Cathy s'ennuie

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Proposée le 3/04/2010 par nylonnoir

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Je me prénomme Catherine, Cathy pour mes intimes. Mariée très tôt a un homme promis à un avenir brillant, j'ai préféré stopper ma carrière pour accompagner la sienne. Ce choix, je le fis sans aucun état d'âme. Je peux ajouter que cette situation est loin de n'avoir que des inconvénients, je vis dans un milieu protecteur éloigné des réalités du quotidien.
Et pourtant, arrivée à 40 ans, je m'ennuyais ferme!! Mon mari, trop souvent absent et les deux enfants que j'avais eus avec lui ne parviennent pas à combler une insatisfaction autant physique que morale.
Sur les conseils d'une amie, je décidai de meubler quelques unes de mes après-midis en tentant de m'occuper de personnes défavorisées. J'avais chez moi alors une femme de ménage qui semblait correspondre à ce profil.
Après quelques refus de sa part elle accepta enfin que je me rende chez elle.
La semaine suivante elle me donna rendez-vous dans un vieil immeuble du début du siècle dernier en périphérie de la ville.
J'estimai ne pas trop devoir faire étalage de mon niveau social et je m'habillai donc de façon assez stricte.
Sous un manteau de daim noir j'avais mis une petite robe claire m'arrivant juste au dessus du genou et fermée sur tout le devant par des boutons pressions; pour ce qui est de mes dessous par contre je gardai tout mon standing en portant un serre-taille en dentelle blanche maintenant une paire de bas nylon blancs, pour finir le tout je chaussai des sandales à brides et hauts talons.
A l'heure voulue je poussai la lourde porte d'entrée donnant sur une cour intérieure au fond de laquelle se trouvait une porte vitrée. Je l'ouvris et me glissai dans un ascenseur poussif qui me mena bruyamment jusqu'au tout dernier étage. Je frappai à la porte.
Un jeune homme m'ouvrit:
"Bonjour"
Sans me répondre il me dévisagea de la tète aux pieds et se retournant dit:
"M'man, y a quelqu'un pour toi, vu son style ca doit être ta patronne!"
Une voix de femme venant du fond de la pièce me pria d'entrer, je me glissai à l'intérieur sans qu'il fit le moindre effort pour m'en faciliter la tache. Visiblement intimidée de ma visite chez elle ma petite femme de ménage me souhaita la bienvenue avec une gentillesse des plus touchante:
"Je vous présente mon fils Samuel."
Elle me fit visiter le minuscule appartement constitué d'une simple kitchenette et d'une pièce faisant à la fois office de salle à manger salon et chambre pour celle-ci. Tentant d'améliorer mes relations avec son fils, je lui proposai timidement, en faisant ostensiblement valoir mes relations, de lui trouver très rapidement un travail. Son visage s'empourpra et avec beaucoup de hargne il me répondit:
"Vous me prenez pour une de ces racailles qui squattent le hall d'entrée en glandouillant toute la journée ?"
Sa mère avec un petit sourire en coin s'excusa pour sa réaction et m'expliqua que son fils faisait de brillantes études et était en 1ere année de médecine. Je rougis légèrement et le pria de m'excuser. Pour me rattraper je lui demandai:
"Et vous, ou se trouve donc votre chambre ?"
Sa mère se mit à rire : "Montre donc à Madame là où tu passes le plus clair de ton temps !"
"Si Madame veut bien me suivre."
Craignant de commettre un nouvel impair, je l'accompagnai jusqu'à un petit recoin fermé par un rideau. Derrière celui-ci se trouvait un escalier escamotable dont la base ne touchait pas le sol.Je tentai en vain de monter sur la première marche, ma robe fermée jusqu'au dernier bouton entravait tout mouvement de ma part. Comme je me tournai vers lui pour lui faire part de mon impuissance, d'un geste vif il prit les deux pans de mon vêtement et les écarta violemment. Ma robe s'ouvrit jusqu'en haut de mes cuisses.Il me retourna vivement vers l'escalier:
"Maintenant allez y montez!".
Offusquée et déconcertée par tant d"aplomb je posai mon talon sur la première marche. Aussitôt ses deux mains se plaquèrent sur mes hanches:
"Arrêtez, ça suffit ! Bas les pattes !"
"Comme vous voulez."
Comme je posai le pied sur la marche suivante l'escalier se mit à bouger dans tous les sens. Je faillis perdre l'équilibre. Aussitôt les deux mains se plaquèrent à nouveau sur mon corps tandis qu'il me rejoignait sur l'escalier. Il me plaqua contre lui, l'une de ses mains m'enlaça et se plaqua contre mon ventre :
"Maintenant allez y montons."
J'avançai prudemment marche après marche avec mon guide collé à mes fesses sa main libre glissait de mes hanches à mes cuisses frôlant le tissu, elle semblait ne vouloir jamais s'arrêter, ma respiration s'accéléra, je sentais son souffle dans mon cou. J'atteignis enfin la trappe donnant sur la mansarde. Je dus me mettre à quatre pattes pour en franchir le seuil, d'un geste vif il me dépassa et se jeta sur son lit. Je le fusillai du regard :
"Ne refaites jamais cela, ce n'est que par pure considération pour votre mère et éviter tout scandale que je n'ai pas hurlé, n'y voyez aucune forme d'acceptation. Cela eu pour effet de le faire rire. En haussant les épaules il me dit "Voici mon univers".Je ne pus que laisser échapper un sourire devant ses mimiques et sa désinvolture. Il s'en aperçut et avec gravité reluqua avec insistance, je tentai de me redresser en vain la hauteur du plafond ne me laissait pas d'autres solutions que de me tenir accroupie. Ses yeux fouillaient mes cuisses, les pans de ma robe ouverts de chaque coté de celle-ci ne cachaient rien de mon intimité, je rougis violemment. Il s'approcha du bord du lit et en me prenant la nuque m'embrassa à pleine bouche. La surprise fut totale et ma posture en déséquilibre ne me permit de le repousser qu'après plusieurs secondes. Pour toute protestation je ne pus que balbutier des "Vous... vous... vous..."
Cela le fit rire à nouveau. C'est alors que la voix de sa mère se fit entendre nous priant de bien vouloir redescendre au salon. Il bondit jusqu'à la trappe et me fit signe de l'y rejoindre: "Attention, la descente sera encore plus périlleuse que la montée." Je me demandai un instant s'il parlait de ces marches ou de ses mains baladeuses. Je fus vite mise au courant. A peine ai-je pris pied sur le premier appui que, face à moi il glissa ses mains sous ma robe et se mit à nouveau à me caresser.
"Arrêtez je vous en prie arrêtez." Mon coeur battait la chamade. A mesure que nous descendions ses mains faisaient glisser ma culotte sur mes cuisses et cherchaient à pénétrer mon intimité. Chaque nouvelle marche franchie était le prétexte d'un nouvel assaut de sa part. Mon sexe était trempé au moment ou nous atteignîmes la dernière marche. En me portant il me fit atteindre le seuil, la tête me tournait. Je me cachai derrière le rideau pour me réajuster tant bien que mal et recouvrer un peu mes esprits. Nous retrouvâmes sa mère qui nous offrit le thé, je ne pensai qu'à une chose: m'enfuir au plus vite. Je balbutiai quelques excuses évasives en promettant de revenir prochainement.
"Je vais raccompagner Madame maman ! Je ne voudrai pas qu'il lui arrive quelque chose." dit le jeune homme avec un petit sourire en me regardant.
Je tentai de refuser mais celle-ci insista pour qu'il m'accompagne.
A peine la porte fermée derrière nous il se remit à me peloter les fesses en remontant ma robe jusqu'à la taille, je me pressai vers l'ascenseur que j'appelai avec insistance, il me plaqua contre la porte et m'embrassa en se collant à moi, ses mains me fouillaient je perdais pied quand l'ascenseur arriva enfin. Je me précipitai à l'intérieur et refermai la porte devant lui; une nouvelle fois son rire agaçant se fit entendre et alors que je commençai à descendre j'entendis nettement sa voix me dire: "Tu as aimé ca, tu ne peux pas le nier, tu peux t'enfuir je sais que l'on se reverra et tu le sais aussi."
Je sortis en courant de l'ascenseur, ouvris la porte vitrée à toute volée et poussai la lourde porte d'entrée. Je m'adossai à celle-ci le souffle court, le ventre et les joues en feu. Tentant de reprendre mes esprits j'endentai encore sa voix dans ma tête me dire que j'avais aimé ca. La vérité était bien pire je n'avais pas aimé ça.
J'AVAIS ADORE.