Un Medecin de campagne

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Proposée le 30/04/2010 par inca06

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Bonjour à tous, et voici ma première histoire, il faut bien se lancer un jour...


ACTE 1

Marie Thé était arrivée la veille au soir dans ce petit hameau perdu. Ce n'était pas coutumier, mais son patron avait du s'absenter pour affaires familiales urgentes et lui avait confié cette mission : Aller négocier la vente d'une belle villa de campagne? 2 jours certes de travail, mais un peu aussi des vacances par rapport à son quotidien.

En arrivant le soir, elle avait pris possession de la villa en parfait état et de toute beauté. La matinée était vite passée, toute affairée à la mise en valeur des locaux. L'acheteur devait arriver demain seulement, mais cette journée de préparation était indispensable. Tout était parfait à présent.

En déjeunant sur la place du petit village, où l'unique restaurant faisait aussi office d'épicerie et de presse tabac, juste en face de la modeste pharmacie, elle venait de réaliser qu'elle avait oublié ses médicaments, un traitement hormonal à suivre avec rigueur. Et sans ordonnance, il lui fallait trouver un médecin. Voilà qui allait occuper son après midi qui aurait pu être de meilleur repos. Par chance, renseignements pris, il y avait un médecin ici et la serveuse lui donna l'adresse de bonne grâce.

La chaleur du printemps était arrivée brusquement, et malgré la terrasse ombragée, Marie Thé avait chaud, très chaud. Vêtue d'une robe légère, aux motifs imprimés, elle avait finalement englouti sa bouteille d'eau fraîche tout en savourant ce déjeuner.
En quittant la terrasse, elle se dirigea directement à l'adresse indiquée et y composa le numéro de téléphone marqué sur la plaque. Sonnerie, Répondeur, les consultations étaient programmées en fin d'après'midi de 16 à 18 heures' Bien, il ne lui restait plus qu'à rentrer à la villa passer un après midi farniente, et elle reviendrait un peu plus tard..

La villa était à l'écart et parfaitement isolée. Tout était prêt.. Qu'allait elle donc pouvoir faire? Juste en quittant le hameau, son portable sonnait. C'était son mari.
Machinalement elle répondait à ses questions..
- Mais oui je suis bien arrivée, tout va bien'
- Mais non, je suis toute seule tu sais bien, oui tu sais bien que je penses à toi.
- Mais oui, tu me manques..
- Mais non, je suis toute seule, qu'imagines tu encore..
- c'est ça bises et bon après midi.
Les choses n'allaient pas mal entre eux, mais Marie Thé avait besoin de respirer, de se sentir un peu libre, et c'était parfois pesant pour elle de devoir subir cette présence trop forte qu'il lui infligeait?

Songeuse, elle chassa ses idées de sa tête et arriva à la villa en pensant justement à cette liberté qu'elle avait pour quelques heures !
Elle se mit à l'aise, ôtant sa robe avant de se mettre au soleil sur la large terrasse dallée.
C'était plaisant de sentir les rayons du soleil sur sa peau. Elle s'installait dans une chaise longue de salon de jardin, sur laquelle elle avait dressé un drap de bain.
Quelques minutes plus tard, elle dégrafait son soutien gorge, libérant sa poitrine. C'était déjà un peu de plaisir de se sentir « nature », sans être épiée. D'un coup d'oeil, elle baissant les yeux vers ses seins que parfois elle trouvait un peu trop volumineux. Ils étaient beaux, encore fermes. De larges aréoles granulées, de beaux tétons' Ses deux globes étaient bien blancs, ne pas rester trop longtemps exposée ainsi pour éviter un coup de soleil songeait elle rapidement et esquissant un sourire.

Elle sentait la chaleur ?uvrer sur sa peau. Brève hésitation, un regard rapide vers sa petite culotte de dentelle blanche. Allez, vivons la liberté. Et hop, enfin nue, offrant son corps tout entier aux rayons du soleil.
c'était un moment intime, où elle se retrouvait seule, tranquille, loin de tout. Elle regardait son ventre, encore plat se dit elle, détaillait son petit buisson noir, bien taillé.
En regardant son pubis, elle songeait à ses envies qu'elle avait parfois, des envies de plaisir, pas celle que lui procurait son époux, c'était différent. Autre chose, elle avait envie d'autre chose? Du nouveau, de la découverte, de la surprise, pour mieux sublimer ces moments d'amour dont elle avait envie. Depuis le début de son traitement hormonal, elle avait senti ce changement dans ses envies.

Un léger frisson parcourait son dos lorsque machinalement elle passa sa main sur sa touffe, pour la brosser, peigner son pubis du bout des doigts. Elle pensait à sa copine qui lui avait avoué, il y a peu, qu'elle, elle se débrouillait toute seule pour calmer ses envies. Elle aussi vivait une certaine lassitude dans son couple, et lorsque elle était tranquille, elle sortait son partenaire de poche, un joli petit jouet que ses copines de bureau lui avaient offert « pour rire ». Mais Marie Thé n'avait jamais osé lui en demander plus sur ce sujet.

Machinalement, ou par curiosité, elle explorait son sexe. Après avoir lissée sa touffe, elle avait glissé sa main un peu plus bas. Le renflement de ces lèvres déjà gonflées était évident, et en quelques pressions, elle avait allumé un puissant feu intérieur.
Ses seins avaient durci malgré le soleil chaud, ses tétons érigés appelaient, son sexe brûlait d'envie? Elle se laissait aller à quelques va et vient du bout des doigts, écartant un peu les cuisses pour mieux profiter du moment. En fermant les yeux des images torrides surgissaient du fond de son cerveau en ébullition. A présent mouillée, elle jouait avec ses lèvres.
Elle pensait à cet amant, il y avait un an ou deux, cet homme qui l'avait prise, l'avait fait jouir si bien, c'était si intense? Elle pensait à un sexe masculin qu'elle voulait goûter, tenir dans ses mains' Avec ces pensées, elle ne tenait plus' Elle se sentait trempée.. Reprendre le contrôle, reprendre le contrôle. Se levant, elle attrapait le drap de bain et fallait à la salle de bain, pour retrouver un peu de fraîcheur, pour reprendre le contrôle de ses sens et de son corps. Elle se plongea dans un bain tiède, qui rapidement la mis en situation de demi sommeil. Marie Thé se sécha rapidement, puis entrepris de s'allonger sur le canapé pour y faire une petite sieste réparatrice et retrouver un peu de sérénité.

17 Heures, réveil soudain ; mince, le toubib, la consultation' Se dépêcher? Lâchant la serviette de bain, elle récupère son soutien-gorge et sa culotte qui étaient restés sur la chaise longue. Vite rhabillée, un passage à la salle de bain pour se refaire une figure, un coup de brosse, voilà, ça pourrait aller.

Un bon quart d'heure plus tard, elle garait son auto devant la maison du médecin. 17h40, elle était dans les temps. Un petit coup de sonnette, surprise, une jeune fille vint ouvrir. Une petite blonde menue, aux cheveux longs, un regard vif, revêtue d'une blouse blanche.

- Bonjour madame
- Bonjour, je viens pour les consultations
- Ah le docteur est encore avec un patient, entrez et asseyez vous, vous serez la dernière visite pour aujourd'hui.


ACTE II

La secrétaire la guida dans le cabinet puis la fit asseoir avant de regagner son bureau tout à coté.
Marie Thé était presque étonnée de voir que le médecin de campagne de ce petit hameau puisse disposer d'une secrétaire.

Le patient sorti enfin, un monsieur âgé, que le docteur raccompagnait jusqu'à la sortie.
Le médecin était grand, plutôt élégant, d'un age mur, sans doute une bonne quarantaine passée, voir plus. Il portait une blouse blanche lui aussi, d'où dépassait un jean.
Il adressait un chaleureux bonjour à Marie Thé et demanda à la secrétaire l'état des visites et rendez vous.
- c'est la dernière visite, dit-elle.
- Parfait, et bien, rentrez chez vous et fermez la porte à clé derrière vous. Je finirai donc la journée avec Madame. Et à demain pour notre important rendez vous ajouta-t-il.
- Si vous voulez bien vous donnez la peine, dit-il à Marie Thé, lui indiquant du bras gauche la direction de sa salle.

La pièce était bien éclairée, large bureau sur la gauche, petites armoires vitrées, siège d'auscultation sur la droite. Il la fit asseoir dans le fauteuil profond, face à son bureau.

- Alors, que puis je pour vous ? Rhumatismes, Arthrose ? Dit il sur un ton humoristique, avant d'enchaîner :
- Je blague, ma clientèle dans ce hameau est constituée de personnes âgées vous savez.. Et vous, vous n'êtes pas d'ici.
- En effet Docteur, je suis de passage et j'ai oublié mes médicaments. Bien-sûr je n'ai pas l'ordonnance sur moi, voilà mon soucis. Marie Thé répondant tranquillement, tout en se disant qu'il était plutôt à son goût ce gars.
- Quel médicament ? répondit-il
- c'est du Progestan, enchaîna Marie Thé.
- Ah oui, je vois, dit-il. c'est ennuyeux, ce médicament présente tout de même quelques contre indications et effets secondaires, je ne suis pas votre médecin habituel, il me faut faire une petite visite de contrôle, juste pour être certain qu'aucun soucis ne surviennent durant vos vacances'
- Oh je ne suis pas en vacances, je suis là pour affaire, juste 24 heures.
- Raison de plus, 24 heures à ne pas gâcher répondit le toubib en souriant.

Il se levait, prenait son tensiomètre et stéthoscope.
- Si vous voulez bien vous défaire.. Heu c'est une robe.. et bien, ôtez-là s'il vous plait, tout en désignant de la main le siège d'auscultation.

Si cela avait été dans son quotidien, Marie Thé aurait été très gênée, mais finalement, ce médecin elle ne le verrait qu'une fois alors bon' Elle fit glisser la fermeture éclair de sa robe, avant de dégager ses épaules et de la faire glisser au sol. Pour ce médecin, cela le changeait de son quotidien. Pour une fois qu'il avait le bonheur d'avoir une patiente civilisée, plutôt mignonne, et non pas l'une de ces vieilles fermières retraitées qui constituaient sa clientèle principale? Il en salivait presque d'avance?
Marie Thé était à présent debout, arborant son soutien gorge à balconnet et son slip brésilien, le tout dans un blanc étincelant. Il la fit s'asseoir, plaçait le tensiomètre sur son bras droit.

- 11/7 c'est correct, c'est même très bien dit-il en ôtant l'appareillage du bras de Marie Thé.

Après avoir soufflé quelques secondes sur son stéthoscope, pour le réchauffer, il le plaqua sur le haut de la poitrine de sa patiente. Marie Thé ne bougeait pas, sentant le métal frais sur sa peau. Elle regardait le visage du médecin, ses yeux bleu vert, une bouche pulpeuse. Lui changeait le stétho de place, revenant en arrière, frôlait le bonnet? Nul doute qu'il profitait de la situation pour savourer la généreuse poitrine de sa patiente. Il passa alors derrière elle puis poursuivit l'auscultation en plaçant son appareil dans le dos de sa patiente.

- Vous fumez ?
- heu oui un peu.

De sa position, il pouvait avoir un regard très plongeant sur le généreux décolleté, autant que sur le bas du dos de Marie Thé. Il ne s'en privait pas, remerciant le ciel de cette visite qui changeait tant de son ordinaire. A tel point qu'il commençait à se poser quelques questions d'ordre idéologique? Pour l'instant, il pensait plus à regarder dans les balconnets amples, devenant les aréoles brunes.

- Il faudrait que vous ôtiez votre soutien gorge s'il vous plait.

Marie Thé fut presque surprise, mais elle n'allait pas faire la mijaurée. Et puis qu'importe, demain elle serait partie et ne craindrait pas de croiser le regard appuyé de l'homme dans le village. Elle s'exécuta donc, libérant ses deux beaux globes. Le Médecin enchaîna :

- Vous savez, le progestan est composé de progestérone et d'?strogènes en quantité suffisante pour semer quelques troubles et il serait dommage que vos seins en soient les premiers à en subir le désagrément. Ils sont si beaux, si épanouis !
- Heu merci, vous me flattez

Le stéthoscope était à nouveau sur sa peau, le médecin revenu face à elle s'activait avec précision. Il était près du mamelon, tout prêt. Le métal froid autant que la situation avait déjà fait effet sans que Marie Thé ne puisse intervenir. Elle voyait ce téton s'ériger rapidement, elle sentait la pression monter? Et voilà que maintenant le toubib s'était attaqué au deuxième globe, obtenant le même résultat. Après avoir rangé le stétho, il plaçait ses paumes de mains contre le sein droit.
- Levez le bras s'il vous plait.

Il palpait lentement le globe, massait le volume, le pressait un peu. Marie Thé était presque gênée de la situation mais en même temps elle appréciait : d'une part cela libérait un peu la tension accumulée par ses tétons dressés et durcis, mais aussi, après les envies de son début d'après midi, elle y trouvait un certain plaisir.
Le médecin appréciait aussi et définitivement commençait à oublier ses soucis d'éthique. Il proposa à Marie Thé de s'allonger sur la table d'auscultation, ce qu'elle fit sans se faire prier, espérant ainsi masquer plus facilement ses émotions.

L'homme était à présent sur le coté de la table, il continuait à masser plutôt que de palper la généreuse poitrine de sa patiente. Elle fermait les yeux quelques instants, ravie?
Lui, il malaxait soigneusement ses seins blancs qui lui étaient offert, il se délectait de ces moments. Il avait envie de transgresser les règles cette fois, Cette femme semblait apprécier, alors pourquoi ne pas essayer, pourquoi ne pas tenter plus encore.

Connaissant parfaitement les effets et le mécanisme d'assimilation du Progestan, il se décidait.
- Depuis quand n'avez-vous plus pris votre médicament ?
- Oh depuis hier seulement mais c'est un mini dosage et ça doit être vraiment pris chaque jour? Enfin, c'est ce que m'a dit mon médecin traitant.
- Oui oui, il a raison et là et on déjà une bonne demie journée de retard.

Il regardait sa montre?

- Aie, sans compter que la pharmacie est maintenant fermée?
- Ah bon, déjà ??
- Oui, c'est la campagne ici vous savez? Mais ne vous inquiétez pas, j'ai une dose à assimilation rapide, en stock?

Le médecin quitta la pièce avant de revenir avec un verre d'eau.
Il sorti un petit flacon de l'une des armoires, avant de déposer quelques gouttes.
- Avec ça on va rattraper le retard, et demain vous achèterez les comprimés à la pharmacie. Buvez et restez allongée quelques minutes s'il vous plait.

Marie Thé avala le produit sans discuter, après s'être redressée sur ses coudes.
Elle se remit sur le dos, et très vite, sentit une sorte de bouffée de chaleur. Elle avait l'impression d'avoir les joues en feu.

- Ne vous inquiétez pas, ça va faire effet, je vais vous aider, lui dit le praticien.
- Restez bien allongée et laissez vous aller.

Il se plaçait a la tête de la table, puis posait ses paumes sur les épaules de Marie Thé. Des paumes douces, qui procurent une sensation de fraîcheur sur la peau, tant elle était en ébullition. Cette fois, il massait délicatement le corps de sa patiente, effleurant parfois un sein, s'attardant sur les épaules, le cou, la tête.. Il savait ce qu'il faisait. Le délai d'action de ce produit était rapide... Il se déplaçait un peu, revint sur le coté, pour atteindre le ventre. Quelques pressions douces, la pointe des doigts effleurant à plusieurs reprises l'élastique de la culotte blanche. Il contemplait le regard radieux de sa patiente, elle avait fermé les yeux pour mieux ressentir les bienfaits de ce massage tendre. Effleurer le pubis, toucher un peu les cuisses, pour tester. Parfait, on peut continueroeil masse à présent les cuisses, lentement, chaque muscle étant délicatement repoussé du plat du pouce. Un petit retour tout le long des flancs, quelques pressions sur les seins, titiller les tétons, puis reprendre une jambe, et lentement la saisir sous le genou, pour la faire remonter. L'aine se découvrait, il allait pouvoir continuer mieux encore. Son regard était captivé par l'entrejambe dessiné au travers de la petite culotte. Déjà la dentelle laissait paraître un petit buisson, et le dessin du tissu était sans équivoque : Cela devenait difficile pour lui de se contenir. Il savait son érection intense, et par moment il appuyait son bas ventre contre la table pour apaiser le trouble autant que pour l'entretenir.

Marie Thé avait renoncé à toute résistance. Elle avait décidé de laisser faire, de savourer ce moment présent qui se révélait si bon. Les yeux mis clos, elle devinait la bosse qui s'était formé sous la blouse du toubib. A l'évidence elle lui faisait de l'effet. et comme lui avait réussi à l'exciter au plus profond d'elle-même, ce n'était que revanche. Elle n'osait même pas imaginer dans quel état devait être son intimité tant la chaleur était intense. Elle se savait mouillée au plus haut point.

L'homme avait relevé les deux jambes de Marie Thé, les avait maintenu demie fléchies. Après d'autres caresses le long de l aine, de l'élastique de la culotte, il avait lentement glissé sa main dessous. A peine l'extrémité de ses doigts étaient entré en contact avec les pilosités de sa patiente que celle ci avait langoureusement réagit.
Une lente bascule de son bassin vers l'avant, comme pour aller à la rencontre de ses doigts bienfaiteurs. Encouragé, cette fois c'était assez pour l'homme comblé. Il fit glisser la petite culotte le long des cuisses, doucement, dévoilant centimètre par centimètre le pubis puis l'intimité de cette pulpeuse femme.
Elle était enfin nue, entièrement exposé à sa vue. Il savait que la dose de Progestan qu'il lui avait donné commençait à agir. A voir l'abondance des secrétions qui déjà luisait aux bords des lèvres désormais visibles, il savait aussi qu'elle devait être en feu.
Il se plaça cette fois sur le coté de la table, à portée de mains de Marie Thé. Il devait partager, il espérait partager.. Il embrassait le corps de sa partenaire, passant ses lèvres pulpeuses sur le ventre, puis les seins blancs offerts et dressés. Sa bouche suçota un téton puis l'autre, ils étaient si durs'
Marie Thé se décida, passa une main dans les cheveux de l'homme, elle tenait sa tête plaquée contre sa poitrine, goûtant au plaisir qu'il lui donnait. D'une main experte le médecin repartait à l'exploration du sexe qu'il entrevoyait.
Le pubis bombé, le buisson bien taillé, du bout des doigts il arrivait au nid de jouissance de cette femme qui l'excitait tant. Sous l'index il sentait la boule durcie, elle gémit au premier contact, basculant encore son bassin vers le haut. Il titillait à peine, pour ensuite s'aventurer un peu plus bas. Il suivait doucement le sillon, dessinant le contour des lèvres, les grandes lèvres bombées, ouvertes et épanouies. L'occasion pour étaler un peu de cette cyprine qui s'échappait lentement. De son autre main, il avait saisi un globe, un sein qu'il pressait à présent de façon accentuer. Un frisson parcourait le corps de Marie Thé, ce fut ce que le toubib guettait. Il en profitait pour changer de place, se positionner entre les jambes de sa partenaire qui n'en pouvait plus d'envie.
Marie Thé le voyait baisser la tête, embrassant sa petite chatte offerte. La sensation provoquée par le contact de la langue chaude de l'homme était somptueuse. Elle respirait vite, très vite, son bourgeon d'amour était gorgé de désir, durci, et cette langue qui sans cesse le titillait était en train de la faire exploser. Son ventre se creusa, une première fois, ses cuisses se serrèrent un peu, pour enfin laisser place à un flot intense de plaisir. Une longue jouissance accompagnée de spasmes désordonnés qui la parcourait.
Il la laissa reprendre ses esprits quelques secondes, venant embrasser son cou, lécher un peu les tétons encore dur. Enfin, Marie Thé lança une main en direction de son partenaire. Elle avait écarter la blouse blanche, et s'activait à présent sur le zip d'une braguette déformée. Il l'aida, se ouvrant sa blouse et le bouton du jean. Le zip glissa libérant la tension contenue si longtemps.
Son caleçon était trempé à lui aussi, tant il avait débuté sa lubrification'
Marie Thé tournait la tête vers le coté, et goûtait enfin le sexe tendu et offert à sa portée.
Elle le goûtait, le prenait parfois profondément, parfois à peine décalottant. Sa langue faisait merveille et il avait déjà eu deux spasmes' Pour retrouver un peu ses esprits, le médecin s'écarta, se mettant nu à son tour.
Marie Thé regardait le sexe tendu, elle le voulait, elle laissait glisser sa main vers sa petite fente encore toute sensible comme pour l'inviter. Il la suivait du regard en venant se placer entre ses jambes.



L'homme tenait sa tige dressée, l'approchait du buisson' Un sexe rouge, luisant de désir, gorgé d'envie. Il joua quelques secondes à promener sa dureté tout au long du sillon. La réaction fut rapide, les grandes lèvres s'épanouirent comme les pétales d'une belle fleur. A présent, leurs liquides intimes se mêlaient, elle sentait le gland écarter un peu ses petites lèvres, à peine, pour le sentir s'éloigner ensuite. Sa poitrine lui faisait de nouveau mal, et lui continuait cette torture. De nouveau la dureté qui joue avec ses lèvres, les écartant délicatement. Marie Thé sent de nouveau son désir s'emballer, elle tente de le piéger en avançant son bassin, il recule un peu. L'homme voit le bourgeon gonflé, il le découvre un peu plus encore en libérant le capuchon, puis pose sa chair durcie dessus. Il la titille encore, un peu, elle se mort les lèvres pour ne pas crier.
Il sait qu'elle est prête et après une dernière caresse savante du bout de son sexe bouillant, il décide de plonger en elle avec douceur et délicatesse. Il gagne un petit centimètre, puis un autre. Il sent la chaleur du sexe féminin qui est prêt a l'engloutir? Lentement il s'enfonce encore un peu, le gland tout entier est à présent passé? Elle se sent ouverte doucement, elle sent le membre qui la chavire à petit feu, elle arrive a attraper le bassin du mâle, pour le tirer vers elle, pour le forcer à la prendre entière. Il y va doucement, la longue tige est à présent à demi enfouie entre les lèvres, perdu dans le buisson noir. Alors commence un lent va et vient.

A petit coup, il fait monter de nouveau le plaisir de cette magnifique amante.
Elle se tortille, elle presse ses seins, elle est en sueur, essoufflée?
Il accélère peu, pour mieux ralentir ensuite. Mais à chaque fois, il va un peu plus loin, un peu plus profond. A présent c'est jusqu'à la garde qu'il continue ses va et viens.
De longues et intenses minutes, ils se livrent, ils se donnent. Lui modifie régulièrement le rythme de ses aller-retour, elle tortille son bassin, ils n'en peuvent plus, les rythmes sont à présent accélérés'
Les amants laissent échapper un long râle, une longue jouissance, tandis que Marie Thé sent les jets répétés et chaud qui l'inondent au plus profond d'elle-même.
Cette jouissance est fabuleuse?
Ils restent fichés l'un dans l'autre quelques minutes encore, pendant que l'homme la caresse du bout de ses doigts chaud. De longues caresses qui prolongent son plaisir.
Il la masse encore un peu, avant de lui tendre la main pour l'entraîner dans le petit cabinet de toilette mitoyen.
Ensemble, ils prennent une douche tiède, poursuivant tout de même quelques caresses.

En quittant le cabinet, Marie Thé se sentait joyeuse, fatiguée, mais pleine de bonheur. Le toubib lui avait ajouté un petit post-it sur l'ordonnance, avec son numéro de téléphone : Au cas où? avait-il délicatement ajouté.


ACTE III a

Avant de quitter le hameau, elle s'arrêtait à l'alimentation, histoire de prendre deux babioles pour grignoter ce soir, puis reprit le chemin de la villa bien décidée à s'y reposer le reste de la soirée.

Marie-Thé était fourbue, ses muscles soumis à tant d'efforts et de contractions avaient refroidi et manifestaient. Après avoir manger un peu, elle pensait au rendez vous de demain matin. Le représentant du cabinet acheteur devait arriver tôt vers 8h. Elle refit le tour de la villa une fois encore, vérifiant tout. Sa nuit de sommeil fut longue et bien réparatrice.
Ce matin, elle avait choisi un petit ensemble deux pièces, une jupe mauve arrivant à mi cuisse, un corsage de soie blanche, et un petit gilet échancré.
A 8 heures précise son interlocuteur était là. Il se présentait, et annonçait qu'il ne pourrait rester longtemps, son client devant arriver dans la matinée pour finaliser l'acte. De toute façon, les prix avaient été convenus et il passait simplement s'assurer que tout était en ordre.
Marie Thé lui présenta les dossiers et lui mena une visite guidée et détaillée. En effet tout était parfait et les dossiers bouclés. Après avoir bu un café, il quittait donc les lieux, son client devant arriver maintenant très vite. Malgré tout, lui ne pouvait attendre plus longtemps.

Lorsque une voiture arrivait au bout du chemin quelques minutes plus tard, Marie-Thé fut soulagé. l'acheteur arrivait enfin ! Les deux portières s'ouvrirent, le conducteur et sa passagère ; Marie-Thé sentit ses jambes se dérober, sa tête lui tourner. c'était le médecin et sa secrétaire?