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Proposée le 5/02/2010 par en collants
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Je suis étudiante en commerce international. Il m'est arrivé une histoire peu banale en ce début d'année 2010, plus précisément le premier jour des soldes.
Je faisais les boutiques en compagnie de Johanna, la s'ur de mon copain, lorsqu'en début d'après midi, alors que j'étais entrain d'essayer deux jupes, j'avais remarqué que le rideau de la cabine d'essayage, dans laquelle je me trouvais, n'était pas bien tiré, et qu'un homme d'une cinquantaine d'année en profitait pour me mater. Il pouvait aisément voir que je portais des bas auto fixant de couleur chair, et un string blanc. Quand l'homme a vu que je l'avais repéré, il a tourné la tête ailleurs.
Je ne sais pas pourquoi, mais d'un coup, je me suis surprise à mouiller, j'étais très excitée par la situation. Au lieu de tirer le rideau, je l'ai écarté un peu plus, en lui faisant un clin d'oeil. Je ne me reconnaissais pas, moi si pudique d'ordinaire, je perdais le contrôle de mon corps. Je n'étais plus que désir. L'homme ne perdait pas une miette du spectacle. Je prenais mon temps pour essayer mes jupes. En demandant même à Johanna d'aller m'en chercher une ou deux autres pour faire durer le plaisir. Pendant que Johanna était dans les rayons, je regardais l'homme. Il n'était pas très beau, un peu enveloppé et pourtant en sentant son regard sur moi, j'étais trempée. Je me suis aperçue qu'il bandait, ce qui n'a fait qu'accroitre mon excitation. Johanna est revenue, j'ai essayé les jupes, mais aucune ne me plaisait. Au moment de me rhabiller, j'ai retiré mon string en regardant bien l'homme dans les yeux et j'ai passé ma main sur mon sexe, en enfonçant un doigt dans ma chatte. Ensuite, je me suis rhabillée, je suis sortie du magasin en passant devant l'homme. Je me suis arrêtée à côté de lui en disant à Johanna que je devais aller aux toilettes, que je la retrouverai dans la galerie. Puis j'ai regardé l'homme avec un sourire et je me suis dirigée vers les toilettes. Qu'est ce que j'étais en train de faire ? Je me comportais comme une véritable salope, je ne me reconnaissais plus.
L'homme me suivait, nous sommes arrivés aux toilettes, mais il y avait trop de monde. C'était à prévoir. Alors il a pris mon bras en me demandant de le suivre. Nous nous sommes retrouvés à l'extérieur, derrière le centre commercial, là ou sont entreposés les ordures. Nous étions entre deux bennes de cartons, il a déboutonné son pantalon. Il faisait froid, mais j'étais si excitée que je ne le sentais à peine. Je me suis agenouillée et j'ai avalé sa queue. Je me suis mise à le pomper ardemment. L'homme gémissait sous mes coups de langues, en me parlant crument. Jamais un homme ne m'avait parlé avec autant de vulgarité. Dans d'autres circonstances, je l'aurais rembarré, mais là au contraire ça m'excitait.
Sentant qu'il allait jouir, il s'est retiré de ma bouche. Il m'a collé contre une des bennes de cartons, il a retroussé ma jupe et il m'a prise debout, sans ménagement. Je décollais à chacun de ses coups de reins. Il me baisait vulgairement comme une putain et j'aimais ça. J'entendais mon portable qui sonnait dans mon sac, Johanna devait se demandé ce que j'étais entrain de faire.
L'homme me baisait fougueusement, je gémissais sous ses assauts, j'avais du mal à me contenir. Soudain, j'ai eu un violent orgasme. Il s'est retiré de ma chatte. Je n'avais pas eu le temps de reprendre mes esprits, qu'il m'a demandé de prendre appuis contre la benne et d'un coup, il m'a prise en levrette. Cet homme me rendait folle de plaisir. Après quelques va et vient, il s'est retiré de ma chatte pour s'enfoncer dans mon petit trou. J'étais encore vierge de ce côté, j'allais protesté, mais c'était trop tard. Je sentais sa queue prendre possession de mon anus, je ressentais une légère douleur. Il m'a sodomisé quelques secondes, puis il est revenu dans ma chatte. Après quelque aller et retour il a joui. Je sentais sa semence inonder mes entrailles, j'ai joui pour la seconde fois.
Il s'est rhabillé et il est partit en me laissant ses coordonnées. Je suis restée un moment a essayer de comprendre ce qui venait de ce passer. C'est la sonnerie de mon portable qui m'a ramené à la réalité. J'ai essuyé comme j'ai pu son sperme qui coulait le long de mes jambes, j'ai remis mon string, puis je suis allée rejoindre ma Johanna qui s'impatientait de mon absence.
Quand je l'ai rejoint, Thierry, mon copain était là, je me sentais mal à l'aise. Il m'a embrassé fougueusement, j'avais du mal a répondre à son baiser, surtout que je venais d'apercevoir l'homme avec lequel je venais de baiser, qui m'a fait un clin d'oeil en me faisant signe de lui téléphoner. Il quittait le centre commercial en compagnie de sa femme et de sa fille.