Laure, suite

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Proposée le 20/02/2010 par bayand

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Laure, suite

! Yann, j'ai froid partout, j' ai les seins gelés !  dit ma passagère.

Laure dont j'ai fait la très agréable connaissance il y a quelques heures à peine, et à qui je suis en train de faire faire un baptême en parapente biplace, est très très peu habillée.
Elle n' a sur le dos qu'un short, une paire de chaussettes et ses chaussures de randonnée, tout le reste est dans le sac.
Bien qu'on soit au mois d' aout, un vol à 1800m d'altitude, ça rafraîchit. Plus tôt, lors de nos ébats, j'ai "endommagé" son soutien gorge et sa culotte. A sa demande je l'ai laissée voler la poitrine nue, ce que je regrette maintenant, et une heure ½ de vol plus tard, elle a froid, ce qui est bien compréhensible. La seule chose que je peux lui donner pour les protéger un peu, ce sont mes gants, qui ne cacheront jamais la totalité de ses jolis seins.

! Courage, ma belle on va se poser ! , et je prépare l'atterrissage. Il y a des pilotes en bas, il va falloir que je me pose à l'écart, pour qu'ils n'aient pas un choc. Dommage qu'ils soient là, j'aurais bien remis ça une fois au sol.

Je dessangle Laure dont les mamelons sont durs et érigés, l'agenouille, la plaque le dos contre moi face au soleil. Je masse ses seins un long moment avec plaisir afin de les réanimer et quand la vie revient elle me dit :

! Yann, j' ai envie de toi !
! Moi aussi ma belle mais ce n'est pas vraiment l'endroit, il y a du monde ! 

En riant je lui donne son tee shirt.
On replie le Bi et allons en direction des autres pilotes pour discuter 5 minutes. Ses vêtements ne cachent pas grand chose de l'anatomie de ma compagne et un des pilotes présent en bave sur ses chaussures.

! Dommage pour toi Pépère, ! pensai-je en le voyant déshabiller Laure du regard. Je lui demande si l'un d'eux peut redescendre la voiture de ma copine, et on file à la mienne.

Comme tout parapentiste qui se respecte, j'ai toujours un couteau et quelques mètres de suspentes à portée de la main, je m'emploie donc à réparer les dégâts causés à son soutien gorge, dont l'agrafe et les cm carrés de tissus attenants ont disparu. Pour sa culotte en dentelle par contre, il y a trop de mal, je la garderai d'ailleurs en souvenir de cette belle rencontre.

Laure est pliée de rire :
! c'est bien la 1ère fois qu'un homme me rhabille ! .
! Allez viens ma belle, on va manger, j'ai les crocs ! .

Arrivés à l'auberge, je salue le patron, sa femme et fais les présentations. Regard admiratif de Monsieur, légèrement froissé de Madame, ce qui n'a pas l'air d'étonner Laure qui décidément ne laisse pas les gens indifférents qu'ils soient hommes ou femmes.

On s'installe à l'écart en terrasse, il y a des nappes sur les tables.

! On va pouvoir jouer à colin maillard ! dit Laure en me caressant un doigt, ou plutôt en me masturbant le doigt.
Je sens qu'on va manger en pointillés. A peine installés, son pied part à l'aventure et remonte le long de ma jambe, je me place à la bonne distance pour lui laisser le champ libre, elle fait durer le plaisir, son pied va et vient entre ma cheville et le haut de mon genou.

! Que fais tu pour gagner ta vie, Laure ??? ! dis-je pour temporiser. ! 
! Comptable, ça me la fait gagner, mais ça ne me plaît pas. Ce que j'aime par contre c'est de savoir que tu es déjà en train de bander, bien que je ne t'aies pas encore touché ! répond-t'elle, et d'ajouter ! tu peux compter sur moi... pour te faire jouir, je vais te masturber avec mon pied jusqu'à ce que tu décharges ! , tout cela dit avec ses adorables yeux verts pétillants de gourmandise.

Bien vu, j' ai la trique, je suis avec une belle fille, il fait beau, la seule question est: combien de temps vais je pouvoir lui résister ??...
J'essaie tant bien que mal de temporiser, non pas pour lui faire perdre le pari, mais plutôt parce que c'est un peu ( beaucoup ) gênant.

Ma masseuse est maintenant passée aux choses sérieuses et son pied me titille tour à tour les boules et la tige, alternant caresse de haut en bas, et pression sur la bite. Je ne me vois pas loin de l'explosion, quand le gong me sauve pour quelques instants.

C'est Mathilde, la fille des patrons qui vient prendre la commande. Nous, absorbés par notre jeu ne l'avons pas vue approcher. Mathilde doit avoir 17 ans ½ si je me souviens bien, jolie fille avec quelques kilos en trop dus à l'adolescence, mais qui vont certainement disparaître d'ici pas longtemps.

Elle me fait la bise mais pas à ma compagne... Elle est rouge comme une pivoine d'avoir peut être deviné ce qui se passe sous la table, et a un peu de mal à prendre la commande. Laure en a profité pour reprendre sa caresse, et se mord les lèvres pour ne pas rire de me voir bafouiller devant la petite. J'essaie tant bien que mal de la faire cesser en serrant les jambes, le temps que Mathilde reparte mais elle s'acharne. Notre jeune serveuse qui a repris un peu d'assurance me regarde d'un drôle d'air, prend la commande et fusille Laure du regard en s'en allant.

! Elle n'en pincerait pas un peu pour toi la petite, elle avait l'air jalouse, ou fâchée ??, mais je dirais plutôt jalouse !!.

! Arrête , c'est une gamine ! dis-je pour ne pas rentrer dans son jeu.
Ma jolie frimousse fronce le nez et revient à l assaut. Son massage érotique me fait repartir de plus belle vers un point de non retour, que j'essaie de retarder le plus possible. C'est une profusion de sensations qui va me faire capituler. La caresse savante de Laure, ses yeux brillants qui me dévorent, et le retour de Mathilde qui nous jette plus les assiettes sur la table qu'elle ne les pose.

A peine a t'elle tourné le dos je sens la chaleur m'envahir et ne retiens plus le jet de sperme qui vient se perdre dans mon boxer. Je me retiens pour ne pas râler.
Laure, conquérante, me regarde d'un air attendri, et ne dit plus rien pour laisser retomber la pression.
Pffffou, ça ne fait pas ½ journée que je la connais et elle a passé son temps à me surprendre. Quelle belle rencontre.

! Ca va mieux, mon amant ?? !  me dit Laure
! En attendant je suis sûre que la gamine a un faible pour toi, à voir ses réactions ! 
! Mais non, elle a 17 ans, j'en ai 43, à son âge on empire toutes les situations, de plus il faut dire qu'on ne l'a pas épargnée côté émotions, et puis je les connais depuis pas mal de temps, ses parents et elle ! 

! 43 ? !  dit Laure !  Je t'en aurais donné moins, tu es très... sportif, n'empêche que, la petite, fais attention, n'oublie pas l'intuition féminine !
 
! Et toi ma belle ? lui dis-je, ! quel âge as tu ?, 25 ?, 26 ??!
 
! Pas loin ! dit elle, ! J'ai 27 ans mais pas plein d'amants. Ca fait 8 mois au moins que je n'avais pas fait l'amour, j'ai bien aimé avec toi, tu es doux, malgré ta sauvagerie de ce matin!  

Je prends mon élan pour la questionner sur ce qui me chagrine depuis que j'ai eu du mal à me frayer un passage lors de notre premier rapport.

! Laure, tu me réponds si tu veux. Ce matin, j'ai eu un mal fou à te pénétrer, ce n'est quand même pas le fait de n'avoir pas fait l'amour depuis 8 mois, honnêtement ?? !
 
Le regard de Laure s'assombrit, elle baisse la tête, et a l'air de se demander si elle va me répondre, et comment. Quand elle relève la tête, ses yeux sont pleins de larmes.

! Yann, je, j'ai... d'abord tu es comment dire ? ...généreux. Tu as un gros sexe pour moi , j'aime , hein, c'est pas ça, mais c'est... en plus ! 
Les larmes coulent sur ses joues. Elle se calme et me regarde pour me dire non sans peine :

! Un de mes très bons copains de l'époque m'a violée il y a quelques années. Il m'avait raccompagnée un soir de fête ou tout le monde avait un peu bu et j'ai eu la très mauvaise idée de le laisser rentrer chez moi. Au début on a discuté gentiment, puis tout a basculé quand il a commencé à me complimenter sur ma tenue, mon parfum, mes formes, mon allure quand je dansais ce soir là en boîte, et l'envie de moi qu'il avait depuis longtemps. Alors que j'essayais de le calmer et de le mettre à la porte, il s'est jeté sur moi, a arraché mes vêtements et là il pété un plomb, m'a jetée au sol et m'a... . Tétanisée je n'ai pas crié, n'ai jamais rien dit, ni porté plainte, mais j'ai eu très peur d'être enceinte ou d' avoir attrapé une maladie !

Ma pauvre petite Laure ne peut plus prononcer un seul mot et fond en larmes, j'attrape la serviette pour sécher ses larmes et lui dis les mots les plus doux pour apaiser sa peine .

Au bout d'un long moment elle retrouve sa voix pour dire :

! Alors quand je suis avec un homme, au début, c'est instinctif je fais un blocage et mon vagin se serre comme un étau... mais ça va passer, le plus souvent ça passe car j'ai envie de vivre et d'oublier tout ça. Je sens, je sais qu'avec toi, ça va bien se passer, tu me crois , Yann ?? !
 
Laure pleure à nouveau toutes les larmes de son corps. Je la console du mieux que je peux, et la sens petit à petit reprendre le dessus.

C'est Mathilde qui donne un point d'arrêt à son coup de blues en apportant la suite et dit:

! Ben alors, ce n'était pas bon, vous n'avez presque rien mangé ?? ...Ou alors vous n'avez pas eu le temps, peut être ?? !
 
! Si, Mathilde, si, c'était très très bon, au contraire, merci!

Laure sourit enfin, moi aussi, sauf Mathilde? qui rougit une fois de plus, pose les plats et repart visiblement vexée vers une autre table. Cette fois j'ai un peu de peine pour la petite ( plus si petite que ça d ailleurs, c'est Laure qui m'a fait m'en rendre compte ).
Il va falloir que je discute avec elle un de ces jours, afin de clarifier les choses. Laure n'a peut-être pas tort en me disant de faire attention, elles sont imprévisibles à cet âge là.

! Laure, j'ai quelques jours devant moi, personne ne m'attend à la maison, il y a de la place, alors si tu n'avais pas de programme précis,? j'aimerais bien passer ces journées en ta compagnie. De plus il faut que je te rhabille, je parle de ta lingerie abimée ce matin !
 
! Abimée ? massacrée tu veux dire, ça fait combien de temps que tu n'avais pas eu de femme. C'est pour ça que j'étais vraiment coincée ce matin, ton assaut m'a rappelé... ! 

! Excuse moi, c'est vrai j'étais vraiment excité, mais tu es tellement belle et attirante et c'est vrai aussi que ça fait bientôt un an que je n'ai eu personne dans mon lit ! .

Quand on connaît quelqu'un on commence par apprendre la personne, puis son corps, nous avions commencé par la fin. Nous allons donc passer le reste du repas, moi à faire sa connaissance et elle, la mienne. Je vais apprendre que Laure est finalement une épicurienne qui aime et veut tout, tout de suite, qu'elle n'aime pas les rapports qui durent en longueur dans l'amour, qu'elle a flashé sur moi ce matin en me voyant au bord de la route, et qu'elle se serait arrêtée de toutes façons pour m'aborder si je n'avais pas fait du stop. Ce qu'on appelle le destin.


Le dessert avalé, l'addition réglée, un gentil mimi et un pourboire à Mathilde pour la calmer, et nous voilà partis ma jolie rousse et moi, visiter la région à pieds.

Je laisse Laure marcher devant moi, et j'admire... ses fesses. J'ai toujours eu un faible pour de jolies fesses. Déjà avec Jeanne... Des fesses rondes et fermes, plus rondes que celles de Jeanne, des hanches bien dessinées, de jolies jambes, et en plus des seins de toute beauté pour Laure, ben oui, je suis un homme.

Laure qui n'est pas dupe se retourne et me demande de passer devant afin qu'elle puisse reluquer les miennes qu'elle aime bien aussi, qu'elle aimerait qu'on s'arrête pour qu'elle puisse les caresser et éventuellement plus si affinités.
Voilà le feu rallumé, on ne va pas avoir froid ces quelques jours si Laure répond favorablement à ma demande.

Je l'ai volontairement amenée vers le torrent. Comme on est au mois d'aout, il n'y a pas beaucoup d'eau et elle est peut être chaude, enfin, pas trop froide.
Je connais une vasque inaccessible par le haut, et si du monde arrive par le bas, on les entendra. L'approche est délicate mais Laure se débrouille sans problème, un vrai chamois cette fille. La vasque est encore au soleil, pas beaucoup de courant, mais l'eau n'est pas très chaude. Je suis plutôt du genre frileux ça va être coton.

Laure, originaire du nord de la France me nargue en me voyant rentrer dans l' eau à pas hésitants.

! Ca va, on va pouvoir se baigner, à toi d'abord, va te laver, tu as une tache, là !
Allusion à peine voilée quant à mon éjaculation sous la table au resto.

Je peine à entrer dans l'eau qui doit faire faiblement 16° en pensant:
! Ma belle, si tu arrives à me faire bander avec une T° pareille, je t'épouse !
Après valses hésitations j'arrive à me tremper jusqu'au nombril et me lave abondamment, par contre adieu raideur, bonjour mollesse. Laure pendant ce temps s'est débarrassée de ses habits, gardant seulement son soutien gorge qu'elle ne peut enlever sans mon aide et entre dans l'eau avec une facilité déconcertante.
Après quelques brasses dans la vasque elle nage vers moi et s'accroche à mon sexe pour s'arrêter.

Logique, quoi de plus normal qu'une bite d'amarrage pour arrêter quelque chose qui flotte !!.

! Alors mon chéri, je ne te fais déjà plus d'effet ?? !

Laure me regarde et lit certainement la détresse au fond de mes yeux. Son regard se fait tout doux, ainsi que sa main et elle me masturbe aussi doucement qu'elle l'a fait violemment ce matin. Ses doigts me frôlent à peine caressant mon sexe sur sa toute relative longueur. Par alternance sa bouche chaude tente une réanimation habile. Petit à petit je sens l'appétit revenir et doucement je me hisse hors de l'eau.

Laure est d'une délicatesse rare dans sa caresse, aucune de mes autres conquêtes, y compris Lyse ou Jeanne, ne m'ont fait de massages pareils. Laure commence à appuyer sa caresse et me regarde souriante, fière du travail accompli.

! Je sais comment faire pour te redonner ta raideur, mais n'hésite pas à m'arrêter si ça ne te plait pas, d'accord ?? !

Je suis allé de surprises en étonnements avec elle depuis ce matin, alors pourquoi pas, je ne lui demande même pas quelle est sa solution et dit simplement oui de la tête.

Maintenant hors de l'eau, elle s'écarte un peu de moi et plonge deux doigts avec facilité dans son vagin, je constate ça avec plaisir. Pensant qu'elle veut se caresser pour finir de me remettre à niveau, je commence à me branler afin de gagner du temps. Laure après quelques va et vient revient contre moi, les doigts luisants de sa cyprine, et m'en fait lécher un en me disant :

! Tu me fais confiance, d'accord ? !

Vas y ma belle, je crois que j'ai compris, mais vas-y, on verra bien ? Laure se hisse pour m'embrasser, remet son doigt dans son écrin pour le lubrifier à nouveau et je le sens s'insinuer entre mes fesses. Je suis un peu préoccupé de ce que je vais ressentir. Laure ne me quitte plus du regard et appuie son doigt contre mon anus, doucement je le sens entrer en moi. Elle entame des va et vient pressant vers le bas tandis que son autre main presse ma tige au même rythme que son doigt. Le résultat est très rapide, j'en reste sans voix.

Tout ça m'inquiète un peu tout de même, et pour reprendre le contrôle de la situation je hisse Laure contre moi pour pouvoir la pénétrer.
Laure se débat quand mon sexe entre en contact avec le sien, et serre les jambes de toutes ses forces autour de ma taille quand mon gland passe le seuil de ses grandes lèvres. Son sexe est redevenu impénétrable.

! Yann, les préservatifs, on n'a pas les préservatifs, ils sont restés dans la voiture. Sans, je ne veux pas, je t'en prie, comprends moi !

Je relève un peu Laure et la serre fort contre moi, j'avais oublié.
Je laisse glisser à terre ma jolie maîtresse, qui me lance un regard reconnaissant. Après un tendre baiser ou se mêlent nos langues pendant un long moment, elle s'agenouille et constate que son ?uvre a tenu le coup. Elle me prend dans sa bouche pour la plus tendre des caresses, sa main et sa bouche font merveille, le contact tiède du rocher contre lequel je m'appuie me remplit de chaleur et Laure me pompe jusqu'à ce que ma dernière goutte de semence lui arrive sur le nez.
Elle la recueille sur un de ses doigts, se relève, me le fourre dans la bouche et dit malicieusement :

! Yann, ce coup ci je crois bien qu'on est en panne sèche !

A mon tour jolie Laure de te remercier pour tous ces moments. Elle s'appuie contre le rocher, et se laisse aller sous mes caresses, cette fois ce sont ses seins que je dévore après les avoir délivrés de leur support en dentelle , lui mordille les oreilles, lui lèche le ventre, la caresse partout, sa peau est tellement douce. Je lui fais moi aussi lécher mes doigts et lui dis :

! Laisse moi entrer, laisse mes doigts faire ta connaissance cette fois !

Signe d'acquiescement, elle lèche mes doigts encore plus fort, et écarte ses jolies cuisses pour me laisser passer. Laure ne résiste pas cette fois, la confiance est là. Je commence avec un seul, son écrin est doux, chaud et palpitant et quand je la sens complètement détendue, j'enfile deux doigt dans Laure, qui s'écrase dessus pour s'empaler un peu plus et gémit de contentement.
A genoux je referme ma bouche sur son sexe et la déguste pendant que mes doigts vont et viennent dans son doux vagin. De mon autre main je dégage délicatement son clitoris et imite sa caresse du matin. Son bassin ondule au rythme du plaisir, plaisir que je laisse retomber, jusqu'à ce que ma femelle me supplie d'en finir, qu'elle a envie de hurler.

Devant sa demande pressante, je reprends ma caresse, ma langue a remplacé mes doigts et fouille son sexe, j'aspire son liquide au goût délicieux, pendant qu'un de mes doigts libres va à la découverte du dernier orifice non occupé. Laure a senti la pression contre son anus et crie plutôt qu'elle ne dit:
! Ouiiiii , fais moi jouir, je suis pleine, je décolle, Yann, tu me fais mourir !

Ma trique est revenue, Laure est à bout de souffle, tout son corps ondule et son orgasme arrive puissant. Elle a plaqué une main devant sa bouche et hurle, de l'autre elle m'arrache les cheveux.

En se rhabillant Laure dit :

! Yann, d'accord, je reste quelques jours, je suis trop bien avec toi !

Je l'attrape et lui donne un baiser reconnaissant. Merci ma puce, merci, je sens que ça va être inoubliable, toi et moi. De retour vers le resto, je questionne Laure :

! Et si on dormait là cette nuit ? ! les chambres sont honnêtes et on ne mange pas trop mal... Quand on arrive à manger !.

Acceptation de Laure qui de toutes façons n'avait pas d'itinéraire tracé, donc là ou chez moi, peu lui importe, tant que nous sommes ensembles.
J'en profiterai pour vérifier quelque chose. Persuadé que nous allons faire encore un peu de bruit cette nuit, je voudrais bien voir la réaction de Mathilde, puisqu'elle habite ici, demain matin pour vraiment me faire une idée.


Après une bonne douche , un repas normal celui-ci, Nous partons en promenade au clair de lune jusqu'à la voiture de Laure que les autres parapentistes ont redescendue. Nous récupérons la sainte banane, son sac de vêtements et reprenons le chemin de notre chambre. Moi je n'ai rien d'autre que ce que j'ai sur le dos, mais heureusement, je porte toujours des vêtements qui sèchent très vite, l'été.

Laure a remarqué la piscine municipale de l'autre côté de la route. ! Si on peut encore, on viendra prendre un bain de minuit tout à l'heure ? dit elle ? Elle a une santé de fer, moi je commence à faiblir après cette journée pleine de Laure.

Nous n'avons croisé Mathilde, ni pendant le repas, ni dans le village, ni en revenant au resto.
Laure ouvre la porte de la petite chambre et se jette sur le lit à barreaux, qui émet un grincement de douleur. Pas jeune le plumard, mais la chambre sent bon la montagne et le bois, la déco et la tapisserie sont un peu comment dire ?? champêtres, il y a un renfoncement dans le mur qui sert à poser des bibelots.

Ma jeune conquête s'est déjà débarrassée de ses habits et a la couverture remontée jusqu'aux yeux. Des yeux qui parlent, ils me disent : ! Yann, viens t'occuper de moi, j'ai envie de toi, de ton sexe de tes baisers et de tes caresses. J'ai envie que tu me fasses l'amour, j' aienvie de jouir avec toi !

Un peu de bruit parvient de l'autre chambre qui doit être occupée par le couple et leur fils qui mangeaient en bas avec nous tout à l'heure. Les patrons sont partis, on ne les reverra que demain matin.

Ne reste que Mathilde..., dans sa chambre, ou pas ??

A mon tour je rentre dans le lit déjà réchauffé par une Laure presque nue. Elle se blottit contre moi et m'embrasse langoureusement. Elle est toute en rondeurs et douceurs, je suis bien. Je profite de son corps autrement, le matelas un peu en creux l'engloutit à moitié, et c' est une demi Laure qui s'offre à mes caresses.
Maintenant qu'elle a récupéré sa garde robe, je vais la débarrasser définitivement de son soutien gorge. J'attrape mon couteau sur la table de nuit et cale Laure entre mes jambes. Elle frémit en voyant le couteau.

Sans la quitter des yeux je passe délicatement la lame entre sa peau et le tissu, dans le sillon de sa poitrine. Laure frissonne au contact de la lame et s'incruste dans le matelas. Je tranche d'un coup sec le tissu qui cède et les bonnets glissants sur les côtés découvrent ses magnifiques seins.

Ma main va de sa bouche à son sexe en passant dans le sillon qui sépare ses seins que je lubrifie au passage, et redescends plonger mes doigts dans son sexe pour en extraire sa liqueur, que je donne ensuite à boire à ma compagne. Elle mord mes doigts quand elle les a en bouche, et les serre comme dans un étau quand ils sont à l'intérieur d'elle.

Elle finit par attraper sur la table de nuit un préservatif qu'elle déballe et applique contre son vagin sans le dérouler.

! Viens ? dit elle ? prends moi !

Mon sexe appuie contre la capote, Laure soulève son bassin pour me guider entre ses lèvres jusqu'à l'entrée de son vagin et au fur et à mesure que je pousse, la déroule sur moi.

J'ai l'impression que ça prend un temps infini et me procure une sensation différente d'une pénétration normale. Si je continue de gonfler comme ça, la capote va craquer. Je suis bien, je bouge très lentement, Laure me masse par la pression de ses muscles intimes, je me regarde pénétrer son sexe, Laure me regarde la pénétrer, le temps s'est arrêté, nous sommes tous deux à la recherche du plaisir de l'autre.

La position n'étant pas très confortable à cause de l'âge du matelas, je prends Laure à bras le corps, la couverture vient avec et l'assied délicatement sur le rebord du renfoncement dans le mur. La pression sur mon sexe se fait plus forte, je peux embrasser le visage de ma petite chérie qui pétrit ses seins à pleines mains en ondulant sur moi. Je ramone son sexe plus fort et plus vite. Laure essaye d'introduire un de ses doigts avec moi, y parvient malgré que le terrain soit bien occupé et tente d'en introduire un second, mais doit renoncer, il n'y a vraiment plus de place.

Je me retire pour lécher son sexe et bouscule le lit, qui bouscule la table de nuit, ce qui a pour effet de fiche par terre tout notre bric à brac posé dessus, y compris le flacon de parfum de Laure qui fait un boucan épouvantable sur le plancher. L'odeur qui flotte a présent me fait penser qu'en plus des sous vêtements que je dois à Laure, il va aussi falloir que je lui offre un autre parfum.

Au bout de quelques secondes, nous voyons de la lumière sous la porte, celle du couloir, suivie par un bruit de pas feutrés.
Au nombre de pas, je comprends que c'est la porte du fond qui s'est ouverte, et que Mathilde certainement intriguée par le bruit, cherche à savoir d'où ça vient.
Laure curieuse est à genoux par terre, le buste sur le lit et cherche à en voir un peu plus car l'ombre s'est arrêtée juste devant notre porte.

! C'est Mathilde, tu crois, qui est derrière la porte ? ! chuchote Laure.
! Je ne crois pas je suis sûr, je connais la maison, sa chambre est au fond du couloir !

Je m'agenouille derrière elle. En écartant son sexe le plus possible avec mes pouces, je prends Laure en levrette. Excitée par son sexe complètement ouvert et rempli, et la présence de Mathilde dont on voit l'ombre immobile sous la porte, Laure commence à gémir de plaisir. Le lit s'y met aussi.

Les yeux rivés sur l'ombre derrière la porte, je pénètre au plus profond à chaque poussée Laure qui mord dans le matelas pour étouffer ses cris. A chaque pénétration je fais des efforts pour me retenir d'éjaculer tant le trouble et l'excitation sont grandes.
Le jus de Laure est partout. Je passe mes mains entre nous en recueillir et en étale sur les fesses et le dos de ma compagne. Ma chérie râle de plaisir et s'écartèle pour que je puisse profiter d'elle au maximum. Je suis obligé de m'arrêter car je ne vais pas pouvoir me contenir plus longtemps. Je me dégage jusqu'au gland et le sexe de Laure fait merveille. Je ne bouge absolument plus et pris dans son étau, je sens la pression redescendre lentement.

Mathilde qui sait maintenant d'où venait le bruit, finit par retourner à sa chambre, convaincue que ce ne sont pas des voleurs qui émettent ce genre de sons.

Ma chérie lacère mes bras avec ses ongles pour que je ne la laisse pas en plan. Décidé à en finir, je quitte son écrin et appuie mon sexe contre sa petite rondelle. Je l'humidifie de sa cyprine et pousse. Je disparais dans l'autre antre du plaisir. Laure lessivée et complètement détendue se laisse faire sans aucune protestation et c'est là que je finis cette chevauchée fantastique, des décharges électriques montent dans mes reins et décuplent la force de mes coups de boutoir.

Je jouis, presque immédiatement suivi par Laure qui râle, la tête dans le matelas. Pendant que je suis encore dur, je me retire, me place tête bêche pour lui fourrer ma queue dans la bouche. Laure jette la capote. Ma pauvre chérie est KO mais trouve encore la force de me pomper.

J'ai la bite en feu, limite insoutenable. Laure qui comprend se contente de me téter doucement le gland. Je rince son intimité à grands coups de langue. Laure est belle, Laure est bonne. Je lui bouffe la chatte avec délectation. Je n'arrête plus de plonger ma langue et mes doigts en elle.

! Encore Yann, encore, tout doucement, oui comme çà, c'est bon, tout doux !

Son ventre se creuse par saccades et son clitoris vibre sous ma langue. Son bassin ondule pour accompagner mes coups de langue. Laure est immobile maintenant, ma queue molle toujours dans la bouche, elle gémit doucement, je continue un moment à boire son jus, mais ni elle ni moi n'avons assez de force pour continuer. Alors je me laisse tomber à ses côtés, et la tête posée contre ses seins je m'endors.

! Dors bien mon chou, à tout à l'heure !