beurette / épicerie

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Proposée le 3/02/2010 par jtext

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Mes parents m'ont laissé, en proche banlieue de Paris, un petit immeuble au pied duquel se trouve l'épicerie dans laquelle ils ont passé leur vie.

Cette boutique (comme la plupart) a été reprise par une famille marocaine, le père, la mère, une fille, Zita, et deux frères plus jeunes.

Depuis quelques années, je vois Zita grandir et devenir une belle jeune fille.

Pas de sorties, sitôt le lycée terminé elle est au travail au magasin. Son seul divertissement semble être la lecture des magazines en vente, ce que ses parents lui reprochent souvent.

j'aime bien plaisanter avec elle, la complimenter, parler de ses études. Nous avons ainsi atteint une certaine connivence.

j'occupe le deuxième étage, mes parents ayant gardé le premier, bien qu'ils n'y viennent jamais.

Directeur de thèse, je travaille souvent chez moi, où je reçois pas mal d'étudiants et "d'étudiantes", et de copines, étant célibataire et volage !

Vacances de Pâques. Dans le grand grenier, je cherche un dossier dans les archives que j'y ai installées.

Zita y vient pour étendre le linge. Son père est au café avec ses copains, ses frères au centre aéré, sa mère sommeille dans l'épicerie désertée à cette heure.

Je la charrie un peu, lui demandant si elle a un amoureux. Tristement, elle me répond, que jamais elle ne peut sortir, qu'elle n'a ni copine ni surtout de copain, qu'elle envie le mode de vie des autres filles qu'elle ne connaît que par la lecture des magazines. Qu'elle envie ma liberté de vie, les filles que je reçois et dont, depuis le grenier, elle a entendu certaines dans le plaisir.

Elle s'est rapprochée de moi et, à ma grande surprise, elle me demande de l'embrasser. Elle a dû lire la technique car elle y va de bon c'ur.

Complètement collée contre moi. Son premier baiser, me dit-elle. Je continue de l'embrasser fougueusement et je commence à la caresser. Elle porte une robe longue bien fermée, à la marocaine, mais au travers du tissu je sens ses formes de jeune fille en pleine santé. Elle a des seins biens formés, hauts et fermes, de même que ses fesses. Je commence à relever sa robe mais d'un seul coup elle me repousse et s'enfuit.

Belle occasion manquée, mais elle a mis le feu'

Le lendemain je guette sa montée au grenier et la rejoins. Elle s'excuse, disant qu'elle a eu tort, qu'elle en avait envie, mais qu'elle regrette car elle ne pourra pas aller plus loin. Je lui explique que je connais parfaitement les contraintes des jeunes filles de sa culture, mais que beaucoup trichent et qu'un homme et une femme peuvent se donner du plaisir tout en respectant la virginité sacrée.

Mon discours l'intéresse, elle ne pensait pas qu'un homme qui avait beaucoup d'aventures comme moi puisse se contenter d'une rencontre sans exiger la totalité. Je la prends dans mes bras et l'embrasse, de nouveau elle se laisse faire et très vite participe très activement. Je sens qu'il n'y a pas que moi qui ai le feu et qu'elle a très envie. Je lui caresse le mont de Vénus par dessus sa robe et elle écarte les cuisses pour me laisser agir et semble apprécier hautement. Elle me rend la pareille à travers mon pantalon.

Je la pousse vers un vieux canapé remisé là, la fait asseoir, m'agenouille, relève sa robe, elle écarte les cuisses tant qu'elle peut. Elle a une toison très brune taillée très court et une fente ourlée de deux lèvres bien fermées laissant à peine apparaître un petit bouton de rose. Ma bouche fait son ?uvre, suçant tout ce qui est suçable, léchant tout ce qui est léchable. Elle se tortille en poussant des petits grognements. Quand ma langue écarte ses lèvres et fouille la grotte d'amour, elle met la main sur sa bouche pour amoindrir son cri. Ses mouvements saccadés prouvent que j'ai atteint mon but.

Embrassades. Elle me remercie, m'invite à échanger nos places, ouvre ma braguette, sort l'outil et est un peu surprise car je ne suis pas circoncis, elle est habituées à celles de ses frères auxquels elle donnait la douche quand ils étaient plus petits. Elle explore, man'uvrant doucement, demandant mon approbation, puis l'approche de sa bouche, la touche un peu avec la pointe de sa langue (grâce aux courriers des magazines, les filles, maintenant, connaissent bien la théorie sans avoir pratiqué), lèche le rebord, frotte un peu sur la pointe de sa langue et comme je commence à bouger et à surbander, elle gobe d'instinct. Elle a la bouche très chaude et bien mouillée, elle s'y prend bien, suçant juste ce qu'il faut. Je la préviens que je vais partir, elle me gobe encore plus, sans intention de me rejeter et je décharge en deux ou trois jets sublimes. Elle a avalé sans hésitation.

Elle a peur que sa mère ne s'inquiète de son absence un peu longue : petit bisou et départ rapide.

Je reste là, me posant des questions morales sur mon attitude vis-à-vis de cette jeune fille. Après tout, je ne lui ai rien fait d'irréversible et de contraire à la morale à son âge. Elle a eu, je pense du plaisir, plus la satisfaction de connaître la même chose que ses copines alors que pour elle, c'est interdit.

Le lendemain, nous nous retrouvons dans les mêmes conditions.

Elle offre sa fente à ma bouche, puis j'offre mon membre à la sienne. Plaisir alterné mais chacun y trouve son compte. Elle est un peu inquiète : il lui semble qu'elle m'offre moins que les autres filles que je reçois, et finit par avouer qu'elle a très envie de me sentir en elle, par derrière puisqu'il n'y a pas d'autre chemin possible. Est-ce que cela me suffira ? Bien sûr, moi qui adore la petite entrée ! Rendez-vous le lendemain, mais dans mon appart.

Elle est à l'heure, nous gagnons très vite la chambre, elle se débarrasse de sa longue robe traditionnelle et offre pour la première fois son corps nu à ma vue. Splendide, la peau mate, une fine musculature, des seins petits mais très hauts et très fermes. Un petit cul musclé et d'un arrondi superbe. Je lui fais des compliments qui visiblement lui plaisent. Elle s'allonge sur le lit, je la rejoins, caresses, bises partout. Mes doigts massent son clito et parviennent à la faire jouir. Il faut abréger car elle a peu de temps, elle remonte ses cuisses, elle est drôlement souple et m'offre son petit trou, un peu plissé bien brun tout mignon. Mon désir est à son comble et vu la taille que j'ai atteinte elle va me sentir passer. Je propose un préservatif mais elle a confiance et veut me sentir. Elle me dit du reste qu'elle s'est préparée avec un peu d'huile d'olive parfumée comme elle a lu qu'il fallait faire. Je m'allonge sur elle et très vite je trouve le bon endroit. j'y vais tout doucement, m'inquiétant de sa souffrance mais elle est courageuse et décidée, serre les dents et facilite l'entrée au maximum. Bien au fond ! Elle est plus étroite que beaucoup, et j'adore. Je commence à aller et venir, très vite elle pige le mouvement et serre les fesses au bon moment. Elle est vraiment très musclée et j'y prends un des plus grands plaisirs de ma vie. j'inonde son petit tunnel, elle a bien senti, ça coulisse facilement. Elle est contente, elle se sent presque une femme, moi j'ai tiré un des meilleurs coups. Nous nous séparons très vite : à demain pour remettre ça !

Raté ! Le petit frère s'est fait une entorse et ne va pas au centre aéré.Impossible de se revoir pendant les vacances.

Le lycée repris, pas de possibilités de rencontres. Juin est là, je ne la vois que dans la boutique. Elle a bien travaillé et passe en terminale S avec des résultats excellents.

Un soir, on frappe à ma porte, c'est Zita, elle est en larmes et très énervée. Sa mère lui a avoué qu'au mois d'août, pendant les vacances au bled, ils allaient la marier, que tout était arrangé. Elle est désespérée et prête à tout. Je l'assure que je ne la laisserai pas tomber que j'allais essayer de faire quelque chose.

Coup de fil à la collègue, ex-copine et militante féministe, elle met en branle les relations et deux heures après, elle arrive. Une copine juge pour enfants a fait vite, elle a trouvé une association d'accueil.

Le lendemain, je suis à la porte du lycée, j'explique la solution à Zita, qui accepte immédiatement avec soulagement. Elle mettra au grenier un sac avec les affaires, qu'elle pourra prendre, que je récupèrerai, et l'association la récupérera demain à la sortie du lycée.

Le sac n'est pas bien gros ! Tout se passe bien. Zita m'embrasse, me remercie monte dans la voiture et part avec ma collègue. Destination inconnue?

Zita m'a appelé quelques jours plus tard, elle avait été prise en charge et, pour l'été, gardait les enfants des participants à des stages sportifs en un lieu que même moi ne pouvais connaître, sécurité oblige.

Grand drame dans sa famille, avec cris, pleurs, malédictions. Plainte à la police, sans suite.

Zita les a appelés un soir, pour les rassurer et expliquer sa disparition, ce qui n'a fait que redoubler la colère de la famille.

Elle a passé l'année dans l'internat d'un lycée, je lui ai fait passer régulièrement un peu d'argent de poche. Quelques coups de fil pour donner son actualité. La Terminale marche bien. Elle est candidate à l'entrée en Math-Sup. Elle a découvert l'athlétisme lorsqu'elle gardait des enfants, l'été dernier, et commence à faire des performances remarquables sur 800 mètres. Elle aura 18 ans en décembre prochain et ne craindra plus rien. Le bac s'annonce bien.

Fin juin, coup de fil, le bac est terminé, elle va partir en stage d'été avec des jeunes de nombreux pays, elle a trois jours de libre et veut que je la rejoigne.

Je la retrouve à la gare d'une jolie ville au bord d'un lac célèbre. Elle est splendide ! Elle veut que nous prenions une chambre dans un hôtel avec vue sur le lac.

Arrivés dans la chambre, elle se met nue immédiatement et m'invite à la rejoindre. Pas de préliminaires, elle se met en position au-dessus de moi et guide mon membre vers sa fente. Petite résistance, je vois son visage grimacer un instant puis se détendre, je suis bien au fond. Elle me regarde et me dit : "Je suis enfin libre."

Nous sommes restés comme cela très longtemps, elle provoquait des va-et-vient très lents et j'ai mis très longtemps avant de remplir son petit con. Elle s'est écroulée sur moi et je crois que nous avons dormi.

Elle a brandi la serviette éponge tachée du sang de sa virginité (comme on fait chez elle) et m'a dit : "Ce n'est pas toi qui m'a dépucelée, c'est moi qui me suis dépucelée sur toi."

Elle compte bien profiter de son stage pour "s'éclater dans tous les domaines mais voulait avant me faire ce cadeau." Nous ne sommes ressortis du lit que le lendemain à midi. Nous avons exploré toutes les positions et les possibilités de nos corps. Elle sait que le plaisir à la pénétration ne viendra que plus tard, mais le cunni et la masturbation la font jouir sans problèmes. Elle m'avoue avoir très fortement du désir depuis très longtemps, qu'elle satisfaisait en se caressant, mais qu'elle était malgré tout en manque d'homme. Elle allait se rattraper !

Nous avons fait des courses, lingerie, préservatifs, portable. Nous avons dévoré un dîner sur une terrasse en bordure du lac. Puis nous avons regagné le lit où nous avons recommencé jusqu'à plus soif. Jamais je n'avais pris autant de plaisir à continuer de caresser une fille et à la faire jouir alors que mon désir était temporairement satisfait. Elle est vraiment très belle, finement musclée, des seins fermes avec des pointes très tentantes, des cuisses longues et fines, une chatte de petite fille avec des lèvres complètement refermées, un cul musclé et succulent. Elle a une faculté de jouissance nettement au-dessus de la moyenne, et encore elle débute.

Le plaisir que je lui ai apporté, elle me l'a bien rendu, et dès que je pouvais de nouveau elle me faisait monter au ciel, mains, chatte, cul, bouche, seins, elle a tout essayé. Lorsque nous ne pouvions plus jouir, nous nous massions le corps à tour de rôle, pour notre plus grand bien. Sa main s'est égarée entre mes fesses et, comme je la laissais faire, elle m'a demandé si les filles le faisaient aux hommes : "Pas toutes". Plusieurs amantes me l'avaient fait, mais sans aller très loin, elle va jusqu'au bout et réussit à provoquer en moi une onde de plaisir bien différente de la décharge.

Séparation. Je lui souhaite de bien en profiter, en lui recommandant de prendre des précautions. Mais au fond de moi, je suis un peu jaloux de ceux qui l'auront, c'est la première fois que cela m'arrive.

Retour sur Paris, je ne fais que penser à elle, et si j'étais amoureux ??