Le professeur de karaté

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Proposée le 9/04/2010 par paloma

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Bonjour, je m'appelle Emma et je vais vous raconter une drôle d'histoire qui m'est arrivée il y a 5 ans.
j'étais étudiante à la fac et profitais des avantages du sport universitaire (gratuit) pour m'initier à certaines activités jusqu'alors inconnues. Cette année-là, j'ai réussi à motiver 3 copines pour faire du karaté avec moi. Cela faisait longtemps que je voulais tester un sport de combat et les horaires proposés en karaté correspondaient bien à mon emploi du temps.



Ce sport me plut rapidement. l'entraînement bien physique, le travail des réflexes et de la précision, le contact, cela me convenait. Ancienne gymnaste, j'avais par ailleurs des facilités telles que la souplesse et le goût de l'effort. d'un naturel plutôt timide lorsque je rencontre de nouvelles personnes, je ne voulais pas me mettre trop en valeur sous peine d'attirer l'attention voire les remarques déplacées.
Je commençais donc doucement, sans forcer sur les exercices de souplesse. Je m'appliquais particulièrement à ne pas faire les fentes et les écarts à fond. Bien que j'avais arrêté la gymnastique depuis 6 ans, j'avais encore mes trois écarts (droit, gauche et facial).
Par contre, dès que l'on passait au travail des attaques, je me donnais à 100% : coup de poing direct, crochet, coup de pied rotatif retourné? j'avais du mal à freiner mes coups et ma souplesse transparaissait.


l'entraîneur, Lucas, repéra rapidement mes capacités et prit l'habitude de me porter un peu plus d'attention qu'aux autres élèves : il corrigeait systématiquement mes positions, me forçait à repousser mes limites.
Cela me gênait beaucoup. Je ne voulais pas passer pour la « favorite » et m'attirer des ranc'urs. Après tout, nous étions là pour nous défouler et nous changer les idées !
Mes amies me taquinaient régulièrement, m'assurant que je n'étais pas indifférente à notre professeur.


Lucas était plutôt mignon. La trentaine, pas très grand mais bien bâti, on sentait qu'il était tout en muscles. Mais ce n'était pas vraiment mon genre. Il lui manquait ce petit quelque chose de viril, d'animal, qui me séduit chez les hommes. De plus il était gendarme et ce genre de profession n'est pas ma tasse de thé?
Lucas avait réussi à imposer une ambiance détendue lors de son cours et cela plaisait beaucoup à son public d'étudiants. Nous n'étions pas là effectivement pour passer des grades ou participer à des compétitions. c'est donc avec plaisir que nous nous rendions aux entraînements.


Au fil des semaines, le travail portait ses fruits et ma technique s'améliorait. j'étais contente de mes progrès. En contre partie, je me détachais un peu du lot avec deux ou trois garçons ayant déjà pratiqué ce sport en club.
Un jour que nous travaillions les mawashigueri (coups de pieds fouettés), Lucas s'approcha de moi pour me corriger. Jambe en l'air, nous devions maintenir la position, ce qui est très dur physiquement (les muscles peinent). Habituée à ce genre d'exercice avec la gym, j'étais celle qui avait le moins de difficultés. Il s'empara de ma cheville et remonta ma jambe au maximum, sans doute pour voir jusqu'où je pouvais aller. Comme je ne bronchais pas, il remonta encore un peu jusqu'à ce que ça bloque. Son visage était près de mon pied et je sentais son souffle. j'évitais de croiser son regard. Son buste était collé à ma jambe levée pour maintenir la position. c'était vraiment une situation troublante. Je ne pouvais décemment pas protester et dû prendre mon mal en patience. Je devais être rouge et le visage humide de transpiration. Je sentais une goutte perler à mon menton puis descendre le long de ma gorge (la tenue n'était pas de rigueur en sport universitaire si bien que j'étais le plus souvent vêtue d'un jogging et d'un simple débardeur). Je sentais le regard de Lucas suivre la progression de cette goutte jusqu'à la naissance de mes seins. Je piquais un fard.


j'évitai son regard pendant tout le reste du cours, mal à l'aise. Pourquoi m'étais-je troublée ainsi ? Pourquoi ne pas avoir affronter son regard et lui laisser entendre de ne pas se faire d'illusions ? j'étais perplexe.


Une fois le cours terminé, je m'empressai de filer à la douche. c'était agréable de sentir la caresse de l'eau sur son corps pour rincer ma transpiration et apaiser mes pensées. Je fermais les yeux pour m'isoler de deux autres filles qui se lavaient en même temps que moi. Les douches communes, sans cabine, m'indisposaient peu. Je n'étais pas pudique et ma nudité ne me poser pas de problème devant d'autres femmes.
j'entendais l'eau couler dans le vestiaire des hommes adjacent. Je me surpris à imaginer Lucas, son corps musclé recouvert de mousse. Cette vision répandit un agréable frisson en moi. En me nettoyant le corps, je sentis mon sexe étonnement lubrifié. Que m'arrivait-il ?
Ce soir-là, je retrouvais des amis après l'entraînement. Je traînais donc un peu plus longtemps que d'habitude, peignant mes cheveux mi-longs, ajoutant une touche de mascara sur mes cils et un peu khôl pour accentuer mon regard. Puis j'éteignis la lumière du vestiaire des filles et sortis.


Dans la salle se trouvait Lucas. Il rangeait quelques documents administratifs.
- Désolée de t?avoir fait attendre !
- Ce n'est rien Emma, j'ai toujours de quoi m'occuper. d'ailleurs, je voulais te parler de quelque chose.
Il bloquait sur mon visage, sans doute était-il plus habitué à me voir écarlate et poisseuse que fraîchement maquillée.
- Oui ? dis-je timidement
- Il y a une démonstration de karaté sur le campus la semaine prochaine. j'aimerais que tu y participes si tu es libre. Pierre et Timothée ont déjà accepté.
- Euh? Je ne sais pas si j'en serais capable.
- Allez? Il me faut une troisième personne. Et puis, ne toeinquiète pas. Tu présenteras le kata que tu connais bien et quelques techniques de coups de pieds et de sauts. Il suffit d'ajuster un peu les mouvements. Une séance de travail suffira. Tu es libre jeudi ou vendredi pour qu'on y bosse ?
- Et bien' Je finis les cours à 18h jeudi.
- Disons alors 18h30 à la salle jeudi. OK ?
- OK?. 18h30.
Plus que troublée, je m'éclipsais rapidement.




Le jeudi, assez impatiente malgré moi, je me rendis au dojo. La salle était vide. c'était inhabituel. Lucas apparut. Il avait troqué son kimono pour un short de sport et d'un T-shirt. Cela découvrait ses jambes fines et musclées ainsi que ses bras gros comme mes mollets. Plutôt bien bâti ma foi?
Je lui dis bonjour de loin. Il s'approcha de moi pour me faire la bise. Je sentais sa main appuyée sur ma hanche pour rapprocher ma joue de sa bouche. j'étais comme paralysée. Je me rendis aux vestiaires pour me changer. Lorsque j'en sortis, il m'attendait.
- Prête ? Nous allons faire un petit échauffement rapide.
- OK.


Footing, accélérations, pas chassés, talon fesses. Le passage cardio dura près de 10 min. La chaleur de la salle et l'effort combinés me faisait grandement transpirer. Je sentais mon débardeur se mouiller dans le dos et entre les seins.
Puis nous sommes passés à l'échauffement des poignets, chevilles, épaules'
Nous fîmes quelques étirements. Seul à seul, je décidais de ne pas me retenir. l'imitant, je glissais en écart facial : mon entrejambe touchait le sol, la douleur était minime mais présente.
- Tu es décidément très souple? Plus que moi même après 20 ans de karaté !
- Euhh? j'ai fait de la gym pendant 10 ans à un niveau relativement élevé. j'ai de bons restes.
- c'est ce que je vois ! Mais dis-moi, tu te freines pendant les entraînements ?
- Un peu' Je n'ai pas tellement envie qu'on me remarque. c'est sans doute idiot.
- Je comprends mais' Tu progresserais plus vite si tu bossais à 100% de tes capacités.


Il se releva et avança vers moi, me plaçant en « grenouille » c'est-à-dire sur le ventre en écart, les jambes repliées derrière. Il prit mes chevilles, les rejoignit et les approcha du sol : il manquait quelques cm pour que je le touche.
- Ça va ?
- Oui, oui, pas de problème.
Il appuya encore sur les chevilles, les rapprochant du sol. Par réflexe, mes fesses remontaient légèrement vers le haut. Il y posa la main pour les faire descendre. Je reçus comme une décharge électrique dans le bas-ventre. Je transpirais, non pas de l'effort mais de mon trouble grandissant.
- Parfait, relève-toi. Nous allons passer au kata que tu as travaillé. Je te laisse travailler 2 minutes.


Je répétais tranquillement dans un coin du tatami puis, à son signal, je me plaçais au centre pour présenter mon kata. Je le connaissais sur le bout des doigts. Mes gestes étaient assurés et précis. Tout le long de ma démonstration, je sentis son regard fixé sur moi : mes bras, mes jambes, mon buste. Après tout, il était là pour me juger et me corriger... Pour autant, je sentais mon émotion grandir.
- c'est bien, très bien dans l'ensemble. Il y a juste un ou deux détails qu'il faut revoir. Reprends depuis le début.
Je m'exécutais.
A un moment, il me stoppa et me demanda de garder la position. Il s'avança et passa derrière moi. j'étais en position du cavalier (pieds écartés, jambes fléchies, le buste au centre, les cuisses parallèles au sol). Il prit mes deux épaules dans ses mains et redressa mon corps puis appuya dans le bas de mon dos pour me forcer à me maintenir droite.
- Bien. Rentre le bassin, contracte les abdominaux. Comme ça?
Il exerça une pression sur mes fesses pour forcer mon mouvement.
j'essayais de maîtriser ma respiration pour ne pas dévoiler mon malaise. j'imaginais son regard parcourir mon dos, ma taille fine, mes fesses. Cela me remplissait à la fois de panique et de plaisir.
- Ça me paraît bien. Pense à garder des positions basses comme ça !a et à respirer régulièrement pendant ton kata. Tu peux allez boire. Nous allons passer aux attaques pieds et poings.


Une fois de plus, j'obéissais. Le rapport professeur-élève se trouvait exacerbé dans un dans cours particulier comme celui-ci. Et cela contribuait à accentuer mon trouble.


Une fois avoir bu et épongé mon front du bas de mon débardeur, retournais sur le tatami. Il m'observait du coin de l'oeil.
Il se planta devant moi, en garde.
- Vas-y attaque-moi. Pieds, poings, comme tu veux.
Je commençais d'abord timidement puis me pris au jeu. Rapide, il esquivait mes attaques jusqu'à ce que je trouve une faille et lui assénai un coup de pied léger sur la joue droite.
- Bien ! Continue comme ça. Cherche mes points faibles.
Il me semblait en connaître un : son regard obnubilé par ma poitrine qui, bien que modeste, montait et descendait au gré de mes sautillements. Je le surpris par un coup de poing gauche en crochet. Il accusa le coup et se reconcentra. Lors d'une attaque de pied un peu lente, il bloqua ma cheville à hauteur de sa tête.
- Voilà ce qui arrive quand on n'est pas assez rapide, me dit-il.
Et sans prévenir, il me faucha par terre. Je tombais sur le dos. Il me bloqua les bras au dessus de la tête en maintenant mon buste par terre d'un genou. Son visage approchait du mien.
- Que fais-tu maintenant ?
- Et bien... Je crois que je suis bloquée !
- Oui? à la merci de ton adversaire.


Ses paroles ambigües raisonnèrent dans ma tête. Il plongea son regard dans le mien. Ses yeux noirs glissèrent sur ma poitrine haletante puis remontèrent sur mon visage. Je me raidis lorsqu'il approcha ses lèvres des miennes et m'embrassa à pleine bouche.
Immobilisée, je ne pouvais lutter. Mes lèvres tout d'abord serrées refusèrent le contact de sa bouche chaude et humide puis, épuisées, se détendirent. j'acceptais son baiser passivement.
Il écarta légèrement son visage pour me contempler et revient à la charge. Ce deuxième baiser était vraiment intense. Je sentais ses lèvres presser les miennes, les mordiller tendrement. Ma bouche s'entrouvrit pour laisser passer sa langue impérieuse. Il maintint mes poignets d'une de ses mains, la seconde, libre, caressant ma tempe, ma joue en direction de mon cou. Il lécha une goutte de sueur sur ma poitrine et me chuchota à l'oreille :
- j'ai envie de toi Emma, tu me rends fou.
Il m'embrassa à nouveau. Sa langue me pénétrait avec violence.
Totalement vaincue, je lui rendis son baiser avec une fougue similaire. Nos dents s'entrechoquaient, nos langues se mêlaient. Je sentis son sexe dur et chaud pressé contre mes cuisses. Cette excitation non dissimulée acheva de balayer mes doutes. j'avais envie qu'il me prenne maintenant sur le tapis ! Qu'il me baise violemment !


Lucas dut se rendre compte de mon changement de comportement. Si bien que sa main libre fureta sur mon corps, s'égara sur ma poitrine, tirant mon débardeur vers le bas pour entrer en contact avec mes seins. Je les sentais palpiter sous l'étreinte : ses caresses autant que ma position de soumission m'affolaient.
Le bas de son corps était pressé contre le mien, je sentais son érection grandir contre ma cuisse, l'irradiant de chaleur.
Lucas relâcha sa pression et entreprit d'ôter mon débardeur. Libéré de mes bras, ce dernier finit jeté dans un coin de la salle. Assis sur ses genoux entre mes cuisses, Lucas me contemplait.

Ces quelques secondes d'accalmie ne durèrent pas : il prit l'élastique de mon jogging et le glissa rapidement le long de mes jambes. Je l'aidais en me relevant, finis de dégager mes chevilles. En shorty de coton noir et soutien-gorge assorti (sous-vêtements de sport obligent?), je me sentais néanmoins désirable. Les cheveux défaits, les lèvres excitées par nos baisers, la gorge frémissante : je voyais dans ses yeux que le spectacle lui plaisait. Leur couleur sombre reflétait le désir.
j'avançai les mains de son T-shirt, l'invitant à se dévêtir. Ce que nous fîmes tous les deux, mêlant nos mains, nos bras et nos souffles.
Je caressais du bout des doigts son torse, légèrement poilu des tétons au bas ventre. Il restait immobile, attentif. Je saisis doucement sa taille entre mes deux mains et approchai mon visage de sa poitrine. j'y déposai quelques baisers légers agrémentés de coups de langue. Le goût de sa peau me plaisait. Je surveillais du coin de l'oeil son short de sport déformé et humide.


De ses deux mains, il releva, avec une douce autorité, mon visage vers le sien : il voulait reprendre la direction des opérations.
Sa langue effleura ma lèvre supérieur, descendit aux commissures, explora la partie inférieure. Ces caresses furtives, légères, enflammèrent mes lèvres : elles en demandaient plus, avançaient à la rencontre de sa langue, tentaient de la happer.
Pour limiter ma marge de man'uvre, il ôta ses mains de mon visage pour s'emparer de mes poignets maintenus dans le dos. Agenouillée devant lui, ma poitrine vers l'avant à la rencontre de son corps, je m'adonnais au plaisir de sa langue joueuse.


Lorsque je parvins à mordiller ses lèvres, ce fut comme un détonateur : il m'embrassa avec voracité, relâchant mes poignets pour pétrir mes fesses. Mon corps plaqué contre le sien, je sentais à présent son sexe brûlant au contact de mon shorty et accentuais la pression. j'avais hâte de découvrir cette queue si dure.
Je dégrafai mon soutien-gorge tandis qu'il me plaqua brutalement de tout son poids contre le sol. Il finit de l'enlever et le jeta sur le côté.
Aussitôt, Lucas empoigna mes seins, les malaxant avec ardeur, pinçant mes tétons. Je me cambrais de plaisir, l'attirai à moi pour l'embrasser et sentir à nouveau son sexe contre le mien. Ma chatte devait être en feu car je la sentais vibrer entre deux ondulations. Je m'emparais de son short et lui murmurais :
- Lucas, prends-moi maintenant. j'ai trop envie de toi, de sentir ton sexe à l'intérieur de moi.


Ces paroles firent immédiatement leur effet. Il m'aida à retirer son short, son caleçon vint avec, et arracha mon dernier vêtement. j'eus à peine le temps de voir sa queue raide et épaisse qu'il souleva sans ménagements ma jambe gauche et vint se caler sur ma cuisse droite.
La large ouverture de mes jambes lui donnait une vue imprenable sur ma chatte. Son gland chaud et humide fouilla à son entrée, s'imprégnant de ma mouille abondante. Mon sexe palpitait de plus en plus, l'orgasme n'était pas loin mais je voulais jouir en le sentant au plus profond de moi.
- Oui, Lucas, pénètre-moi ! Vite !
d'un coup sec, il exauça mon v?ux, nous faisant crier de plaisir tous les deux.
- Que c'est bon ! Que tu es bonne ! Depuis le temps que je rêve de ça?
Ma jambe posée sur son épaule, il maintint quelques instant la position, les muscles de mon vagin se contractant autour de son sexe.


Il commença ensuite des va-et-vient, d'abord lents puis de plus en plus rapides et profonds. Il se penchait sur moi, profitant de ma souplesse pour écarter davantage mes cuisses.
Mon genou près du visage, je ne sentais pas la douleur de l'étirement mais seulement les mouvements de son sexe qui venait buter au fond de moi. Écartelée, limée comme une folle, je cédais à la jouissance et hurlais de plaisir.


Lucas ne s'arrêta pas pour autant. Il remonta ma jambe droite et saisit mes fesses pour les surélever. Pantelante, les jambes écartées de part et d'autre de lui, je ne réagis pas, encore assommée par mon orgasme.
Il continua à me baiser avec force. Ses testicules frappaient contre mes fesses, sa queue m'envahissait toujours plus loin, toujours plus vite. Je me sentais véritablement défoncée.
Cette nouvelle position, avec un angle de pénétration plus profond, l'amena rapidement à la jouissance. Il poussa un long cri, puissant. Je sentis son sperme jaillir en moi.


Lucas s'écroula sur moi et je l'accueillis au creux de mon cou, l'enserra de mes bras. Maintenant son sexe à l'intérieur du mien, je sentais son sperme couler et inonder la chatte.
j'étais bien : allongée sur le tatami, ruisselante de sueur, collante de semence, le c'urs battant à cent à l'heure. Jamais un entraînement ne m'avait autant épuisée !