Mon beau-père la veille de mes noces

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Proposée le 24/04/2010 par love_in_pain

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c'est aujourd'hui vendredi et je me marie demain, et si j'ai trouvé le temps de baiser, je prend aussi celui de vous écrire. l'amour, ça ne s'invente pas et il faut faire confiance à la providence. Les préparatifs sont terminés. Max, mon fiancé, a suivi ses copains pour une dernière virée. Restée seule je me rends à la salle de bain. Pendants que la baignoire se remplit, je me contemple dans le miroir. Fière de mes seins, je les prends en mains, les bouts durcissent entre mes doigts et se tendent, et la jolie brunette aux yeux verts que je suis se sent en proie à de belle sensations.

Alors une impulsion subite me pousse à prendre mon gode et, complètement nue, je me branle furieusement. Excitée comme je suis, j'en ferme les yeux et après la folie passée, j'ai la surprise de ma vie : Édouard, mon futur beau-père que je n'ai pas entendu mais qui a tout vu, est là à me contempler.

Il y a alors un long silence. Au lieu de me sentir gênée, je me sens toute excitée :
- Ouf! j'ai cru que c'était mes parents. Lui dis-je avec un aplomb magnifique.
- Mais tu te branles, petite salope ?
- j'adore ça ! Lui dis-je sans retenue.
Il sourit lançant un regard sur mes fesses dénudées.
- Petite putain, si tu veux te fourrer la chatte, voilà ce qu'il te faut !
Dans le creux de sa main, Édouard tient une grosse queue avec un air impérieux. Je crois me trouver mal tellement il se tient la trique, mais devant ma mine surprise, il préfère se taire. Mon estomac se contracte et je me sens tressaillir, quand, du bout des doigts, il effleure mon pubis et fait aller et venir le gode dans ma chatte.

La suite se passe en franche rigolade !
- On en apprend de belles avec toi !

j'écarte à nouveau les cuisses pour qu'il aperçoive le gode bien planté.

- Ça te plait ? Et il le renfonce de nouveau.
Je prends sa bite, les yeux biens plantés dans les siens avec un sourire cochon, et je finis par lui dire, l'émotion au c'ur :

- Mais que dois-je en faire ?

d'un coup, il me la plante dans la bouche. Je ne peux contrôler tout ce qui m'arrive, et il fait de moi tout ce qu'il veut. Il me caresse les fesses que je pousse sur son doigt, et pour la première fois mon cul est déniasse. Cette caresse est excitante et me rend folle de désir, mais j'ai peur comme je suis vierge par là, et je me débats. Édouard réussit à m'immobiliser. Je ne peux plus échapper à son emprise et lui demande de faire attention, ce qu'il fait d'ailleurs avec beaucoup de sagesse. Mais le salaud m'écarte les fesses et ne me rate pas, il me laboure les reins de son énorme queue et fait claquer mes fesses sur son ventre. Je jouis comme jamais tellement c'est bon. Je ne suis plus qu'une bête et je jouis comme une chienne, et cette soirée n'est pas seulement la révélation d'un de mes plus beaux moments, car au lieu de jouir, il remplace sa queue par mon gode et j'ai le cul bien dilaté quand sa queue me pénètre la chatte. Les yeux hagards, je ne sais plus très bien où j'en suis, j'ai sa queue à fond dans ma chatte. Elle est bonne et bien plus grosse que celle de Max, et telle une chienne lubrique je m'écarte au maximum pour qu'il s'enfonce et enfonce le gode plus loin. j'adore et je lui dis :

- c'est bon! Défonce-moi! Casse-moi le cul!

Je suis hors de moi et en oublie que le surlendemain je me marie avec le fils de celui qui me saute. c'est la première fois mais je ne regrette pas, et j'orgasme en râlant. c'est vers cinq heures du matin qu'Édouard me quitte, me regardant à regret mais me promettant de revenir. Comme pour le remercier, je l'embrasse :

- Tu m'as bien baisée et c'était bon !

Me claquant les fesses, il me répond :

- Pour moi aussi, ma salope.

Quand Max rentre au matin, il est paf et s'endort sans rien me demander. Heureusement car je ne vous dis pas l'état dans lequel je suis.

Maintenant il ne me reste plus qu'à envisager ma vie future, car Édouard m'a prise à parti en m'annonçant :

- Attends qu'on soit seuls et je vais t?honorer comme tu le mérites, salope. Regarde l'état dans lequel tu me mets !
Malgré quelques réticences, vicieuse comme je suis, je sais que je ne pourrai pas me retenir.