Des libertins au mariage de leur nièce.

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Proposée le 26/06/2010 par Marc Paul

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Audrey et Alex étaient invités au mariage de la nièce de Alex, la fille de sa s'ur aînée. Ils appréciaient particulièrement ce genre de fête car le couple de libertins qu'ils formaient, adapte de l'échangisme et des aventures en tout genre, trouvait là matière à satisfaire leur goût des aventures extra conjugales.

En général, ils avaient l'un et l'autre plutôt du succès. Audrey, la trentaine dépassée de quelques années, était une grande et belle femme. Elle avait quelques rondeurs bien placées qu'elle assumait complètement et était particulièrement fière de sa poitrine qui attirait le regard des hommes. Elle n'hésitait d'ailleurs jamais à la mettre en valeur par des décolletés avantageux.
Alex, un peu plus près des quarante ans que sa femme, avait un corps de sportif accompli. Grand, musclé, il arborait un visage carré plutôt viril qui faisait généralement un effet certain sur la gent féminine.

La réception avait lieu dans un hôtel que les parents des jeunes mariés avaient réservé entièrement, le restaurant et le parc pour la réception et les chambres pour loger les invités.

Dès le début de la réception, les groupes de personnes se formaient autour du buffet, continuaient leurs discussions dans le parc, puis se séparaient pour se reformer ailleurs.

Après avoir fait le tour de leur famille, Alex et Audrey décidèrent de se mettre en chasse. Ils avaient déjà sélectionné leurs proies respectives autour du buffet. Audrey avait remarqué un jeune homme de vingt ans environ. Il était blond, avait un visage d'ange et semblait un peu timide. Il restait seul près du buffet et avait rougi quand Audrey lui avait adressé la parole. Mais elle avait bien remarqué que le regard du jeune homme s'était fixé sur l'endroit habituel où tous les yeux masculins convergeaient ? le profond sillon qui séparait ses seins.

Audrey partit donc à la recherche du jeune homme pendant qu'Alex commençait son travail de séduction sur une femme d'une bonne quarantaine. Il l'avait repérée pendant la cérémonie, elle ne semblait pas accompagnée. Ce serait plus simple car même si la présence d'un mari ne constituait pas un obstacle insurmontable, une femme seule était toujours plus facile à séduire.

Alex retrouva sa proie vers un des buffets de dessert et engagea la conversation. Il se présenta :
- Bonjour, je suis l'oncle de la mariée, je m'appelle Alex.
- Enchantée, moi c'est Stéphanie, et je suis la tante du marié.
Alex et Stéphanie parlèrent de choses et d'autres. Au cours de la conversation, Alex apprit de la bouche de Stéphanie qu'elle était divorcée et qu'elle vivait seule. Alex sourit intérieurement : Stéphanie n'était pas accompagnée. Elle n'était pas particulièrement jolie. Un peu trop maigre au goût d'Alex, sa poitrine était menue et son corps sec et anguleux avait du mal à remplir sa robe. Son visage avait des traits un peu durs qu'accentuaient ses cheveux bruns coupés court. Mais Alex pensa qu'à défaut de trouver un canon pour passer la soirée, Stéphanie ferait parfaitement l'affaire du moment qu'elle soit partante pour passer la soirée dans son lit.

Alex débuta son entreprise de charme. Il utilisait tout son art pour envoûter sa future conquête. Cultivé, plein d'humour, il pouvait aborder tous les sujets avec la même facilité et quand il était dans l'ignorance, il s'en tirait par une pirouette, un trait d'humour. Stéphanie buvait ses paroles aussi facilement que les flûtes de champagne qu'il lui tendait. Au bout d'une heure, elle était un peu grise, riait gaiement aux plaisanteries du jeune homme. Stéphanie était conquise par ce jeune homme brillant et drôle, elle était enivrée autant par l'alcool que par sa conversation. Mais surtout, elle était flattée de voir que ce bel homme, plus jeune qu'elle, ne la lâchait pas d'une semelle, lui faisait une cour assidue et ne ratait pas une occasion de lui faire un compliment auquel elle répondait invariablement par un petit rire de gorge.

Audrey n'avait pas perdu son temps. Elle avait retrouvé le beau jeune homme qu'elle avait repéré et commencé les man'uvres d'approche. Fabien, c'était le prénom qu'il lui avait donné, s'était présenté comme un ami du marié. Bien que plus jeune de quelques années que celui-ci, Fabien fréquentait le même club de sport que Vincent, ils avaient immédiatement sympathisé. Audrey discuta longuement avec Fabien autour du buffet. Elle ne perdait pas une occasion de se montrer aguicheuse, elle se tenait très proche de lui, riait beaucoup et fréquemment à la moindre plaisanterie et faisait tout pour attirer l'attention du jeune homme sur son physique. Elle constata avec délice que Fabien la déshabillait du regard. Il lui proposa de danser plusieurs fois et à chaque fois, elle se comporta comme une chatte en chaleur, se collant à lui et frottant son ventre sur le sien pendant les tangos. Une excroissance de bon augure apparut bientôt dans le pantalon de Fabien qui tentait malgré tout de s'éloigner de sa cavalière.

Stéphanie se sentait de plus en plus attirée par Alex. En dansant, les mains de son cavalier lui caressait doucement le dos, s'égaraient parfois sur le haut de ses fessiers. Un peu raide au début, elle se laissait aller maintenant dans les bras d'Alex. Elle n'hésitait pas à lancer son bassin en avant pour un contact plus intime. La protubérance qu'elle sentait contre son ventre l'excitait. Elle voulait aller plus loin et chercha un prétexte pour se retrouver seule avec Alex.
- Mes chaussures neuves me font un peu mal. Je crois que je vais en changer. Je monte dans ma chambre et je redescends. j'en ai pour deux minutes. Ça ne t?ennuie pas ? Dit Stéphanie à Alex.
- Pas de problème. Je vais même t?accompagner. Répliqua Alex avec un sourire charmeur.
Stéphanie accepta d'un petit rire de gorge et se dirigea vers l'ascenseur en compagnie d'Alex. Devant la porte de sa chambre, Stéphanie fut prise d'un scrupule :
- Je te laisse entrer mais il faudra que tu sois sage.
- Ça c'est le genre de promesse que je ne fait jamais à une si jolie femme.
- Mais tu es marié, tu portes une alliance et je t?ai vu en compagnie d'une très jolie femme.
- Oui, elle s'appelle Audrey et c'est ma femme.
- Et si elle se rendait compte de quelque chose ?
- Pas de soucis, nous formons un couple très libre et avons fréquemment des aventures. Nous nous disons tout. d'ailleurs en ce moment, elle doit être en train de tenter de séduire un jeune homme qu'elle trouvait à son goût.
- Ah oui, c'est bizarre que tu ne sois pas jaloux. j'ai quitté mon ex parce que il était d'une jalousie maladive. Ça ne te gêne pas que ta femme couche avec un autre homme.
- Non pas du tout, du moment qu'elle y prenne du plaisir. Ça te choque ?
- Non, simplement c'est surprenant.
Stéphanie était entrée dans la chambre en compagnie d'Alex. Elle se sentait libre et légère de savoir que quoi qu'il arrive, elle ne serait pas la cause d'une dispute entre Alex et sa femme. Elle savourait cet instant, excitée par l'idée de succomber au plaisir dans les bras d'Alex. Une douce chaleur envahissait son ventre et son sexe se gonflait de désir.

Audrey avait remarqué au cours de la discussion avec Fabien qu'il semblait passionné par les voitures. Elle trouva dans cet attrait typiquement masculin le moyen de se retrouver seule avec lui. Elle lui dit de façon tout à fait anodine qu'elle avait un cabriolet de marque allemande. Aussitôt les yeux du jeune homme s'éclairèrent et il lui posa plein de questions sur la voiture. Comme elle ne pouvait pas répondre à tous les détails qu'il souhaitait, elle lui proposa de venir avec elle voir la voiture de près et elle entraîna Fabien vers le parking.
- Ouaah, elle est vraiment superbe. Je rêve d'avoir un jour les moyens de me payer ce genre d'engin.
- Mouais, c'est vrai qu'elle est jolie, mais moi tu sais les voitures', c'est surtout mon homme qui s'y intéresse. Tu veux faire un tour.
- Oh oui, ton mari ne va rien dire.
- Non, ne te fais pas de soucis pour cela.
- Tout de même, j'aurais une aussi belle femme et une aussi belle voiture, moi je n'aimerais pas les prêter à un inconnu.
- Alex, mon homme n'est pas jaloux, ni pour sa femme, ni pour sa voiture. Allez, monte.
Audrey avait ouvert les portes et la capote. Fabien s'assit alors qu'elle mettait le moteur en route.

Le six cylindres ronronnait sur les petites routes de campagne. Audrey conduisait vite et d'une main sûre. Sa robe était légèrement remontée sur ses cuisses potelées. Le regard de Fabien allait de la route vers les jambes de sa voisine. Audrey s'arrêta sur la place déserte d'un petit village :
- Tu veux conduire ? Demanda-t?elle à son passager.
- Oui, volontiers. Répondit gaiement Fabien ouvrant sa portière.
Audrey attendit qu'il ait fait le tour de la voiture pour enjamber le tunnel et le levier de vitesse entre les sièges. Pendant ce mouvement sa robe remonta largement sur ses cuisses découvrant la lisère de ses bas et les jarretelles rouges qui les retenaient. Un fois assise, elle ne prit pas la peine de couvrir ses cuisses et resta comme cela, offerte aux regards de Fabien.

Fabien démarra avec précaution, roula doucement quelques kilomètres et ayant pris l'auto en main se laissa aller à quelques excès de vitesse. Il conduisait bien lui aussi et prenait un plaisir manifeste à conduire la puissante voiture. Puis il ralentit un peu et vanta les charmes de la voiture. Il alla jusqu'à poser sa main sur la cuisse d'Audrey qui ne se déroba pas. La main de Fabien glissait doucement sur le nylon qui gainait ses cuisses. Il partait du genou et remontait doucement, à chaque fois de plus en plus haut, jusqu'à dépasser la lisère des bas et entrer en contact avec la peau nue de la cuisse de sa voisine.
Audrey lui prit la main et la déposa sur le volant :
- Ce n'est pas prudent de conduire d'une seule main.
- Tu ne veux pas ?
- Si, j'en ai envie. Mais il serait beaucoup plus sage d'aller dans ta chambre à l'hôtel.
- OK, tu as raison mais je veux que tu remontes ta robe et que tu quittes ta culotte.
- Je veux bien à la condition que tu gardes les yeux sur la route.
- Promis !
Audrey remonta sa robe sur ses hanches rondes et fit glisser son boxer en dentelle sur ses chevilles. Elle s'apprêtait à le ranger dans son sac à main quand Fabien l'arrêta :
- Donne la moi !
Il prit la petite boule de dentelle, la porta à ses narines et en huma le parfum musqué. Après cela il le glissa dans la poche intérieure de sa veste. Audrey protesta :
- Hé, là? Tu me voles ma culotte.
- Trophée de chasse. Répondit Fabien en riant.
- Attention, tu ne m'as pas encore baisée. Répliqua Audrey sur le même ton.
- c'est vrai mais ça ne saurait tarder. Et pour gagner du temps, tu vas te caresser pendant le trajet du retour.
- Tu es vraiment insupportable. Tu as de la chance que j'ai très envie.
Audrey écarta largement ses cuisses, posa son pied gauche sur le tableau de bord et commença à se caresser voluptueusement. Alors qu'elle était au bord de l'orgasme, Fabien dû s'arrêter à un carrefour dans un village et un homme qui promenait son chien eut la surprise de sa vie en voyant cette belle jeune femme, nue jusqu'à la taille, qui se masturbait frénétiquement et criant au conducteur d'une voix rauque :
- Démarre, dépêche toi, je vais jouir, je vais jouir? Vite.
Fabien démarra en trombe en faisant crisser les pneus, laissant le passant figé sur le trottoir. Audrey se laissa submerger par le plaisir qu'elle se donnait, le bruit du moteur couvrit ses gémissements de plaisir.

Stéphanie, qui tournait le dos à Alex, sentit les lèvres du jeune homme se poser dans son cou, juste en dessous de son oreille. Elle frémit de plaisir pendant que les mains d'Alex glissaient sous ses aisselles pour se mettre en coquille sur ses petits seins. Il les malaxa doucement à travers les vêtements sans cesser de l'embrasser dans le cou ou sur ses lèvres qu'elle lui tendait. Sa main droite glissa le long de son corps jusqu'à ses hanches et fit remonter la fine robe fleurie. Stéphanie était aux anges du contact de cette main douce et chaude sur ses hanches. Elle se retourna et embrassa Alex. Sa langue s'introduisit dans la bouche de son compagnon, s'enroula autour de sa langue pour un baiser langoureux. Tout en l'embrassant, Alex fit glisser la fermeture éclair et la robe de Stéphanie se retrouva sur ses chevilles. d'une seule main experte, il dégrafa le soutien-gorge qui tomba par terre. Il poussa Stéphanie vers le lit jusqu'à ce qu'elle s'y asseye. Stéphanie ouvrit la braguette d'Alex en le regardant droit dans les yeux et en lui souriant. Elle savait ce que les hommes attendaient à cet instant et elle était toute prête à lui donner. Elle fourra sa main dans le pantalon et en dégagea une belle verge, tendue, légèrement arquée. Elle fit glisser sa main sur la hampe, dégageant le gland rose et posa doucement ses lèvres sur ce beau fruit mûr. Alex gémit de plaisir et sa queue grossit encore un peu plus au chaud contact de la bouche de Stéphanie. En lui-même, il était satisfait de sa conquête. Bien sur Stéphanie n'était pas un canon, un peu trop maigre à son goût. Il préférait les femmes pourvues de belles formes, des gros seins, des hanches larges, des fesses rondes. Mais au moins, il ne s'était pas trompé sur l'ardeur de Stéphanie, il n'avait pas eu beaucoup de peine à la conquérir et elle lui faisait une pipe tout à fait délicieuse. Il pensa qu'elle devait être en manque et se promit de lui faire rattraper le temps perdu.

Audrey et Fabien étaient de retour à l'hôtel. Fabien avait garé la voiture pendant qu'Audrey remettait un peu d'ordre dans sa tenue. Ils montèrent dans la chambre de Fabien sans passer par la salle de réception où la fête battait son plein. Audrey eut beaucoup de peine pour empêcher Fabien de la sauter dans l'ascenseur, mais elle réussit tant bien que mal à contenir la fougue du jeune homme jusqu'à ce qu'ils fussent dans sa chambre et que la porte se referme derrière eux. Fabien se jeta alors sur Audrey, la renversa sur le lit et se déshabilla frénétiquement pendant qu'Audrey quittait robe et soutien-gorge pour les préserver de la fureur sexuelle qui s'était emparée de Fabien. Fabien s'allongea sur Audrey et la pénétra d'un seul coup. Elle poussa un gémissement de plaisir et de dépit à la fois. De plaisir car elle adorait se faire baiser, elle s'était branlée dans la voiture et était chaude comme de la braise, mais de dépit car elle aurait aimé que son amant prenne un peu plus de temps avant de s'agiter sur son corps comme il le faisait. Néanmoins, le glissement de la queue de Fabien dans son con, les baisers et les douces morsures qu'il appliquait sur sa poitrine opulente, firent monter son plaisir rapidement.

Pendant que Stéphanie le suçait avec talent, Alex s'était déshabillé. Stéphanie admirait son corps d'athlète et mouillait de savoir que ce corps musclé allait bientôt la baiser. Elle n'avait pas eu souvent d'amant aussi bien bâti que lui car ceux-ci étaient le plus souvent des hommes plus vieux qu'elle et dont le physique n'était pas celui d'Apollon. De plus, la dernière fois remontait à trois mois et cela ne lui avait pas laissé un souvenir impérissable. Bref Stéphanie était en manque et elle espérait que les qualités d'amant d'Alex seraient à la hauteur de son physique. Alex repoussa doucement Stéphanie sur le lit, se pencha sur elle pour l'embrasser tendrement et lui posa sa culotte. Sa bouche glissa de ses lèvres à sa poitrine puis continua sa progression sur son ventre plat. Stéphanie ouvrit ses jambes, offrant son pubis recouvert d'une courte toison soigneusement taillée en triangle aux lèvres avides d'Alex. Aussitôt que la bouche de son amant se posa sur ses lèvres violacées, gonflées de désir et entre lesquelles suintait un peu de mouille, Stéphanie se mit à gémir de bonheur. Ses gémissements s'accentuèrent encore quand la langue du jeune homme écartèrent ses chairs tendres et chaudes, s'introduisit dans l'entrée de sa grotte puis remontèrent vers son petit bouton. Stéphanie remonta ses cuisses sur sa poitrine et Alex les maintint dans cette position. Les mains crispées froissant le dessus de lit, Stéphanie se cambra d'un seul coup en exhalant un long râle. Elle jouissait des caresses d'Alex en agitant son bassin et en criant de plus en plus fort. Quand son plaisir retomba Alex s'allongea entre ses cuisses ouvertes et la pénétra doucement.

Audrey en était à son troisième orgasme et Fabien continuait de la baiser avec une régularité de métronome. Ils étaient passés d'une position de missionnaire à la levrette et maintenant le jeune homme pouvait caresser tout son corps à son aise. Audrey se surprit à penser que ce mec était une vraie « fucking machine ». Il lui pilonnait le con avec régularité sans jamais accélérer comme un coureur de fond qui soigne sa foulée pour faire un marathon. Audrey aurait préféré un peu plus de tendresse et de fantaisie mais la résistance de Fabien lui provoquait quand même des orgasmes à répétition. Pourtant elle remarqua que Fabien accélérait un peu la cadence, ses coups de reins devenaient de plus en plus violents. Il l'agrippa fermement par les hanches pour s'enfoncer au plus profond d'elle-même. Cette manifestation d'un orgasme proche chez son amant, les gonflements de sa queue provoquèrent une quatrième jouissance chez Audrey qui explosa en même temps que Fabien qui poussa des « han » de bûcheron quand sa semence se répandit en long traits dans le con de la jeune femme. Fabien roula sur le coté pendant qu'Audrey s'allongeait à plat ventre épuisée par ces orgasmes successifs.

Alex baisait doucement Stéphanie qui avait noué ses jambes fines sur ses reins. Ils avaient l'un et l'autre entendu très distinctement des cris de plaisir qui venait d'une chambre voisine. Alex et Stéphanie se regardèrent d'un air complice : Un autre couple prenait du bon temps pas loin d'ici. Alex sentait sa résistance atteindre ses limites d'autant plus que Stéphanie repartait dans un second orgasme. Alex fut surprit quand celle-ci atteignant le plaisir lui cria :
- Fait moi jouir encore, salaud, baises-moi comme une salope. Putain, je jouis, tu m'fais jouir avec ta queue.
Alex n'en croyait pas ses oreilles. Ces mots crus dans la bouche de Stéphanie, si distinguée et réservée provoquèrent son plaisir à lui. Le sperme jaillit de sa queue dans de longs jets brûlants qui remplirent le con de Stéphanie aux anges qui criait encore :
- Ah oui, remplit moi de ton jus, salaud, vides toi les couilles.
Cette tempête s'arrêta aussi brutalement qu'elle avait commencé laissant Stéphanie assouvie, gémissante de plaisir. Alex resta allongé sur elle, en elle jusqu'à ce que sa queue perde de sa rigidité. Stéphanie l'embrassa doucement puis le regarda en rougissant un peu :
- c'était très bon. Je suis désolée mais je crie et je parle quand je jouis aussi fort. Puis ajoutant avec un petit rire gêné. j'espère que je n'ai pas ameuté tout l'hôtel.

Alex se leva, prit son téléphone portable dans sa veste et se dirigea vers la salle de bain.

Assis sur le rebord de la baignoire, il composa le numéro d'Audrey. Audrey entendit son téléphone vibrer dans son sac à main. Elle se précipita, vit que c'était Alex qui l'appelait et alla s'isoler elle aussi dans la salle de bains pour parler à son aise :

- Audrey, ça va ?
- Oui, bien et toi ?
- Super, tu as réussi à séduire ce beau jeune homme ?
- Fabien, oui ?
- Et alors ?
- Pas mal, tu sais que c'est un phénomène. Il a une résistance d'enfer. Il m'a baisé pendant trois-quarts d'heure avant de jouir. j'ai jouis quatre fois. Et toi, elle est comment ?
- Bien, je la croyais un peu coincée mais non, c'était vraiment bien. Tu es où ?
- A l'hôtel, et toi.
- Moi aussi, chambre 216 et toi.
- Moi chambre 218. Mais, mais c'est drôle on est dans des chambres voisines !!
- Alors c'est toi que j'ai entendu crier. Il me semblait bien avoir reconnu ta façon de crier quand tu jouis.
- Nous aussi on a entendu une femme crier et parler, c'est? ?
- Stéphanie, oui, c'est elle. Elle est assez? Expressive.
- Ça oui, tu peux le dire. Elle a du réveiller tout l'hôtel.
- Dis donc, j'ai une idée? Ça te plairait de baiser à quatre.
- Hummm, pourquoi pas. On se retrouve où ?
- Il y a une porte de communication entre les deux chambres. Parles en à?. Comment s'appelle-t'il ?... Fabien. Je vais en parler à Stéphanie et si ils sont d'accord on déverrouille la porte de communication.
- d'accord, on fait comme ça. A tout de suite? Peut-être.
Ils raccrochèrent l'un et l'autre et sortirent de la salle de bains.

Alex revint s'allonger à coté de Stéphanie qui, frileuse, s'était glissée sous les draps.
- Tu téléphonais ?
- Oui, à ma femme.
- Ah, bon. Un problème ? Répliqua Stéphanie inquiète tout d'un coup.
- Pas du tout. Rassure toi. Audrey est avec son amant dans la chambre voisine. c'est elle que nous avons entendue tout à l'heure.
- Mais alors, ils ont du m'entendre eux aussi ?
- Heu, oui. Et Audrey serait d'accord pour faire ta connaissance.
- Oh, c'est vraiment gênant. Je ne sais pas si c'est une bonne idée.
- Ne toeinquiète pas. Ça se passera très bien avec eux.
- Eux ?
- Ben, oui. Avec le mec qui l'a fait crier tout à l'heure. Tu n'as pas envie de faire sa connaissance ?
- Ben, je ne sais pas, c'est bizarre. Je n'ai jamais été dans cette situation. Tu crois ?
Alex sentait bien que Stéphanie est prête à céder. Il insista encore un peu avant qu'elle se dise d'accord.

De son coté, Audrey eut moins de mal à convaincre Fabien. Le jeune homme était ravi de pouvoir baiser deux femmes dans la même soirée. Il accepta sans se faire prier plus que cela et Audrey déverrouilla la porte de communication. Quelques minutes passèrent avant qu'Alex n'entre dans la chambre de Fabien. Audrey qui avait gardé ses bas et son porte-jarretelles se pendit à son cou et l'embrassa tendrement. Puis le prenant par la main, elle l'entraîna vers Fabien qui attendait debout vers la fenêtre.
- Mon chéri, je te présente Fabien. Fabien, voici Alex mon mari.
Les deux hommes se serrèrent la main, immédiatement complices.
Alex entraîna tout le monde dans la chambre où Stéphanie attendait, assise sur le bord du lit. Elle s'était couverte d'un peignoir et se leva dès qu'Audrey, suivie d'Alex et Fabien entrèrent dans la chambre. Alex fit les présentations :
- Audrey, voici Stéphanie. Stéphanie, voici Audrey.
Audrey déposa deux bises sur chacune des joues de Stéphanie, surprise de voir que la femme de l'homme qui venait de coucher avec elle lui manifeste ainsi autant de sympathie. Fabien, un peu en retrait découvrit Stéphanie quand Audrey s'écarta pour terminer les présentations :
- Fabien, je te présente Stéph? Elle n'eut pas le temps de terminer car Fabien ouvrit des yeux surpris pendant que Stéphanie se cachait le visage dans ses mains.
Fabien parvint à articuler :
- Mais' Mais' Je te? Vous connais. Vous êtes la tante de Vincent.
Audrey et Alex se regardèrent surpris que leurs amants respectifs se connaissent. Rouge de honte, Stéphanie sortit son visage de ses mains et balbutia :
- Oui, Fabien, tu es un copain de mon neveu. Nous nous sommes rencontrés il y a quelques temps chez les parents de Vincent. Je? Je compte sur ta discrétion.
- Pas de problème. Et je dois dire que je me souviens bien de vous. Je ne vous ai vu que deux ou trois fois chez Vincent mais je vous avais trouvée très désirable. j'avais quinze ou seize ans la première fois que je vous ai vue et je me suis branlé en pensant à vous.
- Fabien. Compte tenu des circonstances, je crois que tu peux me tutoyer.
A l'évocation de ses émois d'adolescent, la queue de Fabien se durcit à nouveau et la serviette qu'il avait rapidement passée autour de sa taille glissa sur le sol, dévoilant sa bite dressée fièrement vers les deux femmes.
Audrey ajouta en riant :
- Eh bien, ma chère Stéphanie. Que voila un bel hommage, sans doute le plus excitant que l'on peut faire à une femme.
Elle s'approcha de Stéphanie et saisit les revers de son peignoir et l'ouvrit :
- Tu es vraiment très jolie, je comprend que tu fasses de l'effet à Fabien.
Elle posa ses mains sur les hanches de Stéphanie et l'attira vers elle. Leurs visages étaient tout proches, les yeux dans les yeux, Audrey approcha sa bouche de lèvres de Stéphanie. Elle voyait passer dans les yeux de celle-ci successivement d'abord la surprise, puis le refus, ensuite le désir et enfin l'abandon. Le corps de Stéphanie revoyait le même message, d'abord raide et crispé, il se détendit quand elle posa ses mains sur les épaules d'Audrey en ouvrant ses lèvres. Les deux femmes s'embrassèrent, leurs langues se mélangeaient, s'enroulaient, se quittaient pour mieux se retrouver. Leurs mains partirent en exploration du corps de l'autre.
Stéphanie se laissait guider par son désir. c'était la première fois qu'elle embrassait une autre femme, elle aimait la douceur de ce baiser et appréciait la douceur de ces tendres caresses sur tout son corps. Elle rendait à Audrey ses caresses, malaxant à pleine main ses seins lourds, pétrissant ses fesses rondes, glissant ses doigts entre les globes de ses fesses.

Les deux filles s'allongèrent en travers du lit pour mieux se caresser encore. Audrey attira Stéphanie sur elle puis se glissa entre ses jambes dans un joli 69. Stéphanie reproduisait sur la chatte offerte de la jeune femme ce que celle-ci lui faisait. Audrey introduisait sa langue dans le con de Stéphanie recueillant au passage la semence d'Alex qui s'en échappait. Stéphanie, très excitée par la découverte des amours saphiques jouit la première. Elle se cambra d'un coup offrant sa chatte à la langue agile d'Audrey. Elle cria son plaisir encore plus fort qu'auparavant :
- Ohhh, suces-moi, ma belle, suces moi encore, c'est bon, tu me fais jouir, salope. Encore, encore?
Elle jouit le corps secoué de toute part puis sans vraiment reprendre ses esprits, elle enfouit à nouveau sa tête entre les cuisses d'Audrey. Tout en la suçant, elle la branla frénétiquement en lui mettant deux doigts dans le con. Audrey jouit à son tour en gémissant.

Les deux hommes, qui voyant que les filles ne s'intéressaient pas à eux, avaient néanmoins apprécié le spectacle qu'elles leur offraient. Il avait bu une bière prise dans le bar de la chambre et maintenant leurs chibres tendus témoignaient de l'excitation. Ils s'approchèrent du lit. Fabien debout derrière Stéphanie enfila son dard dans son con, guidé par Audrey qui continua de lui titiller le clitoris. Audrey voyait sous ses yeux la longue queue de Fabien s'enfoncer dans la chatte de Stéphanie avec la régularité de métronome qui caractérisait le garçon. Alex s'était mis à genou entre les cuisses de son épouse et se faisait sucer par Stéphanie. Au bout de quelques minutes, les garçons permutèrent, une fois, deux fois. Stéphanie eut plusieurs orgasmes mais elle ne put les exprimer bruyamment car la queue qu'elle avait dans la bouche à cet instant l'empêchait de parler. Audrey se fit jouir elle aussi en se caressant la chatte.

Épuisée, Stéphanie roula sur le coté et Fabien se jeta sur elle et continua de la pilonner. Audrey et Alex voyant que les deux amants ne s'intéressaient plus à eux s'éclipsèrent discrètement, laissant Stéphanie écartelée sous les coups de reins réguliers de Fabien.

Quand la porte de l'ascenseur s'ouvrit, il montèrent dedans au moment ou leur parvint du fond du couloir les cris d'orgasme de Stéphanie.

Le lendemain matin, ils étaient en train de prendre leur petit déjeuner dans la salle à manger, quand ils virent arriver Stéphanie accompagnée de Fabien. Ils s'installèrent à la table du couple.

Une fois leur petit déjeuner terminé, les deux filles allèrent se promener seules dans le parc.
Audrey dit à Stéphanie en faisant allusion aux cernes de la jeune femme :
- Je pense que la nuit a été longue, tes yeux en témoignent.
- Ne m'en parles pas, ce mec a une résistance incroyable. Il m'a baisée encore pendant deux heures après que vous soyez partis.
- j'avais remarqué. Moi, il m'a sautée pendant trois quarts d'heure avant de jouir. Alors la deuxième fois, j'imagine. Tu as du jouir beaucoup.
- Ben, je t?avoue que je n'ai pas vraiment compté, à la fin je jouissais sans arrêt. Tu sais qu'il m'a même sodomisée.
- Non, c'est vrai ? c'était la première fois pour toi ? Ça c'est bien passé ?
- Oui, super. Faut dire que j'étais presque inconsciente, totalement détendue et ça été vraiment super bon. Et puis ça l'a fait jouir de me prendre par derrière. Après on a pu dormir. Il voulait remettre le couvert ce matin mais j'ai dis non, sinon on y serait encore. Je lui ai dit de me téléphoner dans la semaine prochaine. A propos, ce que nous avons fait toutes les deux, hier,?
- Oui, tu as aimé.
- Oui, beaucoup et si tu veux, j'aimerai bien recommencer et aussi avec Alex, si tu veux bien.
- Avec grand plaisir. Tu es libre samedi prochain ?
- Oui.
- Alors tu viens passer le week-end chez nous. d'accord ?

c'est ainsi qu'Alex, Audrey et Stéphanie devinrent les meilleurs amis du monde.