Premiers émois

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Proposée le 16/02/2010 par Fille Plurielle

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Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours été une fille sensuelle. Toute jeune, j'avais découvert que je pouvais me donner du plaisir avec ma main. Il ne se passait pas une semaine sans que je ne m'accorde deux ou trois petites séances solitaires.
J'étais ce que l'on peut appeler une petite fille modèle. Calme, tranquille, réservée, personne ne pouvait soupçonner ma sensualité toute intérieure.
Je suis née en Asie où les enfants sont très libres mais les tabous sexuels beaucoup plus stricts qu'en Europe. Pas de petit jeu prétexte avec les garçons, comme les jeux de cache cache ou de docteur qui permettent ici de faire les premières découvertes du sexe opposé.
Un jour je discutais avec des copines, assise sur des sacs de riz, dans un hangard. Le hasard à fait qu'à un moment je me suis retrouvée à califourchon sur un coin de sac. En bougeant j'ai découvert que je pouvais aussi me donner du plaisir en frottant mon entre jambes sur ce coin de sac, à la fois compact et souple. Par des mouvements imperceptibles j'ai réussi à me donner un plaisir extraordinaire sans que mes copines s'aperçoivent de quelque chose. Il faut dire que comme beaucoup d'Asiatiques, je sais garder un visage impassible quand c'est nécessaire.
Cela a été le début pour moi de toute une série d'expériences. Je me faisais du bien, sur des coins de banc, en serrant et desserrant mes cuisses sous la table en classe, à cheval sur une tige de bambou etc. Je me frottais l'entre jambes avec tout ce qui me tombait sous la main. Gommes, stylos, règles en bois etc. Je me souviens encore d'une sorte de gros stylo à bille publicitaire. Il a été la première chose avec laquelle je me sois pénètrée de quelques centimètres.
Le résultat de toutes ces man'uvres est que je n'ai jamais connu le dépucelage classique et effrayant que décrivent tous les romans. Je crois que le gros stylo et d'autre objets m'ont déflorée très jeune, sans que je m'en aperçoive.
Ceci dit je menais une vie tout à fait tranquille et les garçons étaient le dernier de mes soucis. Je n'avais jamais connu ces petits jeux dits de "touche pipi" qui se pratiquent entre gamins.

Lorsque j'avais treize ans, nous avons déménagé et sommes venus nous installer en France. C'était en Juillet. J'avais quelques notions de la langue, car en Asie, nous avions des voisins Français et je jouais souvent avec leurs deux enfants. La fille était en classe avec moi et son frère dans une classe au dessus.

Mes parents m'ont envoyée dans une très belle colonie en Bretagne afin que je sois totalement immergée dans un environnement de mon âge pendant un mois. Le meilleur moyen pour se perfectionner dans une langue.
Parfois, nous faisions des sorties de deux jours et nous dormions sous la tente par binômes. Je partageais la tente avec ma copine de colo qui s'appelait Martine. Une nuit, croyant ma compagne de tente complètement endormie, je n'ai pas pu résister au plaisir de me masturber, sans faire le moindre bruit.
Je tournais le dos à ma camarade et j'y allais de bon coeur. Soudain, j'ai senti une main qui se glissait rapidement dans mon sac de couchage à demi ouvert, pour venir se poser sur mes fesses. La surprise à été d'une telle violence que cela m'a bloqué la respiration. C'était la première fois de ma vie que quelqu'un me touchait les fesses.

Sans un mot elle a commencé à me caresser les fesses et le ventre, tout en me faisant une série de bisoux chauds et humides dans le cou. Aussitôt je me suis sentie fondre et je me suis détendue.
Je me suis aperçue ce jour là, qu'il suffisait que quelqu'un me caresse les fesses, les cuisses ou le sexe pour que j'éprouve aussitôt une sorte de langueur agréable qui me met à sa merci. Ma gorge s'assèche, je sens un délicieux fourmillement dans le bas ventre et ma chatte est immédiatement trempée. Je deviens tout à fait incapable de dire non.

Martine en a profité pour me retourner vers elle et elle a commencé à me caresser et m'embrasser avec des gestes pleins de tendresse. Après quelques minutes, j'ai commencé à lui rendre timidement ses caresses.
Petit à petit elle s'est enflammée, on aurait dit qu'elle voulait me violer,c e qui a achevé de m'exciter. Déjà j'aimais que mon partenaire se serve de moi comme d'un jouet sexuel et c'est encore le cas aujourd'hui.
Cette première expérience a été déterminante. J'ai compris confusément, que je ne serais jamais le genre de fille qui drague mais que je me laisserais faire par tous ceux qui oseraient la première caresse.

Avant la fin de la colo, nous avons recommencé trois ou quatre fois mais toujours à l'initiative de Martine.

En septembre je suis entrée comme demi pensionnaire, en quatrième, dans un petit collège d'à peine quatre cent élèves, où je me suis rapidement sentie comme dans un deuxième chez moi. Le monde des adultes, dans la rue ou ailleurs me faisait encore un peu peur. Il y avait trop de différences avec mon pays d'origine. J'avais quelques bonnes copines mais sans plus. Je m'entendais bien avec l'ensemble de mes camarades, même Camille, une fille assez boute en train, que j'avais giflée et jetée à terre un jour où elle avait trouvé spirituel de me mettre quelques escargots bien baveux sur les cheveux.
Depuis ce jour là, nous étions plutôt copines et nous n'avions pas de rancune. Au total, je garde un bon souvenir de cette première année de collège.
Par contre si je continuais mes plaisirs solitaires alimentés par mes souvenirs de colo, je n'ai eu aucun contact sexuel avec mes camarades pendant cette année scolaire.

A la rentrée en troisième, j'ai retrouvé le collège et mes camarades de classe avec un réel plaisir.
Vers la fin du premier trimestre, je suis devenue très copine avec Clara une fille qui était dans ma classe depuis le début de la quatrième.
Jusque là nous n'avions pas eu de relations particulières. On s'entendait bien sans plus mais nous plaisantions parfois car nous nous disputions amicalement les premières places au classement. Je l'avais invitée pour l'anniversaire de mes quinze ans et c'est à partir de ce jour que notre amitié a commencé.
Clara était aussi blonde que je suis brune. De taille moyenne, son corps avait encore les rondeurs de l'adolescence. Elle avait de grands yeux bleus,tirant sur le mauve et une grande bouche sensuelles dont la lèvre supérieure était toujours un peu relevée. Elle avait elle aussi le comportement et l'allure de la petite fille modèle. En fait personne ne pouvait deviner ce qui se passait derrière son visage d'ange bien élevé. Tous les profs l'adoraient, les élèves la respectaient car elle pouvait en de très rares occasions se transformer en une véritable panthère.

Notre amitié s'est développée en quelques semaines avec la rapidité et la fougue des amours adolescentes. Nous sommes devenues inséparables. Il nous semblait qu'une vie serait insuffisante pour aborder tous les sujets dont nous avions envie de parler et pour satisfaire ce besoin que nous avions de la présence physique et intellectuelle de l'autre.
Cette relation, nous l'appelions Amitié, mais c'était en fait un véritable Amour que nous vivions, avec la déferlante intensité d'un premier amour. Pour nous, l'humanité au cours de sa longue histoire, n'avait jamais connu une passion semblable. On croyait que notre cas était unique.

En dehors des cours, on se retrouvait chez l'une ou chez l'autre car nous habitions le même quartier de la ville. Le week end, je restais souvent dormir chez Clara ou bien elle venait dormir à la maison, ce qui amusait nos parents qui nous appelaient "les inséparables", "les siamoises" et autres plaisanteries du même genre.

Lorsque nous dormions ensemble, c'étaient de ces interminables discussions, blotties dans les bras l'une de l'autre, qui une fois la lumière éteinte duraient tard dans la nuit. C'est au cours de ces confidences dans la douce tiédeur du lit, que j'ai découvert la véritable personnalité de Clara. Sous ses airs angéliques, elle était d'une perversité incroyable qui pouvait se résumer en quelques mots. Rassurer l'entourage et se livrer sans retenue à tout ce qui peut apporter du plaisir sans atteindre à son intégrité physique ou morale."
Elle avait déjà lu "les amours d'Ovide" écrits par un poète libertin de l'Antiquité, et m'en avait lu les passages les plus explicites. C'était un véritable Kama soutra traduit du latin, qu'elle avait piqué dans la bibliothèque de son père.
Rapidement elle m'a avoué avoir pratiqué des caresses très poussées avec une de ses copines, pendant les grandes vacances. De mon côté je ne lui ai pas avoué mon aventure de colo avec Martine mais son récit a suffi pour que je me sente fondre. Clara l'a parfaitement senti car nous étions dans les bras l'une de l'autre à nous faire des bisous toutes les deux minutes.
Ses lèvres ont tout à coup frôlé les miennes, puis sa main à glissé le long de mon dos jusque sur mes fesses, elle a parcouru l'extérieur de ma cuisse.
Je n'ai pu retenir un gémissement de jouissance et je me suis laissée aller sur le dos totalement soumise au désirs de Clara.
Elle s'est aussitôt à demi allongée sur moi et elle a posé doucement ses merveilleuses lèvres sur les miennes qui se sont aussitôt entrouvertes. Alors j'ai eu l'impression de plonger dans un tiède océan de douceur. C'était la première fois que l'on m'embrassait comme au cinéma, j'aurais voulu fondre dans sa bouche, comme un bonbon. Dans ma vie sexuelle agitée, j'ai par la suite connu bien des sensations, mais jamais plus je n'ai ressenti ce gouffre de tendresse et de douceur.
Nous ne pouvions nous résoudre à séparer nos lèvres.
Après quelques instants, j'ai senti sa main qui remontait sous mon Tshirt en glissant sur l'intérieur de ma cuisse. Rapidement elle a repoussé sur le côté l'empiècement de ma culotte et est venue coller le tranchant de sa main dans ma fente détrempée. On aurait dit qu'elle était remplie d'huile et Clara me sciait littéralement entre les grandes lèvres en écrasant vicieusement mon bourgeon. Sincèrement pendant un bon moment, j'ai cru que j'allais mourir ou m'évanouir.
Ensuite j'ai roulé sur le côté pour la désarçonner et j'ai enfin pu toucher ses longues cuisses, son ventre et cette fente blonde sur laquelle j'avais souvent phantasmè au cours de mes plaisirs solitaires de ces dernières semaines. Je crois que nous sommes restées plus de deux heures à nous rouler l'une sur l'autre, à essayer de nous rassasier du corps de l'autre.
Clara avait beaucoup plus d'initiative que moi. A un moment elle m'a placée sur le dos, jambes écartées, puis elle a mis sa tête à l'opposé de la mienne, pour venir coller sa chatte gluante contre la mienne qui l'était tout autant. Puis nous nous sommes frottées comme des damnées. Je crois que nous aurions voulu nous avaler mutuellement par nos sexes en feu.
La fin de la nuit a été un véritable rêve, endormies étroitement enlacées, les cuisses emmêlées.

Après cette nuit là, nous n'avons eu qu'un seul désir. Recommencer le plus souvent possible, tout en gardant une attitude très réservée devant les autres. Clara avait une maturité intellectuelle très en avance sur notre âge et un remarquable cynisme.
---- Avec nos têtes de petites filles modèles, on peut faire tout ce que l'on veut. Si on sait rester discrètes, personne pensera jamais que nous puissions faire quoi que ce soit de mal ? disait-elle. Ou encore une phrase qu'elle avait lue dans je ne sais que philosophe de l'antiquité.
--- Ne soyons pas les esclaves de nos vices mais profitons en au maximum. --
Pendant les vacances de Noël, j'ai du suivre mes parents dans les Alpes où nous avons été faire du ski tandis que Clara faisait un séjour chez un de ses oncles. La séparation nous a parue longue et nous nous sommes retrouvées avec plaisir à la rentrée de janvier.

Maintenant Clara ne se gênait plus avec moi. Pendant une de nos nuits libertines, elle me confia que pendant ces dernières vacances elle avait eu une expérience très agréable avec un de ses cousins âgé de dix sept ans. Après toute une série de caresses de plus en plus poussées, à chaque fois qu'ils en avaient l'occasion, il l'avait rejointe un soir dans sa chambre. Elle avait tout accepté sauf la pénétration malgré l'envie qu'elle en avait. Il l'avait alors retournée et avait fini par éjaculer entre ses fesses. Il se frottait la bite dans la raie engluée en insistant sur l'anus. Quelques instants plus tard il était enfoncé jusqu'au pubis dans le cul d'une Clara surexcitée et incapable de dire non. Bien sûr elle avait ressenti une brûlure lors de la pénétration mais rien de vraiment très douloureux.

Deux nuits après, ils avaient recommencé et cette fois Clara avait vraiment joui. Il l'avait prise trois fois de suite en déchargeant chaque fois dans son cul inondé. Son plaisir avait été d'autant plus intense que de ce côté là elle savait qu'il n'y avait pas de risques.
J'avoue que j'étais assez effarée et que j'avais du mal à la croire. Pour me prouver ses dires, Clara, vexée, a pris un étui de brosse à dents à l'extrémité arrondie, qu'elle a enduit de crème et elle se l'est enfoncé dans l'anus devant moi. J'étais stupéfaite, vaguement ecoeurée et surtout violemment excitée.
Ensuite elle est partie le nettoyer dans sa salle de bains. Elle est revenue avec l'objet a nouveau enduit de crème et a prétendu me faire subir le même sort. J'ai refusé formellement et elle a posé l'engin dans une serviette sur sa table de nuit.
--- Bon comme tu voudras !!
Nous avons repris nos caresses, et je dois avouer que son récit avait éveillé en moi les pires phantasmes car je jouis autant par le physique que par le mental. Clara le savait qui n'arrêtait pas de me chuchoter les pires horreurs tout en me caressant.
Bref un quart d'heure plus tard, la petite garce était parvenue à ses fins et j'avais une bonne longueur de l'étui enfoncée dans mon cul. Je ne peux pas dire que j'y aie vraiment pris du plaisir, physiquement.
Par contre dans ma tête c'était un vrai torrent de jouissance entretenu par les cochonneries et les grossièretés que Clara débitait sans discontinuer.
Sous ses dehors de pure jeune fille de bonne famille, c'était une des plus grandes perverses qu'il m'ait été donné de rencontrer. Son visage d'ange blond aux grands yeux candides, dissimulait des abîmes de vice et de duplicité.

Nous nous étions bien trouvées, car si je ne provoque jamais l'aventure, je suis toujours disposée à servir provisoirement de jouet sexuel à tous ceux qui me le proposent.
Maintenant que j'ai accumulé une quantité impressionnante d'expériences en tous genres, je pense souvent à toutes celles qui auraient pu se produire. Il aurait suffi d'un geste, d'un contact, au cinéma, dans un train, un bus, en boite, à la piscine, ou tout autre lieu. Si tous ce hommes ou ces femmes qui m'ont côtoyée avaient su qu'il suffisait de me toucher discrètement une cuisse ou une fesse pour que cède à tous leurs désirs, je pense que j'aurais quintuplé le nombre de mes amants et amantes.
Mon lieu de travail est le seul endroit où je sois inaccessible. Je n'ai jamais voulu mélanger les genres et je ne veux pas rencontrer tous les jours une personne avec qui j'ai eu des rapports. C'est une source d'ennuis et certains sont plutôt collants.

Pendant toute cette année scolaire, notre amitié réelle et notre complicité sexuelle n'ont fait que croître. Jeunes filles modèles pour tout notre entourage nous savions nous réserver des nuits sulfureuses.
Nous avons fini par nous goder avec toutes sortes d'objets, autant devant que derrière, mais je ne me souviens pas du moment précis ou j'ai perdu ma virginité. En fait, je n'ai pas ressenti ce fameux déchirement dont parlent tous les romans.

Quelque temps avant les vacances de Pâques, lorsque nous dormions ensemble, elle me parlait très souvent de son expérience avec le fameux cousin. Elle avait remarqué que cela m'excitait, bien que je prétende le contraire.
---- Arrête de mentir. Tiens regarde, tu mouilles comme une salope chaque fois que je t'en parle.
Lorsqu'elle me godait le cul,elle n'arrêtait pas de me répéter :
---- Tu aimerais mieux la queue de mon cousin, petite sainte nitouche. Lui au moins giclerait dans ton cul de petite salope. Allez dis le que ça t'excite !
Effectivement je finissais toujours par avouer que oui, ce qui décuplait ma jouissance et la sienne.

Quelques jours avant Pâques, elle a profité de la récré de dix heures pour me dire avec un sourire entendu :
---- J'ai une bonne nouvelle pour nous deux. Mon cousin Julien vient passer les vacances de Pâques chez moi.
Puis ses grands yeux bleus se sont plissés, avec dans le fond une indicible lueur diabolique.
---- Je te le présenterai...... Je suis sûre que vous entendrez bien...

( A suivre )