Les aventures de Vickye - Ch 1

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Proposée le 22/04/2010 par Ness Cokin

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Les aventures de Vickye


Chapitre I - Vanessa

Bonjour, je m'appelle Vickye (diminutif de Victorine, mais Vickye est plus... exotique, sexy).
Je ne vais pas épiloguer sur le pourquoi du comment j'ai pris ma plume pour vous raconter mes histoires. Si vous êtes là c'est pour vous divertir en lisant des histoires parlant de sexe. Je suis ici pour en raconter.
J'ai trente quatre ans et un physique plutôt agréable, un mètre soixante-dix pour soixante kilos. Des cheveux légèrement frisés blonds parsemés de mèches chocolats. De grands yeux gris en amandes aux reflets bleus entourés de longs cils. Pour ce qui est de mes mensurations (puisque c'est surement quelque chose qui vous titille de connaître) je fais un 95C et les jupes que je porte sont en taille 40 (je trouve que cela parle mieux que de donner la taille en centimètre).
En ce qui concerne le teint de ma peau, il faut savoir que j'ai la marque du maillot de bain toute l'année. Je vous l'accorde, cela est parfois disgracieux.
Il y a quelques temps, j'avais donc décidé de rendre visite à une connaissance, Vanessa, qui travaillait dans un institut de beauté. Faire quelques U.V. afin d'uniformiser le teint de ma peau me semblait une bonne idée.

Ce matin là, le temps étant clément, j'enfilais un petit top moulant blanc et une jupe noire droite arrivant juste au-dessus du genoux et fendue sur le côté gauche jusqu'à mi-cuisse. Je ne parle pas de mes sous-vêtements non pas parce que cela me dérange, mais parce que je n'en porte que rarement. J'aime sentir la fraicheur d'un courant d'air sous ma jupe, cela provoquant en moi un frisson grisant de bien-être. Rien que cela peut me mettre d'une humeur enjouée voire me faire passer une bonne journée. Et puis, autant l'avouer (au risque de passer pour une prétentieuse, mais je le vaux bien - rire) j'aime me montrer et si quelqu'un peut apercevoir que je porte ni soutien-gorge (et vu comment ce top épouse le galbe de mes seins ce ne sera pas difficile) ni string... ce sera une très très bonne journée (rire). J'aime être en état d'excitation (pas trop au bord de la crise de nerf non plus, bien que parfois cela peut être plaisant) et c'est un moyen assez efficace pour maintenir cet état.
Fin prête pour me rendre à l'institut de beauté après être passée par la case salle de bain pour une séance de maquillage léger mais essentiel, je chausse mes escarpins noirs, attrape mes clés et mon sac à main.

J'entrais dans le salon. Vanessa était en train de finir avec une cliente. Elle me fit un sourire, un sourire magnifique qui provoqua un frisson le long de mon dos.
Je ne comprenais pas pourquoi une telle femme n'avait pas de compagnon... Nous en avions vaguement parlé une fois, mais apparemment son cas était un peu compliqué m'avait-elle avoué.
"Vickye, comment vas-tu ?"
"Bien merci et toi-même ?"
Elle me répondit d'un sourire lumineux. Elle m'emmena vers la salle à U.V.
"Bien, je t'explique comment cela fonctionne. Premièrement, tu te déshabilles, entièrement mais je suppose que tu t'en doutais."
"Un peu oui", réponds-je en souriant à mon tour. Ses yeux semblèrent s'illuminer, mais je pris cela pour un effet d'optique.
"Ensuite, tu t'allonges dans le caisson, le mets en marche et refermes le caisson. C'est aussi simple que cela. Le temps de cuisson étant réglé par défaut", continua-t-elle en riant.
"Il fait "gling" aussi pour signaler que c'est fini ?"
Nous rions ensemble. Il faudrait que je lui propose de faire quelque chose un de ses soirs, le feeling est plutôt bon entre nous.
"Je sais pourquoi tu veux faire des U.V. mais il faut que je te dise quand même. Je te trouve sublime, ce léger hâle sur ta peau... hummm."
Cette fois encore, son regard s'illumina. Elle fit un pas vers moi.
"Dans le tram, les regards n'arrêtaient pas de me suivre... C'est assez pénible", dis-je ironique.
Je n'avais pas bougé, je n'étais pas sure de ces intentions mais je sentis qu'elle mijotait quelque chose et effectivement le feeling semblait plutôt réciproque.
"Ah oui c'est sur que tu n'es pas du genre à vouloir plaire, les regards des hommes qui te déshabillent doivent te mettre mal à l'aise", renchérit-elle en riant.
Elle s'approcha encore de moi.
"Non mais tu sais ce que c'est.. être sur le moment l'objet de leur convoitise, c'est difficile à gérer.
Vanessa déposa sa main droite sur ma hanche gauche, je fut troublée par ce geste mais la laissa faire.
"Justement non, je ne sais pas ce que c'est... les hommes ne se retourne pas sur mon passage."
"Tu plaisantes j'espère ?" m'exclamais-je, choquée. "Tu es absolument ravissante. Tu ressembles à une reine égyptienne avec tes grands yeux noirs et ta coupe de cheveux ! Si j'étais un homme, je t'assure que je passerais le plus clair de mon temps à te séduire, l'autre partie de mon temps serait mit à profit pour séduire la nana qui serait moi, cela va de soi."
En disant cela, j'avais moi aussi mit mes mains sur ses hanches. Et avant que je ne réalise vraiment ce qu'il se passait, Vanessa approcha ses lèvres brillantes des miennes. Je ne fis aucun geste, ma respiration s'accéléra j'avais tout d'un coup le souffle court. Elle approcha encore les lèvres et je fermai les yeux. Nos lèvres se touchèrent un bref instant, comme si elle redoutait ma réaction mais que son envie avait pris le dessus. Elle écarta son visage du mien. Je rouvris les yeux, un peu déçue. J'avais déjà embrassé des copines, mais c'était lors de soirées un peu arrosées et ce n'était que par jeu. Là, c'était différent. Ce bref et doux baiser avait éveillé en moi l'envie d'aller plus loin. L'idée de faire l'amour avec une femme m'ayant déjà traversé l'esprit, je n'avais encore jamais vraiment pris la décision de franchir le pas.
Vanessa dut voir dans mes yeux ce sentiment, cette envie. Ses lèvres s'approchèrent de nouveau des miennes. J'inclinai légèrement la tête et entre ouvris la bouche, prête à accueillir un vrai baiser.
Elle ne me déçut pas. Alors que ces lèvres touchaient les miennes, je sentis la pointe de sa langue effleurer mes lèvres. Ma langue partit timidement à la recherche de la sienne. Lorsqu'elle entrèrent en contact, ce fut... magique, intense. Une douce chaleur s'était insinuée dans mon bas ventre. J'étais troublée au plus haut point.
Vanessa dut s'en rendre compte. Son baiser ce fit plus doux encore, sa main droite descendit le long de ma cuisse droite et arriva à la fente de ma jupe. Le contact de ses doigts sur ma peau me surprirent et je ne pus réprimer un petit gémissement. Sa main gauche se posa sur ma nuque, remonta dans mes cheveux, tendrement mais fermement. Je fondais littéralement.
Je ne sais pas combien de temps nous nous embrassâmes, tout ce que je puis dire c'est que ce fut trop court.
Sans un mot, elle prit le bord de mon top et commença à le faire remonter lentement. Elle ne voulait pas me brusquer, s'attendant à se qu'à tout moment que je ne l'arrête. Je n'en fis rien. Nous nous regardâmes dans les yeux. Je voyais qu'elle avait envie de moi. C'était nouveau pour moi, mais terriblement excitant, beaucoup plus que lorsqu'il s'agissait d'un homme. Je sentais la chaleur dans mon bas ventre s'étendre et gagner en amplitude. Je sentais également mes seins et mon sexe gonfler sous l'effet de l'excitation.
Lentement je l'aidai à enlever mon top en levant les bras. Mes tétons durcis par l'excitation pointaient. Vanessa les regarda et m'adressa un sourire coquin. Ses mains glissèrent lentement sur ma poitrine, mes caressèrent les seins avec beaucoup de tendresse. Je lâchai un soupir de plaisir, je sentis mon sexe s'ouvrir un peu et commencer à devenir humide. Par réflexe je serrai les jambes et contractai les muscles de mon bas ventre, mais cela n'eut pour effet que d'augmenter mon excitation.
Elle prit mes seins dans ses mains et se pencha pour que la pointe de sa langue caresse mon téton droit. Plus qu'un soupir, ce fut cette fois un petit cri de plaisir qui s'échappa de mes lèvres. Mes jambes vacillèrent mais je me repris tout de suite. Vanessa me regarda en continuant de faire jouer sa langue. Je lui adressai un sourire qui lui fis bien comprendre que je n'avais pas l'intention d'arrêter là. Vanessa se redressa, et toujours sans un mot, me dirigea vers le caisson où elle me fit asseoir. Elle passa ses mains dans mes cheveux affectueusement et reprit ses caresses avec sa langue sur mes seins. Ses mains se posèrent sur mes cuisses et descendirent le long de mes jambes. C'était absolument divin. La douceur de ses mains ne fit frissonner. Mêlée au velours de sa langue, je penchai la tête en arrière, prit appui de la main droite sur le caisson et posa ma main gauche sur sa tête. Je lui caressai tendrement la tête, mais surtout j'avais posé ma main là pour ne pas la laisser partir tant ses baisers étaient délicieux. Je n'avais jamais ressenti cela auparavant, cette douceur allait me rendre folle. Mon esprit vagabonda et j'imaginai sa langue glisser et jouer avec mon petit bouton de plaisir. Cette pensée augmenta le feu qui consumait mon bas ventre. Je sentis mon sexe s'ouvrir encore plus et sentis mon nectar mouiller ma jupe. Cela ne fit que raviver ce feu qui semblait vouloir m'immoler littéralement. Mon souffle se fit plus court, je ne pouvais retenir les gémissement qui se présentaient à mes lèvres. Je commençais à me déhancher lentement sur ma position, cherchant en vain un contact sur ma vulve afin de pouvoir apaiser ce feu qui me rongeait de l'intérieur.
Vanessa continua ses caresses sur les jambes, elle ne pouvait plus avoir de doute sur le fait que j'étais consentante à ses caresses et que j'en désirais davantage. Ses mains glissèrent sur l'intérieur de mes cuisses, effleurèrent ma vulve. Ma réaction fut instantanée, je lâchais un râle de plaisir, à la limite orgasmique. Je cambrai les reins cherchant ce contact salvateur. Je réalisai que j'étais sienne, elle aurait pu me demander et faire n'importe quoi de moi. Cette pensée me fit perdre un peu plus la raison. Je sentais mon vagin se contracter, le plaisir monter en moi. Jamais je n'aurais cru pouvoir jouir ainsi. Je connaissais pourtant bien moi corps, mais apparemment il restait encore quelques zones inexplorées.
Sa bouche continuait de me titiller, m'embrasser, mordre plus ou moins fort pendant que ses mains glissaient encore et encore sur l'intérieur de mes cuisses. Puis la pulpe de ses doigts laissant place à ses ongles, Vanessa me griffa légèrement sur toute la longueur de mes cuisses. Ma main dans ses cheveux se crispa, attrapa une poignée de sa crinière noire. Ma main droite se ferma à en blanchir les jointures. Un orgasme fulgurant me terrassa, je sentis mon sexe s'inonder et ne pus retenir un hurlement de plaisir.
Je pris appui sur mes coudes pour reprendre mes esprits. je fermai les yeux, la tête me tournait, je sentais ma jupe mouillée juste sous mon sexe. Vanessa était toujours là, elle continuait ses caresses sur mes cuisses mais avait arrêté ses baisers sur ma poitrine.
Lorsque j'ouvris les yeux, son visage n'était qu'à quelques centimètres du mien. Ses yeux reflétaient un feu d'artifices, tout comme les miens certainement. Brusquement, je la pris par la nuque et l'attira à moi pour l'embrasser fougueusement.
Ce baiser apaisa la tempête qui venait de me terrasser, mais raviva les braises de plaisirs qui irradiaient mon bas ventre. Vanessa quant à elle sembla surprise, agréablement surprise. Elle m'aida à m'allonger dans le caisson tout en continuant de me rendre ce baiser passionné. Elle releva ma jupe jusqu'à ma taille, laissant apparaître mon sexe imberbe. Nos lèvres se séparèrent un instant. Je défis sa blouse sauvagement, l'aida à la quitter et la jeta à terre. Elle ne portait qu'un string en dentelle blanche. Ses seins étaient aussi fermes que les miens, et tout aussi gonflés de désirs. Me mordant la lèvre inférieure, j'approchai mes doigts de ce petit bout de tissu qui cachait son sexe. Mes index passèrent sous l'élastique et tirèrent vers le bas lentement. Nous nous regardâmes intensément, nous étions toutes les deux dans un tel état de désir que le monde sembla s'arrêter pour pouvoir nous laisser tout le temps que nous voulions. Vanessa se redressa un peu pour laisser le passage à son string que je faisais descendre le long de ses jambes. Dans cette position, ses seins furent à portée de ma bouche. Je pointai la langue et lécha son téton. Vanessa fut parcourue d'un frisson. Cette réaction inonda un peu plus mon sexe. Je jetai dans un coin le string de mon amante qui s'allongea sur moi. Nos corps semblaient ne faire plus qu'un. Nos langues s'étaient retrouvées, nos mains jointes et mes jambes s'étaient écartées afin que nos sexes puissent se frotter l'un contre l'autre. J'étais de nouveau aux portes de la folie. Mon vagin et mon clitoris semblaient être sur le point d'exploser. Je ruisselais de plaisir, je gémissais comme je le pouvais, la langue de Vanessa continuant de valser autour de la mienne.
Tel un serpent, Vanessa glissa en descendant sur moi. Chaque centimètre qui passa à portée de sa bouche fut baisé par ses lèvres incendiaires, d'abord le cou, le torse, les seins, le ventre. Elle s'amusa un instant avec mon nombril, puis continua sa descente frottant ses seins contre ma peau. Vanessa déposa de chastes baisers de chaque côté de mon sexe. Elle jouait avec moi, voyait très certainement que j'allais perdre la raison si elle continuait ainsi, mais cela semblait lui plaire. Ses baisers accompagnés parfois d'un coup de langue me faisaient frissonner, je balançais la tête de droite à gauche. Mon souffle était saccadé. J'avais de plus en plus de mal à retenir les gémissements qui semblaient prendre naissance à l'intérieur de mon sexe pour arriver jusqu'à ma gorge. J'étais en sueur. Un nouvel orgasme était imminent, je le sentais tapi non loin, près à bondir tel un tigre près à sauter sur sa proie pour la terrasser d'un coup de mâchoire. Je voulais sa langue sur mon sexe, mon bassin ne tenait plus en place, cherchant à rencontrer la bouche de Vanessa. Je ne contrôlait plus mon corps. Je n'étais que plaisir, mais ce plaisir allait me consumer s'il n'était pas libéré très vite.
Alors qu'il ne me restait plus qu'un fil de raison avant la perdre irrémédiablement, la bouche de Vanessa se plaque sur mon sexe et aspira violemment mon clito d'un coup. C'en fut terminé de moi. Tout le plaisir contenu se décupla. J'explosai littéralement, sentant mon nectar jaillir de mon sexe pour arroser le visage de cette déesse pour venait de me faire perdre pieds juste avec ses caresses et ses baisers. Je hurlai pour conserver un tant soit peu de lucidité. Mais en vain, ce fut le trou noir, je perdis connaissance.
Lorsque je reviens à moi, Vanessa me caressait le visage. Je ne sais combien de temps je restais dans les vapes. Vanessa me sourit.
"Tu es divine lorsque tu jouis."
"Je... c'est... la première fois que c'est aussi intense."
"OK, je vais te laisser reprendre tes esprits pendant que tu fais ta séance d'U.V."
"Je crois bien que je vais m'endormir."
"Je serai là pour te réveiller."
Je frémis à l'idée de ressentir à nouveau ses baisers. Vanessa se rhabilla et sortit de la pièce en me lançant un regard... dévastateur.
Je comprenais maintenant pourquoi elle n'avait pas d'homme dans sa vie... et quelque chose me disait que nous allions nous revoir très vite.

A bientôt pour d'autres aventures.