Chap II : Soizic me dépucelle

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Proposée le 29/01/2010 par Marc Paul

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Deux années sont passées depuis que j'avais eu l'occasion de voir ma soeur Corinne et son amie Michelle baiser ensemble sur la plage (Lire le chapitre 1 - Corinne : Premiers émois).
J'étais maintenant au Lycée. J'avais eu pendant ses deux dernières années de nombreuses copines mais aucune n'avait accepté d'aller plus loin que des baisers sur la bouche, certaines s'étaient laissées caresser les seins ou même les cuisses mais aucune ne voulais coucher. Malgré cela je passais pour un tombeur, et mes copains croyaient que chacune de mes conquêtes passait "à la casserole"; ce que je me gardais bien de démentir.

Cette année là, les parents de mon copain Loic m'avaient proposé de partir en vacances avec eux en Bretagne. Loic était dans ma classe depuis la seconde et nous étions très proches. Sa tante Soizic, la s'ur de sa mère, devait elle aussi passer les deux semaines avec nous dans la grande maison de famille au bord du golfe du Morbihan. Ce qui tombait plutôt bien car le mariage d'une cousine de Loic du coté de son père devait avoir lieu dans le Finistère Nord. Il avait été convenu que je resterais avec Soizic pendant que Loic, sa soeur Gaëlle et ses parents iraient au mariage. Cela ne m'enchantait guère d'être privé de mon copain pendant quelques jours, mais je me consolais en me disant que je ferais bien la connaissance d'une fille qui pourrait me faire passer des moments agréables.
Quelques jours avant de partir, Loic me dit d'un ton à ne pas y revenir - tu touches pas à ma s'ur ! Gaëlle, la s'ur en question avait deux ans de moins que nous, maigre, des ?ufs au plat en guise de poitrine, un appareil d'orthodontie qui barrait son sourire d'un trait d'acier, des taches de rousseur, bref rien qui risquait de m'attirer. C'est donc facilement et sincèrement que je lui fis donc la promesse de ne pas tenter quoi que ce soit avec sa jeune s'ur.

Le trajet depuis Paris se passa plutôt bien. A l'arrivée, Soizic nous attendait. Elle avait profité de son avance sur nous pour ouvrir fenêtres et volets afin d'aérer la maison. Après quelques rafraîchissements, nous nous sommes installé et défait nos valises.

La maison était entourée d'un jardin clos de haies très hautes qui masquaient la vue des voisins. A l'arrière le jardin donnait directement sur la plage par un escalier qui dévalait à travers les rochers. Aucune haie ne coupait la vue sur l'océan, mais on ne voyait rien du jardin depuis la plage en contrebas. A l'étage se trouvaient trois chambres qui donnaient sur un couloir. Loic et moi étions dans une chambre, pendant que Gaëlle partagerait la sienne avec sa tante. Les parents occupaient la troisième. Je n'avais jamais rencontré la tante de Loic et Gaëlle. Elle ressemblait beaucoup à la mère de Loic, blonde avec des reflets roux, des taches de rousseurs, des hanches pleines de féminité, une belle poitrine. La seule différence notable était la couleur de leur yeux. Anne, la mère de Loic avait les yeux gris-bleu très clair alors que Soizic les avaient d'un vert profond. Soizic était plus jeune que Anne. je lui donnais entre 35 et 40 ans alors que Anne était de l'age de ma mère, c'est à dire 42 ans. Je passais une bonne partie de la soirée à contempler Soizic et je la trouvais très belle et attirante. De ce constat, je me rendis compte que la mère de Loic était elle aussi attirante. Il ne m'était jamais venu à l'idée de convoiter la mère de mon copain, mais cette pensée me fit sourire.

Le début de la semaine se passa entre les après-midi à la plage avec la joyeuse bande que nous avions rencontré, et les soirées au village tout proche autour du baby-foot et du billard du café. J'avais dragué une fille qui s'était montrée sensible à mes avances. Mais comme les autres elle ne voulait pas coucher. je n'insistais pas vraiment car depuis que j'avais vu Soizic j'avais une envie folle de la baiser et chaque matin, je guettais le moment ou elle se rendait à la salle de bains seulement vêtue de sa nuisette pour la croiser dans le couloir. Je me masturbais copieusement tous les soirs en imaginant des soirées torrides avec Soizic et aussi avec Anne. Dans le fantasme qui m'excitait le plus, je m'imaginais baiser Soizic et Anne nous surprenait, elle reprochait à sa s'ur son attitude et j'intervenais pour les séparer. Anne, me voyant nu devant elle, ne pouvait résister au désir de baiser avec moi et je me partageais alors entre les deux s'urs les baisant alternativement toute la nuit.

Loic, sa soeur et ses parents sont partis pour Morlaix le vendredi juste après le déjeuner. Une fois partis, Soizic m'a demandé de l'aider à faire la vaisselle et à ranger la terrasse. Elle me demanda de l'accompagner au feu d'artifice ce soir. J'acceptais avec bonheur lui promettant d'être rentré pour l'aider à préparer le dîner. Je la laissais seule pour passer l'après-midi avec ma copine qui partait le lendemain.

Je revins à la maison vers 18heures, Soizic rentrait de la plage, un paréo noué sur ses seins. Les mouvements du tissu laissaient voir qu'elle ne portait que le bas de son deux pièces car elle avait l'habitude de bronzer les seins nus ce qui avait valut des reproches de la part de sa s'ur.

Après un rapide dîner de tomates en salade et du reste de rôti froid du midi, nous sommes allés voir le feu d'artifice. Pour cela il fallait traverser le village. Soizic avait revêtu pour la circonstance une robe légère de couleur verte et des sandales à talons. Avec ses talons nous étions de la même taille, et prétextant le risque de se tordre une cheville, elle s'accrochait à mon bras. Fier comme un coq, je passais devant le bistrot où mes copains me regardaient passer avec cette très belle femme à mon bras. Voila qui allait conforter ma réputation car Loic s'était chargé de leur faire part de celle-ci dès notre arrivée.

Après le feu d'artifice, il y eut le traditionnel bal et je dansais toute la soirée en compagnie de Soizic. Les rocks alternait avec des slows pendant lesquelles j'enlaçais avec délectation ma cavalière. Ma main dans son dos me permit de constater que sa magnifique poitrine n'avait aucun soutien ce soir là. Son ventre ondulant près du mien, la sensation de ses seins sur ma poitrine, me faisait bander comme un âne. Je m'éloignais un peu pour éviter que Soizic ne se rende pas compte de l'état où elle me mettait.

Vers minuit, le bal s'essoufflait un peu et surtout nous étions l'un et l'autre trempés de sueur. La journée avait été torride et le soir n'apportait pas la fraîcheur attendue. Soizic me proposa de rentrer. Pour cela, au lieu de prendre la rue, nous avons décidé de prendre un petit chemin qui longeait la plage avant de se terminer sur celle-ci à proximité de la maison. Sur le chemin, Soizic se cramponna de plus belle à moi car ses chaussures ne se prêtaient pas vraiment à ce genre d'exercice. Elle les quitta dès que nous avons mis les pieds sur la plage de sable fin.

Au pied de l'escalier, Soizic me dit :
- J'ai vraiment très chaud, pas toi ?
- Oh, si, un bonne douche me fera du bien.
- Que dirais-tu d'un petit bain de mer pour nous rafraîchir ?
- Bonne idée, on va aller prendre nos maillots de bain.
- Pas besoin, il fait noir et il n'y a personne.
Joignant le geste à la parole et fit passer sa robe par dessus sa tête, la posa sur les premières marches et fit subir le même sort à sa culotte. Elle se précipita dans l'eau, nue comme Eve, et plongea dans les premiers rouleaux avant que j'aie eu le temps de dire ou de faire quelque chose. Pendant que je me déshabillais à mon tour, elle m'appela avec de grands cris en me vantant la température de l'eau.

Je la rejoignis en courant. Nous avons nagé, joué dans les vagues. Je m'amusais à la projeter dans les rouleaux. Après quelques minutes, Soizic grelottait un peu et j'avais moi-même la chair de poule.

Nous sommes sortis de l'eau main dans la main pour aller nous étendre sur un rocher plat et lisse tout proche. La chaleur emmagasinée dans la pierre pendant toute la journée nous réchauffait. Soizic offrait sans pudeur son corps à la brise marine, couchée sur le dos, un jambe à demi pliée, ses seins lourds épanouis avec leur tétons dressés, elle était belle comme une sirène sur son rocher. Si durant le bain la fraîcheur de l'eau avait bloqué toute érection, la douceur de l'air et la présence au combien féminine et impudique à mes cotés avait tendance à faire raidir ma queue. Par précaution je m'étais allongé sur le ventre à coté de Soizic mais la position devenait assez inconfortable.

Soizic se tourna vers moi et posa sa main sur mon dos, ce qui eut pour effet d'augmenter encore mon érection et donc mon inconfort.
- Il parait que tu es le prince charmant de ton lycée d'après ce que m'a dit ma soeur.
- Bohh, faut pas exagérer quand même.
- Si, si, c'est ce qu'elle ma dit. Elle se faisait même un peu de soucis à propos de ces vacances vis à vis de Gaëlle.
- Ah, oui, pourquoi ?
- Anne avait peur que tu séduises sa fille, Gaëlle est jeune et innocente...
- Ah, c'est pour ça, mais Gaëlle est une gamine, je préfère les filles de mon age et puis elle n'est pas mon genre.
- Tant mieux, c'est vrai que tu es un beau mec. Je t'ai aperçu plusieurs fois cette semaine avec une jolie fille, tu aurais pu passer la soirée avec elle.
- Ouais, mais elle est partie cet après-midi, les vacances sont finies pour elle.
Pendant cette discussion, Soizic faisait glisser ses doigts sur ma colonne vertébrale. Ma queue était douloureuse à cause du contact avec le rocher. Je me tournais donc sur le dos. Malgré la pénombre, Soizic ne pouvait pas ne pas remarquer ma queue tendue comme un arc. Elle posa sa main sur ma poitrine et en approchant son visage du mien, elle me susurra :
- Par contre moi, je ne suis plus innocente et tu me plais énormément.
Et sans me laisser le temps de répondre, elle posa ses lèvres sur les miennes et enfonça sa langue dans ma bouche.
Nous échangeâmes un long baiser. Soizic embrassait merveilleusement bien, mieux que toutes les filles que j'avais eu. Tout en continuant à l'embrasser, je roulais sur elle, ses cuisses s'ouvrirent naturellement et ma queue se retrouva sur sa chatte. Je la pénétrais d'un seul coup de reins. La première fois que ma bite s'introduisait dans une chatte féminine. Le contact chaud de sa chatte, la douceur de son con ouvert et bien lubrifié m'électrisa et je m'enfonçais en elle brutalement tout en l'embrassant avec fougue. Soizic gémit sous mes coups de reins mais deux ou trois aller retour plus tard, je me vidais les couilles dans sa chatte.

Alors que je relevais la tête, assouvi, heureux d'avoir baisé une femme pour la première fois, en fait fier comme un coq de basse cour, Soizic me regarda avec un petit sourire en coin et un drôle de regard. Ce qu'elle me dit doucha mon orgueil de male :
- Hummm, c'était un peu rapide, tu ne trouves pas ? C'est toujours comme cela quand tu fais l'amour ?
J'étais assez gêné, je me rendais compte à présent que je ne l'avais pas satisfaite. Mon orgueil me disait de lui mentir mais je voyais dans son regard qu'elle ne serait pas dupe, qu'elle savait parfaitement que c'était la première fois pour moi. Je décidais donc de lui dire la vérité.
- Euhhh, non enfin, je ne sais pas....
- C'est la première fois ?
- Oui.
- Hummm d'accord je comprends mieux alors, mais ce n'est rien, c'est normal. Si tu veux bien, je peux t'apprendre à combler une fille, tu veux ?
- Oh, oui.
La dessus nous sommes rentrés à la maison. Soizic m'enlaçait et elle me demanda comment cela se faisait que j'avais cette réputation. Je lui expliquai que j'avais pas mal de succès auprès des filles mais qu'aucune n'avait voulu aller plus loin que quelques baisers ou caresses. Mais comme je changeais de copine assez souvent mes copains avaient construit cette réputation qui me collait à la peau et je n'avais rien fait pour la démentir.

Arrivés à la maison, nous nous sommes installés dans le salon.

Soizic s'est assise dans le canapé et m'a demandé de m'agenouiller devant elle. Il faut préciser que nous n'avions pas pris la peine de remettre nos vêtements. Nous étions nus tous les deux. Elle m'a dit :
- Maintenant tu vas me donner du plaisir, je vais te guider et t'aider. Toutes les femmes sont différentes et plus tard avec d'autres filles, ce sera à toi de découvrir ce qu'elles aiment. Tu vas me sucer, prends ton temps, ce n'est pas une course de vitesse mais plutôt de lenteur.
Elle mis sa main sur ma tête et m'attira vers elle. De son autre main, elle ouvrit sa fente. Je commençait à lécher sa chatte, son goût musqué me surprit mais je trouvais cela très agréable et cela m'excitait. Soizic me guidait de la main et de la voix, me faisait découvrir les zones sensibles de son sexe. Je m'appliquais à ne pas aller trop vite, notait dans ma mémoire les endroits que je suçais, titillais de ma langue et qui lui arrachait des soupirs d'aise. Bientôt, elle me laissa faire seul et profitant de ces mains libérées pour se caresser les seins. Passant mes mains dans les plis de ses genoux, je l'ouvrais le plus possible, remontant ses cuisses au niveau de ses épaules. Je sentais bien que son plaisir venait, montait en puissance inexorablement. Ma tige avait repris de la vigueur et je me retenais de ne pas lui sauter dessus pour défoncer cette belle femelle en chaleur. Au contraire, quand je sentais son plaisir devenir très intense, quand je la sentais prête à passer ce point de non retour qui, tout à l'heure m'avait rendu fou de désir, je m'appliquais à délaisser sa chatte pour lui lécher les cuisses, le ventre ou encore les seins.
Elle approuva ma façon de faire d'un "Tu apprends vite, petit salaud, tu me rends folle...". Je m'enhardis à utiliser mes mains pour la caresser, lui mettre un doigt dans son con dégoulinant du mélange de sa mouille et de ma semence.

Ses gémissements du début se transformaient petit à petit en râles de plaisir. Soizic m'exhortait à la faire jouir mais ma bouche continuait ses escapades sur des parties moins sensibles de son anatomie. N'y tenant plus elle tenta de se caresser pour se soulager, mais je lui pris les mains pour l'empêcher et les lui maintins sur le coussin de chaque coté de ses fesses. Ses doigts se crispaient et pétrissaient le coussin. Je me sentais, moi aussi prêt à exploser une nouvelle fois. Ma queue était douloureusement gonflée et agitée de petits spasmes. A cet instant, le moindre contact sur ma bite aurait provoqué un orgasme. Je me concentrais sur les caresses que je donnais à Soizic et maintenant je la suçais sans arrêter. Soizic jouit brutalement dans un orgasme libérateur. Elle cria en se cambrant son corps ne reposait plus sur le canapé, était tendu comme un arc, avec comme extrémités, sa nuque qui reposait sur le dossier du canapé et ses deux pieds par terre. Son bassin ondulait d'avant en arrière, son corps fut secoué de tremblements juste avant qu'elle ne pousse un feulement de bête blessée et qu'elle s'écroule enfin en criant son plaisir.

A genou devant elle, je contemplais le spectacle de cette belle femme qui venait de jouir de mes caresses. La fierté de lui avoir donné le plaisir qu'elle attendait me submergea accompagné également de la male assurance que maintenant je saurais faire jouir autant toute femme qui voudrait bien se donner à moi.
Soizic reprenait doucement ses esprits. Elle poussa un long soupir avant de déclarer :
- La vache, quel pied ! c'est pas souvent que j'ai eu l'occasion de jouir comme cela. Tu es vraiment un phénomène, quand je pense qu'il y a une heure à peine tu étais encore puceau.

Elle me regardait tendrement en disant cela. Ses yeux étaient encore plus verts que d'habitude et les cernes qui les cerclaient en faisaient ressortir la couleur.

Soizic ajouta :

- Maintenant tu vas me baiser, tu l'as bien mérité !
- Tu sais dans l'état ou je suis je pense qu'il ne me faudra pas longtemps avant de jouir à mon tour. Tu risques d'être frustrée encore une fois.
- Hummm, tu as raison, Viens t'asseoir ici et c'est moi qui vais te sucer. Après t'être vidé les couilles une deuxième fois, tu verras que tu seras beaucoup plus endurant.

Nous échangeâmes nos places et Soizic à genou devant moi commença à me sucer. Elle le faisait d'une façon très particulière, inoubliable à tel point que j'ai par la suite demandé à toutes les filles qui prenaient ma queue dans leur bouche de reproduire ce que me fit Soizic ce soir là. Elle tenait ma bite dressée à la verticale avec juste le bout d'un doigt, le contact en était presque imperceptible. Et au lieu d'engloutir ma queue, elle déposait sur le gland des petits baisers légers ou bien parcourait la hampe du bout de sa langue. Sa main disponible malaxait mes couilles doucement. Et grâce à cela et malgré l'état dans lequel je me trouvais elle réussit à me maintenir pendant un quart d'heure dans un état d'excitation extrême. Pas une seconde, elle n'accéléra, pas un fois elle n'avala ma bite tendue, gonflée, douloureuse de désir. Je jouis brutalement, sans qu'elle fasse autre chose de plus que ses petits bisous. J'eu l'impression que ma queue explosait littéralement et je vis le jet de mon sperme jaillir jusqu'à hauteur de mes yeux. Les coups de reins que je donnais en jouissant lui firent avaler ma bite. Elle reçut le reste de mon sperme dans sa bouche et avala tout avec délectation. Elle continua de me pomper le dard jusqu'à ce que plus rien n'en sorte et lécha ensuite mon ventre pour faire disparaître toute trace du sperme qui s'y trouvait.

Nous sommes ensuite monté dans sa chambre où elle avait un grand lit alors que Gaëlle n'avait qu'un lit pour une personne.

Soizic m'a montré comment la caresser et je suivais scrupuleusement ses conseils. Elle me branlait aussi en même temps, et je sentais son plaisir revenir alors que ma queue durcissait à nouveau dans sa main habile. Elle m'attira sur elle et guida ma bite vers son con toujours aussi chaud et mouillé. Je m'y enfonçais profondément, doucement puis je me retirais presque entièrement, suivant en cela ses recommandations. Je fis de lents va et viens dans son corps pendant qu'elle se caressait de sa main glissée entre nos ventres. Je ne délaissais par pour autant sa très belle et opulente poitrine. Je suçais ses seins, en mordillait les tétons dardés. Cela semblait lui faire plaisir, elle me le faisait savoir en susurrant des mots orduriers à mon oreille. Je l'ai défoncée comme cela assez longtemps. Sa prédiction était juste, j'étais devenu très endurant après deux orgasmes. Soizic jouit la première, remontant et croisant ses jambes sur mes reins elle donnait la cadence à mes coups de boutoirs. Quand elle cria son plaisir, je sentit son con se resserrer autour de ma queue. Cela m'électrisa et j'accélérais mais coups de reins, je m'enfonçais toujours plus profondément en elle jusqu'à ce que je la remplisse à nouveau de ma semence.

Après cela nous nous sommes endormis presque immédiatement l'un et l'autre pour nous réveiller ensemble vers dix heures le lendemain.

Cette deuxième journée avec Soizic fut aussi merveilleuse que la première. Elle prenait son rôle d'éducatrice très au sérieux. Soizic me fit découvrir toutes les positions possibles. Nous avons joués avec nos sexes sur les matelas bain de soleil sur la terrasse en riant. Bien sur, nous avons jouit l'un et l'autre plusieurs fois. La nuit tombée, après un rapide dîner, nous nous sommes retrouvés dans sa chambre.

Soizic se pendit à mon cou, m'embrassa longuement avant de me dire :

- Mon beau petit mâle, je crois que je t'ai tout montré sauf une chose.
- Ahhh oui et c'est quoi ce qui manque à mon éducation.
- ... La sodomie, tu sais ce que c'est ?
- Ben oui, tu veux te faire enculer, tu aimes ça ?
- J'adooore, prendre une bite dans le cul est super. Mais c'est vrai que beaucoup de filles n'aiment pas trop, enfin c'est ce que disent mes copines... Mais surtout il faut que tu sois très doux sinon ça peut faire mal. Viens...

Elle me poussa sur son lit et commença à me sucer, pour faire grossir ma queue. Elle en profitait pour se masturber en même temps.
Quand je fus bien raide et elle bien mouillée, elle prit un petit tube dans son vanity case et me le tendit. Elle se mit en levrette et me demanda de lui lubrifier son petit trou. Je répandis une noisette de gel sur mon majeur et je commençais à lubrifier sa rosette.

- Mets ton doigt dans mon cul, petit salaud, oui comme ça lubrifie moi bien. Mets en sur ta grosse bite mon petit chéri, il faut qu'elle rentre facilement.
-...
- Viens ici, mets ta bite juste à l'entrée de mon petit trou. Voila comme ça, ne pousse pas mais prends mes hanches et tire moi doucement vers toi.

Je fis ce quelle exigeait et je sentais la résistance de son anus à la pénétration, elle m'encourageait "vas-y très doucement, continue de me forcer sans bouger"
Comme par enchantement, la résistance disparut et ma queue se retrouva plantée entre ses fesses jusqu'à la moitié avant de rencontrer une nouvelle résistance. Soizic haletait "Encore, continue comme ça. Putain, t'es gros, t'es monté comme un cheval. Je sens ta grosse queue dans mon cul, c'est bon" Sa résistance disparut à nouveau et je me retrouvais enfoncé dans son cul jusqu'à la garde. La sensation de son cul sur ma queue était différente de celle procurée par son con. Beaucoup plus serré, plus ferme, le moindre de ses mouvements, la plus petite des ses contractions se traduisait par un massage ferme de mon dard. Au fil des secondes, je sentais son petit trou se dilater, accueillir ma bite plus facilement. De mes mains sur ses hanches rondes, je lui imprimais un lent mouvement de va et viens. Soizic se cambrait pour mieux offrir son cul à la pénétration. Maintenant totalement dilatée, Soizic continua seule les vas et viens de son bassin, s'empalant à chaque fois plus profond sur ma queue. Mes mains libérées en profitèrent pour s'occuper de ses seins et de son clito dardé. Mes caresses, ma queue bien plantée dans son ventre firent bientôt leur effet. Soizic jouit en hurlant : "Encules-moi fort, petit salaud, je jouis comme une salope, putain je sens ta grosse bite qui me défonce, ahhhhhhh" Je me vidais en même temps en elle, la défonçant à grand coups de reins.

Epuisée Soizic s'effondra à plat ventre, libérant ma bite de son fourreau.

Après quelques minutes de repos, nous avons recommencé, Soizic m'offrant une nouvelle fois son cul. Couchée sur le coté, elle me tournait le dos. Elle tenait ma queue et la dirigeait alternativement vers sa chatte ou son petit trou, me laissant ainsi tout le loisir de la caresser de mes mains libres. Je bourrais son cul bien dilaté aussi facilement que son con. Elle appréciait, se caressait elle aussi, augmentant ainsi son plaisir. Soizic eut plusieurs orgasmes successifs avant que je me vide dans sa chatte.

Le lendemain, Dimanche, était la dernière journée que nous devions passer en tête à tête. Loic, sa s'ur et leur parents avaient prévus de rentrer le Lundi en fin de matinée. Comme la veille, nous avons partagé notre temps en baignade et parties de baise dans le jardin. En fin d'après-midi, Soizic m'annonça qu'elle m'offrait le dîner au restaurant. D'un commun accord, nous avons décidé d'aller à Vannes car le seul restaurant du village avait aussi un bar ou la petite bande de copains que nous avions rencontré, Loic et moi, passait ses soirées. Par souci de discrétion, Soizic préférait que l'on ne nous voit pas trop ensemble.

Elle me demanda de m'habiller pour sortir. je passais un pantalon beige, que maman avait tenu à fourrer dans ma valise, comme des chaussures de ville et une chemisette. En me changeant, je remerciais intérieurement ma chère maman pour avoir tenu bon malgré mes protestations. Si elle avait su que cette tenue que je n'appréciait pas particulièrement serait utilisée pour sortir avec une femme, presque de son age, qui m'avait dépucelé, fait découvrir les plaisirs du sexe et avec laquelle je baisais pratiquement sans arrêt depuis deux jours, ma maman aurait été horrifiée... Tout cela me fit sourire intérieurement.

Ainsi habillé, j'attendais Soizic qui se préparait dans la salle de bains. Elle descendit et au bas de l'escalier me demanda si elle me plaisait. Je lui répondis par l'affirmative sans aucune hésitation, le contraire aurait été impossible. Elle était belle et sexy à faire bander n'importe qui. Elle portait une robe claire très légère fermée seulement par une ceinture à la taille. Le décolleté était très profond et descendait jusqu'à la base de ses seins. Je remarquais qu'une fois de plus elle ne portait pas de soutif car on devinait par transparence la trace des aréoles de ses seins pourtant assez claire. Ce qui me surprit, c'est qu'elle portait des bas ou des collants alors que la température était encore assez élevée. Ses pieds étaient chaussés d'escarpins à hauts talons. Son maquillage était parfait et s'accordait parfaitement à la couleur de ses yeux et de sa tenue.

Dans la voiture, la robe s'ouvrit dévoilant ses jambes jusqu'à mi-cuisses. Je posais ma main sur son genou mais Soizic la retira en me disant que, comme elle conduisait, ce n'était pas très prudent.
Le restaurant choisi par Soizic était simple mais sympa, plutôt calme. Nous avons diné en tête à tête dans un coin tranquille de la salle qui était à moitié vide.
Pendant le repas, cette belle salope avait discrètement posé une de ses chaussures et me caressait le bas-ventre de la pointe de son pied. Comme si j'avais besoin de cela pour désirer encore cette belle femme.

Au retour, Soizic monta dans sa chambre en me demandant de l'attendre dans le salon. Elle redescendit quelques minutes plus tard et posa un petit sac en tissu sur le meuble de la télé. Elle se dirigea vers la mini chaîne et introduit un CD dans le lecteur. Une musique entraînante jaillit des enceintes et Soizic commença un striptease d'enfer. Une vraie pro ! Sa robe s'ouvrit complètement après qu'elle ait dansé et ondulé devant moi pendant tout le premier morceau du disque. Elle se planta devant moi et ouvrit sa robe. Je constatais qu'elle portait des bas tenus par un porte jarretelles blanc. C'était maintenant son seul vêtement car sa robe faisait un petit tas au milieu du salon et sa culotte blanche avait subi le même sort. Elle se tortillait devant moi au rythme de la musique tout en se massant les seins et en passant son doigt sur sa chatte ou dans sa raie culière. J'avais moi même ouvert mon pantalon et sorti ma queue. je me branlais doucement en l'encourageant.

Tout en continuant de danser, elle extrait un gode du petit sac qu'elle avait emporté, le suça langoureusement d'un air salace. Elle s'allongea sur la table basse, les jambes largement ouvertes devant moi et commença à se masturber de la main et du gode. Elle se le fourra dans la chatte et dans le cul en gémissant d'aise. Elle se fit jouir une première fois, continua son manège et obtint rapidement un nouvel orgasme. Elle se rua ensuite sur moi pour me sucer à pleine bouche. La pipe vigoureuse qu'elle me fit obtint le résultat qu'elle attendait. J'éjaculais dans sa bouche sans qu'elle arrête une seconde de me pomper.

Nous avons ensuite baisé dans le salon jusqu'à ce que épuisés, nous sommes aller nous couchés dans son lit.

Le lendemain, Soizic me réveilla vers 9h. il fallait ranger un peu la maison, faire disparaître les traces de nos ébats avant que tout le monde ne rentre. Soizic accepta néanmoins de se faire enculer debout dans la salle de bains, les mains agrippées au lavabo.

Vers midi, tout était propre, le déjeuner prêt, nous attendions plus que le reste de la famille pour déjeuner. Allongés sur les bains de soleil de la terrasse, Soizic me demanda la plus grande discrétion sur ce qu'il s'était passé entre nous et me fit une prophétie qui se révéla exacte par la suite.
- Tu verras, maintenant que tu sais comment t'y prendre avec une fille, elles voudront toutes baiser avec toi. Nous, les filles on sent très bien ce genre de truc. Par exemple, moi je savais très bien que tu étais puceau...
- Ah oui mais alors pourquoi tu m'as alors presque violé l'autre jour sur le rocher, lui répondis je en riant.
- D'abord petit salaud, je ne t'ai pas vraiment violé, non ? Surtout parce que j'avais envie de me taper un beau mec comme toi... Et je dois dire que je n'ai pas été déçue, tu baises bien, tu m'as bien fait jouir. Mieux que certains mecs avec de l'expérience...

Elle finissait à peine cette phrase que la voiture des parents de Loic est arrivée dans la cour.

Le reste de la semaine se passa normalement. Soizic et moi, tentions de nous éviter pour ne pas risquer un geste ou une parole équivoque qui aurait pu dévoiler aux autres ce qui s'était passé en leur absence.