L'ex

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Proposée le 7/05/2010 par Shagya

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Passage légèrement non consensuel au départ de l'action

Quand je suis arrivé chez eux, JP était déjà à moitié bourré. « Parfois, j'ai le sentiment que ton mec organise des soirées uniquement pour pouvoir s'en mettre plein la gueule » ai-je confié à Caro. Ça l'a fait rire. j'aime bien ça, quand on connaît suffisamment quelqu'un pour pouvoir se permettre ce genre de blagues.

Tous les invités étaient déjà arrivés. J'ai posé ma veste sur le lit déjà plein de vêtements, je me suis frayé un chemin jusqu'au buffet afin d'y poser ma bouteille et je me suis retourné. Je connaissais la majorité des convives. Nico, mon pote d'enfance, discutait avec Vincent et sa femme. Nicolas est un mec qui, à première vue, en impose : déjà, par son physique puisqu'il doit peser un franc quintal ; et puis, il parle fort, il s'embrouille facilement avec les gens, il est parfois limite quand il drague une fille? Mais au fond, c'est un mec qui a beaucoup de c'ur, pas si bien dans sa peau qu'il n'y paraît. Un gros nounours au fond' En face de moi, un autre groupe de potes jouaient aux geeks intimidés, des verres de coca à la main. En m'approchant d'eux, sur la gauche, j'aperçus les filles, toutes regroupées, riant aux éclats. Et parmi elles, Victoire. Victoire, c'était la fille sympa, celle que la foule n'inhibe pas, au contraire. La fille à l'aise en groupe mais qui n'écrase pas les autres. Elle était là, au milieu de ses copines et c'était elle, peut-être, qui les faisait rire ainsi. Ça me faisait plaisir de la voir même si, encore maintenant, ça me pinçait un peu. Pourtant, elle avait été très correcte au moment de la rupture; délicate et à l'écoute, fidèle à elle-même, mais ça m'avait quand même fait terriblement mal. Finalement, je crois qu'il n'y a rien de pire que de se faire plaquer par une fille sympa.

La soirée se passait bien. Nous étions entre nous, détendus et les rares nouveaux venus étaient très vite intégrés. J'avais pas mal discuté avec une petite blondinette au rire aigu et communicatif et avec un mec très grand, passionné de cinéma. La soirée avançant, avec Nico, et JP on s'était isolés dans le salon et on zappait, un peu éméchés. Comme il était un peu tard, on était tombés sur un porno et on s'était mis d'accord pour regarder, sauf JP qui avait peut-être peur de se faire engueuler par sa femme. Il a fermé la porte et on l'a entendu prévenir les autres.

Le porno était pas mal. Ça commençait chez un mec qu'on voyait s'escrimer à ranger son appartement, mettre la table pour deux... Il semblait un peu nerveux. Et puis, une fille est entrée, assez jolie mais trop typée actrice de X à mon goût: trop maquillée, avec un brushing impeccable et des faux ongles, le genre vulgaire qui plait à certains mecs mais qui me laisse un peu froid. Ceci dit, elle jouait bien, enfin, elle jouait, c'est quand même rare dans ce genre de films : son personnage était nerveux lui aussi, ça la rendait touchante. Le mec lui a proposé un verre et a tendu la main pour prendre son trench. Et puis, on l'a vu ouvrir de grands yeux. Tu m'étonnes : la fille avait commencé à déboutonner sa veste et elle était entièrement nue dessous ! La fille avait malheureusement un corps aussi maquillé, aussi lisse que son visage mais elle était bandante, avec ses bottes en cuir noires et son trench ouvert. Le mec s'est approché d'elle et a commencé à la peloter, puis elle s'est agenouillée, a défait sa braguette, sorti un énorme sexe en érection et a commencé à le sucer? Je sentais ma bite durcir un peu quand on a entendu la porte s'ouvrir tout doucement et une voix féminine s'adresser à nous : « Vous regardez un porno ? Ça vous dérange si je me joins à vous ? ». C'était Victoire.
Elle est venue s'asseoir dans le fauteuil en cuir placé à gauche du canapé où nous étions assis ; puis, le visage tourné vers la télé, en riant à moitié, elle s'est adressée à nous : « Les gars, c'est gentil d'accepter que je reste avec vous mais il y a un deal: vous me ferez le plaisir de garder vos bites bien au chaud dans vos caleçons. ». Nicolas a poussé un grognement éloquent et, tout en reboutonnant son pantalon, s'est adressé à Victoire: « Je ne comprends pas. Ça ne te dérange pas de regarder des bites en érection à la télé mais en voir en vrai, tout d'un coup, ça te semble bizarre ?

- Mais ça n'a rien à voir ! C'est toute la différence entre le réel et le fantasme ! Vous imaginez si, moi, je me mettais à écarter les jambes, enlever ma culotte et si je commençais à... ». Elle se tût brusquement et, après quelques secondes de silence, éclata de rire: « Bon, OK, c'est pas un bon exemple. ». Nous rimes nous aussi et nous remîmes à regarder le film. Mais j'étais gêné. Tant que nous étions entre amis, il n'y avait pas de problème. Victoire était une bonne copine, elle aussi, mais sa présence parmi nous, alors que le film nous excitait de plus en plus, était troublante, surtout après sa petite blague. Elle regardait un porno avec nous comme si elle avait été un bon pote mais c'était une fille, désirable, sans doute de plus en plus chaude elle aussi et nous éprouvions assurément tous deux un peu de désir pour elle. Je ne pouvais me mentir: j'étais jaloux.
La fille du film, elle, avait fini de sucer le mec. Celui-ci l'avait poussée contre un piano et la bourrait vigoureusement par derrière. Le cameraman faisait de gros plans sur le visage défiguré par le plaisir de l'actrice, puis sur sa jolie chatte mise à mal par l'énorme bite de son partenaire... C'est à ce moment-là que le grand cinéphile est entré et nous a demandé si, lui aussi, pouvait se joindre à nous. Nous avons commencé à nous serrer pour lui laisser de la place sur le canapé mais, à mon grand étonnement, il s'est dirigé vers le fauteuil. Victoire s'est levée, l'a laissé prendre sa place puis s'est assise sur ses genoux. J'ai senti mon pote tourner les yeux vers moi mais je l'ai ignoré. Dans la pénombre, personne ne pouvait voir mes joues s'empourprer. Le nouveau mec de Victoire. Un mec très sympa en plus, comme elle. Merde.
J'ai continué à regarder le film mais j'avais un peu de mal à me concentrer et je jetais de fréquents coups d'oeil vers le petit couple. Victoire était un peu gênée mais amusée. Son copain, lui, avait ses bras autour de sa taille et lui caressait gentiment le bras tout en regardant l'actrice se faire mettre avec beaucoup d'intérêt. Elle était désormais à quatre pattes sur le piano et son petit cul prenait cher. Le mec agrippait ses hanches et la pilonnait violemment. Je bandais comme un fou. A ma droite, Nico avait du mal à se contenir et se touchait le sexe à travers le jeans, en jetant de brefs regards inquiets en direction de Victoire. Mais il nous apparût bientôt que notre amie ne lui ferait plus aucune remarque.
En effet, son mec était moins prudent que celle-ci. Tandis que, de sa main gauche, il continuait à caresser le bras de sa copine, il avait glissé son autre main entre ses cuisses et nous la voyions remuer sous la jupe. Victoire se mordait les lèvres et c'était jouissif de la voir se contenir ainsi. Elle n'avait visiblement pas conscience que nous avions remarqué leur petit manège ! Et puis, brusquement, elle s'est redressée, un peu inquiète, et nous les avons entendu discuter. Elle était dans une position de refus et lui, il insistait, argumentait ; j'ai pu entendre quelques bribes de phrases: « Allons, il fait trop noir, ils ne voient rien, et puis ils regardent le film... ». Tout en parlant, le grand cinéphile caressait la poitrine de Victoire, de plus en plus franchement ; elle se débattait un peu, mais pas trop, de peur sans doute d'éveiller notre attention. Et petit à petit, il a enlevé un bouton, puis deux, puis trois... Mon ex n'avait pas de soutien-gorge et nous pûmes admirer son opulente poitrine ? cette magnifique poitrine que, jadis, je me faisais un plaisir d'arroser de mon sperme. Son nouveau copain la trouvait assurément à son goût, lui aussi, et il la caressait vigoureusement. Victoire, elle, était un peu inquiète mais elle éprouvait de toute évidence beaucoup de plaisir également ; elle aime ça, quand on lui touche les seins...

La porte s'ouvrit tout d'un coup. Notre amie eut juste le temps de rabattre les pans de sa chemise sur sa gorge avant que la tête de JP n'apparaisse dans l'embrasure de la porte: « Seb, on a un problème, tu peux venir nous voir deux minutes ? ». Après un gros silence et un soupir encore plus gros, le mec de Victoire se leva, rajusta son pull afin de dissimuler une formidable érection et se dirigea vers la porte. Sa copine se rassit, un peu penaude, le regard perdu dans le vide. La porte se referma. Il y eut un moment de silence. Puis, Nicolas se leva et se dirigea d'un pas ferme vers Victoire. c'était si soudain que nous restâmes tous deux figés, en le suivant des yeux avec curiosité. Il s'arrêta devant mon ex puis, brusquement, il dégrafa son pantalon et en sortit son sexe ; Victoire n'eut pas le temps de réagir : d'une de ses grosses mains, il avait saisi ses poignets et les maintenait fermement dans son dos tandis que, de l'autre, il agrippait ses cheveux et lui enfonçait de force sa bite dans la bouche.

Je me suis levé d'un bond. Bien sûr, je ne vais pas mentir, la scène était terriblement bandante : voir cette fille cambrée en arrière, ses beaux seins jaillissant de sa chemise et cette bite dans la bouche, c'était terrible ! Mais c'était aussi une fille qu'on brutalisait, une copine en plus et ça, je ne pouvais le permettre. Cependant, après s'être un peu débattue, Victoire s'était détendue, la poigne de Nico aussi et l'instant d'après, mon ex prenait la bite de mon pote à pleine bouche avec un appétit visible.

Plus tard, Nicolas m'a expliqué le sens de sa démarche. Bien sûr, il était super excité, à cause du film mais surtout du manège du petit couple. Mais ce n'était pas du tout le genre de mecs qui croient qu'une femme qui dit non pense en fait oui et que toutes les filles se pâment à la simple vue d'une bite en érection. Pas du tout le genre « Toutes des salopes », donc. Cependant, il connaissait bien Victoire et devinait qu'après les caresses de son mec, elle était aussi chaude que nous; Seulement, s'il lui avait fait des propositions, elle aurait refusé pour des raisons morales : Elle n'aurait pas voulu tromper son copain. Là, en forçant un peu les choses, il escomptait que l'excitation prenne le dessus sur la raison. Et ça avait fonctionné.

Donc j'étais là, bandant comme un taureau, en face d'une fille excitée et excitante et d'un ami qui me faisait signe de les rejoindre en souriant. c'était irrésistible. Je me suis avancé, ai saisi Victoire par les épaules et, tandis qu'elle se retournait vers moi pour me regarder, un sourire aux lèvres, je l'ai poussée contre la table basse et ai remonté sa jupe. Elle ne portait pas plus de culotte que de soutien-gorge. Ce veinard de Seb savait-il seulement qu'il avait une copine aussi coquine ? La vue de ce sexe moite me remplit d'émotion. j'ai enlevé mon pantalon avec hâte, me suis approché de la croupe de mon ex, que j'ai saisie à pleines mains et, lentement, j'ai planté mon sexe dur comme un poignard dans le sien. c'était chaud, moelleux, humide ! En ch?ur, nous avons tous deux poussé un profond gémissement. Ses hanches se sont mises à bouger et je suis resté immobile, à la regarder venir à la rencontre de ma queue avec avidité. Puis, lentement, j'ai commencé à lui donner de profonds coups de rein. Le sexe de Nico, à nouveau enfourné dans sa bouche, étouffait ses gémissements. Lui et moi nous nous sommes regardés, complices, puis il s'est tourné vers elle, a posé une de ses lourdes mains sur sa tête et a commencé à lui caresser les cheveux d'un air paternaliste ; il me donnait l'impression d'un maître qui souhaiterait encourager son animal. Quant à moi, j'infligeais à Victoire des coups de butoir de plus en plus fermes et admirais ses mamelles se balancer en rythme. Le tableau était terriblement excitant ; tellement que, très vite, il m'apparut clairement que je risquais de jouir ! j'ai lancé un coup d'oeil à Nico qui me comprit et fit un geste pour me suggérer d'inverser les rôles.
Après nous être tous trois dégagés, Nicolas prit place dans le fauteuil. Victoire le rejoignit et, doucement, vînt s'empaler sur son sexe. Je m'assis sur la table basse et décidais un instant de jouir du spectacle. Nico agrippait les hanches de mon ex tandis que celle-ci, le corps projeté en arrière, commençait à se caresser. La queue généreuse de mon pote lui remplissait bien le vagin et lui arrachait de troublants petits gémissements. Je me suis levé et ai approché mon sexe du visage de Victoire. Avec application, elle s'est mise à le sucer. Sa bouche était savoureuse. Les fellations de mon ex m'avaient manquées ; c'est l'une des rares filles que j'ai connues qui aime véritablement en faire. Tout en lui malaxant les seins, je l'ai regardée. La tête renversée en arrière, elle a commencé par stimuler mon gland avec la pointe de sa langue puis s'est mise à lécher l'ensemble de ma verge. Ses lèvres étaient rouges, appétissantes ; je me suis penché pour les embrasser et goûter à la saveur de cette langue si talentueuse. Puis je me suis redressé et, la main à la base de ma verge, j'ai commencé à pénétrer la bouche de Victoire. c'était exquis. Je ressentais des sensations puissantes, profondes. Le spectacle que m'offrait mon ex, son corps, les coups de verge que Nico et moi lui donnions, ses halètements étouffés mais aussi les souvenirs de nos coïts passés, tout cela m'excitait terriblement' c'est alors que j'entendis un gémissement sourd ; à la hâte, Nicolas se dégagea, dirigea son sexe vers les seins de Victoire et les arrosa de sa semence. Comment font les acteurs des films porno pour tenir aussi longtemps ? Mystère ; quant à moi, la vue de cette poitrine maculée de sperme me fit craquer ; des deux mains, j'ai maintenu la tête de Victoire et après quelques
mouvements de va-et-vient, j'ai jouit dans sa bouche.

Nous nous sommes regardés, elle et moi, repus. Puis avons éclaté de rire. Le désir sexuel est une bien étrange chose : il nous amène à jouer des rôles parfois si éloignés de notre personnalité sociale ! La jouissance m'avait libéré de son emprise et je redécouvrais ma Victoire, celle qui me faisait rire et dont la forte personnalité me troublait, celle pour laquelle j'éprouvais encore des sentiments' Un raclement de gorge, près de la porte, vînt interrompre ma réflexion. c'était Sébastien.
Mon ex se leva brusquement, confuse, s'essuya avec un des mouchoirs posés sur la table, se rhabilla en vitesse et, les yeux baissés, sans un regard pour Nico et moi, s'avança vers son mec.

l'instant d'après, ils étaient partis.