Drague sur le port

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 19/04/2010 par love_in_pain

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

j'aime l'été comme j'aime l'amour. Les deux vont si bien ensemble. Je suis sensuelle toute l'année mais, lorsque viennent les beaux jours, je suis littéralement en chaleur. Alors souvent je vais me balader en ville, sur le port, pour trouver l'amour. Je me promène en tortillant du cul, vêtue de manière très légère. j'attends les dragueurs, souvent des touristes, français ou étrangers. Je m'installe à une terrasse de café, face à un mec que je trouve craquant. La dernière fois ils étaient deux, des copains qui sirotaient leur verre en regardant passer les filles.

j'ai commencé classique, en croisant les cuisses très haut pour bien faire voir mes longues jambes bronzées. Déjà, les autres filles qui passaient ne les intéressaient plus. Alors j'ai continué mon petit jeu : je me suis courbée pour récupérer le briquet que j'avais fait tomber par "inadvertance". Dans le mouvement ma petite robe légère s'est mise à bâiller, offrant un panorama imprenable sur mes seins libres de toute entrave. Pour les finir, j'ai écarté les cuisses sous la table. c'était très indécent, surtout que, d'où ils étaient ils pouvaient voir que je ne portais pas de culotte.

Ensuite, forcément, on a sympathisé. Ils m'ont invitée dans la villa qu'ils louaient pour quelques jours. c'est là qu'on a baisé, sur la terrasse inondée de soleil. j'ai pris l'initiative d'agripper un des deux hommes par les hanches. Collée à lui, je me contorsionnais en le fixant effrontément, passant sur mes lèvres pulpeuses une langue prometteuse. Puis j'ai plié la taille en avant, autant pour que ma bouche se trouve à la hauteur de sa bite que pour mettre en valeur mon joli cul. l'autre mec est venu le palper en relevant ma jupette. j'ai laissée faire, concentrée sur ma pipe. Le mec n'allait pas être déçu.

j'ai frotté son gland contre le dessous de ma langue recourbée, puis je l'ai caressé avec la paroi de mes joues. En louchant un peu je pouvais voir sa tige humide sortir lentement de ma bouche. Je pouvais aussi voir mon reflet dans la baie vitrée. Je suçais et je me regardais sucer. Le balancement de mon visage était vraiment sexy. Je fais des mimiques et des grimaces très cochonnes quand je baise et mes partenaires adorent ça. Après, ma pipe est devenue moins technique. Il faut dire que le membre qui s'était mis à me limer le ventre me faisait perdre la tête.

Après quelques minutes de baise ardente, les deux hommes ont changé de position. Celui qui venait de me baiser s'est assis sur le rebord de la terrasse. Je suis venue sur lui, cuisses écartées, bras noués à son cou. Son membre a glissé tout seul en moi. Dans mon dos, mon enculeur n'a pas eu plus de peine à me la mettre tant je l'attendais avec impatience. Je me suis cambrée sous l'avancée de sa queue, pour en prendre un peu plus long. j'en voulais plein le cul. j'ai été servie. j'ai gémi : "Putain que c'est bon!", car j'aime bien faire savoir ce que je pense. Le délire de mes sens devait être communicatif car mes deux baiseurs se donnaient à fond. Ils étaient en sueur. Ils grognaient en me pénétrant. Moi je tremblais d'excitation. j'en bavais, et pas seulement entre les cuisses. Je me tortillais comme chaque fois que deux hommes me baisent en sandwich.

Je suis restée longtemps avec mes deux partenaires. Il faut dire qu'ils assuraient. Mais quand je les aient quittés, je leur avais totalement épongé les couilles. Le lendemain, je suis retournée sur le port, toujours aussi à poil sous ma robe, toujours aussi décidée à baiser et à profiter de la vie !