Elle est blanche, c'est une Polo.

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Proposée le 9/02/2010 par LovemyP

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J'ai 19 ans, je vis à une dizaine de kilomètres de la ville où je travaillais cet hiver. J'ai mon permis et attends ma voiture. Je ne suis pas précipité pour l'acheter du fait que ne pas en avoir ne me dérange pas vraiment. J'aime le stop. Ca me permet de rencontrer des gens, de sympathiser même si ce n'est que pendant 10 minutes. Il m'est d'ailleurs arrivé de partir loin en stop. Bref.
Ce jour là, en rentrant du travail, j'avais le pouce levé sur le bord de la route. Une longue route qui va directement de la ville à mon village. Personne ne s'arrêtait, je commençais à perdre patience.. Tous à se dire "La voiture derrière moi me prendra".
Je marche un peu, puis je m'y remets, je lève le pouce et spontanément une voiture ralentit et s'arrête un peu plus loin devant moi. Une petite Polo blanche. Par respect je trottine en rejoignant la portière. J'ouvre, et pose alors les yeux sur une conductrice étonnement séduisante qui me dit de vite monter. Je m'empresse d'obéir.

Au volant, une femme de 32/34 ans. Des cheveux blonds attachés sous un bonnet en laine noir. Un visage fin et harmonieux. Un regard doux. Un joli teint. J'ai surtout remarqué ses piercings, un au nez, et l'autre, un anneau à la lèvre (L), tout ce que j'aime.
Elle porte un joli petit haut mettant en valeur poitrine ni trop plate ni exagérée, qui laisse aussi découvrir un joli ventre plat. Et pour finir elle porte un mini short - ce qui m'a étonné d'ailleurs - qui me permet d'admirer de fines jambes qui jouent gracieusement avec les pédales. Cette femme m'était décidément très attirante.

(Commence la conversation banale quand on est pris en stop)
- Salut, merci beaucoup de m'emmener je commence à me geler (Il y avait un vent plutôt frais).
- Pas de souci, j'ai fait assez de stop pour savoir ce que c'est.

(Puis..)

- Ah maintenant tu as la voiture, tu n'as plus de souci, sauf à la limite pour te garer en ville.
- C'est sûr. Ca va tu ne crains pas trop de tomber sur des drôles de gens ?
- Non, ça ne m'est jamais arrivé. Quoi qu'il y a des gens spéciaux, mais pas de mauvais.
- Oui et avec ta carrure les mauvais n'osent pas s'arrêter. Moi je faisais du stop étant jeune, mais à 15 ans j'ai arrêté, on m'a fait un sale coup.
- Oh ?

Elle m'a donc raconté qu'à ses 15 ans un type plutôt mauvais l'a prise en stop. Il ne voulait plus la laisser descendre, qui sait ce qu'il voulait lui faire ? Elle s'en est sortie. Un camion arrivant subitement a forcé le type à piler et elle en a profité pour sortir de la voiture et courir.

Je n'ai pas voulu la plaindre, je n'aime pas faire ça. Et il fallait que je lui dise ça.

- Tu m'étonnes qu'il t'arrive des trucs comme ça. Déjà comme tu es charmante encore aujourd'hui, je n'imagine pas ce que c'était à 15 ans.
- Merci, me dit elle en m'envoyant en joli sourire.

On discute.. Puis je veux lui faire peur pour nous amuser. Mais ça ne marche pas vraiment.

- Bon eh bien maintenant que tu m'as laissé monter je ne sortirais plus, et tu vas voir ce qu'il en coûte de prendre n'importe qui.
(Elle m'avait déjà trop cerné et ne me cru alors pas du tout)
- Oh ben pas de soucis tu viens prendre un café à la maison quand tu veux.
- Oh, comme c'est gentil. Eh bien je ne bois pas de café au fait mais je prendrai ce que tu auras à m'offrir.

Je disais ça en plaisantant, et ne me doutais pas qu'elle était sérieuse, que c'était une réelle invitation.

- Au fait, je peux connaitre ton nom ?
- Delphine, et toi ?
- LovemyP

Elle m'a déposé près de chez moi. Je n'ai même pas pris son numéro. Je ne pensais pas que j'aurais une occasion de prendre un verre chez une femme de son âge. Elle me plaisait vraiment mais je ne pensais pas pouvoir lui plaire.

En marchant vers chez moi j'ai compris que c'était sérieux. Je devais la revoir.

Une semaine de stop est passée, et rien.
Je voyais une ou deux Polo de temps en temps.

Jusqu'à ce qu'un soir ! Une Polo s'est arrêtée oui. Une blanche ! Je cours, très content, au fond de moi je me disais que je rêvais.. Que ça ne pouvait pas se produire. Mais mon sourire restait figé.
C'était elle. C'était Delphine !

- Monte monte !
- Heyyyy miss ! Bonjour !
- J'ai reconnu ton écharpe, puis on n'est pas loin de chez toi, j'ai su directement et j'ai freiné.
- Oh comme ça me fait plaisir Delphine de te revoir tu n'imagines pas.
- Vraiment ?
- Absolument ! - Et là je lui dit alors ce qu'il en était parce que j'aime plaire en choquant et en faisant preuve de franchise - Je cherchais toujours une Polo blanche, matin et soir depuis que tu m'as pris. Je ne voulais que te revoir, j'avais du mal à me concentrer en bossant.
- Eh bien, j'ai aussi pensé à toi, je voulais te rattraper pour nous donner un rendez vous, puis je me suis dit que j'étais trop âgée pour pouvoir t'intéresser.
- Attends. Une seconde. Pour résumer, je te plais, tu me plais. On en est là ?
- Oui apparemment.
- Ton café est toujours chaud ?
- Oui, dit elle en riant, mais tu n'es pas obligé d'en prendre, tu n'en bois pas. Alors on y va ?
- Je te suis Delphine.
Elle rit.

On arrive chez elle, dans un village plutôt charmant. Elle a sa petite maison, jolie propriété.

- Attends miss. Tu as quelqu'un ? Je veux dire, je vais gêner.
- je n'ai personne, juste mon fils, il a 14 ans. Et il n'a pas cours le vendredi après midi alors il part toujours chez son copain pour jouer à leur console toute la nuit.

Je suis alors Delphine. Jusque là j'étais tellement excité de la retrouver que je n'y ai pas prêté attention. Mais alors je l'observais. Elle portait le même genre de petit short que la fois dernière, qui lui offrait un "cul de rêve" (Oui j'adore les fesses des femmes). Des collants foncés lui couvraient les jambes, et elle portait des converses blanches.
Je fixais ses fesses quand elle me dit.
- Voila on y est, alors qu'est-ce que tu veux boire ?
- Eh bien je ne veux pas paraitre gamin. Mais j'adore les jus de fruits..
- Oh il n'y a pas de souci.

Elle lance sa musique.

- The Servants !
- Tu aimes ?
- J'adore !!

Elle monte le son.

- Eh bien nous voila en train de prendre se verre, de jus de fruits, dit elle en riant.
- Oh, c'est très bon le jus de fruits, répliquais-je en lui renvoyant son sourire.
- Tu as raison.
Elle retire sa veste qui laisse alors place à un de ces tee shirts fins et moulants. Ces trucs de filles.
très joli d'ailleurs. Et alors je remarque un nouveau piercing sur son nombril.
- Oh là aussi tu t'es faite piercée, tu as vraiment du goût. j'aime. J'ai entendu dire que ça fait mal au nombril
- Si ça te fait rêver, je ne regrette pas la douleur.
Ces paroles m'ont fait palpiter le c'ur l'espace d'une seconde.
- Oui Delphine, ça me fait rêver.
- Approche toi encore un peu.
Oui elle remarquait que je m'approchais lentement d'elle sur le canapé. On avait les cuisses l'une contre l'autre à présent. Nous avions posé nos verres (enfin elle, sa tasse). Je leva doucement la main, la regardant dans les yeux, hésitant. Elle prit ma main et la tira de manière à ce que mon bras se trouve autour de son cou. Elle passa sa main sur ma nuque et m'attira lentement vers elle.
Puis elle me chuchota - Non ça ne va pas trop vite, d'un ton séducteur.
- Je suis absolument d'accord, dis-je, puis je parcouru les derniers centimètres seul et posa mes lèvres contre les siennes en l'enlaçant confortablement. Puis nos langues s'emmêlèrent.
J'embrassais une femme de 33 ans (pour trancher 32/34) qui était devenue mon plus grand fantasme.
Nos langues en furie ne cessaient de se faire l'amour tandis que nos lèvres se suçaient à tour de rôle. J'adore manger les lèvres de ma partenaire.
Delphine s'avançait sur moi, pas vers, mais bien sur moi, et je ne l'en empêchais pas du tout.
Je me retrouvais de plus en plus allongé sur le canapé. Mon réflexe a alors été de glisser mes mains de son dos jusqu'à ses fesses où je sentis alors un string dépassant de son petit short. Une jambe tombant du canapé, l'autre allongée dessus. Delphine se trouvait à quatre pattes au dessus de moi, avec une jambe contre mon membre. Je me demandais alors si elle percevait mon excitation. MH, elle devait s'en douter de toutes manières. Elle passa sa main sous mon tee shirt (Oh mais j'y pense je ne me suis pas décris. Eh bien je portais un tee shirt simple, un joli jean de chez Jules, et des pompes de skate portées plutôt larges. J'avais déjà posé ma veste sur le haut du canapé).
Je sentais alors mon tee shirt se soulever mais surtout sa main caresser mon torse. Je m'amusais toujours avec la ficelle de son string me demandant comment il rendait ses fesses.
(Nos bouches s'amusaient toujours follement)
Je voulais passer mes mains sous se mini short. J'entrepris alors de défaire le bouton et la fermeture de celui ci. Elle me laissa agir. Puis ce petit short s'élargit. Mes mains glissèrent. Sentir se petit cul doux, chaud et ferme entre mes mains faisait grossir mon membre plus que jamais. Je le voulais.
Avant de pouvoir faire quoi que ce soit, elle m'ôta mon tee shirt et le laissa tomber.
Elle était a présent à genoux, à cheval sur moi et j'en profitai pour me relever, appuyer ma main sur son dos pour la porter, et nous retourner pour l'allonger, et me retrouver sur elle à mon tour. Elle émit un petit cri de surprise, puis m'envoya un merveilleux sourire comme elle le fait si bien.
Ses jambes toujours autour de moi, elle devait sentir la pression de mon sexe contre son entrejambe.
Pendant que je parcourais de mes mains ses hanches, j'emmenai mes lèvres, et ma langue, à la recherche de son cou afin de le manger à son tour. (Sans vouloir m'éclater les chevilles je pense effectuer cette tâche plutôt bien, j'en fais frissonner mes partenaires). Elle avait l'air d'aimer, puis sans que je m'en rende compte elle avait attrapé le bout de ma ceinture, et la tira. Oui il suffit de ça pour débloquer ce type de ceinture. Elle la desserra, ouvrit mon jean, puis entrepris de passer sa main sur l'avant de mon boxer. Je me recula alors et me redressa un peu. Elle avait l'air choquée. Je lui souris puis lui fit un petit smack. Elle me renvoya mon sourire.
Mes mains sur son tee shirt.
- Hum, il est blanc, et.. Je ne sais pas si on a de quoi le tâcher mais on ne sait jamais, alors autant l'enlever de suite. Elle leva spontanément les bras. Le tee shirt tomba. Je déposa une tonne de baisers sur sa poitrine, prenant soin de frôler son soutient gorge. Plaçant ensuite mes mains sur son short, je le tira sans lui demander son avis.
- Oh mais les converses sont gênantes là !
Et elles partirent avec le short.

Je repris ma séance de baisers puis reculant, je glissai sur ses jambes. Jambes qu'elle écartait subtilement. Mes lèvres se portaient alors sur l'intérieur de ses cuisses, comme si quelque chose les attirait. Puis je fis quelques smacks sur ce petit string qui je le remarquais enfin était bleu. Je sentis à ce moment la chaleur qu'elle émettait.
Elle caressait mes cheveux, elle s'agrippait à ma nuque. Puis elle m'empêcha d'aller plus loin en repoussant un peu ma tête. Je compris et me reculai alors.
Elle se leva, me tira un peu me faisant comprendre de la suivre. Puis elle se plaça sur la pointe de ses pieds et me dit à l'oreille.
- Si tu me veux tu m'attraperas..

J'avais compris. Elle avançait vers le couloir, puis se retourna et me dit un clin d'oeil. J'admirais toujours ses fesses prises par ce superbe string.

Je m'avança vers elle puis elle se mit à courir. Je courus derrière elle tentant de la rattraper. C'était assez spécial pour moi de courir le pantalon ouvert avec une telle érection. (Pour vous aussi vous allez peut être me dire).
Mais c'était plutôt amusant.
Elle avait une course svelte et gracieuse. Elle criait d'excitation à l'idée d'être poursuivie.
On arriva alors à sa chambre. Elle s'arrêta, se retourna et me dit.
- Ca y est. Tu m'as eue. Tu aimes mes fesses j'ai cru comprendre ? (Elle avait remarqué :/ )
Elle se mis alors dos à moi puis se pencha en avant pour retirer ses collants qui montaient jusqu'au haut de ses cuisses. C'était splendide.
Elle vint vers moi, pris le haut de mon jean au niveau de mes fesses et le baissa un peu, il tomba. Je levais alors les pieds pour retirer mes chaussures et le laisser partir. Elle me contourna puis je me mis face à elle. Et alors j'avais le lit dans le dos quand elle me poussa, et je tomba assis sur le bord du lit. Elle s'avança et posa la main sur mon boxer. Elle me sourit à nouveau. Ça me ravissait. Elle tira sur mon boxer de manière à en sortir mon membre qu'elle pris en main. Puis elle commença lentement son activité qui se trouvait être en même temps très relaxante et très excitante.
Mais vite elle se releva et me poussa encore, je reculais alors sur le lit pour me retrouver complètement allongé dessus. Il était particulièrement mou et confortable. Je n'y trouvai qu'un coussin (cela me rassurait). Elle avança à quatre pattes depuis le bord du lit, vers moi, mettant en valeur ses seins que je désirais. Elle m'embrassa puis reprit en main mon sexe vraiment très gros et dur à cet instant. et elle recommença à s'activer pour me faire plaisir. Elle reculait lentement jusqu'à l'avoir en face d'elle puis baissa la tête et le pris tendrement entre ses lèvres qu'elle avait humidifiées deux secondes avant. C'était divin, sa bouche chaude suçant mon membre.
Une si magnifique femme décidée à me faire plaisir.
J'étais comblé. Je voulais alors la combler moi même davantage.
Elle pratiquait la fellation très amoureusement, en me regardant de temps en temps avec des yeux rieurs. Ses lèvres glissaient de bas en haut le long de mon sexe dur et envieux de son vagin.
On ne faisait que s'embêter, je continuais alors, et lui releva la tête (d'ailleurs j'avais failli éjaculer après ces quelques minutes d'intense plaisir).
- Allonge toi, "ma chérie"
Elle me sourit, et resta à genoux avec moi l'espace d'un instant pour m'offrir quelques baisers, et échanger quelques caresses avec ma langue. J'en profitais alors pour passer mes mains dans son dos et détacher son soutient gorge. Elle avait de très jolis seins (qu'elle a toujours). Ni gros ni petits, c'était très bien. De toutes manières, il ne m'importe que peu qu'ils soient agréables à regarder. Elle s'allongea ensuite puis directement je lui retirais son string et le laissa tomber du lit.
On se retrouvais alors à nouveau à ma séance de baisers. Je rattrapai vite l'intérieur de ses cuisses. Puis je passais de la gauche à la droite en tirant la langue rapidement contre son sexe au passage. Puis je m'arrêta dessus. J'attrapai avec mes lèvres se petit morceau de peau appelé clitoris dont les femmes aiment tant la stimulation. Je le léchais, le suçais. Les cuisses de Delphine s'écartaient d'elles mêmes. Je jetais un petit coup d'oeil à son visage mais rien, elle avait la tête en arrière, la bouche ouverte apparemment. Puis elle posa ses mains sur ma tête et replaqua ma bouche contre son vagin que je m'écorçais alors de manger amoureusement. Au bout d'une quarantaine de secondes, elle commençait à soulever son bassin à gesticuler, à gémir, souffler. J'aimais vraiment ça. Rien ne m'excite plus que l'excitation et les gémissements de ma partenaire. J'avançais ma main, et la touchais tout en continuant mes exercices de langues. Puis j'entrai un doigt, et un deuxième. Ce là n'avait pas l'air de la gêner. Son vagin était mouillé. Hum.. Disons très mouillé. Elle serrait maintenant les cuisses contre ma tête. Étrangement j'aimais encore plus cela.

Au bout d'une dizaine de minutes elle se releva un peu et souleva ma tête, puis elle m'embrassa en me tirant par dessus elle. Elle toucha une dernière fois mon sexe, avant de le diriger vers son entrejambe. Je compris alors. J'écartais mes genoux de chaque côté de ses cuisses, m'asseyant face à elle. (Oui je déteste la position allongée, le missionnaire). Puis je guidai mon sexe vers ses petites lèvres. Il s'y glissa sans soucis, je sentais son intérieur accepter mon membre, une douce et chaude sensation se présentait alors à moi. Mon sexe gros et dur écartait le vagin de ma partenaire qui d'après ses gémissements avait l'air de beaucoup aimer cela. Je m'avançais doucement, progressais, en y allant de plus en plus profondément.
Ses mains sur mes hanches m'ordonnaient d'aller plus loin, puis de le faire plus fort. Je m'empressais alors de suivre leurs instructions. Delphine émettait de petits cris. Ma respiration s'intensifiait. Je ralentissais pour l'ennuyer un peu, pour jouer avec elle. Elle émit un son du genre "MAissss". Puis je m'avançais ensuite lentement en elle, je voyais sa bouche s'ouvrir au fur et à mesure de mon avancée, puis elle prenait des petites bouffées d'air à chaque centimètre, la tête toujours plus en arrière. J'arrivais maintenant très profondément. Elle s'agrippait à mes pectoraux de ses douces mains, et j'adorais ça. J'étais le plus au bout possible, elle gémissait très joliment.
Je reculai alors rapidement, et repris des vas et viens intenses, rapides.. forts. Ma partenaire criait. Elle passa ses bras autour de mon cou et me tira vers elle, mon torse se trouvait à présent contre le sien, je m'activais toujours fortement en elle. Je subissais maintenant et toujours avec plaisir ses cris à portée de l'oreille.
Puis nous changeâmes de position, elle choisit de se mettre à quatre pattes devant moi et m'offrit ses petites fesses si mignonnes. Je pris soin de déposer quelques bisous sur ces deux petites que j'aimais tant à présent.
Puis je m'avança derrière elle. je plaça mes mains sur ses hanches, et entra mon sexe en elle. Son vagin toujours chaud et tendre m'acceptait gentiment. Je me penchais en avant, ma main sur son visage je la retournais un peu pour l'embrasser, puis continuais de glisser mon sexe d'avant en arrière en elle.

J'aimais.
Elle aimait.

Elle s'avança pour sortir mon sexe du sien. Puis me fit m'asseoir, contre le mur. Elle suça une minute mon membre de ses douces lèvres, avant de venir s'asseoir sur moi, et face à moi. Sa belle poitrine m'était maintenant offerte. J'en profitais pour l'embrasser, et même la lécher.

Je pris sa tête de mes deux mains, la fis arrêter ses mouvements sur moi, puis lui fis un smack.
Elle me sourit.
Puis elle recommença à bouger le long de mon sexe. Je plaça alors mes mains sous ses fesses, puis l'aidais à sauter sur moi, elle criait, elle criait de plus en plus fort. Ma respiration était au max, je sentais mon c'ur battre, et vraiment brutalement. Je soulevais une femme splendide l'aidant à me faire l'amour.
Elle m'offrait chaleureusement sa poitrine en se penchant en arrière, levant la tête au ciel pour émettre ses cris de plaisir qui faisaient tant grossir mon sexe en son ventre. Ses mains sur mes épaules. Elle ne s'arrêtait plus. Elle réussit à placer trois mots.
- Je.. Prends Pil. Pilule.
Puis un deux autres mots.
- Je. t'adore.

- Moi aussi Delphine. Je t'adore.

Elle était au bord de l'extase, moi de même. Je me retenais un maximum. Je voulais la faire jouir. Et j'y parvins. Effectivement elle sautait très fortement sur moi, puis elle émis des souffles saccadés, quelques petits cris, en bloquant sur mon sexe, puis en redescendant, et remontant. Elle eu apparemment un bon orgasme. Puis elle continuait à sauter sur moi. Je la fis ralentir. Elle montait et descendait paisiblement le long de mon sexe qui adorait caresser l'intérieur de son vagin. Mon sexe eut cette petite contraction. Puis je jouis à l'intérieur de son vagin. C'était vraiment très bon, plusieurs saccades sortirent.
Nous avions tous deux eu un orgasme.

Elle stoppa ses mouvements. Puis nous restâmes comme ça un instant, se serrant l'un contre l'autre.

Puis on s'est ensuite levés et sommes allés ensemble sous la douche où nous restâmes toujours l'un contre l'autre. Je la serrais contre mon torse. Elle m'enlaçait. Je me sentais très bien dans ses bras.




Aujourd'hui notre relation n'est pas terminée. J'aime tout ce qu'il se passe.

J'espère que mon histoire vous aura plus.