Mon mécano et moi ...

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 24/03/2010 par MeliMelo

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

c'était un samedi de mai, le premier jour chaud de cette année, dont les mois de mars et d'avril avaient été particulièrement pluvieux. j'avais ce matin-là pris la route de bonne heure, comme à mon habitude le samedi afin de rejoindre à l'atelier mes amis Benjamin et Jeremy. Nous étions un trio d'amis plutôt disparates, tant dans nos âges, métiers, modes de vie ou origine. Nous avions cependant une chose en commun : notre gout pour les voitures, de préférence puissantes, et encore de préférences les BMW issues des ateliers Motorsport. c'était d'ailleurs à cause de l'une d'elles, ma dernière acquisition, une magnifique M5 de 1994, noire, intérieur cuir, entretenue avec amour par son précédent propriétaire, et bardée d'options en plus du rugissant 6 cylindres en ligne et ses 3.8l de 350cv ; que je m'étais levée aux aurores. c'était un modèle rare que j'avais eu la chance de trouver sur le net, et Benji et Jerem' étaient très impatients de la voir, depuis que la veille, je leur avais révélé la teneur de la surprise que je leur préparais. j'avais avec regret vendu quelques semaines plus tôt ma 135i que j'aimais beaucoup, mais dont les 306 cv ne me suffisaient plus : j'étais toujours à la recherche de plus de vitesse, de plus d'adrénaline.

Il y avait maintenant plusieurs mois que nous nous connaissions : nous avions fait connaissance à l'entrée du Nurburgring, quelques français échoués et une femme au volant, manifestement seule, avait attiré leur attention. Loin d'être à leur niveau sur ce tracé mythique, Jeremy m'avait pris sous son aile, enchainant en poisson pilote les tours, accélérant le rythme au fur et à mesure. j'étais sortie du Ring des étoiles plein les yeux, et j'avais pu voir le respect dans ses yeux : non seulement j'avais eu le courage d'affronter le ring et ses dangers, mais en plus, je ne m'y étais pas comportée en poltronne, et cela ne lassait pas de le surprendre. Le soir, nous reprîmes la route tous ensembles, et à l'étape du diner, nous discutâmes plus avant, pour découvrir que nous n'habitions qu'à une trentaine de kilomètres les uns des autres. Jeremy et Benjamin me proposèrent donc de passer à leur atelier car je salivais à l'évocation des modèles peu courants qu'ils y hébergeaient et des voitures de course qu'ils y préparaient.

De samedi en samedi, j'avais donc établi mes pénates avec eux, d'abord quelques dizaines de minutes, puis quelques heures, puis la journée entière. Je restais en retrait à les observer ouvrir les moteurs, changer des amortisseurs, des ponts ou des boites de vitesses, vider les voitures, les débarrasser de leur électronique parasite, les voire poncer intégralement avant de les repeindre. j'étais fascinée, et j'appris à respecter leur façon de travailler : dans le calme et le silence, avec efficacité, se parlant peu, et toujours pour des choses utiles. Je ne pipais pas, et j'appris ensuite qu'ils ne m'avaient au début que tolérée dans leur sanctuaire, mais que comme j'avais eu la présence d'esprit de ne jamais les déranger, ils s'étaient habitués à me voir ici. Petit a petit, j'essayais de me rendre agréable, du moins, à jouer un rôle de femme : je n'étais pas portée sur la chose, préférant le cambouis au fourneau et le volant a l'aspirateur. Cependant, je leur préparais leur repas du midi dans la kitchenette de l'espace salon/cuisine qu'ils avaient aménagé en mezzanine de l'immense grange qu'ils occupaient, leur servait café et rafraichissements sans qu'ils aient à le demander. Jamais je ne protestais quand ils reculaient de 2h l'heure du déjeuner car ils étaient en train d'effectuer une manipulation délicate, et jamais je ne m'offusquais lorsqu'ils m'ignoraient pendant des heures. Je me faisais oublier, uniquement désireuse qu'on me laissa observer. Nul doute qu'ils s'y habituèrent?

Un jour, ils furent manifestement en panne de mains. Sans attendre que l'on m'invite, je vins leur prêter main forte, et c'est ainsi que par la suite, ils m'acceptèrent à leurs cotés pour travailler. Je veillais à respecter les règles tacites : pas de bavardage, pas de gène. j'éclairais quand c'était nécessaire, apportais les bons outils, prêtais main forte. Petit à petit, ils me laissèrent faire des choses faciles, puis plus complexes. Benji, le spécialiste de la carrosserie, m'apprit patiemment toutes les étapes de la remise en état d'une carrosserie, quand Jerem' m'apprit a démonter puis a remonter un moteur. Je me souviens encore de cette séance mémorable, où je dus me débrouiller pour déculasser puis reculasser un bloc moteur, alors que je le sentais, présence magnétique à mon coté, prêt à corriger la moindre erreur. SA présence, bien qu'il se posât en guide, me troublait depuis le début, et cela n'allait pas en s'arrangeant.

Je ne m'étais d'ailleurs pas privée de fantasmer sur lui : grand, environ 1m90, né d'une mère black et d'un père blanc, il était plus chocolat que blanc, mais ses traits avaient la finesse et la régularité de ceux de son père. Il était bel homme, musclé, sec, le crane presque rasé, le sourire facile mais était assez taciturne, et avait une petite quarantaine d'années. Pour tout dire je le trouvais sexy en diable, et encore, je n'avais eu pour l'instant l'occasion de l'admirer qu'en gros blouson d'hiver et survêtement, la grange n'étant pas chauffée.

Benji, bien qu'un peu plus jeune, plus expansif, drôle et plutôt joli garçon du haut de ses 1m80, blond aux yeux verts, était moins sec et moins athlétique. Il était d'une gentillesse rare, courtois, toujours galant, et m'adorait manifestement, cherchant ma compagnie, mais n'avait jamais pris aucune liberté ni ne m'avait fait d'avance.

Je pense qu'il avait certainement remarqué que j'en pinçais pour Jerem', et il avait préféré s'effacer au profit de son meilleur pote. c'était vraiment gentil de sa part, le problème, cependant, était que je semblais faire autant d'effet à Jerem' qu'un pavé de rue, c'est tout dire. Ceci étant, la raison de cette attitude me semblait évidente : Jerem' était marié depuis prés de vingt ans, et avait deux adorables petits garçons de douze et huit ans. Sa femme, une déesse sculpturale d'un mètre quatre vingt, professeur de fitness, métisse, souriante, élégante et très femme d'intérieur ne pouvait que ravir un homme ! Pourquoi aurait-il alors posé les yeux sur moi ?

Je me trouvais très quelconque : trente ans, un mètre soixante et un, soixante-huit kilos, j'étais loin d'être grosse mais je n'avais pas la finesse très classe de sa femme, malgré des hanches larges et des une jolie poitrine bien développée, haute et ferme. Peu féminine dans l'accoutrement, je ne portais que rarement des jupes, et pour cause, cela m'eut obligé porter des talons, ce que j'exécrais pour conduire. Si je ne rechignais pas à porter de temps à autre une tenue plus féminine pour aller en soirée par exemple, c'eut été un calvaire dans mon quotidien. Je préférais mes jeans Levi?s et mes débardeurs à bretelles spaghettis, agrémentés d'une collection de pull a col échancré pour l'hiver. j'avais certes des traits fins, de jolis yeux verts et de magnifiques longs cheveux blonds qui m'arrivaient à la taille, lisses et épais. Je haïssais mon nez, cassé quelques années plus tôt et ma peau, victime d'un cancer également quelques années auparavant en avait gardé des séquelles, certes ténues, mais existantes. A vrai dire, j'étais probablement la seule à les voir, mais cela me complexait. Je compensais en m'offrant, toutes les 3 semaines, une demi-journée en institut, avec soin du visage et épilation intégrale en sus. c'était mon moment plaisir cocooning, et je ne l'aurais manqué pour rien au monde. Heureusement, mon activité de photographe me laissait pas mal de latitudes. Bref, si je travaillais mon apparence, c'était plus pour moi que pour séduire, car je ne me trouvais aucun charme.

Force m'était pourtant de devoir le constater, j'exerçais involontairement sur les hommes une étrange attraction. Je n'étais ni allumeuse ni dragueuse, plutôt méfiante, je ne m'habillais jamais provocante, et je fuyais d'autant plus vite qu'on essayait de m'approcher de trop prés. j'avais la fâcheuse tendance à m'enticher d'hommes qui n'étaient pas les bons, et cela se prouvait encore. Plus ils m'ignoraient, plus ils me plaisaient. Cependant, si j'aurais pu partir à la quête d'un célibataire, je n'envisageais pas de tenter quelque chose avec Jerem ?, marié et manifestement très heureux en ménage.

Quelle ne fut pas ma surprise, un jour où Jerem' n'était pas dans son assiette, d'apprendre par Benji que sa femme l'avait trompé et qu'il avait demandé le divorce ! Je le regardais avec curiosité et intérêt, pour aussitôt, culpabiliser : cet homme venait de souffrir milles morts et moi je faisais des plans sur la comète !!!!

Le temps passa. Son divorce fut prononcé, nous avions eu le temps de démonter puis de remonter intégralement une M5 en vue de l'emmener à son tour sur le ring. Il semblait de meilleure humeur de samedi en samedi, et Benji me confia un jour, sur le ton de la confidence qu'il n'avait jamais été très heureux avec sa femme, trop autoritaire, qui recherchait la compétition avec lui plus que la complicité. Et il ajouta, à mon grand désarroi, qu'il pensait que son ami était retombé amoureux. Je me sentis perdue, flouée, trahie. j'avais espéré, si ardemment, que l'amour dont je me consumais pour lui allait enfin trouver une réponse, qu'il allait se rendre compte que malgré nos dix ans d'écart, j'étais la femme de sa vie ! Une sombre tristesse m'envahit, et c'est le c'ur lourd que je les quittais ce soir-là, plus tôt que d'habitude afin d'abréger ma torture. Si Benji me salua avec les effusions habituelles, Jerem' se contenta d'un signe, comme à son habitude, depuis la voiture sur laquelle il travaillait.

Le samedi suivant, je restais chez moi à ruminer sur comment parvenir à l'intéresser. j'en fis autant la semaine d'après. Je reçus quelques e-mails interrogatifs, n'ayant pas manqué un samedi depuis des mois, mais j'y répondis vaguement et les questions se tarirent. Je décidais de vendre ma BMW, j'avais besoin de compenser ma souffrance par une augmentation de nombre de chevaux sous le capot. c'est ainsi que je commençais mes recherches pour dénicher quelques semaine plus tard, la perle rare dont j'ai parlé plus haut. Malgré que je sache que je me torturais, j'avais aussitôt averti Benji et Jerem' de mon acquisition. Si Benji parut enchanté que je donne signe de vie, Jerem' s'en tint à son habitude et me félicita simplement pour ce bel achat. Néanmoins, ce fut lui qui me demanda si je comptais venir la leur montrer. Le lendemain, je pris donc la route vers l'atelier. Je m'aperçus que c'était devenu un tel rituel que je souffrais de m'en passer, et je résolus de continuer à y aller, tant pis pour moi.

Arrivée sur place, je m'aperçus de suite que Jerem' était seul, et je ne posais pas de questions : il m'ouvrit le portail, me salua comme d'habitude de 2 bises sur les joues, peut-être un peu plus enthousiaste que d'ordinaire, puis s'intéressa à la voiture. Lorsqu'il eut fini d'en faire le tour, ils avait des étoiles dans les yeux, et me gratifiant de son sourire éblouissant et d'un regard admiratif, il m'informa que j'avais trouvé une perle rare. Mon moral remonta en flèche, j'avais réussi à l'intéresser. Nous rentrâmes la voiture dans l'atelier, et il se pencha sous le capot. Se redressant presque aussitôt, il m'invita à venir voir : saisissant ma cote dans le coffre, je me retournais pour me changer : nous ne nous étions jamais embarrassés de fausse pudeur, les hommes se retournaient quand je me changeais et nous n'en parlions jamais. Je ne vis donc pas, pas plus que les autres fois, le regard de Jeremy sur mes fesses, mes cuisses, mes reins, je le vis pas admirer chacun de mes gestes, relevant les bras pour attacher mes cheveux en un chignon savant, dont je n'avais pas conscience qu'il soulignait la courbe gracile de mes épaules et de mon cou, et mettait en valeur le tatouage logé à la racine de mes cheveux. Lorsque je me retournais, il était plongé dans le moteur, et je ne doutais pas qu'il ne l'avait pas quitté.

c'est lorsque j'arrivais au coté de la voiture, face à lui, que je vis, qu'il avait oté son sweat-shirt et qu'il portait dessous un maillot sans manches assez moulant, qui mettait en valeur sa musculature bien développée. j'eus un vertige. j'étais raide dingue d'un homme qui se souciait de moi comme d'une guigne ! Du moins c'est ce que je croyais. Me penchant comme lui sur le moteur, je lui demandais ce qu'il en pensait. Sa réponse, fusant comme un cri du c'ur, m'étonna et je relevais la tête?

« Absolument magnifique !!!! »

? Il détourna les yeux aussitôt mais pas assez vite pour que je n'ai le temps de comprendre de quoi il parlait : j'avais, eu égard à la chaleur, renoncé à habitude de porter un sweat-shirt et un caleçon long sous ma cote : je n'avais gardé que mes sous-vêtements et mon débardeur a bretelle, nouant les manches de la cotte a la taille. Il avait les yeux sur mes seins, j'en aurais juré. Il reprit son impassibilité à la vitesse de la lumière, et comment savoir si un noir rougissait ? Troublée, je restais, à demie-penchée sur le moteur, les yeux posés sur lui. Il me jeta un coup d'oeil en coin, puis aussitôt détourna a nouveau les yeux. Mon c'ur se mit a battre la chamade. Se pouvait-il que? ? Une idée folle m'effleura l'esprit : et si, si.. si c'était de moi qu'il était en train de tomber amoureux et que tout ce cirque à mon égard n'ait été qu'un moyen d'essayer de se l'interdire ? Cruel, et un tantinet masochiste, mais après tout?. j'avais bien, moi, tenté de renoncer !

Je décidais de pousser mon avantage. Il n'avait pas bougé, pétrifié par sa bévue, et attendait, stoïque, que je m'offusque. A la place, je contournais la voiture, me dirigeais vers lui. Chaque pas me parut durer une éternité, à la fois supplice et plaisir, l'attente, l'espoir, générant des sensations contradictoires et divines dans tout mon être. Malgré la chaleur, je tremblais. A l' instant où j'allais le toucher, son regard, noir, brulant, profond, assoiffé, presque violent, à la limite de la démence plongea dans le mien. La souffrance que j'y lus me coupa le souffle. Il s'écarta brusquement, me tournant le dos. Las, j'étais plus têtue que cela ! Quel autre sentiment que l'amour peut déchainer les passions ainsi ? Je continuais à m'approcher de lui, les yeux rivés sur son dos et sur les spasmes qui agitaient sa musculature. Lorsque je ne fus plus qu'a quelques centimètres, je tendis la main. Tendis les doigts, comme une projection de tout mon être et de tout mon désir, vers son corps. Rien ne m'avait préparé à ce qui se passa lorsque mes doigts touchèrent son dos au travers de son maillot.

Le contact de mes doigts sembla l'électriser. Il se retourna, grogna tel une bête furieuse, et comme le joueur de rugby se saisit du ballon ovale tant convoité, il m'attrapa violemment et me plaqua le long de la portière de ma voiture, laquelle, posée en équilibre au dessus du sol sur un pont mobile, bougea légèrement. Je ne tentais pas de me débattre, non seulement je n'en avais pas envie, mais j'aimais cette étreinte violente. Et quand bien même l'aurais-je voulu, il me dominait de trente bons centimètres, devait faire dans les cent dix kilos, je n'aurais pas pu le repousser ma vie en eut-elle dépendu.

Plaquée contre la voiture, le souffle court, je le laissais pratiquer une affolante exploration : ses mains, plaquées sur mes hanches, remontaient le long de celle-ci pour redescendre sur mes fesses bien fermes, puis glissaient, toujours plaquées, dans mon dos, pour remonter à ma nuque, glisser sur mes épaules, emprisonner mes seins. Je gémis de plaisir, de désir, j'avais envie de sa bouche, de sentir son souffle chaud sur ma peau, de sentir son corps sur le mien, j'avais envie de faire l'amour, qu'il me fasse crier et jouir, de le faire jouir a son tour, de lui donner tout ce dont il pourrait avoir envie. Il releva la tête, rouvris les yeux qu'il avait fermés, et a nouveau, plongea ses yeux dans les miens. Il n'y avait plus qu'un désir incontrôlé dans le velours sombre de ses pupilles, et je m'abandonnais dedans. Je retins mon souffle, alors que mon c'ur battait comme un possédé, et il se pencha vers moi, puis effleura mes lèvres des siennes. Ce fut à ce moment-là que ce fut trop, et je ne pus plus me contrôler : projetant mes deux bras autour de son cou, j'écrasais ma bouche sur la sienne. Il répondit avec entrain à ce baiser violent, écarta mes lèvres, glissant sa langue dans ma bouche, titillant la mienne, son souffle brulant m'envahit et je crus défaillir.

l'instant d'après, ses mains avaient glissé sur les fermetures éclair de la cote, et elle tomba dans un bruit mou à mes pieds. j'arrachais son tee-shirt, découvrant sa peau lisse et presque imberbe, ses muscles tendus, la plastique parfaite de ce corps sur lequel j'avais tant fantasmé, espérant un jour le voir à nu, le toucher, appréhender sa peau, son odeur, la dureté de son sexe? Je me collais contre lui. A nouveau, il grogna, et il resserra sa prise autour de moi d'un bras, alors que de l'autre main, il m'enleva mon débardeur, libérant mes seins, tendus, aux tétons durcis et érigés, puisque je ne portais pas de soutien-gorge, puis abattant sa main sur ma hanche, il tira violemment sur le fin linge du string. Un bruit de tissu déchiré plus tard, celui-ci gisait à nos pieds, et j'étais nue, adossée à une voiture. La situation m'excitait tellement que je me sentais détrempée, que je sentais mon corps appeler à corps et à cris le corps qui se collait à moi. d'une seule de ses mains immenses, il saisit l'un de mes poignets, puis l'autre, et les levant, les maintins bien serrés au dessus de ma tête. Je crus défaillir. j'aimais qu'un homme prenne les choses en main, si j'étais indépendante et peu encline à la soumission au quotidien, et si je refusais les pratiques douloureuses ou humiliantes, j'aimais dans l'intimité qu'un homme soit dominant, qu'il prenne les choses en main et m'impose sa volonté.

Il fit glisser son autre main depuis mes poignets, sur mon cou, ma gorge, puis saisit l'un de mes tétons, qu'il caressa d'abord, puis pinça légèrement. Je laissais échapper un cri. j'adorais ça, ça m'excitait, et j'entendais bien lui montrer de quelle façon j'avais l'intention de me comporter dans nos relations sexuelles. Car je n'avais pas l'intention d'en rester à une seule expérience, et je ne serais pas de ces femmes à vouloir avoir le dessus avec un homme qui manifestement, aimait contrôler les choses. Tout en gardant mais mains serrées, il défit la ceinture de son jean qui reposait sur ses hanches, puis la serra soigneusement autour de mes poignets. Si c'était un test, il allait voir ! Voyant que non seulement, je ne me débattais pas, mais qu'en plus, je continuais à le regarder bien en face, il fixa la ceinture à la poignée de plafond de la voiture, laquelle était juste à la bonne hauteur.

Ses deux mains libres, il recommença une exploration affolante, caressant, effleurant, une petite claque sur les fesses et il glissait sa main sur mon ventre. Je haletais et gémissais sans retenue maintenant. Je voulais qu'il me touche, qu'il me caresse, qu'il me prenne. Je sentais que je mouillais et même que ca coulait entre mes cuisses. d'une torsion habile de mes poignets, je parvins à me retourner, lui présentant mon dos. Il commença à l'embrasser, puis lentement mais surement, parvins à mes fesses. j'écartais les cuisses, gémissante, assoiffée, à sa merci. j'entendis le bruit de son jean qui chuta sur le sol, puis je sentis son sexe durci entre mes fesses, toujours bien à l'abri dans son boxer. Il fit glisser ses mains sur mes hanches, puis, entre mes cuisses et enfin, entre mes lèvres. Je sentais mon clitoris brulant, je savais que je jouirais vite mais aussi probablement plusieurs fois. A l'instant où ses mains entrèrent en contact avec mon sexe, je jouis dans un hurlement magistral. Je l'entendis rire, un rire joyeux, heureux, un rire de satisfaction. De nouveau, il me plaqua à la voiture, puis libéra son sexe, envoyant promener le caleçon. Levant les bras, il me détacha de la voiture, je me retournais face à lui. Son chibre tendu était plus impressionnant encore que je ne l'avais imaginé, long, épais, il devait approcher les vingt-cinq centimètres de long pour quatre ou cinq centimètres de diamètre. Je n'en avais jamais vu de cette taille, et devant sa perfection, j'eus une envie irrépressible de le sucer. j'adorais cela, cela m'excitais, et je dois avouer, en tout modestie que je le faisais très bien'.


Lire la suite Mon mécano et moi, la suite !