La femme d'un ami...

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Proposée le 23/03/2010 par pattedevelours59

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j'arrive à l'improviste chez mon ami Stéphane, par ce bel après-midi d'été. Je sonne et au bout d'un instant, la fenêtre de la salle de bain à l'étage s'ouvre. c'est Amandine, sa femme, qui apparaît. Elle ne s'attendait pas à ma visite mais dès qu'elle m'aperçoit, son visage s'illumine d'un beau sourire.
Elle porte un fin peignoir de bain pastel, ses cheveux sont attachés en chignon; sans doute sort-elle de la douche. Elle tient un tube de rouge-à-lèvres à la main, elle était en train de se maquiller. Elle ouvre la fenêtre et dit
- Hé bonjour Vincent !
- Coucou Amandine. :)
- Tu voulais voir Stéphane ? Il n'est pas là, il est à un salon à Paris jusqu'à demain, il t?avait pas dit ? Mais tu peux entrer quand même hein, ça me fait plaisir de te voir. Attends je viens t?ouvrir..
Après un très court instant, réalisant peut-être sa tenue, elle se ravise :
- Attends, bouge pas, je t?envoie la clé plutôt.
Elle disparaît. Mon imagination est déjà à l'?uvre. Depuis toujours, je trouve cette femme très attirante. Elle n'est pas ce qu'on appelle un canon de beauté, mais elle possède un charme indéniable : blonde naturelle, sa peau est claire, son visage agréable avec une jolie bouche pulpeuse. d'un caractère gourmand, elle aime la vie et ses plaisirs. Elle a quelques petites rondeurs qui la rendent encore plus appétissante, charnelle... Elle me plait et j'ai parfois l'impression que je lui plais aussi; mais peut-être que je me fais des idées, car sa nature spontanée brouille un peu les cartes. j'en éprouve parfois de la culpabilité envers mon ami Stéphane, mais deux choses la tempèrent : Stéphane est un ami, mais c'est un vrai macho, je sais qu'il lui arrive de tromper Amandine sans scrupules; de plus, j'ai appris par quelqu'indiscrétion, qu'Amandine n'est pas du tout satisfaite côté câlins et quand bien même ma conscience me tourmenterait davantage, c'est plus fort que moi : elle m'attire terriblement. Autant dire que l'imaginer nue sous un peignoir de bain suffit à me donner les plus folles idées... Lorsqu'elle s'est accoudée à l'appui de fenêtre pour me parler, j'ai eu le temps de deviner aux déformations qu'ils imprimaient à la fine éponge du peignoir, que ses seins lourds étaient libres en dessous; elle n'a pas encore enfilé de soutien-gorge. Peut-être ne porte-t-elle pas de culotte non plus... mmmmh...
Que se passe-t-il ? Elle en met du temps pour chercher ses clés... Néanmoins, au bout de deux minutes, mon attente est récompensée : la voilà qui réapparait au cadre de la fenêtre, dans ce qui semble être une petite nuisette de satin écru, toute simple et toute légère. Cette fois je peux même voir les tétons de ses jolies mamelles se dessiner sous l'étoffe. Pourquoi s'est-elle changée sans vraiment se couvrir plus ? Par simple coquetterie sans doute...
c'est d'une main sûre que j'attrape les clés qu'elle laisse tomber. j'entre.
- Coucou Amandine ! Ça va ?
- Oui ! j'arrive. Je finis : j'en ai pour deux minutes.
l'envie de la voir dans cette tenue fut plus forte que la raison...
- Non-non, vas-y prends ton temps... Si tu veux, moi je monte, ok ?
- euh... bon, d'accord.
Je gravis l'escalier et mon c'ur s'emballe un peu plus à chaque marche. Depuis toutes ces années, c'est la première fois qu'une telle occasion se présente; même dans mes plus beaux fantasmes la concernant, je n'aurais pu rêver meilleur scénario. Il n'est plus question de prise de conscience à ce moment là. Toute raison m'échappe, je ne ressens qu'un immense vertige, comme au bord d'un gouffre. Ne suis-je pas sur le point de faire une énorme bêtise ? Mais le désir est là qui surpasse tout.
j'arrive à la porte de la salle de bain grande ouverte, je découvre Amandine ici, dans l'antre de son intimité. Elle porte juste, ce qui semble être un haut de pyjama d'été : genre nuisette en satin, de ceux vendus avec un petit caleçon assorti; sauf que là, le caleçon est absent... Très simple et plus court qu'une nuisette, il s'arrête presque en haut des cuisses, juste assez pour couvrir une éventuelle petite culotte. De fines bretelles et assez échancré sous les bras pour qu'une partie des courbes extérieures, à la naissance de ses seins, soit visible; leur arrondi déforme la fine étoffe et me donne un aperçu de leur dessin : un régal, ma température interne déjà poussée par la chaleur de cette journée, grimpe encore d'un cran... Malgré cela, je me dis que mon regard érotise peut-être une scène, qui ne l'est pas pour elle : peut-être est-elle juste naturelle et sans arrière-pensées ? Après tout, nous sommes amis de longue date et il nous est arrivé plusieurs fois, de nous voir en maillot de bain et même en pyjamas. Mais aujourd'hui, le contexte est différent : nous sommes seuls par cet après-midi torride et moi, je brûle de désir... Quoiqu'il en soit, j'entre dans la salle de bain et lui lance :
- Ouh là là Amandine ! mais c'est mimi tout ça !
Juste une remarque un peu coquine...
Elle sourit, et minaude visiblement ravie du compliment.
- mmmh, merci c'est gentil.
Je m'approche et lui fait la bise; elle appuie la sienne d'un petit « mh » juste avant le bisou et en pressant sa joue un peu plus fort qu'à l'accoutumée. Peut-être est-ce juste une marque d'affection ou juste pour me remercier du compliment, mais pour moi, il n'est pas question de m'arrêter là, ni de faire machine arrière. Je l'imite sur l'autre joue en faisant durer un peu plus le « mmmh », d'un ton grave, en y ajoutant une légère intention gourmande. oh ! Elle rougit ! Aurait-elle aussi des idées moins sages ?! Je profite de sa confusion pour enfoncer le clou, je me recule d'un pas, la détaille en m'attardant ostensiblement sur ses seins, sur ses cuisses...
- Non, sérieux Amandine, tu es vraiment top là dedans. Tourne un peu sur toi même ? voir ?
- Allez Vincent, arrête hé...
Elle me répond comme si elle ne croyait pas vraiment à l'intérêt que je lui porte tout à coup, comme si ma requête était juste une forme de flatterie, une plaisanterie même pas digne d'être relevée. Il faut dire que je n'avais jamais encore exprimé de telles appréciations auparavant.
j'insiste, un peu à la manière d'un enfant qui réclame une friandise :
- Oh s'il te plait Amandine. j'adore les nuisettes, vraiment je trouve ça super-joli.
Et, disant cela, je cueille délicatement la paume de sa main pour initier le mouvement.
- s'il te plait...
La voilà un peu gênée, mais le ton innocent que j'emploie, la rapidité de l'enchaînement et peut-être le fait que je fasse mine de m'intéresser à ce qu'elle porte, plutôt qu'à elle, la fait céder et, bien qu'elle pouffe d'un petit rire embarrassé, elle obéit et commence à tourner lentement. Rien que pour ça, mon audace aujourd'hui, est récompensée !
Bien plus que la nuisette, cela me permet d'apprécier et détailler son corps : le profil de ses seins est enchanteur; le renflement sur le côté fait briller le satin dans un arrondi que je devine tout tendre, je l'imagine déjà sous mes mains. Ses tétons qui poussent sur le tissus le marquent de leur présence par un petit renflement discret. Ses cheveux attachés dégagent sa nuque, celle-ci est fine et s'harmonise parfaitement à ses épaules délicates. Le haut de son dos est découvert et son grain de peau semble fin et doux, sa délicate pâleur lui conférant une sorte de fragilité. Ses hanches sont larges, mais sa taille bien marquée et sa cambrure superbe. ses cuisses sont deux piliers de marbre blanc et le galbe de ses mollets, accentué par les talons compensés des mules d'été qu'elle porte aux pieds. Tout cela, mes yeux avides l'enregistrent en quelques secondes. La voilà presque dos à moi. Je devine par le léger relief qu'il imprime au satin, un élastique de culotte, juste en haut de la courbe que dessinent ses belles fesses bien rondes.
Je commente en amateur, appuyant chaque mot :
- Mmmh, c'est trop joli. Franchement, tu es une belle femme, Amandine.
Elle me répond de plus en plus troublée et incrédule :
- Rhôô, arrête Vincent. En plus j'ai des grosses cuisses et des grosses fesses. Tu vas pas dire que c'est joli quand même ?
Là, elle me tend une perche. Je m'en saisis et pour une fois, l'esprit d'à propos ne me fait pas défaut, je lui répond faussement offusqué :
- Comment ça des grosses fesses ?!! Aaah non Amandine ! Attends, je peux pas te laisser dire ça. Stop !
Je la saisis par les hanches, pour qu'elle cesse de tourner. Surprise, elle regarde par dessus son épaule et demande :
- Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?
- Tu plaisantes ou quoi ? Elles sont pas grosses du tout tes fesses... Attends : viens un peu par là...
Je tiens toujours ses hanches, mais pour ne pas la brusquer, mes mains reposent à peine sur le satin de la nuisette. Le contact est très agréable et elle doit sentir la chaleur sur son corps à travers le tissus. Je l'entraîne doucement vers un petit tabouret derrière nous. Intriguée et apparemment un peu inquiète elle me demande :
- Hééé ? Mais, qu'est-ce que tu fais ?
- Mais rien. c'est toi : tu dis des bêtises. Attends, viens par là tu verras...
Napoléon l'avait compris : dans toute conquête, la surprise est un élément déterminant. Et comme lui, aujourd'hui je compte bien étendre mon empire, le territoire que je convoite étant le corps d'Amandine ! Je sens qu'elle ne comprend plus trop ce qui se passe et du fait, se laisse guider. Nous reculons doucement et à chaque correction de trajectoire, mes mains si légèrement posées sur ses hanches, font glisser le satin sur sa peau. Ces caresses « involontaires » sont les bienvenues... Ce trajet bien que très court, me permet toutefois de jouir du spectacle de sa belle croupe en mouvement qui fait onduler le satin, à chacun de nos pas.
Je m'assois sur le tabouret. Il est bas et depuis ce nouveau point de vue, j'entrevois juste la courbe inférieure de ses fesses, son entrejambe et un peu de sa petite culotte : très simple aussi, en coton blanc très fin et, légèrement trop petite, elle fait encore un peu plus ressortir ses belles formes qui semblent vouloir s'en libérer. Mon visage est à une trentaine de centimètres pas plus, de ce formidable cul. Je voudrais m'y enfouir, le dévorer, y glisser ma langue au plus loin, mais ce serait à coup sûr, ruiner toutes mes chances. Je dois jouer serré. Aussi, pour évacuer son inquiétude, et la tension que je sens poindre en elle, je la joue théâtral et, comme si je m'adressais directement à son séant, je déclame :
- Grôsses fesses ? Grôsses fesses ? Point de grôsses fesses ici Mâdâme ! Généreuuuses, oui. Accueillaaantes, certes. Souriantes sans doute. Appétissantes c'est sûr, mais grôsses, jâ-mais !
Elle me regarde amusée, par dessus son épaule. Ses yeux brillent... je sens que je peux continuer
- Non Amandine, franchement : des grosses fesses, c'est pas comme ça. Tiens la preuve : cambre toi un petit peu pour voir...
La voilà prise au jeu, elle veut entendre ma démonstration : peut-être ses fesses ne sont-elles pas aussi grosses qu'elle le croît ? Peut-être aussi la situation commence-t-elle à l'exciter malgré elle ? Un peu maladroitement, elle se penche en avant, et, naturellement, pour s'assurer un meilleur équilibre, écarte un peu plus les jambes en pliant légèrement les genoux.
- Voooilà. Maintenant creuse-toi un peu ici...
Des doigts, j'appuie doucement dans le bas de son dos et du bout des pouces, j'imprime un mouvement vers le haut; elle accompagne.
- Oui comme ça.
Son cul voluptueux remonte et s'approche un peu plus de moi.
- Voilà, ne bouge plus.
d'un geste de présentation, je lui indique le grand miroir sur notre droite et la flatte :
- Regarde Amandine. Alors ? Tu vois ? Tu vois comme tu es belle ?
La grande glace confirme mes dires : la position qu'adopte Amandine, lui tend les muscles derrière ses cuisses, et, la courbe de ses fesses sous le satin qui luit, est magnifique. Je peux la voir sous deux angles différents et je m'en régale. Sa posture maintenant, me permet de mieux apercevoir sa petite culotte. Elle est si fine qu'elle moule délicatement sa vulve, s'enfonce légèrement dans la fente et en dessine les replis. Quelques fins poils blonds débordent sur les côtés.
Jamais encore je n'étais allé si loin dans son intimité. A ce moment précis, elle ne peut plus croire à un simple et innocent cabotinage. En effet, l'image que nous renvoie notre reflet est sans équivoque : son cul cambré et relevé à hauteur de mon visage comme une offrande, une invitation à la dévorer. Mes mains posées sur ses hanches nous unissent dans cette pose érotique... Cependant, flattée, troublée, sûrement excitée déjà et sans doute encore une fois prise de court, elle ne met toujours pas un terme à mon petit manège... Il faut que j'enchaîne immédiatement et il est temps pour moi de jouer le tout pour le tout.... d'une voix grave et chaude, je lui sussure
- Mmmh Amandine, Amandine... Tu es vraiment trop belle...
Et disant cela, je commence par caresser ses jambes. Elles sont tendres et douces comme je l'imaginais. Je pars de ses mollets, remonte sur le devant; arrivé en haut, je rapproche mes mains et serre doucement entre mes doigts et la paume de mes mains, l'intérieur de ses cuisses, là où sa chair est la plus tendre, exprimant mon désir par des « mmmh » graves et gourmands. Puis, suivant l'élastique de sa culotte, je me dirige vers ses hanches et, me glisse sous sa nuisette que je relève afin de découvrir complètement son cul. Le voilà tout à moi, ses fesses sont pleines, larges, mais bien rondes. Je les prends à pleines mains, les pelote, les écarte et les soulève doucement. La petite culotte blanche se replie un peu plus entre elles, à chacun de mes gestes. Je les pétris lentement mais avec gourmandise. Elle est si près de moi que je peux sentir le délicat parfum du gel-douche pas encore éventé. Je soupire :
- Ohhhhhh Amandine...
Elle a dû sentir mon souffle brûlant jusqu'entre ses cuisses : un petit tressaillement la parcourt.
- Oh Amandine, je t?assure que tu te trompes : il est magnifique ton cul...
Je suis excité comme un ado ! Je cherche son regard dans la glace du lavabo, où je la trouve extrêmement troublée; en trois minutes à peine, cette simple visite amicale a vraiment pris une drôle de tournure ! Elle semble le réaliser seulement maintenant.
- Oh là là Vincent ! Qu'est-ce que tu es en train de faire ?!...
La réponse semble évidente, pourtant elle ne se défile pas et demeure dans cette position provocante : offerte à mon regard, laissant mes mains courir sur elle... Je lui réponds d'une voix chaude, rendue rauque par l'excitation, en continuant à lui caresser fiévreusement les fesses et les cuisses :
- Tu me plais Amandine. ça fait des années que tu me plais. Des années que je rêve de te sentir comme ça tout près de moi. Je t?en prie, laisse-moi te « regarder » encore un peu.
Cet aveu et l'euphémisme qui l'accompagne la laissent sans voix : elle ne répond pas. Son visage exprime des sentiments contrastés, ses yeux sont grands ouverts; elle reste bouche bée, incrédule, comme si elle vivait un rêve éveillé. Elle semble regarder cette scène surréaliste en spectatrice. Notre reflet dans la glace est mon complice : il offre à Amandine une distance à la réalité mais aussi, l'image qu'il renvoie stimule nos sens. De mon côté, bien sûr, je ne me contente pas de la regarder. Je joue avec ses bonnes fesses moelleuses. Je les secoue doucement, les écarte et les resserre, je les embrasse l'une et l'autre amoureusement, je les goûte tendrement, puis, à pleine bouche, les mords doucement.
- mmmh, mmmh, oh Amandine...
Mes mains fiévreuses, parcourent son corps comme pour rattraper toutes ces années de désir. Je caresse l'arrière de ses jambes, mains grandes ouvertes et remonte tout en haut des cuisses, que je tiens à pleines mains, juste sous la courbe inférieure de ses fesses; j'enfonce mes pouces sous elles, ils se retrouvent de chaque côté de son minou, à la lisière de sa culotte. Je les glisse juste un peu sous l'élastique; une douce et humide chaleur émane de sa chatte si proche, j'y rencontre quelques poils très fins et soyeux. Alors, j'écarte très fort et Ô miracle, comprenant mon but, elle ouvre un peu plus les jambes afin d'écarter ses fesses et s'exposer encore mieux à moi. Voilà, mon rêve devient réalité, elle n'est plus passive, elle participe ! Je la regarde dans le miroir, ses yeux ne sont plus grands ouverts et plein de surprise, ils sont à présent mi-clos, emplis de langueur. Je continue de l'écarter, si fort, que sa chatte doit être toute béante sous sa petite culotte. A présent, sa jolie toison dorée déborde largement du tissus, j'aperçois même un peu de chair rose et humide.
- Oh Vincent...
Je passe alors une main derrière, sous l'élastique du haut de sa culotte et la descend jusqu'à l'intérieur de ses cuisses, avec comme résultat de de me dévoiler sa jolie raie. j'évite soigneusement de toucher sa chatte, mais je peux en sentir la chaleur sur mon poignet, que quelques poils effleurent au passage; ceux de mon avant bras leurs rendent cette caresse. Je pétris doucement l'intérieur de sa cuisse tout en haut, tout près de son minou et l'embrasse avec passion au creux de ses reins. Alors elle referme sa main sur la mienne qui a osé s'aventurer si loin comme pour la retenir et geint :
- oh Vincent ! Non, on ne doit pas...
Mais l'un comme l'autre, nous sommes submergés par le désir et plutôt que de s'écarter de moi, Amandine plie encore plus les genoux afin de s'offrir davantage. Elle écrase sa chatte sur mon poignet puis commence à onduler doucement du bassin.
Son minou est déjà tout trempé, je le sens à présent qu'elle semble vouloir me manger de ses lèvres et qu'elle frotte son clitoris sur les parties les plus dures de mon poignet et de mon avant-bras. Elle voudrait encore résister, mais il est trop tard :
- Oh non Vincent, non... Vincent, Vincent.. oh...
De ma main libre, j'écarte très grand ses lèvres. Je regarde cette croupe danser devant moi et je l'accompagne dans ce mouvement qui va s'accélérant. Mon poignet luit de sa mouille, j'ai une envie folle de la lécher. A présent, ses yeux sont clos, sa bouche entrouverte, sa main est toujours sur la mienne et la serre très fort. Elle s'abandonne complètement au plaisir. Elle se frotte avec un rythme plus soutenu. Moi de temps à autre, je pivote légèrement mon avant bras, lui offrant une surface tantôt tendre, tantôt dure. Ses fesses bien roses et joufflues vont et viennent, roulent sensuellement. Je les embrasse lorsqu'elles se rapprochent, j'essaie d'y glisser ma langue, je voudrais les manger. Très excitée, elle jouit très vite. Son corps est parcouru de spasmes, ses cuisses s'ouvrent et se ferment à plusieurs reprises, enserrant mon poignet. Puis doucement, elle me libère, lâche ma main et se pose sur mes genoux. Je la laisse redescendre en douceur. Je dépose de petits bisous sur sa nuque et son dos. j'en profite aussi pour goûter au miel qu'elle a déposé sur mon poignet.
Je savoure ce moment. Enfin je peux ressentir la réalité physique de ce corps sur moi; ce corps que j'ai si souvent rêvé tout contre le mien, enfin je jouis du spectacle de ces cuisses généreuses posées sur les miennes.
Revenue sur Terre, elle n'ose plus me regarder, la culpabilité sans doute la rattrape :
- Qu'est-ce qui nous arrive Vincent ?
Je la rassure :
- c'est ma faute j'ai craqué... Tu m'en veux ?
- oh non ! mais c'est pas bien.... Oh là là, c'était trop excitant... elle parle d'une voix chaude le souffle encore un peu court
- Oh oui, si tu savais combien de fois j'ai imaginé ça...
- Ah bon ? c'est vrai ?... j'avais jamais remarqué... Franchement, j'aurais jamais cru...
Après un moment perdue dans ses pensées, elle reprend:
- Vincent, promets-moi de n'en parler à personne, si jamais Stéphane apprenait ça... Je l'avais jamais trompé avant aujourd'hui...
- Bien sûr, ça serait la cata ! Faut vraiment que ça reste un bon souvenir. Juste une escapade, un joli rêve... d'accord ?
- Oui, et faut pas que ça change quelque chose entre nous hein ?
- Pour moi y a pas de problème, tu restes mon amie, même si j'aurais toujours envie de toi, ça je peux pas faire autrement et c'était déjà le cas avant...
- Je te plais vraiment alors ?
- Et comment ! Il y a certaines choses qui ne trichent pas. Tu ne le sens pas ? Afin de le lui prouver, je baisse mon bassin, m'appuie sur le mur derrière moi et guide ses tendres fesses en les écartant des deux mains pour lui faire sentir la terrible érection dont elle est la cause. Poussant sur ses pieds, elle m'accompagne et viens coller sa chatte que je sens toute brûlante, malgré les trois épaisseurs que forment sa culotte, mon pantalon léger et mon caleçon; alors je comprime ses fesses autour de ma queue pour qu'elle me sente encore mieux.
Ses ondulations reprennent aussitôt.
- oh Vincent... Puis sans oser me regarder, elle glisse une main sous elle pour me palper.
Aussitôt, je me déboutonne et lui offre mon sexe durci.
- mmmh, qu'elle est dure !
- Oh Amandine, regarde dans quel état tu me mets...
Elle veut voir ça de ses yeux. Alors, sans même me lâcher, elle se lève, se retourne face à moi et grimpe à califourchon sur mes cuisses.
- Mmh, elle est grosse en plus, dit-elle en me serrant fort et me branlant doucement. Je la regarde, ses seins ballottent sous la nuisette, au rythme de son bras.
- Mmmh Amandine, attention, tu m'excites trop, ça risque de partir d'un coup!
- Ah bon ? répond-t-elle d'un air intéressé. Alors elle descend de mes jambes et s'agenouille. Elle ôte mes chaussures, mon pantalon et mon caleçon. Puis, elle s'empare de ma queue et l'engouffre presque entière dans sa bouche. Elle fait cela dans un mouvement lent mais qui semble plein de fougue. Ce contact tout chaud est délicieux, elle m'aspire très fort, monte et descend le long de ma hampe en émettant des « Mmmh » gourmands.
- Mmmh, elle est douce...
Ses seins s'écrasent sur ma cuisse au rythme de ses mouvements. Les bruits de succion et la vue de sa bouche autour de ma queue font monter le plaisir en moi, fort, irrépressible. j'essaie de me retenir encore, mais en vain. Je sens mon gland gonfler encore sur sa langue, mes cuisses se contractent. Je tente de la prévenir, mais
- oh oh Amandine ! Ooooh !
J'explose dans sa bouche, d'une longue et brûlante éjaculation. Je suis parcouru de frissons, un orgasme comme je n'ai plus ressenti depuis longtemps. Surprise par ce jet de foutre, elle a un petit mouvement de recul, mais aussitôt m'engouffre entièrement; elle s'immobilise quelques secondes, ce qui me donne l'impression, à chacun de mes spasme de plaisir, de la prendre par la bouche. Elle fait écho à mes râles par de petits "Mmmh" gourmands qui semblent dire "Moi aussi je me régale.". Lorsque je m'apaise enfin, elle reprend un va et vient très lent. Ses cheveux attachés me permettent de ne rien perdre de la scène : bien qu'elle avale ma semence, un peu de sperme s'échappe de sa bouche et s'écoule doucement le long de ma queue; elle le rattrape et il disparaît derrière ses lèvres. Elle continue de me sucer en me massant doucement les testicules et relevant les yeux parfois sur mon visage pour y lire mes réactions. Je sens ses lèvres glisser autour de moi et, arrivées au gland, se resserrer très fort pour finir tout au bout par des baiser torrides et baveux. Puis elle me lèche longuement de toute sa langue, nettoie toute trace de mon orgasme, pressant de temps à autre ma verge pour en tirer jusqu'à la dernière goutte, quelle recueille délicatement du bout de la langue et avale goulûment. Lorsqu'enfin elle m'abandonne, elle se relève avec un petit sourire gêné, prend son gant de toilette, le passe sous l'eau chaude et après l'avoir essoré, me nettoie le bas ventre et la queue sur laquelle elle dépose de petits bisous ponctués de ses « Mmh » affectueux. Je suis sur un nuage...
- Ça t?a plu ?
- Mmmh, c'était divin... j'aurais jamais cru que tu suçais si bien. Tu caches bien ton jeu. Tu es gourmande, j'adore !
- Ben en fait, j'avais jamais avalé avant. Ça m'a surpris, tu es venu si vite. Mais tu m'as tellement excitée que j'ai eu envie de goûter. Je crois que je pourrais te manger tout entier !
- Viens là.
Je l'attire à moi et là voilà qui me chevauche à nouveau.
Nous nous embrassons. Nos langues se mêlent. Elle embrasse bien : c'est très langoureux, sa langue s'enfonce avec gourmandise dans ma bouche. Nous salivons de plaisir, notre baiser n'en finit plus. Cette femme attise mon désir, déjà, ma queue durcit à nouveau. Son petit ventre vient s'y coller, tout doux et tout chaud qui l'emprisonne contre le mien; Je soulève sa nuisette, je veux découvrir ses seins. Enfin je peux me repaître de chaque recoin de son intimité dont j'ai rêvé si souvent. Ses seins sont tels que je les imaginais : sans être très gros, il sont lourds, en poire, ils s'affaissent très légèrement mais sont bien pleins et ronds; très pâles et d'une chair laiteuse. Par cette chaleur, quelques veines délicates transparaissent et les aréoles sont larges, très claires et rosées légèrement teintées d'orange, exactement comme je les aime..
- Oh Amandine, j'adore tes seins !
Je commence à les téter doucement, à les lécher par dessous, je sens leur poids sur mon visage, ça m'excite ! A présent je les prends à pleine main, à pleine bouche j'aimerais les mettre tous les deux entiers dans ma bouche. Je passe de l'un à l'autre très vite.
Amandine apprécie, son corps vibre, elle se frotte encore plus fort contre ma queue. d'une main, elle écarte sa culotte et je sens sa chatte toute trempée prête à m'avaler. Nous continuons. Je sens ses lèvres bien ouvertes remonter depuis mes couilles jusqu'à mon gland; sa mouille coule littéralement sur moi. Elle commence à jouir. Sa vulve est de plus en plus béante et ce qui devait arriver arriva : mon gland glisse et s'enfonce en elle. Dans un réflexe, ses jambes se déplient légèrement et d'un coup de reins elle se retire :
- oh non Vincent ! Il ne faut pas ! Pas ça !
Mais le c'ur n'y est pas... Je l'attrape par la nuque, l'embrasse à pleine bouche et, soulevant le bassin, m'enfonce de toute ma longueur dans sa chatte trempée et accueillante. l'autre main dans le bas de son dos, je la maintiens collée à moi. Son gémissement est étouffé par mon baiser. Elle résiste encore un peu, mais ma main reste ferme et appuie encore un peu plus fort, tandis que mon bassin remonte. Je sens mon gland frotter tout au fond d'elle, contre les parois de son vagin. Elle cède. Les muscles de ses jambes se détendent, nos corps s'affaissent lentement. Je commence à bouger doucement, elle m'accompagne. Je saisis ses fesses à pleines mains et maintient sa culotte et sa chatte très écartées. Ses hanches ondulent avec beaucoup de sensualité, je l'empale à chaque fois qu'elle se rapproche et m'enfonce en elle comme dans du beurre. Peu à peu, une frénésie nous gagne. Son vagin se contracte de plaisir autour de moi, je me sens gonfler au rythme de mon pouls, ses contractions me stimulent et je sens à nouveau ma sève monter le long de ma queue.
- Oh Amandine... Je peux venir en toi ?
Je sais qu'elle porte un stérilet et que nous n'avons rien à craindre l'un de l'autre.
- oh oui vas-y Vincent, oh oui! oui! vas-y ! Son orgasme est très fort, ses hanches sont agitées de sursauts, mon excitation est à son comble. Je me lève et la soulève avec moi, glissant mes mains sous son cul généreux. Ses épaules contre le mur, je continue à la pilonner, écartant sa chatte et ses fesses de mes deux mains. Elle ne peut plus retenir ses cris et je jouis à mon tour, puissamment tout au fond d'elle. Ses jambes croisées derrière moi me serrent très fort, ses bras aussi. Son bassin prolonge le mouvement de va et vient mais au ralenti maintenant, parcouru parfois par quelques tremblements. Nous nous embrassons longuement avec passion; nos langues se mêlent délicieusement; parfois elle emprisonne la mienne dans ses lèvres pulpeuses et la suce, comme si elle espérait aussi en sortir quelque fluide. Elle a quelque chose d'animal qui me fascine et m'excite. Je me laisse glisser le long du mur et m'assois sur le sol. Le contact du carrelage est agréable et me rafraîchit. Elle se retrouve assise sur moi, genoux remontés. Je suis toujours en elle, j'aimerais ne jamais plus en sortir.
- Oh Vincent... Tu m'as fait du bien...
- Toi aussi ma Belle, je n'avais pas joui comme ça depuis longtemps.
- Mmmmh, tu me le referas dis ?
- Oh oui, aussi souvent que possible !
Nous nous embrassons encore. Elle déboutonne ma chemisette et nous nous caressons un long moment.
Puis elle se relève et se dirige vers la baignoire qu'elle commence à remplir.
- Je suis bonne à reprendre un bain maintenant ! On le prend à deux ?
- Mmmh, c'est vrai que tu es bonne ! ;) Elle me sourit, indulgente à ce mot graveleux
- Quant au bain : avec plaisir... Un bain avec toi, quel pied !
Qui m'aurait dit que cette journée prendrait une tournure si agréable...
Tandis que la baignoire se remplit, nous nous déshabillons l'un l'autre.
Elle ôte ma chemisette en me faisant de petits bisous sur le torse, elle est très douce. Je commence déjà à rebander ! A mon tour, je lui ôte sa nuisette, m'attardant encore un peu sur ses hanches et ses seins.
Sa culotte est souillée des jus de notre plaisir.
- Il faut que je la nettoie. Mets-là dans l'évier.
- Eh oui bien vu ! ça vaut mieux en effet...
Je la lui ôte, mais avant de m'en séparer, je la passe délicatement sur sa vulve, pour essuyer le sperme qui s'écoule encore de son vagin. Comprenant mon geste, elle écarte les jambes, plie les genoux et se contracte. Un peu de fluide chaud se dépose sur le tissus. j'essuie une dernière fois ses délicates lèvres, m'essuie aussi la queue avec ce doux coton plein de nos sécrétions mélangées, replie la culotte et la jette dans l'évier. Nous nous sourions d'un air complice.
Le bain est prêt. Juste tiède. Par cette chaleur, ça sera super.
l'eau doit-être exactement à la température de mon corps car je ne sens ni le chaud, ni le froid, juste la sensation du liquide qui glisse sur ma peau. c'est étrange et très agréable.
Nous nous faisons face et plions nos jambes, les enchevêtrant pour nous rapprocher l'un de l'autre. Nous nous embrassons encore, c'est si bon... Puis une ombre traverse son regard.
- Ça fait bizarre d'être ici tous les deux non ?
- Mmmh, moi ça me plait...
- Non, je veux dire, c'est la situation qui est bizarre. On se connait depuis si longtemps... j'espère que ça ira après... j'ai peur de ne plus réagir comme avant, d'être mal à l'aise avec toi... Ou avec Stéphane... En plus, c'était si bon... Je vais plus arrêter d'y penser...
- c'est sûr. Je pense que c'est justement parce qu'on se connait depuis longtemps, il y a déjà, comment dire... De l'affection entre nous. c'est forcément un peu plus qu'un simple plan cul...
- Oui c'est vrai. j'ai eu l'impression qu'on savait déjà tout ce que l'autre aime... En plus, je me suis sentie tout de suite en confiance. Je vais avoir du mal à m'en passer tu sais ?
- Moi aussi, mais on ne doit pas se laisser emporter. Tu sais, je crois que le côté interdit est aussi super excitant; c'est aussi pour ça que c'est si intense. Je sais pas si en laissant une routine s'installer, ça durerait... Mais je dois reconnaître qu'on s'emboîte parfaitement toi et moi et que tu me plais terriblement.
Disant cela, je l'embrasse encore une fois, sa bouche et sa langue m'accueillent, chaudes et sensuelles.
- Oh Vincent... Toi aussi tu me plais...
- Mmmh Amandine...
Je caresse ses seins fasciné par cette peau de lait, ses aréoles d'un rose si délicat. Les huiles qu'elle a rajouté à l'eau rendent notre peau plus douce encore et très glissante. j'avance mon bassin pour sentir son minou sur mes parties. Mes testicules contre ses fesses, et ma queue le long de sa fente, me voilà tout raide à nouveau. Même sa belle toison dorée, pas trop fournie mais naturelle, est soyeuse. Ses poils sur ma queue sont comme une douce caresse. Nous restons un moment comme ça, à frotter nos sexes doucement l'un contre l'autre, c'est tendre et excitant à la fois.
Au bout d'un moment, je lui dis :
Dis Amandine, j'aimerais laver ton petit minou...
Ça la fait rire, mais à présent, elle est prête à répondre à toutes mes fantaisies :
- c'est vrai tu veux ?... Tu es fou... Bon d'accord. c'est encore une première pour moi !
Elle se lève, hésite :
- Comment je dois me mettre ?
- Assieds-toi sur ce rebord, il est assez profond, tu y seras à l'aise. On dirait qu'il est là juste pour nous !
En effet, la baignoire est encastrée et l'extrémité se prolonge par du carrelage qui fait comme un petit banc avant le mur. Elle saisit son flacon de gel intime, me le tend avec un petit sourire gèné et s'assoit, les fesses sur le bord de la baignoire, les bras derrière son dos, mains en appui sur le carrelage. j'écarte très grand ses jambes, ce qui me permet de pouvoir à loisir, admirer sa belle chatte. Elle est d'un joli rose soutenu, le clitoris légèrement saillant; ses grandes lèvres, longues et fines, sont légèrement entrouvertes...
- Mmmh quelle jolie chatte...
- Elle te plait ? Je ne la rase pas... ajoute-t-elle comme s'excusant.
- Tu n'en as pas besoin, d'ailleurs, moi je préfère comme ça...
En effet, Amandine est une vraie blonde; son minou est orné d'une jolie toison aux reflets dorés, aux poils très fins et joliment bouclés. Sur le pubis, une belle moquette peu touffue et régulière, et une couronne de petits poils bouclés encore plus fins entoure sa vulve. Décidément, cette femme a vraiment tout pour me plaire.
Je fait mousser le gel et l'applique doucement sur sa chatte. Du plat de la main, je décris des ellipse. La mousse la rend encore plus douce et je sens glisser ses lèvres et son petit clito entre mes doigts entrouverts.
- Mmmh c'est agréable me dit-elle, tu fais ça bien
- Tu es super douce ma Amandine, j'adore...
Ensuite, je glisse une main après l'autre, à la verticale, le long de sa fente et descends jusqu'entre ses fesses que je caresse l'une après l'autre aussi. De l'index, j'effleure son anus à chaque passage et parfois, lorsque je remonte, j'enfonce mon pouce dans sa chatte et frotte doucement la chair à l'intérieur.
- Mmmh c'est bon... chuchote-t-elle. Ensuite, je pénètre deux doigts joints, dans son vagin dont je caresse doucement la paroi avec de petits mouvements circulaires; petit à petit, sa chatte de femme accomplie se dilate et me permet d'y glisser trois, puis quatre doigts, puis enfin c'est la main que j'enfonce jusqu'à la garde de mon pouce. Lorsque je change de main, pour nettoyer l'autre côté, elle y pénètre sans peine... Amandine ronronne de plaisir.
- Mmmmh, dis-donc, ça c'est un nettoyage complet ! Me félicite-t-elle d'un air coquin.
- Oui, te voilà toute propre. Et maintenant, le rinçage.
Je saisis le pommeau de douche, règle la température et choisis un jet doux et puissant à la fois. Le flux d'eau stimule ses zones érogènes déjà excitées par mes caresses et bien vite, d'une main, elle ouvre très grand sa chatte afin de les rendre plus accessibles encore. Je continue de la rincer sans oublier l'intérieur. Lorsque toute trace de mousse a disparu, je coupe l'eau dont elle avait depuis un moment remplacé les caresse par celles de ses propres doigts agiles. Je me régale de la regarder chercher son plaisir, me contentant de lui ouvrir la chatte et parfois d'y entrer un peu mon index. Bien vite, celui-ci est recouvert de mouille, qui déjà, commence à apparaître au bord de son vagin. Petit à petit, par vagues successives, il en vient davantage : à chacune des contractions de plaisir que lui procurent ses mains et les miennes, une goutte de son miel apparait. Bientôt, son jus commence même à s'écouler le long de ses lèvres, en direction de son anus. Voyant cela, je décide d'y prendre part et du bout de l'index, je guide le précieux liquide jusqu'à son but où je l'étale doucement, afin d'en humecter toute la région. Constatant l'entreprise bien avancée, je plonge mon index entier dans la chatte trempée d'Amandine, lui arrachant un petit cri de plaisir au passage. Elle est si sensible, j'adore... Je fais quelques aller-retours pour le plaisir et, lorsque je ressors mon doigt, celui-ci est enrobé de son miel; alors, je le dirige vers son anus, lui aussi maintenant, noyé de mouille. Je l'y enfonce tout doucement, à peine d'une phalange. l'endroit est si bien lubrifié, que je ne sens presque aucune résistance. Un changement se produit dans les gémissement de Amandine, comme pour accueillir une sensation inédite. Serait-ce encore une nouveauté pour elle ? Quoiqu'il en soit, elle semble apprécier; ce qui m'encourage : j'enfonce encore un peu plus loin mon doigt, avec toujours plus de facilité et ce qui au début était simple titillement, devient vite un mouvement régulier sur toute sa longueur. Amandine commence à jouir et en redemande à chaque fois que mon médius pénètre son cul :
- Oh oui ! oh oui ! oui !
Son miel continue à s'écouler. Je n'avais jamais vu une femme mouiller autant ! Ça m'excite énormément et je me régale de la vision de sa chatte trempée de jus, béante et qui palpite de contractions et, n'y tenant plus, je me jette à cette source. d'abord à petits coup de langue, je baigne bientôt à pleine bouche dans sa chatte trempée, je la lèche sans aucune réserve. Parfois je la lape comme un chien; parfois, le menton presque enfouis en elle, je suce son clitoris que je sens bien gonflé sous ma langue, avec laquelle je visite aussi l'intérieur de sa chatte. Ce minou est si doux, son contact sur mes lèvres me procure des frissons d'extase. Mon index est toujours en elle à explorer son petit trou. Amandine approche de l'orgasme. Ses cuisses s'ouvrent et se ferment de plus en plus vite sur mes épaules. Je suis moi même tellement excité que si je n'avais pas déjà joui deux fois, je crois que j'éjaculerais au moindre contact.
Le bas du visage baigné de sa mouille, je me relève et présente ma queue au bord de l'explosion devant sa chatte.
- Oh oui vas-y ! viens! me supplie-t-elle dans un souffle.
j'enfonce ma queue d'un coup jusqu'à la garde et la ressort complètement pour recommencer aussitôt.
- oh ouiii !! oui ! oui ! Oh tu vas loin ! Oh oui, OUI, défonce-moi, vas-y !
Amandine, toute absorbée par cette charge, abandonne son clitoris pour savourer mes grands coups de rein. De mon côté, pour mieux sentir mes testicules s'écraser contre elle, j'ôte mon doigt de son petit trou. Ces tendres chocs répétés avec ses fesses me stimulent et je sens dans mes couilles, revenir ce fourmillement caractéristiques :
- Oh oui Amandine, je viens...
- Oh oui ! oui, vas-y!
Amandine veut jouir en même temps que moi, elle redirige sa main vers sa chatte et à présent stimule son clitoris avec frénésie. Elle part, ne contrôle plus ses cris, ni son corps qui est pris de soubresauts. Moi, je sors de son vagin en feu, je me retiens encore un peu, au bord de la rupture. Alors, j'appuie mon gland plein de mouille sur son anus trempé lui aussi.
- Oh Vincent ! oui vas-y, enfonce-la !
Je m'enfonce doucement et sans difficulté. Cette sensation nouvelle plonge Amandine dans un état proche de l'extase, un long gémissement de plaisir s'échappe de sa belle bouche, ses joues sont en feu. Son petit anneau est bien dilaté, mais me comprime la queue beaucoup plus que sa chatte, je n'ai guère le temps de faire plus de quelques va-et-vient, je ne peux me contenir plus longtemps et mon sperme jaillit en elle encore une fois. Amandine découvre pour la première fois de sa vie, la sensation d'une queue qui décharge dans son joli cul. Nos cris se superposent et nos corps secoués de vibrations ne font plus qu'un quand ma queue s'enfonce toute entière dans son cul.
Lorsque le plus fort de notre orgasme est passé, nous sommes encore parcourus de frissons. Nous soupirons de bonheur. Je suis toujours en elle et je sens son anus se contracter autour de moi comme si il cherchait à téter ma queue de tout son jus.
Nous nous embrassons mêlant nos langues, comme pour fusionner un peu plus encore. Je la soulève et la fais glisser sous moi dans l'eau du bain. Ma queue quitte son corps, elle accompagne cette sortie par un long soupir d'aise. Ses mains se posent sur ma nuque, elle m'embrasse langoureusement et son corps serpente doucement contre le mien.
Ses yeux sont pleins de fièvre et nous sourions, tout à notre bonheur.
- Oh Vincent...
Je reste étendu sur elle, l'eau me libère d'une partie de la pesanteur et je flotte à moitié. Je l'effleure, elle bouge doucement et c'est comme une caresse de tout notre corps. Le contact de ses seins sur mon torse est divin, ils sont si tendres et doux. Nous restons une éternité ainsi à récupérer et savourer chaque seconde. A présent, elle a refermé ses jambes sous moi. Ses poils pubiens stimulent mon gland que je frotte tout légèrement sur sa douce chatte. Je sens déjà revenir mes forces. Je m'enfonce parfois entre ses cuisses soyeuses et la pénètre doucement, juste de mon gland. Je savoure le contraste, lorsque le bout de ma queue gorgée de sang, pénètre en elle, c'est encore plus glissant. c'est un moment rare... Puis, lorsque emporté par le désir, je fais mine d'aller plus loin, elle me repousse gentiment et se retire un peu, me faisant comprendre que son corps est repus. Alors je joue le jeu et me contente de n'entrer que le bout. Néanmoins, nous continuons ainsi, paresseusement, mes couilles glissant contre ses cuisses jointes, mon ventre contre le sien. Imperceptiblement, sa chatte accueille ma queue toujours un peu plus loin; lorsque les trois quarts sont en elle, elle me dit :
- Attends, ne bouge plus, laisse-moi faire un peu tu veux ?
- Bien sûr ma belle. j'obéis. Alors elle initie une série de contractions de son vagin très agréables autour de moi, aidée de ses cuisses qui se resserrent et se desserrent légèrement, et conjugue cela avec d'imperceptibles mouvements du bassin.
- Mmmh, je la sens bien comme ça, dit-elle.
Mon immobilité me permet aussi de bien sentir son vagin tout chaud qui se resserre autour de moi. Ses contractions augmentent la pression autour de ma verge et celle-ci semble s'évacuer par mon gland en le gonflant; je le sens palpiter et battre au rythme de mon sang qui afflue en lui. Jamais une femme ne m'avait fait ça. Cette stimulation est vraiment très agréable et dix minutes de cette nouvelle sensation m'amènent une nouvelle fois au bord de l'orgasme.
- Ohhhh Amandine, c'est bon ce que tu me fais là.
- Tu crois que tu vas jouir encore une fois ?
- Oui, je sens que ça vient.
Je la sens ravie de m'offrir ce plaisir. Altruiste, cette petite séance était juste pour moi. Elle amplifie juste un peu le mouvement lent de son bassin et me chuchote à l'oreille des mots crus, qui dans sa bouche sont encore plus excitants. Elle prend volontairement une voix un peu salope pour me stimuler :
- Oui vas-y. Viens encore une fois dans ma petite chatte... Mmmh... Oh oui Vincent, donne-moi encore un peu de ton jus.
Puis elle pousse de longs soupirs et glisse le bout de sa langue vicieusement dans mon oreille
- Ooooooohhhhhhhhh.... Vas-y crache..... Mmmmmmhhhhhh...

Sa langue me fait frissonner. Mon gland rendu très sensible frotte un peu plus contre ses parois.
- Ahhhh oui Amandine !
Je sens mon sperme quitter mes couilles et s'écouler en elle, en longs jets, sans violentes saccades. c'est un genre d'orgasme que je ne connaissais pas encore et c'est vraiment délicieux. Lorsque je redescends sur Terre, je lui dis :
- Mmmmh Amandine, toi aussi tu m'apprends des trucs, c'était super bon... Tu viens sur moi ?
Nous inversons nos places et encore une fois flottons dans une caresse de tout notre corps. Nous restons encore un moment comme ça, puis décidons de sortir.
Avant cela, nous nous savonnons l'un l'autre assez sagement, mais profitant quand même de cette occasion pour nous caresser et découvrir un peu plus chaque recoin de nos corps.
Lorsqu'enfin nous quittons l'eau, je me sèche et la regarde en faire autant. c'est beau une femme qui sort du bain. c'est délicat : nous les hommes, nous nous frottons pour nous sécher; les femmes elles, s'épongent véritablement. Lorsqu'elle tamponne ses seins, ceux-ci s'écrasent légèrement, puis elle passe la serviette pour en sécher le dessous et les voilà qui se gonflent sous cette légère pression. c'est un spectacle dont je ne me lasserai jamais.
Lorsqu'elle commence à s'occuper du bas, j'interviens :
- Laisse-moi faire tu veux ?
- d'accord.
Je tente d'imiter ses gestes et lui éponge les jambes. Je remonte ainsi jusqu'à ses fesses, que j'écarte bien pour y glisser la serviette. Je soulève sa jambe et pose son pied sur ce tabouret magique où tout a commencé. j'ouvre sa cuisse, rendant sa chatte bien exposée. ses lèvres sont encore un peu ouvertes et rougies après tout ce qu'elles ont subi. Je la tamponne doucement aussi, ainsi que sa belle toison qui séchant, reprend ses jolis reflets dorés. Cette vision m'excite, d'autant que déjà, j'aperçois un peu de son précieux fluide qui commence à suinter faisant luire ses petites lèvres. Amandine me laisse m'attarder. De mes mains, j'écarte et je referme son sexe jusqu'à y voir perler une goutte de mouille.
- Mmmh Amandine ma fontaine, j'ai encore envie de toi...
- Oh oui, moi aussi... Mais là, je vais bientôt devoir y aller... On n'a vraiment plus le temps.
- Oui, je comprends. Tu as raison... Alors je me résigne, mais avant qu'elle ne bouge, je recueille une dernière fois son miel de toute ma langue, puis je la suce très fort pour en retirer le plus possible. Elle gémit. Ensuite je pose ma tête contre son bas ventre et ferme les yeux pour mieux savourer l'arôme de son nectar. Elle me caresse doucement les cheveux.
Ensuite, nous nous rhabillons. Elle enfile un shorty blanc en fines dentelles. Sa toison transparaît à travers et derrière, on devine la raie de ses bonnes fesses pleines de vie. Son soutien gorge est assorti qui laisse deviner ses aréoles. Sans balconnet ni rembourrage, le tissus déforme à peine ses seins lourds. Elle est superbe. Je lui fais remarquer. Elle me remercie d'un sourire un peu triste et soupire
- Ahhh Vincent... j'aimerais que ça dure encore un peu... Mais il faut vraiment que je m'habille maintenant... Tu aimerais que je porte quelque chose en particulier pour toi ? me demande-t-elle.
- Oh oui, ça c'est gentil ! Je réfléchis :
- Il y a bien cette petite robe printanière que j'aime beaucoup.
- Mmmh, tu connais ma garde robe... La bleue ? imprimée ?
- Oui je crois.
- d'accord ! Attends-moi en bas, je vais faire vite. Sers-toi un verre si tu veux, tu sais où c'est. Sers-moi un martini aussi s'il te plait, je crois que j'en aurai besoin !
- Ok.
Quelle bonne idée ! j'en ai bien besoin moi aussi. Ce verre m'aidera à me remettre de toutes ces émotions et atténuera un peu le retour à la vie normale.
Au bout de cinq minutes la voilà qui descend. Magnifique. La robe est resserrée sous la poitrine ce qui met ses seins en valeur. Ils ne sont compressés ni par la lingerie, ni par la robe et bougent en rythme alors qu'elle descend l'escalier. Ses hanches larges participe à l'harmonie de l'ensemble. La robe n'est pas très longue et le tissus léger qui volette, découvre un peu ses belles cuisses blanches. Les talons qu'elle porte allonge un peu sa silhouette soulignant le galbe de ses jambes, elle est l'image de la femme plantureuse.
- Voilà !
Je l'accueille avec son verre de Martini.
- Mmmmh, Amandine... Tu es ravissante
- Merci.
Nous nous embrassons. Elle a mis du rouge à lèvres, sa bouche a un goût de fruit. Nous nous asseyons sans trop parler, un peu sonnés par cette aventure. Le retour à la réalité amène son lot de doutes. Amandine me demande :
- Tu crois que tu voudras recommencer ?
- Oh j'adorerai ça ma Amandine, mais les occasions sont si rares...
Nous travaillons tous les deux et aujourd'hui était un jour exceptionnel... Elle me propose une solution :
- Je peux me libérer parfois le midi, je dirais aux collègues que je dois faire des courses, ça m'arrive parfois. Une heure et demi pas plus...
- Ça serait déjà super. Moi aussi le midi ce serait possible, je suis à un quart d'heure de ta boîte...
Elle se mord les lèvres, ses jolies lèvres charnues ses yeux sont plongés dans les miens, mon ventre en est tout noué...
- Tu dois te dire que je suis une salope non ?
- Tu rigoles ? Et moi alors, je suis quoi ?! Moi aussi j'ai quelqu'un... Et puis c'est moi qui t?ai cherché.
- Oui mais c'est moi qui veux recommencer
- Non : moi aussi je le veux.
c'est ainsi que nous scellons cette liaison interdite. Nous nous regardons intensément, nos c'urs battent plus fort. Amandine me demande
- Comment pourrais-je te joindre ?
- As-tu une boîte mail que toi seule consultes ?
- Oui, au travail.
- Dans ce cas, note-la moi. De mon côté, j'en créerai une juste pour nous.
Nous finissons nos verres. Elle les débarrasse, les nettoie et les range aussitôt; ce réflexe me rassure pour la suite de notre histoire...
- Bon, je devrais peut-être y aller maintenant.
- Oui, je crois que ça vaudrait mieux... c'est quand tu voudras...
- Dès que je peux !
Nous nous levons, je l'attire à moi et nous échangeons un long baiser plein de promesses. Je remonte sa robe et caresse une dernière fois ses cuisses et ses fesses, ne pouvant résister à glisser les mains sous son shorty.
Elle soupire :
- Mmmh, j'adore quand tu écartes mes fesses très fort comme ça... Oh Vincent, arrête sinon je vais encore devoir changer de culotte !
A contre c'ur, j'obéis et m'écarte d'elle.
- A bientôt ma belle. Et surtout, ne prends pas tout ça trop au sérieux, il faut que ça reste un jeu. Promets-moi de ne pas trop culpabiliser; après tout, pourquoi n'aurions-nous pas droit au plaisir ?
- c'est promis. Tu as raison, on n'a qu'une vie. Tu viens de m'ouvrir les yeux...
Elle rajoute coquine à souhait
- Et pas que ça !
Depuis ce jour, nous ne manquons pas une occasion de nous retrouver, dans les limites du raisonnable bien sûr. Un petit hôtel nous accueille près de son travail le midi. Nous avons aussi fait diverses expériences dans la nature aux beaux jours. Aujourd'hui, elle n'est plus la débutante qu'elle était ce jour là, mais elle m'excite toujours autant. Nos couples respectifs n'ont jamais pâti de notre relation, nous sommes restés amoureux de nos conjoints respectifs et sommes toujours amis. Nous continuons Amandine et moi, à explorer secrètement nos désirs ensemble et avons même découvert les joies de l'échangisme; mais ça, c'est une autre histoire...