce qu'il y a derrière moi. Je ne sais pas ce qui se passe mais en tout cas elle continue ses gémissements quelques secondes, nullement gênée.

L'étau se desserre légèrement, je peux reprendre ma respiration et jeter un coup d'oeil dans la glace : c'est encore Corinne qui est ici !

Vient-elle participer ? Vient-elle me chercher car mon binôme à besoin de moi ? Vient-elle avec un responsable de l'université pour nous demander de nous arrêter ?

Visiblement gênée, elle ne nous regarde pas, fonce vers le lavabo et ouvre le robinet.

Je prends le temps de la détailler cette fois ci. Elle est presque aussi grande que moi, ses cheveux teints en roux sont attachés en queue de cheval. Elle porte un chemisier blanc qui ne laisse pas paraître grand chose, une jupe noire bien serrée assez longue, et des bottes noires qui remontent jusqu'aux genoux.

Je croise le regard de ma partenaire, et je comprends rapidement ce qu'elle veut, la même chose que moi !

Corinne se tient un doigt dans un mouchoir ensanglanté, elle a dû se coupé légèrement et elle vient se nettoyer. Elle nettoie également le bas de son chemisier taché de rouge, tout en nous évitant au maximum du regard.
Ma partenaire prend l'initiative, elle se relève et passe la paume de sa main sur la joue de Corinne. Occupée avec ses 2 mains à nettoyer son chemisier, Corinne ne réagit pas.

La main passe de la joue au cou, puis à la poitrine, et avec un doigté expert défait le premier bouton.
Corinne a fini son affaire, elle a coupé l'eau et aurait déjà dû partir. Je sens que c'est le bon moment pour que j'intervienne à mon tour si on veut qu'elle reste un peu plus longtemps avec nous.
Toujours placé entre les jambes de ma première partenaire, je vais explorer de mon bras gauche d'autres horizons.
Je pose d'abord ma main sur les fesses de Corinne, la forme n'est pas aussi prononcée que celui que j'ai sous le nez depuis quelques minutes, mais ça reste néanmoins un très joli petit cul.

Toujours pas de réaction de Corinne, je décide donc de passer à l'étape suivante pour la décider rapidement avant qu'elle ne parte pour de bon.
Ma main descend sur l'extérieur de sa cuisse, sa jupe très fine laisse peu de doute sur ce que je vais trouver dessous. Arrivé à mi-cuisse je sens une épaisseur en plus, madame doit sûrement porter des bas.
Une fois au genou je contourne la cuisse, place ma paume à l'intérieur et je remonte tout doucement. Je prends soit de bien remonter la jupe en même temps que je remonte ma main.
Je découvre qu'elle porte bien des bas, et m'amuse quelques instants avec eux.

Je relève la tête pour voir comment s'en sort l'étudiante avec sa prof. Eh beh ! Je pensais avoir été très loin dans mon exploration du corps de Corinne, mais elle a fait encore mieux !
D'après ce que je vois dans la glace, la moitié des boutons a été enlevé, je devine un soutien-gorge bordeaux dessous.
La main de l'étudiante s'est aventurée à l'intérieur et est en train de peloter Corinne. Elle a mis son autre main derrière sa nuque pour la rapprocher d'elle.

Corinne regarde fixement les seins de ma nouvelle copine, l'un dénudé et maculé avec mon sperme, l'autre encore bien au chaud dans son nid. Elle semble envieuse de cette magnifique poitrine.

Pour mon plus grand plaisir je vois la main de Corinne empoigner le sein couvert face à elle, et son visage, tiré par la main de l'étudiante sur sa nuque, se rapproche de l'autre sein fièrement exposé par ma partenaire.

J'arrête mon travail sur ses cuisses, elle est conquise et ne devrait plus partir, et je redescends finir mon boulot entre les cuisses de l'étudiante tout en gardant un oeil attentif sur ce qui se passe en haut.

J'attends de voir les lèvres de Corinne se poser sur le téton dressé pour moi aussi passer à l'action en même temps.
Elle pousse un cri de surprise mais surtout de plaisir, et je la comprends, ça doit être extraordinaire de se faire lécher deux parties sensibles par deux personnes différentes en même temps.

Ici les derniers sacs de sable ont été emportés par les inondations toujours aussi violentes. Ça a dégouliné de partout, le long de sa raie et sur ses fesses. Je me demande comment elle peut encore tenir dans cette position sans glisser et tomber du lavabo. Il va falloir faire attention pour pas qu'elle ne se fasse mal, ça serait dommage de finir ainsi.

Son gémissement est presque continu, on est proche de la fin visiblement. Je regarde en haut pour voir comment s'en sort Corinne, et je la découvre affairée toujours sur le même sein, en train de lui donner des coups de langue. Je la soupçonne de nettoyer tout le sperme qui se trouve aux alentours, mais après tout c'est peut-être mon imagination qui me joue des tours.

J'accélère mes coups de langue, je veux lui rendre la monnaie de sa pièce, et je ne m'arrêterai pas en chemin. Elle a replacé une main sur ma tête et m'enfonce au plus profond d'elle-même. Qu'est ce que c'est bon.
Elle cesse un court instant de geindre, se cambre encore un peu plus comme pour donner toute sa poitrine à Corinne, et finit par lâcher un long râle de jouissance. Son corps est pris de nombreux spasmes, elle ressert encore plus ses cuisses autour de mon cou, au point où j'en ai du mal à respirer. Sa main sur ma tête me colle alternativement contre elle puis me tire les cheveux comme pour me remonter. Cela dure plusieurs secondes, et si quelqu'un passe dans le couloir à ce moment là il est obligé de l'entendre.

Je regarde en haut, Corinne a lâché prise mais continue à regarder admirativement cette merveilleuse poitrine. J'aurais bien continué mon travail ici bas, mais il fait que je m'occupe de Corinne, il ne faut pas qu'elle profite de ce moment d'inattention pour filer discrètement, on a encore envie d'elle.

Je me libère de l'étreinte de ses cuisses, je dois sûrement avoir le coup tout rouge à force. Je la laisse reprendre ses esprits et un peu de force, et je me place derrière Corinne.

Je replace mes mains sur ses fesses, et je continue la remontée de sa jupe. Je la remonte jusqu'à la limite du raisonnable pour une mini jupe. Le haut de ses bas noirs est maintenant parfaitement visible.
Je passe ensuite une main sur son ventre, puis descends lui mettre la main au panier. Je sens sous mes doigts une culotte très douce, mais je ne suis pas expert en la matière pour reconnaître le tissu. En y regardant de plus près je devine qu'elle est bordeaux, assortie au soutif donc.

Mon sexe, qui s'est bien redressé, piaille d'impatience et commence à être jaloux de mes mains. Il est toujours dehors par la braguette de mon jean, et je peux donc facilement le glisser sous la jupe remontée de ma prof.
Guidée par ma main je tapote ses cuisses avec ma queue, puis je me frotte contre sa culotte au niveau de son sexe et je me bloque dans cette position.

Ce contact l'a fait réagir, elle me regarde maintenant au travers de la glace.
Je la masse à travers le tissu avec mon index, et je la sens réagir positivement à ce contact. Elle ondule du bassin et sa respiration devient plus forte.

Encore quelques secondes de ce traitement et elle me laissera sans problème baisser sa culotte et m'introduire en elle.
Mais c'est sans compter sur l'étudiante, qui est redescendue de son nuage et qui s'est relevée. Elle n'a d'ailleurs même pas pris la peine de remettre sa tenue correctement, un de ses seins prend toujours l'air, son string et son pantalon ne sont pas complètement remontés.

Elle a envie de Corinne aussi. Elle la prend par le bras et me repousse en même temps. Corinne se laisse faire et se trouve maintenant à la place de l'étudiante tout à l'heure. Les deux femmes sont face à face. L'étudiante pose ses lèvres sur celles de Corinne pour un court baiser, puis descend le long du corps de son amante et caresse ses petits seins au travers du chemisier.

Je me rapproche à mon tour de Corinne pour essayer de m'emparer de sa bouche laissée libre, mais je suis stoppé une nouvelle fois par ma première partenaire qui se relève aussitôt pour me bloquer l'accès.
De nouveau face à face, elle met ses mains sur les fesses de Corinne, elle finit mon travail en remontant complètement sa jupe autour de la taille de Corinne. Elle lui caresse les cuisses et lui lève une jambe pour lui faire comprendre de s'asseoir sur le rebord du lavabo.

Corinne s'exécute sans mot dire, elle se penche en arrière, appuie sa tête contre la glace et écarte largement les jambes suite aux sollicitations de sa partenaire. Celle-ci ne se gêne pas ensuite, et s'attaque à coup de langue à la petite culotte de Corinne exposée au grand air.
Je viens la rejoindre, écarte un peu plus les jambes de Corinne et place finalement ma tête à côté de la sienne. Ma langue découvre en l'espace de quelques minutes un nouveau jardin secret.
La culotte étant plus épaisse que le string de tout à l'heure, il est difficile d'explorer dans les moindres recoins ce sexe féminin offert à nous, on décide donc de l'enlever. Je soulève Corinne à la taille tandis qu'elle retire sa culotte et l'envoie valser à l'autre bout des toilettes.

On reprend place ensuite, nos langues glissent sur la chatte lisse de Corinne, et s'entremêlent parfois dans des baisers humides. Après avoir caressé à l'aveugle le haut de son corps, nos mains redescendent et viennent jouer avec ses fesses et titiller son petit trou.
Corinne essaye de cacher au mieux ses émotions, mes ses gémissements à chaque nouveau coup de langue ne sont pas très discrets.

Je finis par la pénétrer avec mon index, et je suis bientôt rejoint par mon amie qui fait de même. Nos doigts se promènent à l'intérieur de son sexe, tandis que nous continuons nos caresses buccales.

L'étudiante, égoïste, veut ce sexe pour elle toute seule. Elle me repousse un peu et se met bien en face pour coller sa bouche contre les lèvres ouvertes de Corinne. Elle aspire goulûment tout ce qu'elle peut.
C'est l'occasion pour moi d'aller superviser les opérations d'en haut, m'occuper de ses seins et de sa bouche en espérant ne pas être une nouvelle fois dérangé.
Je me retire donc et me remets debout. Mon sexe qui est toujours en dehors de mon pantalon et qui est toujours autant dressé vient frotter contre la joue de l'étudiante.

Corinne est toujours penchée en arrière, les yeux fermés, et en train de gémir bruyamment. Je me rapproche encore pour l'embrasser quand j'entends une nouvelle fois la porte s'ouvrir. En regardant dans la glace je ne vois personne, et les 2 filles n'ayant pas changé leur attitude je me demande si je n'ai pas rêvé. Je me retourne quand-même pour en être sûr, et je n'ai pas rêvé, quelqu'un se trouve sur le pas de la porte en train de nous observer attentivement. Ou en tout cas de regarder les 2 filles, puisque elle n'a pas vu que je l'ai remarqué.

C'est Fanny qui vient d'entrer. Une autre étudiante, qui est d'ailleurs dans ma promo. Elle doit être en train de se balader en attendant la prof pour son cours, qui n'aura d'ailleurs sûrement pas lieu vu l'état actuel de Corinne.

Fanny est l'une des rares filles de la promo et de tout l'IUP d'ailleurs. Elle aussi on ne peut pas la rater, ses tenues mettant souvent en avant sa jolie silhouette. Elle porte aujourd'hui un débardeur marron et une jupe assortie très courte, qui est assez large et qui doit se soulever au moindre coup de vent.

Fanny me regarde enfin.
- « Salut Fanny ! » Puis sans lui laisser le temps de réagir j'enchaine : « Il paraît que tu veux faire un cunni à une fille pour voir ce que ça fait, c'est l'occasion ou jamais ! »
- « Comment tu sais ça ? » répond Fanny surprise.
- « Oh tu sais, on connaît beaucoup de chose sur les filles de l'IUP? On l'a bien entamé, je te laisse la finir. »

Je m'approche d'elle et la tire par le bras pour la placer à côté de l'autre étudiante. Elle ne semble pas du tout gênée, passe à côté de l'étudiante puis la pousse un peu pour se faire une place.
Elle ne s'accroupit pas comme sa voisine, mais se penche en avant en gardant ses magnifiques jambes bien droites.
Sa position en angle droit fait remonter énormément sa petite jupe, et il s'en faut de quelques centimètres pour que je ne vois ce qu'il y a dessous sans même y toucher.
Évidemment dans ces conditions la tentation est trop forte. Mais bon elle l'a cherché, se pencher en avant comme ça avec une telle jupe c'est vraiment une allumeuse.

Je m'approche de Fanny, je place une main sur sa hanche et de l'autre je caresse l'intérieur de ses cuisses. Je remonte progressivement, passe le cap de sa jupe, et rentre en contact avec le tissu caché. Cela semble être un autre string, comme à son habitude d'ailleurs.

Je masse délicatement son entrejambe puis joue avec la ficelle de son string, elle ne semble pas indisposée du tout, peut-être que c'est ce qu'elle cherchait en se mettant ainsi?
Je m'approche par devant maintenant avec mon autre main, pour accentuer les caresses.

Les 2 étudiantes semblent s'entendre à merveille pour brouter Corinne, et à les voir on se demande si c'est vraiment la première fois qu'elles font ça. Corinne a les jambes relevées et très écartées, et elle a ses deux mains sur les deux tête brunes devant elles.

Je viens me serrer contre le cul de Fanny, ma queue toujours dehors viens baver sur sa jupe. Je la glisse en dessous, et au contact de son string je constate avec plaisir l'excitation de Fanny, je n'ai donc même pas besoin d'aller lubrifier tout ça, ça devrait rentrer tout seul.
J'écarte son string et je recherche la porte d'entrée. C'est finalement la main de Fanny qui me guide vers l'entrée secrète.

Oh que c'est chaud ! Je reste quelques instants ainsi à profiter de l'instant. Je la prends ensuite par les hanches, et je commence des doux vas-et-vient en elle.

Les deux filles ne veulent pas finir de suite Corinne, et elles s'arrêtent souvent pour faire baisser légèrement l'excitation de leur prof. Elles en profitent pour s'embraser pendant l'intermède.

J'accélère petit à petit, et la langue de Fanny se déplace sur le sexe de Corinne au rythme de mes coups de queue, et les gémissements de Corinne suivent la même cadence, Fanny ayant pris le meilleur sur sa voisine.
Je me penche ensuite en avant sur Fanny, et je saisie à pleines mains ses 2 seins. Ils sont un intermédiaire entre ceux de l'autre étudiante et ceux de Corinne. Je sens ses tétons durcis à travers son débardeur, et je m'empresse de les exciter encore plus.

Corinne semble arriver bientôt à la fin du voyage, je me retire donc de Fanny pour aller voir ailleurs tant qu'il en est encore temps.
La première étudiante est toujours accroupie, je la prends par les hanches pour la relever et la mettre dans la même position que Fanny.

Je me baisse derrière elle et glisse ma langue sur son entrejambe pour ré-humidifier tout ça, mais je me rends vite compte que ce n'est pas nécessaire, rien n'a séché depuis tout à l'heure. Je me relève donc et m'introduis facilement en elle.

D'une main je profite encore un peu de la poitrine de la première étudiante, de l'autre je me glisse vers Fanny, repasse sous sa jupe et caresse sa chatte au travers de son string.

Heureusement que j'ai déjà éjaculé il y a quelques minutes, parce que sinon là j'aurais vraiment eu du mal à tenir plus longtemps.

Je serais bien resté encore quelques instants dans cette position, mais c'est sans compter sur le talent des deux étudiantes qui emmènent rapidement Corinne à la jouissance. Elle sert les dents et fait tout se qu'elle peut pour le cacher, mais elle vient d'avoir une montée de plaisir énorme.

Les 3 femmes se relèvent ensuite, j'espère pouvoir explorer l'intérieur de Corinne, la seule qui manque à mon tableau de chasse, mais Fanny en décide autrement.
Elle empoigne ma queue, s'accroupit devant moi et gobe mon sexe trempé par ses deux récentes expéditions.

Fanny n'y va pas par quatre chemins, elle a envie de me voir jouir rapidement. Elle me branle vivement d'une main, et avec sa bouche elle traite divinement mon gland.
Je suis sauvé de justesse par les deux autres femmes qui viennent se placer de chaque côté de Fanny, et qui lui enlève son jouet de la bouche.

C'est l'autre étudiante qui prend le relais, dans un style plus doux mais pas pour autant moins efficace que celui de Fanny.
Corinne ne prend toujours pas d'initiative, et c'est Fanny, dés'uvrée, qui la pousse vers moi, sort ma queue de la bouche à sa voisine et l'enfile dans celle de Corinne.
Elle resserre l'étreinte autour de mon sexe et je commence des mouvements de va et vient dans sa bouche, et je la bloque avec mes mains sur sa tête.
Je viens plusieurs fois buter contre le fond de sa gorge. Je relâche la pression finalement pour la laisser respirer.

Je me décale pour offrir une position parfaite aux deux autres filles, qui dans un duel de langue se battent pour savoir qui aura le privilège de prendre mon sexe en bouche.
C'est finalement Fanny qui après une lutte acharnée l'emporte, l'autre étudiante devra se contenter de mes couilles.
Je commence à fermer les yeux et à me préparer à une nouvelle distribution de sauce blanche, mais je les réouvre vite quand je sens le contact d'une troisième langue sur ma queue.
Corinne est sortie de son apathie et vient pointer le point de sa langue, je n'en demandais pas tant !

Trois langues qui se promènent sur mon sexe, difficile d'y résister. Sentant mon heure venir et ayant déjà reçu ? avalé ? sa dose, la première étudiante se relève et vient derrière moi. Elle prend en main mon instrument et commence à me branler.

J'ai une main dans les cheveux de chacune des deux femmes restées devant moi, et je les retient légèrement pour ne pas qu'elle cesse leurs activités. Fanny et Corinne me regardent tour à tour pour savoir où j'en suis.
Sous les caresses de ses deux langues et de cette petite main j'arrive rapidement au point de non retour.

La fille derrière contrôle le rythme des opérations. La situation est à l'inverse de la première fois, c'est moi qui suis cambré et qui vient poser ma tête sur son épaule.
Je relâche toutes pressions sur les 2 femmes devant, mais avant que Fanny n'ait eu le temps de se dégager complètement un premier coup vient frapper l'intérieur de sa bouche. L'effet de surprise est total, et elle lâche prise.

L'étudiante derrière moi qui ne perd pas une miette du spectacle grâce au miroir joue parfaitement son rôle de chef d'aiguillage et man'uvre rapidement en direction de Corinne. Pas assez rapidement puisque le second coup est un coup dans l'eau, et en l'occurrence ici c'est la chemise de Corinne qui ramasse.
Ma queue finit quand-même sa course dans la bouche de Corinne, qui maintenue par la main de l'étudiante derrière moi n'a eu pas le choix. Je finis donc par vider le peu qu'il me reste en elle. C'est Fanny qui m'arrache un dernier soupir en venant remettre sa langue sur mon sexe baveux.

Après ça le silence revient, et j'entends au loin du bruit dans le couloir, sûrement une nouvelle pause.

Quand je réouvre les yeux, Corinne ne nous regarde pas, honteuse de s'être laissée emporter là dedans. Elle baisse sa jupe de sorte à ce qu'on ne voit plus le haut de ses bas et reboutonne son haut. Elle sort précipitamment des toilettes, elle en oublie d'ailleurs le sperme qu'elle a sur chemisier. Blanc sur blanc ça ne se verra pas, par contre elle aura pour le reste de l'après midi mon odeur intime sous le nez? D'ailleurs en parlant de ça, je ne l'ai à un aucun moment entendu recracher le jus qu'elle m'a si bien pompé. Elle devait avoir hâte de nous laisser pour en arriver là.

Fanny a également avalé je suppose, mais venant d'elle ça me surprend moins. Pendant que je regardais Corinne, elle a remonté son string qui traîné depuis tout à l'heure à mi-cuisse, et est maintenant en train de reprendre une allure convenable devant la glace. Elle ne s'attarde pas plus, et sort à son tour des toilettes, avec un petit clin d'oeil au passage.

L'autre étudiante semble moins pressée de partir, elle revient face à moi et m'embrasse, mon sexe toujours dans sa main. On reste encore quelques minutes enlacés, mais le temps presse, si c'est vraiment une nouvelle pause qui à commencé il ne faudrait pas se faire surprendre encore, on n'aura pas toujours la chance de tomber sur des personnes compréhensives comme ça a été le cas les deux dernières fois.

Elle l'a très bien compris aussi, et me rhabille. Elle rentre le diable dans sa boîte, non sans avoir pris le soin de lui donner quelques coups de langue pour le nettoyer. Je fais de même avec elle, je remonte son string et son pantalon, je reboutonne tout ça en ne me privant pas au passage de ses courbes parfaites. Pendant ce temps elle a nettoyé sur son sein les dernières traces de nos ébats, j'arrive juste à temps pour le peloter encore un peu et le remettre à sa place.

Elle quitte ensuite les lieux, et je me retrouve seul dans les toilettes pour filles.

Tiens Corinne a oublié sa petite culotte, il faudra que je lui rende au prochain cours'